AnoNimos 12 455 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Et ya quoi ? Et les japonais et leur poisson poison sont en sécurités ? Nous au moins un kilo de sardine suffit. Trop....terre á terre....lis quelques mois sur FA....pour ameliorer la chose...pour pouvoir te dedier du temps. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Trop....terre á terre....lis quelques mois sur FA....pour ameliorer la chose...pour pouvoir te dedier du temps. Je ne comprends pas. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Je ne comprends pas. C'est pas grave......tu comprendras...un jour.....probablement. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 C'est pas grave......tu comprendras...un jour.....probablement. Toi aussi tu finiras par comprendre Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 :wheelchair: pas encore mais on va mourrir de faim c'est sur...On meurt pas de faim non plus. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 :wheelchair: pas encore mais on va mourrir de faim c'est sur... Mange du pain, tu as de l'huile d'olive en avatar. Citer Link to post Share on other sites
Samus 10 Posted March 3, 2015 Partager Posted March 3, 2015 Selon les prévisions des Nations-Unies, la population des régions sud et est de la Méditerranée devrait s’accroître de 38 % pour représenter environ 352 millions d’individus en 2030. Cependant, compte tenu de la transition démographique - tous les pays de la région semblent en effet connaitre un alignement progressif de leurs taux de fécondité autour de deux enfants par femme, assurant seulement un peu plus que le renouvellement des générations - cet accroissement devrait s’accompagner de phénomènes de tassement. Ainsi, dans certains pays, comme l’Algérie, les moins de trente ans représentent aujourd’hui près des deux tiers de la population. La part des jeunes de 15 à 24 ans a toutefois atteint un pic de 22 % en 2005 et devrait décliner régulièrement à présent, pour ne plus représenter que 15 % en 2040. Corrélativement, la proportion des moins de 15 ans devrait baisser également à 27 % de la population totale, contre 32 % en 2005. C’est donc la tranche d’âge des 25-64 ans qui est amenée à augmenter dans les années qui viennent, pour passer de 38 % en 2000 à plus de 50 % en 2030. La part la plus productive de la population, en d’autres termes, va dominer dans la région dans les vingt prochaines années, ce qui parait susceptible d’enclencher un phénomène « d’aubaine démographique », favorisant l’émergence de classes moyennes, tenant au fait que des actifs jeunes - l’âge médian dans les pays méditerranéens sera aux alentours de 30 ans en 2020 (29 ans au Maroc, 30 ans en Algérie, 31 ans en Turquie) – auront moins d’enfants qu’aujourd’hui et encore peu de retraités à charge. Ceci, à condition que ces actifs aient un emploi ; point que cette prévision prometteuse a eu trop tendance à faire oublier. Difficulté de trouver un emploi Les pays du sud et de l’est de la Méditerranée connaissent l’une des plus fortes poussées de population active au monde. Leurs tranches d’âges actives augmentent de 3,7 millions de personnes chaque année. Et cette évolution, bien entendu, se traduit par une hausse de la demande d’emplois nouveaux : 55 millions d’entrées nettes sont prévues sur le marché du travail entre 2005 et 2020 et 24 millions entre 2020 et 2030. A taux d’emploi et taux d’activité constants, cela correspond à 22 millions d’emplois à créer d’ici 2020 dans le Bassin méditerranéen. Une perspective inquiétante alors qu’aujourd’hui certains parmi ces pays enregistrent les taux de chômage les plus élevés au monde et surtout les taux d’activité les plus faibles, en particulier des femmes et des jeunes. Au Maroc, les femmes ne représentent que 27,6 % de la population active. Leur taux d’activité est de 38,8 % en milieu rural et de seulement 20,5 % en milieu urbain. Pour la région MENA, le taux d’emploi de la population en âge de travailler est, à 47 %, le plus bas du monde. Plus inquiétant