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SI ON ME DONNE LES MOYENS OUI JE SERAIS CAPITAINE


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SALAM

 

Non ce n'est pas militaire ma roquette

 

Mais bien la défense des musulmans puisque personne ne peut prendre leurs défenses

Car devant le monde ce sont des arabes - des Musulmans et en plus ce sont des Algériens

Qui ont assassiner des journalistes

 

 

Mais moi je veux déposer plainte contre la France

 

Pour avoir à enrôler et à rendre Dealer et INDIC

 

Des jeunes Musulmans afin que ceux-là deviennent ses INDICATEURS en leur permettant d’être double agent en étant un leader, vendant pour quelques centaines d'EUROS

Mais combien l'organisation rentable donnant l’impression qu’ils rendent service a la police et que la police rendant service a la nation

Eh oui c’est toute une arnaque et qui marche

C'est pourquoi il faut se poser al question

 

POURQUOI DANS LA POLICE FRANCAISE IL Y A TANT DE SUICIDES

 

LA FRANCE EST LA SEULE RESPONSABLE DANS CETTE AFFAIRE

Et aucun moment les musulmans

La France est la criminelle dans ce que font les jeunes délinquants que la France a Fabriquer

Qui un jour se rendent compte de leur Etats ces jeunes se rendant compte que ce sont des vendus et , comme Merra comme les deux frères qui ont tuer ales journalistes de chez Charlie Hebdo

BHL avait déjà après Les bombardement la destruction et les populations bombarder et la chute de Kaddafi , déclarer qu'il fallait maintenant se prendre à la Syrie et l'avait proposer a Sarkozy que les USA devait prendre part mais les choses avait changer

 

Si bien que BHL et SARKOZY avait déclarer soutenir l'OPOSIATION ainsi que l’Arabie saoudite et d'autre pays de l’Arabie et donc ils encourageait les jeunes des banlieues a cet effet

 

Après l'élection de François Hollande son ministre FABIUS on a le document ou il disait

NOUS ALLONS SOUTENIR FINANCER ET ARMER L’OPPOSITION SYRIENNE et donc encourageait et surement facilitaient l'engagement des jeunes des banlieues de la France

 

Mais dès que ceux-ci ont commencé à prendre des otages ils sont devenu

une bête noire a la France et en avant sur L'ISLAM, DJIHADISTE ET ARME ISLAMISTE etc..

Puisque l’ancien Ministre DE VILLEPIN

L'a déclarer

Que Daech et l'armée islamique et le reste c'est l'enfant terrible que nous les occidentaux avons CRÉER

 

Qui pour nous défendre nous les innocents

 

Cette chose l'état Français lui-même en est responsable

 

ET ILS SE PERMETTENT DEVANT LE MONDE DE DECLARER NOUS FAISON LA GUERRE A L'ISLAM

 

Mais ils vont ou?

 

Que ceux qui sont au courant des fait et méfait de l'état français pour ces agissements nous informe

 

Je sais que vers les années 85/86

Dans mon département j'ai entendu dire que la préfecture avait convoquer les associations maghrébine Pour leur dire

Qui des associations Algérienne Marocaine et Tunisienne

Qui voulait être le rapporteur au service de la préfecture des fait et méfait des communautés dans le département

On m'a dit que les Algériens avaient refuser

Les marocains aussi avaient refusés

 

Seule les Tunisiens avait accepté

 

Que celui qui a ,des infos qu'il nous les transmettent ici même

 

CAR ON EST SEULE CONTRE LA PUISSANCE INTERNATIONAL

Nous les musulmans

 

Pour que nos chef d'états puissent nous aider il va falloir démontre devant le monde

Que nous sommes INOCENTS

Que ce sont la des machinations que les états eux même mettent en place comme justement atteindre la communauté MUSULMANE ET IMMIGRE

Pour avoir comme agent les MERA Et les autres

Qui en se rebiffant saliront ce qui ils sont et les feront montrer du doigt et les feront prendre des

Risques dangereux pour leur vie et leurs situations

LES IMIGRES DE France

LES MUSULMANS DE FRANCE

Dans leur travail dans leur cartiers ect..

La peur et les risques planent sur

LES IMIGRES DE France

LES MUSULMANS DE FRANCE

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A CE QUE JE VOIS JE NE SUIS PAS LE SEULE A VOIR LE MAL QUI EST FAIT A LA LANGUE FRANÇAISE

 

La confusion entre islam et islamisme n’a jamais totalement cessé de sévir. Plusieurs spécialistes de l’islam agissent, à différents niveaux, pour sortir des lectures orthodoxes ou tronquées du Coran. Faire triompher de nouvelles interprétations ne peut faire selon eux l’économie d’une réforme.

