amarlekabyle 10 Posted February 9, 2015 Partager Posted February 9, 2015 Tout au fond de moi, il n'y a plus rien, Plus rien de ce qui faisait un humain, De trahisons en déceptions des uns, Déchiré des lamentations de chacun. J'ai crié, personne n'a entendu mes cris, Battu, personne ne m'a compris, ma mie, Un univers de mensonges et de mépris, Un monde sale un monde qu'ils ont sali. Devant un mur d'incompréhensions, Un monde en perpétuelle gestation, Je me suis emmuré sans la passion, L'enfant à qui on ne fait pas attention. février 2015 Citer Link to post Share on other sites
Boby 10 Posted February 10, 2015 Partager Posted February 10, 2015 un appel en détresse qui est parfois jamais entendu Citer Link to post Share on other sites
amarlekabyle 10 Posted February 10, 2015 Author Partager Posted February 10, 2015 Salut Boby un appel en détresse qui est parfois jamais entendu C'est vrai à chaque fois pour l'enfant... Les adultes ne sont pas plus entendu... Sauf s'ils rentrent dans le moule... Merci d'être passé... Citer Link to post Share on other sites
Boby 10 Posted February 10, 2015 Partager Posted February 10, 2015 C'est vrai à chaque fois pour l'enfant... Les adultes ne sont pas plus entendu... Sauf s'ils rentrent dans le moule... Merci d'être passé... salut désoler joublis la formule de politesse parfois ... Ouais au final plus personne s'entend Citer Link to post Share on other sites
amarlekabyle 10 Posted February 10, 2015 Author Partager Posted February 10, 2015 salut désoler joublis la formule de politesse parfois ... Ouais au final plus personne s'entend Pas de soucis... Hum c'est bien comme ça que je l'entends... Merci de lire et de commenter... Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted February 10, 2015 Partager Posted February 10, 2015 Tout au fond de moi Les enfants, ça crève aussi de solitude et de chagrin... Citer Link to post Share on other sites
Sissa 10 Posted February 10, 2015 Partager Posted February 10, 2015 Tout au fond de moi, il n'y a plus rien, Plus rien de ce qui faisait un humain, De trahisons en déceptions des uns, Déchiré des lamentations de chacun. J'ai crié, personne n'a entendu mes cris, Battu, personne ne m'a compris, ma mie, Un univers de mensonges et de mépris, Un monde sale un monde qu'ils ont sali. Devant un mur d'incompréhensions, Un monde en perpétuelle gestation, Je me suis emmuré sans la passion, L'enfant à qui on ne fait pas attention. février 2015 Joliment triste. Bonsoir Amar, Ton poème ne laisse pas indifférent. Il m'a tout de suite fait penser au poème de Hamid Skif... qu'il avait écrit à sa Widad. Pour tes yeux Pour tes yeux et ceux des enfants du monde pour ce sourire qui annonce le jour libéré je mendie l'espoir le pain et un jour de joie Pour tes yeux et ceux des enfants du monde Pour ces petites mains qui caressent la chambre je fabriquerai un jouet de pierre de lune cousu de rayons de tendresse Pour tes yeux et ceux des enfants du monde pour cette voix fluette qui trébuche dans ta gorge je vais jouer du tambour mais n'oublie jamais mon enfant que pour tes yeux et ceux des enfants du monde des hommes meurent chaque jour au soleil faute de n'avoir pu vaincre à temps les voleurs de rêves. Hamid Skif :) Citer Link to post Share on other sites
amarlekabyle 10 Posted February 10, 2015 Author Partager Posted February 10, 2015 Les enfants, ça crève aussi de solitude et de chagrin... Oui c'est ça le résultat... Citer Link to post Share on other sites
amarlekabyle 10 Posted February 10, 2015 Author Partager Posted February 10, 2015 Merci Sissa Joliment triste. Bonsoir Amar, Ton poème ne laisse pas indifférent. Il m'a tout de suite fait penser au poème de Hamid Skif... qu'il avait écrit à sa Widad. Pour tes yeux Pour tes yeux et ceux des enfants du monde pour ce sourire qui annonce le jour libéré je mendie l'espoir le pain et un jour de joie Pour tes yeux et ceux des enfants du monde Pour ces petites mains qui caressent la chambre je fabriquerai un jouet de pierre de lune cousu de rayons de tendresse Pour tes yeux et ceux des enfants du monde pour cette voix fluette qui trébuche dans ta gorge je vais jouer du tambour mais n'oublie jamais mon enfant que pour tes yeux et ceux des enfants du monde des hommes meurent chaque jour au soleil faute de n'avoir pu vaincre à temps les voleurs de rêves. Hamid Skif :) Texte magnifique... Des mots touchants... Les voleurs de rêves... Citer Link to post Share on other sites
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