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Ansej : Très peu de start-up ont été financées en Algérie


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Les start-up, les entreprises innovantes, spécialisées dans les TIC, sont à leurs premiers balbutiements en Algérie. Malgré le boom technologique, internet et informatique, leur nombre reste très faible.

 

Le directeur général de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), Mourad Zemali, a indiqué, aujourd’hui, que «seulement 8.250 start-up ont été financées dans le cadre du dispositif Ansej sur un total de 333.000 projets financés»

 

Un chiffre qui ne reflète pas l’intérêt porté par des milliers de jeunes pour genre d’activités. Le responsable n’a pas donné plus de détails notamment concernant les raisons ayant fait que les start-up ne soient pas financées en nombre. A cet effet, et pour mieux aider ce genre d’entreprises, Mourad Zemali a signalé qu’une convention de financement de start-up sera signée début avril entre l’ANSEJ et deux banques publiques.

 

La signature se fera à l’occasion du salon de l’emploi dont le coup d’envoi est prévu pour le 5 avril. Il faut rappeler que c’est l’agence nationale du développement des parcs technologiques (ANPT) qui prend en charge les incubateurs technologiques, principalement celui situé au Cyberparc de Sidi Abdellah à Alger, qui soutiennent et accompagnement les jeunes dans le lancement de start-up. Mais, globalement le nombre de start-up reste faible. Il n’y a eu que quelques dizaines d’entreprises lancées.

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J'aurai voulu savoir dans quel genre d'activités les jeunes sont les plus actifs ?

 

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location de voiture /transport...

 

sinon drague / plage et facebook ...ils sont tres facebook ou ils font des photos d'eux sous toute les coutures en esperant choper une finlandaise.

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pour revenir aux start up du web - a mon avis il vaut mieux attendre que le gars invente son projet dans son garage et viennent ensuite solliciter le credit ...lequel devrait lui etre versé a petite dose pour eviter qu'il disparaisse car si on peu a la rigueur saisir un bus ou une vache il est tres difficile de saisir un site web pour rembourser l'etat .

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Bonjour. Les banques ou l'ANSEJ n'ont pas de vocation à financer les star-up. Une start-up par définition est une entreprise qui se lance dans un domaine nouveau, apporte une innovation, et c'est difficile dans ce cas d'établir des prévisions de chiffe d'affaire ou de bénéfice, ou autre prévision financière que ce soit. Et les banques ont horreur de l'incertitude et du risque. Il faut créer un dispositif spécial start-up et encourager les investisseur en capital risque et les business angels.

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J'aurai voulu savoir dans quel genre d'activités les jeunes sont les plus actifs ?

 

Acheter des voitures pour transporter des produits, ou ouvrir des magasins, alimenation, taxiphone...

la facilité quoi, les jeunes n'ont pas beaucoup de projets en tete et ceux qui en ont partent à l'étranger

Quant à ceux de chez nous, beaucoup doivent revenir à l'agriculture et l'artisanat

mais ils ont des complexes dans ce sens :33: ils n'ont pas étudié ou ne sont pas trés diplomés, bon c'est comme ça

mais dans ce cas tu dois travailler la terre, élever les moutons et faire l'artisanat, c'est noble

mais ils n'en veulent pas, la jeunesse veut l'argent facile

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