 

 

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ISLAM RELIGIONS

Ces intellectuels qui tissent un islam progressiste

NICOLAS DUTENT

JEUDI, 12 FÉVRIER, 2015 L'HUMANITÉ

 

Rue des Archives/PVDE

La confusion entre islam et islamisme n’a jamais totalement cessé de sévir. Plusieurs spécialistes de l’islam agissent, à différents niveaux, pour sortir des lectures orthodoxes ou tronquées du Coran. Faire triompher de nouvelles interprétations ne peut faire selon eux l’économie d’une réforme.

« J’ai une maison fissurée, que j’ai cru être une belle demeure, mais elle commence à prendre l’eau, le vent de partout et menace de s’écrouler. Les pierres de taille de départ me plaisent, donc je la déconstruis au sens où je prends pierre par pierre et je la rebâtis pour en faire un beau palais. » C’est par le recours à une métaphore que Ghaleb Bencheickh, physicien et islamologue érudit, empoigne son sujet. La figure de style n’est pas neutre. Elle vise, en bravant les tensions du présent, à tisser de manière positive l’avenir de l’islam. Dans le déluge médiatique qui a suivi l’assassinat de nos confrères de Charlie Hebdo le 7 janvier, blessure aussitôt ravivée par l’attentat antisémite ignoble survenu dans un Hyper Cacher, on ne compte plus les fois où il a été affirmé que ces meurtres ont été perpétrés « au nom de l’islam ». Ne convient-il donc pas d’interroger les penseurs de cette religion ? En particulier les voix qui s’élèvent, dans différentes régions du savoir, contre l’orthodoxie.

 

« Il est aisé de profiter du choc pour réactiver des antagonismes en assimilant l’islam et l’islamisme »

 

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Cette entreprise oblige au préalable, selon Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, « à ne pas tomber dans l’erreur de la généralisation ou le piège de l’essentialisation d’un sujet, l’islam, qui est très complexe ». Aussi invite-il à se déprendre d’une méprise : « Quand on parle de l’islam, on confond souvent deux choses : l’islam en tant que religion, laquelle se réfère à des textes qui ont toujours obéi au processus d’une interprétation, à ce titre il est pluriel ; et l’islam en tant que culture, civilisation bâtie à travers les mathématiques, la médecine, la physique, Averroès… » L’incompatibilité entre l’islam et la laïcité, critique assénée dans les franges les plus réactionnaires de la sphère politique, est renvoyée dans les cordes par le responsable de culte. « La laïcité est un contexte politique et l’islam est une spiritualité qui circule dans le monde. Dans le corps sociétal et politique, il s’adapte à ce corps en prenant la forme de son contexte. » Si la religion musulmane, comme tout monothéisme, unit ses croyants par des pratiques cultuelles, « dès qu’on passe à l’aspect horizontal des pratiques de l’islam, à savoir le droit et la morale, les variables sociologiques entrent en jeu parce qu’il n’y a pas de pratiques morales ou juridiques sans le substrat culturel », insiste-t-il.

 

Aux tentatives de figer l’islam dans une culture monochrome, à la peur, à la surenchère sécuritaire, à la nuit de l’ignorance dans laquelle les haines se retranchent… des intellectuels opposent les armes du débat. Le terrain n’est pas vierge, ni même homogène. À y regarder de près, il montre des signes de fertilité. Les études contemporaines portant sur l’islam ont ceci en commun qu’elles refusent simultanément le déni, les amalgames ravageurs et les confiscations autoritaires du dogme. Face à l’ampleur de la tâche, certains, à l’instar du philosophe Abdennour Bidar, estiment qu’il « est temps que l’islam enfante lui-même sa Réforme ». Dans des termes plus tranchants encore, Ghaleb Bencheickh considère qu’« un sursaut ou un réveil ne suffiront pas, le temps d’un éboulement des consciences est venu. Il faut sortir des simples toilettages, des réformettes, du rafistolage, du bricolage ou même d’un simple aggiornamento : tous s’apparentent à une cautérisation d’une jambe en bois ».

