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Tous les logos Algeriens sont volés!!!!


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J'espère que t'es pas tombé dans le piège de ces reportages qui mettent en relief la réussite des franco-algériens qui se sont installés ici, reste ou tu es, tu préserveras ta dignité.

 

Non non une envie de retourner au x sources dhaya mais apparemment mes sources sont polluées:confused:

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Guest Serena1

Tu n'as pas fini ton manege??

 

On a compris....... tu n'aimes pas l'ALGERIE.

 

Tu fait tout pour salir ce pays...tu ouvres les boites a vers qui etaient bien fermees....

 

Tu DETESTES TELLEMENT L'ALGERIE que tu ne sais plus quoi dire.....tu SAUTES DU COQ A L'ANE....TU parles de Logo......et HOP...tu sautes au sujet de plagiat....

 

mesquin va!!!!

 

et si on faisait un tour aux universite marocaines....:D:mdr::rolleyes: sa doit puer la bas....

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  • 2 weeks later...

L’université de Khenchela secouée par un scandale de plagiat

 

Le conseil de discipline de l’université Abbas-Laghrour de Khenchela

a statué, mardi dernier, sur le cas de quatre enseignants

accusés de plagiat.

 

La directrice de la faculté des sciences sociales et humaines

et deux autres enseignants ont été rétrogradés et exclus

pendant quatre ans de toute participation à des activités

pédagogiques comme les supervisions des mémoires

et thèses de fin d’étude.

 

 

Ce scandale de plagiat qui a ébranlé l’université de Khenchela

remonte à janvier dernier.

 

Dans la revue "El Bourhane" que publie périodiquement

l'Institut des sciences sociales et humaines, des professeurs

de l’université de Khenchela plagient intégralement quatre

articles produits par des universités étrangères.

 

Une thèse de magister soutenue par un étudiant palestinien

de l’université de Naplouse sous le titre :

 

"L’aménagement territorial des services de santé de

Jérusalem est" a été publiée dans la revue

"El Bourhane" comme étant une nouvelle étude.

 

Le professeur-imposteur a pris le soin de changer

"Jérusalem-est" par "Khenchela" avant d’apposer sa signature.

 

Une consœur, quant à elle, a présenté une "étude"

qui était en réalité qu’un grossier copier-coller d’une thèse

de doctorat d’un professeur saoudien.

 

La loi algérienne considère le plagiat "comme faute professionnelle

de quatrième degré, le fait pour les enseignants chercheurs,

d’être auteurs ou complices de tout acte établi de plagiat,

de falsification de résultats ou de fraude dans les travaux

scientifiques revendiqués dans les thèses de doctorat ou

dans le cadre de toutes autres publications scientifiques ou pédagogiques".

 

Ces pratiques dénotent du manque de rigueur et

de sérieux qui régnent dans certaines sphères universitaires,

plus enclines à faire dans le plagiat et la facilité.

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On a compris....... tu n'aimes pas l'ALGERIE.

 

Tu fait tout pour salir ce pays...tu ouvres les boites a vers qui etaient bien fermees....

 

Tu DETESTES TELLEMENT L'ALGERIE que tu ne sais plus quoi dire.....tu SAUTES DU COQ A L'ANE....TU parles de Logo......et HOP...tu sautes au sujet de plagiat....

 

mesquin va!!!!

 

et si on faisait un tour aux universite marocaines....:D:mdr::rolleyes: sa doit puer la bas....

 

C EST TROP FLAGRANT mon frere, selon toi celui qui critique l Algerie n aime pas l Algerie

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Guest samirovsky

La R.A.D.P elle-même est une contre-façon de sigles des républiques démocratiques et populaires de Chine et d'Allemagne communistes et autres...

Tous les sigles de nos entreprises sont la copie des sigles français.

Ont a jamais innové en Algérie, la France est partie sans nous laisser le mode d'emploi et on a fait que la dégrader depuis.

 

Que les nationalistes sincères, pas les nationalistes rentiers, me pardonnent.:wheelchair:

 

Savez-vous qu'il y avait des ascenseurs dans les immeubles d'Alger, d'Oran...qui fonctionnaient dans les années 20, et qu'ils n'ont jamais plus fonctionné depuis 1962. On a jamais su les entretenir et les réparer. Imaginez entretenir une usine ou autre chose plus compliqué.

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Guest Miss angel
Une affaire de plagiat secoue l’Université de Mostaganem!!!

 

 

Une affaire de plagiat vient, une nouvelle fois, ébranler l’Université algérienne.

 

Un docteur de l’université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem

a été accusé de plagiat, révèle un confrère du quotidien

arabophone Echourouk.

 

 

En effet, ce docteur aurait copié à l’identique non seulement la

 

lettre d’un doyen de l’Université d’Irak, mais également recopié

 

servilement quelques passages d’une autre lettre d’un doyen

de l’Ecole irakienne des beaux arts.

...

 

Fatma Zohra Foudil

 

 

il ne sait pas qu'avec internet on retrouve tout ? :confused:

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Guest Tols
il ne sait pas qu'avec internet on retrouve tout ? :confused:

 

à l'habitude l'université demande une copie de mémoire en format papier et une copie sur une clé USB et avec ce Logiciel tout est réglé

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Guest Miss angel

c'est vrai que c'était le casse tête des jurys quand les étudiants présentaient leur thèse, ils se demandaient souvent si c'était des travaux originaux ou recopie.

