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Les berges du plaisir

 

l’avenir se conjugue au passé

et mon passé ne cesse de t’aimé

ton sourire guide mes lèvres dans la nuit

pour un baiser enfin abouti

 

la douceur de ta peau doré par le soleil

Et pour moi un long parchemin d’éveil

les palpitations de ce corps de miel

chantent l’histoire d’un amour éternel

 

j’aime le gout sucré de tes baisers enflammés

la caresse de tes lèvres sur ma peau satiné

le souffle chaud sur mon corps dénudé

Et ses élans de plaisir en mon âme gravés

 

point besoin de long discours

nos corps enlacés parlent d’amour

ce soir ou demain, pour toujours

Nos deux cœurs unis, pour un vol sans retour

 

dans ton regard, je me soumettrai

à tes Caprices me livrerai

pieds et point liés, enchainé

esclave d’un cœur épuisé

 

nous voguerons sur un océan de désirs

vagues après vagues, près à en mourir

haletant dans une tempêtes de soupirs

Pour s’échouer repus, sur les berges du plaisir

 

demain peut être

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Aujourd’hui mon cœur est vide Seul un souvenir éparse y loge Le destin, un rien perfide Prend plaisir au naufrage   Un amour sans vie Est une vie d’ennuie En tes bra

Nostalgie Je t’écris ces quelques mots Avant que la parole ne s’oublie Je t’écris ces quelques mots Avant que le temps ne s’enfuît   Tu m’avais dit, “demain peut-ê

L’éveille   Un doux silence me murmure Le soupir ingrat de son absence Telle une grappe de fruits mures Gorgée à souhait, de bienséances     La lueur blafarde

  • 2 weeks later...

Je me souviens

 

Je me souviens encore aujourd’hui

Comme un écho dans le lointain

De cette gorge noué, un rien qui trahi

Une avalanche d’émotions sans lendemain

 

Je me souviens encore, de cette lueur du soir

Venant caresser des mèches flottant au vent

De ce rire à gorge déployé, laissant un instant croire

Que le bonheur éternel, avait enfin trouvé raison

 

Je me souviens encore, de cette main gémissante

Posé sur des courbes brulantes qui s’abandonnent

De ce supplice étranglé, paresse dévorante

Plaisir inassouvi au royaume des cœurs mourants

 

Je me souviens encore de ce corps rebelle

De cette peau réchauffé par des baisés épicés

Sur des chemins sans fin, au grès du dieu Éole

La mort chaviré, cherche refuge dans des bras suppliciés

 

Je me souviens encore du temps fuyant

De cette larme, sur sa lèvre finissant

De ce sourire en coin, un rien blessant

Touchant sa cible, un cœur moribond

 

demain peut être

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Au diable

 

Ou diable cours-tu comme ça

Ne vois tu pas le temps pleurer

Le devenir devant toi, trépassera

A trop fuir devant le passé

 

Je ne sais ce qu’il faut faire ou dire

Pour que tu retrouve un jour

Sans pour autant tout enlaidir

Ce qui faisait l’essence du bonheur

 

Tu erre sans but consacré

De jours comme de nuit, insolente

Faisant fi de ces prières exaltées

Comme un spectre, qu’une image hante

 

Là-bas, au loin, se profile l’espoir

Ce souvenir brulant réchauffe les cœurs

Même si des blessures au sang noir

Entachent encore des pensées en fureur

 

Pour ma part, je reste la, assis

Ressassant de sombres idées indolentes

Le cœur transi par le froid de la nuit

Attendant sans espoir, la lueur absente

 

Ma peau, au souvenir douloureux

S’écaille sur des serments d’hier

Semant, de-ci de-là, aux amoureux

Le sel poivré de douces prières

 

Je veux retrouver la chaleur de ta peau

Me blottir dans la tendresse de tes bras

Goutter aux délices de ta bouche en feu

Et me réveiller, chaque matin, repu, près de toi

 

demain peut être :p

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  • 4 weeks later...

Adultère

 

Regardez les semer au vent volage

Ces serments d’hier et d’aujourd’hui

Ce n’est que poussière d’un autre âge

Sur le parchemin blafard d’une vie

 

Des mots sur des lèvres en ivresses

Et qu’on n’ose répéter ici-bas

Un soupir de bonheur en promesse

Et des roses aux épines en émois

 

Des murmures en troubles fragiles

Engendrent des désirs en délires

L’âme en folie cherche asile

Dans ce regard qui l’attire

 

Oh, ombres errantes, enivrez vous

La nature n’est qu’ardeur éphémère

Et si ce sein ne vous rend pas fou

Alors, puisez dans l’amour adultère.