 

Celui qui prône une refondation théologique juge ainsi qu’« on ne peut prétendre réformer tout en restant au sein des clôtures et des enfermements doctrinaux, car alors on ne libère pas l’esprit de sa prison ». L’approche critique n’est pas nouvelle. En 2004, Abdelwahab Meddeb rappelait dans Face à l’islam (Éditions Textuel), s’agissant des sourates polémiques du Coran, que « cette violence n’est pas propre à l’islam, lequel, sur cette question, se révèle mimétique de la Bible ». Comme de nombreux textes sacrés, le Coran est ambivalent. Si le « verset de l’épée » commande de combattre ceux qui ne croient pas à la « religion vraie », le verset 256 de la deuxième sourate souscrit qu’il n’y a « point de contrainte en religion ». Meddeb fait donc observer que « l’interprétation du sens donné à la lettre dépend de la lecture qu’on en fait et des priorités accordées à des prescriptions émanant de domaines divers. De nos jours, nous nous affrontons à des littéralistes aveuglés. » Comme un signe annonciateur de l’obscurantisme et du mur d’incompréhension qui s’érigent, le producteur historique de Cultures d’islam (France Culture) mettait déjà en garde contre l’imprudence méthodologique qui « abroge plus de cent autres (versets) doux et tolérants à l’égard de ceux qu’on voue ici à la mort ». Et d’avertir : « Les malveillants qui ne veulent considérer qu’une face d’une réalité polymorphe, l’action spectaculaire et hideuse des terroristes leur rend la tâche facile : alors, dans le feu d’un événement sanglant et spectaculaire, il est aisé de profiter du choc produit pour réactiver des antagonismes élémentaires en assimilant l’islam et l’islamisme. »

 

« Ce mouvement qu’on appelle islamisme s’est présenté comme celui qui pourrait être le porte-parole des masses pauvres. » Fethi Benslama, psychanalyste

 

Michel Onfray est resté sourd à cet appel. Dans l’émission On n’est pas couché du 17 janvier, il saisissait une énième tribune pour brandir des passages belligènes du Coran. Contrecarré par le journaliste Aymeric Caron, le polémiste s’adonnait à une forme très actuelle d’« exégèse sauvage ». « Le type de raisonnement qui vise à extraire hors contexte tel ou tel passage qui est en tension linguistique avec ce qui précède et ce qui suit est inepte de la part d’un prétendu philosophe. Nous n’avons pas attendu Michel Onfray pour nous rendre compte qu’il y a des versets de facture martiale dans le Coran. Cette compréhension radicale a été réactivée par certains dans une idéologie de combat », réagit Ghaleb Bencheikh. Ces discussions à l’emporte-pièce relèvent de « la crampe mentale », ironise-t-il. Elles détournent aussi le regard d’un modernisme en construction : « Comment être moderne, au sens étymologique du terme (suivre son mode, se hisser aux exigences de son temps), sans évolution, sans réflexion, sans intelligence, sans intelligibilité de la foi ? » « Il faut rouvrir la pluralité des approches de l’islam et cesser de prétendre qu’il y a un islam un, uni, c’est un fantasme, au même titre que perdure le fantasme d’une Europe unie ! Cela exige un travail de relativisation et d’historicisation des textes coraniques », abonde le psychanalyste Fethi Benslama.

 

Ce devoir de contextualisation n’est pas moins essentiel aux yeux de Rachid Benzine, chercheur sur la pensée musulmane. « Si l’histoire est fondamentale, c’est qu’elle prémunit des légitimations qui exonèrent la responsabilité des actes du présent. Or l’histoire peut combattre les folies de l’idéologie en montrant par exemple la diversité des manières d’être musulman. Ce sont les hommes de chaque époque qui reconstruisent le sens et font évoluer la lecture en fonction des crises et des drames de leurs temps. » L’histoire, poursuit-il, doit également libérer des « représentations délirantes que nous avons et qui sont dangereuses car elles couvent à bas bruit et entretiennent des fantasmes qui vont nourrir des interdits ». L’interdit conjoncturel relatif à la représentation du Prophète a conduit récemment au pire. Rarement la citation de Georges Bataille, supposant que « l’apparente immobilité d’un livre nous leurre : chaque livre est aussi la somme des malentendus dont il est l’occasion », n’aura trouvé un si terrible écho. Plusieurs spécialistes ont ainsi relevé le caractère changeant et infondé de cet interdit qui émanerait du Coran. Dans les pas de l’historienne de l’art Christiane Gruber, qui a étudié les reflets de Mohamed aussi bien dans l’iconographie persane que dans des livres récents d’éducation religieuse, François Boespflug recense dans son ouvrage documenté le Prophète de l’islam en images (Bayard) « les représentations du Prophète produites en pays d’islam à partir du XIIIe siècle avant le raidissement contemporain travesti en loi de toujours ». « Il n’y a pas de textes qui interdisent la représentation du Prophète, corrobore Tareq Oubrou. Si l’islam est une religion a-iconique, c’est par précaution préventive, mais le non-musulman n’est pas concerné par les injonctions de l’islam. »