 

Il faudrait faire la pub auprès des étudiants, question qu'ils ne fassent pas perdre leur temps à la communauté scientifique et d'autre part qu'ils respectent les droits d'auteur...:mad:

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Usurpation d’identité à l’examen du bac 2015

 

Un universitaire se présente aux épreuves à la place du candidat

 

 

Autre cas de fraude à Tlemcen pour les épreuves du baccalauréat.

Un étudiant accédant à la deuxième année dans sa filière

(qui n’a pas été précisée) à l’université s’est présenté à l’examen

du baccalauréat (session juin 2015) à la place d’un autre.

 

Le faux candidat a montré la carte d’identité du lycéen sur

laquelle il avait mis sa photo.

 

Cette histoire a lieu au centre d’examen de Remchi, à 25 km

du chef-lieu de la wilaya de Tlemcen.

Les surveillants ont découvert le subterfuge au moment

de l’épreuve de mathématiques. Le mis en cause et son

complice ont été arrêtés et présentés devant le

magistrat instructeur sous l’inculpation de faux et

usage de faux et fraude à un examen officiel.

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Sinon pour des logos je suis là et j'ai des idées à en revendre, ils payent combien ? :53:

 

Si je te dis que je veux un logo sur une Rose(je parle d'une fleur bien sur)

Que je veux mettre sur un blog et ce logo marque les esprits

 

 

On attend ton coté artistique Osiria

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Si je te dis que je veux un logo sur une Rose(je parle d'une fleur bien sur)

Que je veux mettre sur un blog et ce logo marque les esprits

 

 

On attend ton coté artistique Osiria

 

Oh tu paye d'abord ou tu signe un contrat. :o

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  • 3 weeks later...

Un professeur plagiaire sanctionné

 

On s’émeut devant la culture de la fraude lors des examens de fin d’année, le fameux «bac 3G»

 

notamment, mais on feint d’oublier qu’il s’agit, en fin de compte, d’un sport national qui gangrène

 

tous les pans de la société, encouragé par la passivité manifeste de l’Etat.

 

A l’université, censée abriter la crème de l’intelligentsia, il n’y a pas seulement des étudiants

 

fraudeurs mais on croise aussi des enseignants qui excellent dans le «copier-coller» en «siphonnant» le travail d’autrui pour atteindre le grade de professeur.

 

Même l’université des sciences islamiques Emir Abdelkader de Constantine n’est pas épargnée.

 

Un scandale vient d’éclabousser ce campus dédié… aux sciences islamiques !

 

Une affaire de plagiat incriminant un enseignant au rang de professeur a, en effet, été découverte dernièrement

 

, a-t-on appris de source sûre. Une commission paritaire s’est même réunie il y a quelques jours et a officiellement confondu l’enseignant indélicat.

 

 

Après débat et conformément à la réglementation en vigueur, «il a été décidé de rétrograder

 

l’enseignant, pour que cela serve de leçon et pour dissuader éventuellement d’autres enseignants d’agir de la sorte», nous dit-on.

 

Une sentence a priori clémente pour un enseignant qui risquait l’exclusion.

 

Pour d’aucuns, cette décision est néanmoins pleine d’enseignements puisque la direction

 

de l’université des sciences islamiques Emir Abdelkader a pris ses responsabilités en sanctionnant

 

le fraudeur au lieu d’étouffer l’affaire.

 

Une célérité qui renseigne sur la volonté du staff dirigeant de sévir au plus vite pour tenter de

 

redorer le blason d’une université que cette malheureuse affaire de plagiat risque de ternir.

 

Le plagiaire a été démasqué à la faveur, nous dit-on, du Salon international du livre organisé récemment à Constantine.

 

Le lien ?

 

Un livre que l’enseignant en question a fait éditer au Liban, mais le hasard a voulu que cet ouvrage atterrisse entre les mains des véritables auteurs des textes plagiés !

 

 

FRAUDE AU SOMMET DE L’ÉTAT

 

Le livre comporte des écrits que le professeur s’est approprié mais qui sont l’œuvre d’autres enseignants

 

de l’université des sciences islamiques de Constantine qu’il a siphonné en y apposant sa

 

signature. Bien que cette affaire de plagiat soit la première du genre au sein

 

de l’université des sciences islamiques de Constantine, les fraudeurs sont partout.

 

 

On citera, pour rappel, le cas d’un docteur de l’université Abdelhamid Ibn Badis

 

de Mostaganem pris en flagrant délit de plagiat par des étudiants, comme cela avait été rapporté,

 

en janvier dernier par certains médias dont El Watan.

 

Cet enseignant indélicat avait copié une lettre du doyen d’une université d’Irak et «pompé»

 

quelques passages d’une autre lettre du doyen de l’Ecole irakienne des Beaux-Arts.

 

Cela nous amène à évoquer, également, la scandaleuse affaire de plagiat, qui avait secoué en novembre 2012

 

les arcanes du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS),

 

en la personne du directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique

 

de l’époque, le professeur Hafid Aourag.

 

Ce cadre du ministère avait été confondu à l’occasion d’un colloque national sur le plagiat,

 

pour les besoins duquel il aurait repris dans son intégralité un texte «emprunté»

 

au ministère français de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

 

De la base au sommet, le plagiat fait désormais partie des mœurs en Algérie,

 

encouragé par «la paresse intellectuelle», dixit le docteur Ahmed Rouadjia,

 

un professeur d’université qui avait dénoncé la banalisation du plagiat au sein

 

de l’université algérienne à travers une contribution publiée en février 2012.

 

Il avait notamment mentionné le cas du LMD, «une imitation, une sorte de plagiat

 

de mauvais goût opéré par le MESRS, appliqué à la sauvette, et non un projet

 

de réforme original dont il pourrait revendiquer avec fierté la paternité».

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