 

demain peut être

 

Écrit le 03/09/2015 à 20h 30

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Dis-moi

 

Dis-moi des mots, rien que des mots

De gentils mots, qui calment mes maux

Des mots d’amour, juste des mots

Rien que des mots, même un demi-mot

 

Dis-moi des mots, rien que des mots

Des mots cruels, des mots blessants

N’importe quel mot, un mot promo

Juste un petit mot, à un cœur mourant

 

Dis-moi un mot, un mot brasero

De ceux qui tordent les boyaux

De ceux qui enivrent les cerveaux

Et vous font descendre au caniveau

 

Une valse à mille mots

Pour des cœurs jumeaux

Qui vous renvoi dos à dos

De village en hameaux

 

Dis-moi des mots, qui portent chaud

Des mots choisis, tirés aux couteaux

De ceux sans dégâts collatéraux

Qui parlent aux deux, sans accroc

 

Dis-moi le mot bientôt

Un qui entre sans à propos

Se penche sur le berceau

Et verse des mots lacrymaux

 

Oubli le mot complot

Évite le noir corbeau

Dans tes yeux, nul défaut

Alors, lève cet embargo

 

Regarde à ta main, cet anneau

Il te rappelle bien des mots

Des mots sortis du cachot

Pour libérer ton cœur de l’étau

 

Dis-moi juste un mot

Un mot venu d’en haut

Dis le même en argot

Qu’il me délivre du chaos

 

demain peut être

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  • 3 weeks later...

Mon Ange.

 

Dans l’ombre des tes pensées obscures

Mon tourment luit d’une fièvre latente

Tes flèches, couleur douleur, par la feinte

Déchirent le voile noir de ma mémoire

 

Mi-Ange, mi-Démon, beauté et cruauté

Le feu de tes yeux embrase les soupirs divins

Comme l’écume sur la grève sans fin

Mes sens, par toi échaudés, viennent s’y brisés

 

Dans ma main, un sein lourd palpitait

Poésie mutine sur une musique embaumée

Seule la caresse du vent sur le sable mouillé

Semble cherché, tous les rêves oubliés

 

Mes prières s’enivrent sur l’océan du désir

Que faire, que dire, le silence gémi et soupir

La nuit soudain, tend sa main et vient cueillir

D’une sombre douceur, ce corps martyre

 

Oh mon Ange, déploie sur moi tes ailes

Range dans ton carquois tes flèches

La brulure de ton regard m’attache

Et m’offre en sacrifice à l’autel :p

 

demain peut être

 

Écrit le 02/10/2015 à 19h53

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  • 4 weeks later...

Ce matin est un beau matin

L’air embaume d’un parfum ambré

Le soleil dans sa course sans fin

Semble par ses rayons me taquiné

 

Qu’elle est belle la vie

Quand deux cœurs sont à l’unisson

Qu’elle est belle la vie

Quand on ne songe qu’à l’instant présent

 

Cette nuit j’ai rêvé d’elle

À ses pensées qui me hantent

À ses fougueux élans charnels

À ses sourires à pleine dents

 

Je n’ai qu’une hâte aujourd’hui

Que le soleil cède sa place à la nuit

Qu’allonger sur ce grand lit

Par la grâce de Morphée la retrouvé

 

Ses pensées virevoltent dans ma tête

Insidieuses, capricieuses, insouciantes

Telle une abeille butinant mes neurones

Pour y déposé des nectars de plaisirs

 

Je veux retrouver la chaleur de sa peau

Goutter à la douceur de ses lèvres

M’étourdir l’esprit par ses mots

Et enfin mourir dans son jardin secret

 

demain peut être

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Ce matin est un beau matin

L’air embaume d’un parfum ambré

Le soleil dans sa course sans fin

Semble par ses rayons me taquiné

 

Qu’elle est belle la vie

Quand deux cœurs sont à l’unisson

Qu’elle est belle la vie

Quand on ne songe qu’à l’instant présent

 

Cette nuit j’ai rêvé d’elle

À ses pensées qui me hantent

À ses fougueux élans charnels

À ses sourires à pleine dents

 

Je n’ai qu’une hâte aujourd’hui

Que le soleil cède sa place à la nuit

Qu’allonger sur ce grand lit

Par la grâce de Morphée la retrouvé

 

Ses pensées virevoltent dans ma tête

Insidieuses, capricieuses, insouciantes

Telle une abeille butinant mes neurones

Pour y déposé des nectars de plaisirs

 

Je veux retrouver la chaleur de sa peau

Goutter à la douceur de ses lèvres

M’étourdir l’esprit par ses mots

Et enfin mourir dans son jardin secret

 

demain peut être

c'est bien ce que je disais ......un pur délice ;)

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  • 2 weeks later...