 

« Les monarchies pétrolières ont voulu protéger leur existence en finançant des mouvements radicaux »

 

Quant aux conduites violentes qui naissent à la marge, elles sont le produit de plusieurs variables. Parmi ces raisons, analyse Fethi Benslama, « la première est sociale : face à l’impossibilité pour des masses pauvres de se faire entendre, ce mouvement qu’on appelle islamisme s’est présenté comme celui qui pourrait être leur porte-parole. La seconde est géopolitique : les monarchies pétrolières ont voulu protéger leur existence en finançant des mouvements radicaux, sous le regard et l’approbation de leurs alliés que sont les grandes puissances européennes et américaine. La troisième est civilisationnelle : la modernité a ébranlé et décomposé toutes les religions ». Le facteur psychologique ne semble pas non plus étranger à ces processus : « Ces jeunes n’ont plus l’idéalité de la religion, mais ils n’ont pas non plus les moyens de l’idéalité moderne. À un certain niveau de détresse, la sortie peut se faire par la radicalisation. On retrouve ces formes de désespoir dans les banlieues des pays riches européens, et pas seulement chez les Européens musulmans. Parmi ceux qui ont recours à l’islamisme, 50 % sont des convertis. »

 

Entre les militants d’une lecture progressiste et ouverte d’un côté et l’archaïsme qui entrave cette réflexion de l’autre – au milieu se trouve une majorité silencieuse qui vit paisiblement sa foi –, les possibles de l’islam sont tiraillés par des vents contraires. Pour conjurer le brouillard, plusieurs attitudes sont prescrites. Pour Tareq Oubrou, il ne s’agit pas tant de changer la référence que « l’interprétation des références. Décongelons ce qui a été fait pour le mettre à la couleur de notre époque ! ». Tandis que Rachid Benzine invite au dépassement du « rapport brouillé que l’homme entretient avec l’image qu’il se fait de la sacralité absolue de la religion », Fethi Benslama avance l’idée d’insoumission « non pas pour tout rejeter, mais pour y substituer une religion réflexive. Les mouvements qu’on appelle radicaux ou islamistes ont fondé leur doctrine sur l’idée que l’islam signifie soumission. On oublie que ce mot est polysémique : il peut signifier tout autant paix ou salut ». « Dans la maison islam il y a le feu et le désordre, il faut donc éteindre le feu et mettre de l’ordre », renchérit Ghaleb Bencheickh. « Défaite de la pensée, abrasement de la réflexion, abdication de la raison, démission de l’esprit… », l’islamologue n’a pas de mots assez forts pour qualifier le règne d’un « fracas intellectuel ». Tout en déplorant le fait « que sur deux décennies, il n’y a pas eu de colloque d’envergure pour dirimer les thèses islamistes ni de travail suivi ou ponctuel pour fondre le radicalisme », l’intellectuel estime qu’un islam moderne ne peut faire l’économie d’une « mise en débat du statut même de la révélation ». « Si la révélation coranique peut être pourvoyeuse de sens spirituel pour ceux qui croient, elle ne peut être la source première de la production du droit », argumente-t-il. Outre que l’enseignement de la langue arabe et l’apport culturel de la civilisation arabo-musulmane mériteraient d’être considérés, le besoin d’essaimer des réponses culturelles se fait pressant. « L’enjeu est d’abord culturel. Pour gagner la guerre, il faut d’abord mener la bataille culturelle », déclarait récemment le romancier Kamel Daoud dans le Figaro. Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, fait sienne l’urgence d’apporter « une connaissance, une découverte, des informations, un savoir sur le monde arabe. Les forums, les rencontres, les débats, les expositions… font reculer les préjugés. Ce sont des hymnes au respect et à la tolérance. On ne parle du monde arabe qu’à travers les violences, on oublie l’effervescence intellectuelle et artistique de ces pays, les réalités de changement et d’ouverture qui l’animent ». Tout pèlerin ambitieux intègre la difficulté de la traversée. Mais, assure Ghaleb Bencheikh, « le plus grand voyage commence par un pas ».

