Samir16 10 Posted February 24, 2015 Partager Posted February 24, 2015 Le journal El Watan et Liberté ont mis fin, dans leurs éditions d'aujourd'hui, au profil bas embarrassé de la presse papier au sujet des déclarations faites mercredi dernier par le PDG d'Ooredoo, Joseph Ged, fixant des "lignes rouges" politiques à l'octroi de la publicité déclarations de Joseph Ged, PDG d'Ooredoo Algérie. El Watan titre aujourd'hui, à la une, sur "le chantage de Joseph Ged" et ses "menaces à peine voilées contre médias qui s'attaqueraient au Qatar et au pouvoir algérien". Il donne la parole à Abdelaziz Rahabi, ancien ministre de la communication, qui parle de "scandale" et accuse Ooredoo de se transformer en "cinquième colonne du Qatar en Algérie". "Ooredoo a commencé petit, chez nous, avant de devenir grand. Maintenant, c’est nous qui nous mettons petits devant lui", a déclaré Rahabi qui rend ainsi le pouvoir responsable. Dans Liberté, le chroniqueur Mustapha Hammouche qui remarque que peu de convives, presse et tutelle, ne se sont sentis offensés par cette "sommation disciplinaire de l’annonceur" critique surtout l'Etat algérien qu'il considère comme responsable de cette dérive. "La presse algérienne a enduré tous les procédés visant sa sujétion, mais que son propre État passe commande au capital affairiste, étranger, pour la mettre au pas, constitue une marque de réelle régression" "Nous ne nous engagerons jamais aux côtés de ceux qui sont animés par les valeurs négatives de dénigrement et de médisance", avait déclaré mercredi Joseph Ged lors du diner organisé par son entreprise et auquel étaient invités de nombreux responsables de la presse algérienne ainsi que le ministre algérien de la Communication, Hamid Grine. "Nous ne ne cautionnerons d'aucune façon les attaques personnelles [...] contre les leaders "ni du pays qui nous fait l’honneur de nous accueillir et qui tient une place si chère dans nos cœurs: l’Algérie ni du pays d’où a commencé l’aventure Ooredoo: le Qatar", a-t-il affirmé. Les déclarations de Joseph Ged sont désormais ouvertement critiquées par ces deux journaux qui ont mis fin au "silence" embarrassé qui a suivi ce cadrage politique publiquement annoncé. Hormis quelques journaux électroniques dont le Huffington Post Algérie, les journaux s'étaient jusque-là abstenus de rapporter et de commenter les déclarations de Joseph Ged. Mais si la presse papier gardait silence, les journalistes, eux, ne se privaient pas de dire leur indignation sur les réseaux sociaux. Le message a été immédiatement décodé par un internaute sous forme de défi: "la presse algérienne va-t-elle se coucher?" Avant que les deux journaux ne s'expriment sur le sujet, des journalistes disaient depuis deux jours leur colère et leur indignation. Le journaliste Nadjib Belhimer, critiquait une presse qui "a vendu son honneur" au dîner organisé par Ooredoo Algérie. "Après la critique de Bouteflika, c'est critiquer le Qatar qui est devenu interdit en Algérie, et celui qui osera le faire n'aura pas la publicité de "Ooredoo"", a-t-il écrit samedi sur son compte Facebook. "Les responsables de la presse très "indépendante" ont entendu ces mots de la part de Joseph Ged, et sous les applaudissements du ministre Hamid Grine, et le jour suivant, l'affaire a été étouffée et des journaux comme El Khabar ou El Watan ont choisi des titres humiliants du genre "Ooredoo organise un dîner à l'honneur de la presse"", a-t-il martelé. Très dur avec la presse écrite algérienne, il a ajouté: "La raison de cette soumission est, selon eux, que les journaux sont en danger, et que l'essentiel était la survie de leurs publications. Ce qui veut dire que pour eux, la presse est une activité purement commerciale." Fayçal Métaoui, journaliste à El Watan relevait que l'on était "devant un cas presque unique de chantage assumé publiquement par le patron d'un groupe de téléphonie mobile qui n'est pas au dessus de tous soupçons". "Mais qui a donc donné le droit à Joseph Ged et à sa troupe de tracer des lignes rouges à la presse algérienne? Qui lui a donné le droit de trancher entre ce qui est "négatif" et ce qui qui est "positif" pour la presse? Qui est donc ce Joseph Ged pour fixer une ligne de conduite aux journalistes algériens?" se demandait-il, dimanche, sur Facebook. Source Huffing Post Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted February 25, 2015 Partager Posted February 25, 2015 Boycotter plutôt Ooredoo (ex Nedjma). Maintenant le Qatar, une tribu de 200 000 habitants, nous impose de nous taire ! 3ich etchouf ! Citer Link to post Share on other sites