D’instant en instant

 

Saisir l’instant d’un reflet dans le regard

Quelque fois meurtrie, au crépuscule de la vie

Comme le soleil en déclin, écarlate de l’infini

Envoi ses illusions vers les portes du purgatoire

 

Instant fuyant, qui regarde le temps passé

Cherchant dans les rêves, la fuite en avant

Et si par malheur, le temps fige l’instant

Le silence s’empresse de réveiller le tourmenté

 

L’instant fugace, au rythme d’un cœur

Plein d’impatience, un demain peut être

Puisant dans le passé, un avenir folâtre

Oubliant la geôle et sa belle geôlière

 

L’instant captif, par un baiser ou une promesse

Déposer à deux, sur l’autel des convenances

Un anneau en or pour sceller ce moment de grâce

À jamais figé dans les limbes qu’on engrosse

 

Puis vient comme une ombre insaisissable

Le stérile orage d’un instant fatal

Sans lendemain sur un dernier râle

Laissant un empire de regrets, qu’on accable.

 

Demain peut être.

 

Écrit le 07Novembre 2015 à 15H 45

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D’instant en instant

 

j'ai beau savoir... j'ai beau m'attendre à ... je reste quand même admirative à la lecture de chaque poème que tu veux bien partager avec nous...

j'aime beaucoup celui-ci et ses instants spécifiques...

Merci Momo...

95f7f68b.gif

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j'ai beau savoir... j'ai beau m'attendre à ... je reste quand même admirative à la lecture de chaque poème que tu veux bien partager avec nous...

j'aime beaucoup celui-ci et ses instants spécifiques...

Merci Momo...

95f7f68b.gif

 

merci beaucoup Séphia de ton passage et très heureux que tu apprécie cet instant partagé.

 

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Liberté

 

Une plume couleur sang

Sur des mots qu’on assassine

Au nom de quoi, d’une doctrine

Pour une apologie d’antan

 

Il pleut des larmes sanguines

Sur des mots qu’on bâillonne

Des voix se sont tu, chagrine

Abattu par des cris de haine

 

Une kalache en étendard

Contre un dessin en poitrine

Dans ce brouhara en sourdine

Le silence c’est tu, hagard

 

Un trait d’humour en avatar

Porté comme un brassard

Un regard dans le brouillard

Étendu, en tache d’encre noire

 

L’innocence se nourrit d’espoir

Quand la haine n’est que dépotoir

En ton nom, des guerres en fanfare

Pour une paix, bien…..illusoire

 

Écrit le 11 janviers 2015 à 20 H16

 

quand on croit que tout est fini........en fait, ce n'est que le début........de la fin.

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Je saisie l'opportunité pour présenter aux français de FA mes sincères sympathies. Il faudra se serrer les coudes et résister contre la connerie et ne pas céder à la tentation d'emprunter des raccourcis faciles.

 

hélas, l'Histoire est un éternel recommencement. :(

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Abuser

 

De toi, un rien m’amuse

Même si parfois, j’en abuse

Si tout en toi m’accuse

C’est par amour que j’en use

 

On te dit quelque fois, bêcheuse

Souvent même boudeuse

Ce sont des dires de jalouses

Pour moi une tendre amoureuse

 

Tu as des yeux d’aguicheuse

Une démarche d’allumeuse

Des formes avantageuses

Et des réactions belliqueuses

 

Qu’importe ce dont on t’accuse

Qu’importe ces senteurs diffuses

Qu’importe ces plaintes doucereuses

De ton amour, j’use et abuse

 

demain peut être

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  • 2 weeks later...

laisse couler tes larmes

 

Quand le corps est une prison

Et que ta voix semble muette

Quand la folie enterre la raison

Laisse couler tes larmes

 

Quand tout te semble morose

Quand le ciel t’inonde de peines

Et que la terre refuse ta muse

Laisse couler tes larmes

 

Quand ton sourire devient rictus

Faisant fuir la belle âme

Quand celle que tu aime refuse

Laisse couler tes larmes

 

Quand les souvenirs deviennent amers

Quand les rêves deviennent cauchemars

Quand tout espoir s’enterre

Laisse couler tes larmes

 

Laisse couler tes larmes

Car elles portent le bonheur en elle

Laisse couler tes larmes

Ces des mots d’amour pour elle

 

demain peut être

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