 

Quand des femmes décryptent le Coran. Outre l’Utopie de l’islam (Armand Colin), le Voile démystifié (Bayard), 
la sociologue Leïla Babès propose dans Loi d’Allah, loi des hommes (Albin Michel) un échange fructueux avec Tareq Oubrou qui illustre 
deux visions de l’islam : « celle d’une intellectuelle attachée à la critique scientifique des textes et à une conception moderne de la liberté, 
et celle d’un chef spirituel ouvert 
aux adaptations nécessaires, mais dans le cadre de la loi islamique classique ». Quant à l’historienne Jacqueline Chabbi, après être revenue aux origines du Coran 
dans le Seigneur des tribus (CNRS éditions), elle publie aux éditions du Cerf un remarquable Coran décrypté qui traque, derrière les mots du texte sacré, « d’autres sens possibles 
que la tradition islamique rejette 
ou néglige ». Dans l’actualité la plus immédiate, les éditions Textuel font paraître deux ouvrages attendus : Lettre ouverte au monde musulman, d’Abdennour Bidar, et Face à l’islam (réédition), entretien passionnant entre le regretté Abdelwahab Meddeb et Philippe Petit.

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Guest L'étrangère

Le Problème est d'avoir inventé tout un vocabulaire tiré directement de la religion. C'est très malin quand même.

 

Quant aux indics, c'est des personnes un peu en perdition, ne connaissant pas qui ils sont réellement. J'ai souvent parlé de la double identité, je vais remonter un topic in shaa Allah.

 

La nature de la personne, l'argent proposé, lelavage de cerveau, les médias, le double jeu...

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Le Problème est d'avoir inventé tout un vocabulaire tiré directement de la religion. C'est très malin quand même.

 

Quant aux indics, c'est des personnes un peu en perdition, ne connaissant pas qui ils sont réellement. J'ai souvent parlé de la double identité, je vais remonter un topic in shaa Allah.

 

La nature de la personne, l'argent proposé, lelavage de cerveau, les médias, le double jeu...

 

oui c'est cela qu'il nous faut mettre en avant

e que cela touche la population français sur les comportement des structure de l"etat Français

 

CAR SI ON FAIT LES MORTS

EUX CONTINUERONS A SE COMPLAIRE ET NOUS RABAISER DE JOUR EN JOUR

Il faut les denoncer

il y une vingtaine d'annes j'avais fait u tracte que j'ai dfisuer dans la rue

ou j'accusait la police franacise d'entrainer la jeunesse

 

OUI FAUT IL PEUT ETRE ETRE PROTEGER

 

PAR QUI?

 

penons nous en charge

il y a des hommes et des femmes français qui sont justes

 

je Vien a l'instant d'échanger avec mon secrétaire politique departemental sur cette question

 

de la gravité des discours pour avoir dit il faut faire la guerre a l'islam

 

il a fait semblent de ne pas l'avoir entendu et je l'ai repris en lui disant mais le discours de Netanyahou qui se permet de faire un discours en France sur le sol français IL FAUT FAIRE LA GUERRE A L4ISLAM

 

mais je suis L'ISLAM QUE JE LUI ES DIT

il me dit oui mais ne t'attend pas a grand chose de la part de Netanyahu

 

mais IL L'A FAIT SUR LE SOLE FRANCAIS IL A FAIT DE L'INGERENEC ET PERSONNE NE DIT MOT

 

alors que nous les musulmans on craint on a peur on est en train de subir partout dans le monde grâce a ces discours qui donnent des ailes aux gens

on nous brule les mosquées un homme a té tue a coup de couteau ect..

 

il faut le corriger

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EH OUI LA AVEC LE TEMOIGNAGE DE ROLAND DUMAUS

 

ce qui me donne raison

que la France oui est sous influence juive

 

 

VIDEO. Valls est "probablement sous influence" juive, selon l'ex-ministre Roland Dumas

 

L'ancien président du Conseil constitutionnel a commenté les "alliances" du Premier ministre, lundi sur BFMTV.

 

 

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francetv info · 689 partages · 16 février 2015

 

VIDEO. Tollé après les propos de Dumas sur Valls «sous influence juive»

 

Voilà une phrase qui fera polémique. Elle émane de l'ancien ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, et ancien président du...

 

 

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Le Parisien · 1 506 partages · 16 février 2015

 

Roland Dumas : Manuel Valls est "probablement" sous influence juive

 

Roland Dumas, s'est exprimé lundi matin au sujet du Premier ministre, Manuel Valls sur BFMTV et RMC.

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ledauphine.com · 228 partages · 16 février 2015

 

 

France/Monde | Roland Dumas, ancien ministre PS : Manuel Valls est "probablement" sous influence juive

 

 

[YOUTUBE]f9xpIxVra1I[/YOUTUBE]

 

CA ME FERAIS DIRE MILLES ET UNE CHOSE

 

QUI VONT ARRIVER

quand on a un état sous influence comment ferait ils pour respecte tout le monde

 

dans ces cas la on doit être destituer

comme le président de la république

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