espoir1331 10 Posted February 25, 2015 Partager Posted February 25, 2015 Boycotter plutôt Ooredoo (ex Nedjma). Maintenant le Qatar, une tribu de 200 000 habitants, nous impose de nous taire ! 3ich etchouf ! Le problème n'est pas de nombre ni de surface. Si le Qatar a Ooredoo, qu'est ce qui empêche l'Algérie d'avoir ses siens ? Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 On a pas de presse en Algerie,BEN CHICOU a tout resumé,lisez,c'est un tres bon article Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 L'étranger Joseph Ged et la presse chimère Par Mohamed Benchicou Joseph Ged vient de siffler la fin de la comédie : désormais, c'est la liberté ou l'argent. Et notre presse s'est réveillée en sursaut, avec une gueule de bois et une humeur diablement irritée : "Qui est cet étranger qui met le nez dans nos arrangements d'Algériens ? " Ged a fait mouche. Il a répercuté avec un vocabulaire d'homme d'affaires des consignes d'El Mouradia que le ministre de la Communication avait eu de la peine à exprimer dans le jargon politicien. Un seau d'eau froide. C'est avec un seau d’eau froide que le patron d’Oredoo a jeté la presse algérienne hors de son lit d’illusions : debout, il est l'heure de choisir entre la liberté et l'argent. Jusque-là, portée par toutes sortes de leurres, la presse algérienne avait vécu dans le culte de l'ambivalence et dans la conviction que l'on pouvait avoir les deux, la liberté et l'argent. Née puis mûrie dans les émotions particulières d'une nation en gestation, jouissant, aux yeux de l'histoire, de la sacralité d'octobre 88 et, à ceux du pouvoir, du statut de faire-valoir démocratique, elle s'autorisait la critique du pouvoir tout en empochant l’argent de ce même pouvoir. C'était la presse chimère, du nom de ce monstre fabuleux composite, ayant la tête d'un lion, le corps d'une femme, la queue d'un dragon et crachan t du feu. Voilà un quart de siècle qu'elle se nourrit (au propre comme au figuré) de cette équivoque jusqu'à devenir la presse de l'ambiguïté, vivant de sa propre mythologie, accommodant le corps de femme avec la gueule du dragon, une main pour l'obole l'autre pour la plume, la bouche tantôt cousue tantôt crachant du feu à loisir, presse unique au monde, cumulant les privilèges du bandit d'honneur et ceux de la secrète concubine. Joseph Ged vient de siffler la fin de la comédie : désormais, c'est la liberté ou l'argent. Et notre presse s'est réveillée en sursaut, avec une gueule de bois et une humeur diablement irritée : "Qui est cet étranger qui met le nez dans nos arrangements d'Algériens ?" Ged a fait mouche. Il a répercuté avec un vocabulaire d'homme d'affaires des consignes d'El Mouradia que le ministre de la Communication avait eu de la peine à exprimer dans le jargon politicien. Ged ne s'embarrasse pas des nuances politiciennes. Il ne suggère pas ; il assène. "La liberté de nous critiquer ou notre argent, il faut choisir !" Ce n'est pas une formule de politiciens ; c'est une logique de businessmen. Semblable à un ordre boursier. Il n'est pas soumis à discussion. Il le dit lui-même : "Il n'y a pas à polémiquer." Comprendre par là : c'est notre argent, on le réserve à nos alliés, pas à ceux qui nous cherchent des poux sur le tête. La presse n'a pas le monopole de la liberté ; l'annonceur est également en droit d'exiger la liberté de publier ses publicité dans le support qui lui convient le mieux. Le patron d'Ooredoo sait qu'il a le droit pour lui. "La publicité est une action commerciale. J’ai annoncé la stratégie qui se base sur nos valeurs de