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Posts posted by aynazppr75
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Très faciles à reconnaître, comme leurs cousins à kippa ce sont des victimes permanentes et adeptes de la pleurnicherie victimaire permanente. Quand vous n'êtes pas sûr d'en reconnaître un physiquement posez lui une simple question sur le MO et vous saurez ...
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Et oui c'est tout à fait exact la Cpam s'en tape qu'il ait perdu son bras en sauvant un chiot de la noyade ou se faisant sauter en Syrie, elle constate l'invalidité point barre
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C'est à se demander si ces gens savent comment fonctionne un compte en banque et le système financier même dans les pseudos pays musulmans, faut pas s'étonner de se faire piétiner après :crazy:
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:roflmao::roflmao::roflmao:
Viva Dr aynazppr75 ! :mdr::D
Enfin un connaisseur :D
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tu voulais dire matriochkas pas babouchkas ?!! ;)
T'as pas passé l'âge pour jouer à la barbie moscovite ? Une babouchka bosse dur et le plus important c'est que la cuisse soit bien lisse et la soupe bien chaude re ;)
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Faut vraiment n'avoir jamais touché une femme de sa vie pour croire qu'un gynéco prend son pied à chaque frotti ...
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Mort de l’académicienne Assia Djebar
Pour écrire, elle s’était placée sous le double signe, apparemment contradictoire, de la consolation (le sens d’« Assia ») et de l’intransigeance (« Djebar », l’un des 99 noms du prophète Mahomet, signifie « l’intransigeant ») ; elle ne quitta jamais un état d’entre-deux – entre deux pays, entre deux langues. Écrivaine et cinéaste algérienne, membre de l’Académie française, professeur d’université, Assia Djebar est morte le 7 février, à 78 ans, dans un hôpital parisien. Elle était née Fatma-Zohra Imalayène le 30 juin 1936 à Cherchell, à une centaine de kilomètres d’Alger, d’un père instituteur, qui fut l’une des grandes figures influentes de sa vie, et d’une mère qui l’encouragea dans la voie des études et de l’émancipation.
Adolescente, elle quitte l’Algérie pour Paris, où elle a été admise en khâgne au lycée Fénelon avant d’être, en 1955, la première Algérienne à entrer à l’École normale supérieure de Sèvres – début d’une série de première fois : cinquante ans plus tard, elle sera la première des écrivains du Maghreb a être élue à l’Académie. En 1956, suivant le mot d’ordre de l’UGEMA (Union générale des étudiants musulmans algériens), l’étudiante en Histoire ne passe pas les examens ; à la place elle écrit son premier roman, signée Assia Djebar : La Soif, qui paraît en 1957 chez Julliard, l’éditeur de Bonjour Tristesse (1954), auquel sera souvent renvoyé ce livre, situé dans la bourgeoisie musulmane algérienne, où l’on voit la jeune héroïne essayer de séduire le mari d’une amie par ennui.
« Meilleur film historique »
Suivent Les Impatients, Les enfants du nouveau monde et Les alouettes naïves (Julliard, 1959 1962 et 1967). En 1959, elle devient professeur d’histoire moderne et contemporaine du Maghreb à la faculté des lettres de Rabat, jusqu’en 1962, année de l’indépendance de l’Algérie, qui la voit revenir à Alger et y enseigner à la faculté l’histoire (jusqu’en 1965) puis la littérature francophone et le cinéma (entre 1974 et 1980). Durant les années 1970, elle se consacre au cinéma, orienté autour de l’arabe dialectal, avec le long-métrage La nouba des femmes du Mont Chenoua, présenté à la Biennale de Venise, en 1979 où il obtient le Prix de la Critique internationale, puis La Zerda et les Chants de l’oubli qui sera primé au Festival de Berlin de 1983 comme « meilleur film historique ».
En 1980, elle décide de revenir à Paris — « parce qu’il n’y avait plus que des hommes dans les rues d’Alger », expliquera-t-elle plus tard au Monde des livres – et à l’écriture, avec les nouvelles de Femmes d’Alger dans leur appartement (Éditions des femmes, 1980). Le choix de Paris est lié à celui de l’écriture, et à son rapport au féminisme : en Algérie, dira-t-elle, « le spectacle du féminin ne rend possible qu’une écriture de militantisme, de journalisme, de protestation. Mais c’est justement parce que je suis écrivain que je suis partie ». S’ils ne sont pas « militants », ses romans (L’amour, la fantasia, JC Lattès, 1985, Ombre Sultane, JC Lattès, 1987, Loin de Médine, Albin Michel, 1991, Vaste est la prison, Albin Michel, 1995), sont profondément travaillés par les questions féministes, les rapports entre les cultures, la démocratie.
Son œuvre traduite dans une vingtaine de langues
Son œuvre gagne en audience internationale, et, en 1995, elle part enseigner aux États-Unis, à la Louisiana State University de Baton Rouge où elle dirige également un Centre d’études françaises et francophones de Louisiane. Pendant ce temps, Assia Djebar écrit également une thèse consacrée à… son propre travail, qu’elle soutiendra en 1999 : « Le roman maghrébin francophone, entre les langues et les cultures : 40 ans d’un parcours : Assia Djebar 1957-1997 ». La même année, elle publie un essai Ces voix qui m’assiègent : En marge de ma francophonie (Albin Michel) avant de recevoir le prix de la paix des éditeurs allemands, en 2000.