placement de publicité. Nous sommes un annonceur libre" Des paroles d'une frappante cohérence ! Il ne viendrait pas à l'esprit de Serge Dassault de confier sa publicité à l'Humanité. A moins que l'Humanité ne s'aligne sur le Figaro. "C'est vous qui voyez…" A ce discours clair et sans bavures, nous avons rétorqué par une plaidoirie de l'émotion, convoquant les martyrs de la profession, les attributs de notre sacralité, l'honneur de la nation, la fibre patriotique... L'affaire Ged a révélé une presse vulnérable et ne disposant que passablement des moyens de son indépendance. Nous avons usé de tous les noms d'oiseaux pour qualifier le patron d'Oredoo, à commencer par celui qui nous a semblé le plus méprisant : l'étranger ! Étranger ? Mais Joseph Ged revendique son "apatridité" ! Dans l'économie mondialisée qui est la nôtre aujourd'hui, il n'est plus nécessaire de faire valoir une quelconque identité communautaire, il suffit de d'avoir les compétences exigées par les gros détenteurs de capitaux : le sens des affaires et l'insensibilité. Joseph Ged les a. Il officie en Algérie comme il l'a fait, ces dernières années, au Brésil, en Côte d'Ivoire, en Zambie, au Zimbabwe, à Madagascar en Guinée, au Canada, aux États-Unis, en Croatie, en Ukraine et j'en passe de ces contrées où il s'est occupé des intérêts de gros actionnaires du monde de la finance : au strict service de ses employeurs, le royaume du Qatar et le pouvoir algérien. C'est à ce titre qu'Ooredoo exclut de sa publicité les médias "coupables d'attaques personnelles envers les leaders de l’Algérie et ceux du Qatar. " Oui, l'étranger Joseph Ged assume, sans mal, son statut de "légionnaire Joseph Ged" et ne se trompe pas de bataille : il combat sous l'emblème des gens qui le payent. Il n'ignore rien de ce qui nous scandalise. Les marchés truqués, les faveurs entre gouvernements et les avis d'appel d'offres bidon, tout cela c'est son "truc" comme dirait Zizi Jeanmaire. Il active dans un monde amoral, c'est-à-dire un monde au dessus de la morale. Le monde du profit, cynique, insensible aux conditions des plus faibles. Il n'ignore rien des magouilles ordinaires entre l'Algérie et les cheikh du Golfe, et en profite même pour ironiser sur le compte de la presse : Ta probité a un prix. Ton silence contre une part du pizzo, l'argent de la mafia, l'argent des marchés truqués que tu dénonces à longueur d'articles. Mais là n'est pas le problème d'Ooredoo même si, il doit peut-être le penser, ce serait bien rigolo, une presse de zouaves, vêtue de l'uniforme du parfait tirailleur indigène, sa chéchia, sa culotte mauresque froncée sous le genou et serrée à la jambe du jarret à la cheville par des jambières... C'est cela, et rien que cela, le personnage de Ged. Froid. Implacable. Ni gentil ni méchant. Ni ami ni ennemi. Sa seule feuille de route, c'est celle que lui donnent ceux qui l'emploient : Alger et Doha. Il ne cherche pas à "mater la presse algérienne", comme on le lui a tant reproché ; il veut juste codifier les relations avec la presse algérienne sur la base des normes en vigueur dans le monde des affaires. Soumission totale à l'argent. Réduire le journaliste algérien à la posture des trois singes : rien vu, rien entendu, rien dit. Rien vu de la corruption, rien entendu de l'affaire Chakib Khelil, rien dit sur ces petites et grandes frasques qui embarrassent le pouvoir. N'est-ce pas là, le vrai motif de toute l'affaire ? Ayant choisi un angle de riposte totalement décalé par rapport à la logique du patron d'Ooredoo, la presse algérienne s'est sans doute privée de poser les seules interrogations qui auraient pu jeter un peu de lumière sur une affaire qui est loin d'être close. Nous y reviendrons. M.B. Citer Link to post Share on other sites
Kami-Panam 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 L'étranger Joseph Ged et la presse chimère Par Mohamed Benchicou Joseph Ged vient de siffler la fin de la comédie : désormais, c'est la liberté ou l'argent. Et notre presse s'est réveillée en sursaut, avec une gueule de bois et une humeur diablement irritée : "Qui est cet étranger qui met le nez dans nos arrangements d'Algériens ? " Ged a fait mouche. Il a répercuté avec un vocabulaire d'homme d'affaires des consignes d'El Mouradia que le ministre de la Communication avait eu de la peine à exprimer dans le jargon politicien. Un seau d'eau froide. C'est avec un seau d’eau froide que le patron d’Oredoo a jeté la presse algérienne hors de son lit d’illusions : debout, il est l'heure de choisir entre la liberté et l'argent. Jusque-là, portée par toutes sortes de leurres, la presse algérienne avait vécu dans le culte de l'ambivalence et dans la conviction que l'on pouvait avoir les deux, la liberté et l'argent. Née puis mûrie dans les émotions particulières d'une nation en gestation, jouissant, aux yeux de l'histoire, de la sacralité d'octobre 88 et, à ceux du pouvoir, du statut de faire-valoir démocratique, elle s'autorisait la critique du pouvoir tout en empochant l’argent de ce même pouvoir. C'était la presse chimère, du nom de ce monstre fabuleux composite, ayant la tête d'un lion, le corps d'une femme, la queue d'un dragon et crachan t du feu. Voilà un quart de siècle qu'elle se nourrit (au propre comme au figuré) de cette équivoque jusqu'à devenir la presse de l'ambiguïté, vivant de sa propre mythologie, accommodant le corps de femme avec la gueule du dragon, une main pour l'obole l'autre pour la plume, la bouche tantôt cousue tantôt crachant du feu à loisir, presse unique au monde, cumulant les privilèges du bandit d'honneur et ceux de la secrète concubine. Joseph Ged vient de siffler la fin de la comédie : désormais, c'est la liberté ou l'argent. Et notre presse s'est réveillée en sursaut, avec une gueule de bois et une humeur diablement irritée : "Qui est cet étranger qui met le nez dans nos arrangements d'Algériens ?" Ged a fait mouche. Il a répercuté avec un vocabulaire d'homme d'affaires des consignes d'El Mouradia que le ministre de la Communication avait eu de la peine à exprimer dans le jargon politicien. Ged ne s'embarrasse pas des nuances politiciennes. Il ne suggère pas ; il assène. "La liberté de nous critiquer ou notre argent, il faut choisir !" Ce n'est pas une formule de politiciens ; c'est une logique de businessmen. Semblable à un ordre boursier. Il n'est pas soumis à discussion. Il le dit lui-même : "Il n'y a pas à polémiquer." Comprendre par là : c'est notre argent, on le réserve à nos alliés, pas à ceux qui nous cherchent des poux sur le tête. La presse n'a pas le monopole de la liberté ; l'annonceur est également en droit d'exiger la liberté de publier ses publicité dans le support qui lui convient le mieux. Le patron d'Ooredoo sait qu'il a le droit pour lui. "La publicité est une action commerciale. J’ai annoncé la stratégie qui se base sur nos valeurs de placement de publicité. Nous sommes un annonceur libre" Des paroles d'une frappante cohérence ! Il ne viendrait pas à l'esprit de Serge Dassault de confier sa publicité à l'Humanité. A moins que l'Humanité ne s'aligne sur le Figaro. "C'est vous qui voyez…" A ce discours clair et sans bavures, nous avons rétorqué par une plaidoirie de l'émotion, convoquant les martyrs de la profession, les attributs de notre sacralité, l'honneur de la nation, la fibre patriotique... L'affaire Ged a révélé une presse vulnérable et ne disposant que passablement des moyens de son indépendance. Nous avons usé de tous les noms d'oiseaux pour qualifier le patron d'Oredoo, à commencer par celui qui nous a semblé le plus méprisant : l'étranger ! Étranger ? Mais Joseph Ged revendique son "apatridité" ! Dans l'économie mondialisée qui est la nôtre aujourd'hui, il n'est plus nécessaire de faire valoir une quelconque identité communautaire, il suffit de d'avoir les compétences exigées par les gros détenteurs de capitaux : le sens des affaires et l'insensibilité. Joseph Ged les a. Il officie en Algérie comme il l'a fait, ces dernières années, au Brésil, en Côte d'Ivoire, en Zambie, au Zimbabwe, à Madagascar en Guinée, au Canada, aux États-Unis, en Croatie, en Ukraine et j'en passe de ces contrées où