En 2001, elle commence à enseigner à la New York State University. Mais elle n’abandonne pas l’écriture pour autant, publiant, en 2002, un roman aux accents autobiographique avec Femme sans sépulture (Albin Michel). Ne cessant d’accumuler les prix à l’étranger, elle est élue en 2005 à l’Académie française, fauteuil numéro 5 — elle est par ailleurs la cinquième femme à y être admise. Son discours de réception, prononcé l’année suivante, dit sa certitude d’y être entrée avec « les ombres encore vives de (ses) confrères — écrivains, journalistes, intellectuels, femmes et hommes d’Algérie qui, dans la décennie quatre-vingt-dix ont payé de leur vie le fait d’écrire, d’exposer leurs idées ou tout simplement d’enseigner en langue française », et célèbre cette langue, « lieu de creusement de mon travail, espace de ma méditation ou de ma rêverie, cible de mon utopie peut-être. » Son nom est régulièrement été cité pour le prix Nobel de littérature, et son œuvre, traduite dans une vingtaine de langues, mais il lui faut attendre 2014 pour qu’un de ses livres, Nulle part dans la maison de mon père (Fayard, 2007) soit publié en arabe. Assia Djebar sera enterrée dans le village où elle est née.
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Lalalalère.. :mdr: wesh wahed i direk ? N'importe quoi :D
Tu ne connais même pas les lois d'accueil de tes maîtres ? Avec un peu de chance tu pourras passer la serpillère chez un Cheikh
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Faut être voilée et parrainée pour rentrer en AS, la miskina ne pourra même pas ...
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C'est une bouteille d'Orangina nourrie au makrout encore
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Ma parole ne vous reproduisez jamais ou donnez les foetus à la science
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Quotb s'est radicalisé après son voyage aux USA et qu'il s'est mangé rateaux sur rateaux, vla la référence des islamistes radicaux ça ne change jamais même un siècle après ...
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:mdr: ne me faites pas rire, vous êtes même haineux de vos faciès que vous voulez effacer, étouffer, pour faire l'éloge des scandinaves. Vous êtes scandinaves et vos parents ? Voilà une piste pour les berbéristes.
Faut pas prendre ton cas pour une généralité, moi je suis une bombe anatomique :D
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Défendre l'Islam et casser et piller ... mouais les musulmans 2.0 comme d'hab quoi. Et on parle toujours du maximum de la peine ils auront que dalle avec un ptit billet
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Si toi t'es algérienne moi je suis un viking
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Il a été élevé par les gauchos faut pas lui en vouloir au savoyard c'est le prototype pur du beur qui crache sur son pays mais qui sait très bien qu'au bled il ne tiendrait pas un mois
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Voilà exactement pourquoi vous serez toujours dominés et des pleurnichards ad vitam eternam, quand est ce que vous comprendrez que les arabes du Moyen Orient vous prennent pour un sous peuple et que vous aurez beau les imiter on ne fera jamais d'un âne un cheval de course. Ca vous suffit pas les viols d'algériennes en Arabie ou les importations de prostituées marocaines ?
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C'est ça qu'il faut faire venir en Algérie, de la belle babouchka bien blonde et virer toutes les bouteilles d'orangina
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Le casting le plus improbable de tous les temps :mdr: manque plus que Bernard Menez et c'est direct la VOD
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haaaaa
tu connais Louis :D..... il n'a pas le discours ou la force de frappe d'un grand orateur....ya un truc qui manque.....j'ai visionné plusieurs de ces discours et ....ya un truc qui me perturbe ..... je sais pas quoi :rolleyes:
Ca doit être son accent allemand qui te perturbe :D
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alors ma poule t'es pas morte ?
ca fait plaisir
Je surveille je surveille ...
saha :o
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et ajouter que le nord avait besoin avec l'essor industriel de main d'oeuvre bon marché et c'est ce qui les a poussés à abolir l'esclavage et non pas des idéaux égalitaires ou quelques fumisteries que l'école les media veulent nous faire gober quelques années plus tard....de toute façon l'Histoire et l"école n'ont jamais fait bon ménage : l'abrutissement des masses à l'idéologie dominante politique ....là ils sont forts...l'Histoire comme arme politique
dailleurs il a fallu 1965 .....100 ansaprès :chut: et un pasteur noir pour faire bouger le cocotier
Oui c'est sûr, comme le droit de vote des femmes en France pour enrayer la machine communiste à l'Assemblée :D
King a inventé le lobby afro mais je préfère de loin Farrakhan ou Malcom X
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Ces pseudos gauchos révolutionnaires devraient déjà commencer par juger leurs prédécesseurs qui ont trafiqué les comptes publics et investi dans des obligations pourries pendant des années
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Pays de larves et de carpettes qui n'est même pas foutu de faire respecter ses propres lois quand ses maîtres débarquent
Chui, chui pas Arabe
in Parlons-en...
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Ils ne connaissent même pas l'histoire algérienne, seuls les arabophones qui ont connu les années 50/60 savent bien que personne en Algérie ne se posait la question, ce sont les khorotos à qui Ben Bella répétait qu'ils étaient arabes encore plus arabes que les moyen orientaux qui ont gobé ça. L'arabisme a gangréné l'Algérie et contribué à changer l'identité culturelle algérienne. Résultat des ministres qui veulent se la jouer en arabe littéraire et qui ne sont pas foutu d'aligner 2 phrases de suite en arabe ...
Si vous voulez être arabes pur souche les frontières sont ouvertes, l'Algérie tu l'aimes ou tu la quittes