il s'est occupé des intérêts de gros actionnaires du monde de la finance : au strict service de ses employeurs, le royaume du Qatar et le pouvoir algérien. C'est à ce titre qu'Ooredoo exclut de sa publicité les médias "coupables d'attaques personnelles envers les leaders de l’Algérie et ceux du Qatar. " Oui, l'étranger Joseph Ged assume, sans mal, son statut de "légionnaire Joseph Ged" et ne se trompe pas de bataille : il combat sous l'emblème des gens qui le payent. Il n'ignore rien de ce qui nous scandalise. Les marchés truqués, les faveurs entre gouvernements et les avis d'appel d'offres bidon, tout cela c'est son "truc" comme dirait Zizi Jeanmaire. Il active dans un monde amoral, c'est-à-dire un monde au dessus de la morale. Le monde du profit, cynique, insensible aux conditions des plus faibles. Il n'ignore rien des magouilles ordinaires entre l'Algérie et les cheikh du Golfe, et en profite même pour ironiser sur le compte de la presse : Ta probité a un prix. Ton silence contre une part du pizzo, l'argent de la mafia, l'argent des marchés truqués que tu dénonces à longueur d'articles. Mais là n'est pas le problème d'Ooredoo même si, il doit peut-être le penser, ce serait bien rigolo, une presse de zouaves, vêtue de l'uniforme du parfait tirailleur indigène, sa chéchia, sa culotte mauresque froncée sous le genou et serrée à la jambe du jarret à la cheville par des jambières... C'est cela, et rien que cela, le personnage de Ged. Froid. Implacable. Ni gentil ni méchant. Ni ami ni ennemi. Sa seule feuille de route, c'est celle que lui donnent ceux qui l'emploient : Alger et Doha. Il ne cherche pas à "mater la presse algérienne", comme on le lui a tant reproché ; il veut juste codifier les relations avec la presse algérienne sur la base des normes en vigueur dans le monde des affaires. Soumission totale à l'argent. Réduire le journaliste algérien à la posture des trois singes : rien vu, rien entendu, rien dit. Rien vu de la corruption, rien entendu de l'affaire Chakib Khelil, rien dit sur ces petites et grandes frasques qui embarrassent le pouvoir. N'est-ce pas là, le vrai motif de toute l'affaire ? Ayant choisi un angle de riposte totalement décalé par rapport à la logique du patron d'Ooredoo, la presse algérienne s'est sans doute privée de poser les seules interrogations qui auraient pu jeter un peu de lumière sur une affaire qui est loin d'être close. Nous y reviendrons. M.B. je te réponderai demain lol , je suis en train de le lire Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 je te réponderai demain lol , je suis en train de le lire Avec plaisir,j'attends ton analyse!!! Tu es dans le journalisme? Citer Link to post Share on other sites
Kami-Panam 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Avec plaisir,j'attends ton analyse!!! Tu es dans le journalisme? je suis une revenante Celle qui voulait planter le "ma3denousse" ne cite pas le nom STP Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 je suis une revenante Celle qui voulait planter le "ma3denousse" ne cite pas le nom STP wawwww ok!!! Je me souviens maintenant Bientot je termine la creation du site concernant"""" la rose baccara"""" et je t'inviterai à le visiter Citer Link to post Share on other sites
Kami-Panam 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 wawwww ok!!! Je me souviens maintenant Bientot je termine la creation du site concernant"""" la rose baccara"""" et je t'inviterai à le visiter Au plaisir cher ami, J'en serai vraiment ravi Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Au plaisir cher ami, J'en serai vraiment ravi J'attends ton analyse sur ce ce sujet et à demain soir Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 C'est de la pire hypocrisie :bash::bash::bash: Même en France , la pub et les .................subventions étatiques se "distribuent" de cette manière ! Ils ne veulent quand-même pas que OOREDDO donne son fric à des journaux qui insultent la Cheikha Mouza :mdr::mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
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