encore, dans plusieurs pays de la région, le chômage paraît assez imperméable à la croissance : malgré un taux de croissance annuelle de 5,9 % en moyenne de 1996 à 1999 et de 5 % depuis 2000, la Tunisie connaissait un taux de chômage de 14 % en 2008. La part des jeunes et particulièrement des jeunes diplômés dans la population au chômage dépasse les 50 % dans la plupart des pays de la région. Cette très forte proportion est essentiellement due à la difficulté de trouver un premier emploi, qui s’explique notamment par la faiblesse de l’emploi privé formel. Bombe démographique plutôt qu'aubaine Autant dire qu’en fait « d’aubaine démographique », les générations entrant aujourd’hui dans la vie active risquent plutôt de connaître tout à la fois le chômage de masse, une vive inflation, frappant notamment les produits de base, la spéculation immobilière sous l’effet de l’exode rural en particulier, ainsi qu’un renchérissement considérable des coûts de formation de leurs enfants, pour affronter enfin, le temps de la cessation d’activité venu, des retraites moins assurées, du fait de la diminution proportionnelle du nombre d’actifs à cet horizon. Compte tenu de tels éléments, nous écrivions en 2008 dans Méditerranée 2030, un exercice prospectif publié par l’IPEMed, qu’en fait « d’aubaine », ainsi, mieux vaudrait parler de « bombe démographique », puisque « si le pire peut arriver en la matière, si les déterminants démographiques peuvent se révéler explosifs, ce sera dans les vingt prochaines années et cela se passera assez probablement autour de la Méditerranée ! ». Aujourd’hui, cette prévision se précise : si une telle bombe explose, en effet, cela pourrait bien se produire en Algérie, le pays de la région le plus dépendant de l’extérieur, qui n’exporte quasiment que des hydrocarbures et qui dépend des importations pour 50% de sa consommation alimentaire et 60 % de sa consommation sanitaire. Un pays dont certains estiment que 80 % des importations sont incompressibles et dont toute l’économie repose ainsi sur le prix du baril de pétrole. Une révolution des mentalités Augmenter tout à la fois les taux d’activité, féminin en particulier, et diminuer par deux les taux de chômage actuels dans la région imposerait une croissance annuelle de plus de 8 % en moyenne pendant quinze ans. Sur la rive sud de la Méditerranée, l’Algérie était, du fait du renchérissement du prix des hydrocarbures, le pays le mieux placé pour créer les conditions d’un tel développement économique ces dernières années. Mais il n’en a rien été. Le taux de la population active au chômage est passé de 9,6% à 10,6% de 2013 à 2014. Pour équilibrer son budget, le pays a besoin d’un baril à près de 130 $. Celui-ci, actuellement, est tombé en dessous de 50 $. Le gouvernement algérien n’en parait pas autrement inquiet. A l’abri des réserves de change accumulées, il estime pouvoir laisser passer l’orage et attendre un retour à meilleure fortune. Certes, alors que 60 % du budget de l’Etat repose sur la fiscalité pétrolière, l’Algérie a été obligée de demander, sans succès, à l’Opep de réduire la production. Et certes, l’impact désastreux sur la situation du pays du contre-choc pétrolier de 1985 est dans toutes les têtes. Mais la situation actuelle parait bien plus favorable : peu d’endettement, un déficit public maitrisé. Le gouvernement a donc engagé les mêmes mesures qui avaient été prises alors : gel des investissements publics et des recrutements de fonctionnaires, limitation de quelques importations. En revanche, les nombreuses subventions dont bénéficient les Algériens n’ont guère été touchées. Mêmes mesures, mêmes erreurs, disent certains, comme le groupe de réflexion NABNI, dont les contre-propositions (développer la production nationale par rapport aux importations, libérer l’initiative privée, mettre à niveau les entreprises publiques) frappent également par leur caractère très général et quelque peu irréaliste, car tout cela, qui aurait dû être engagé il y a dix ans, supposerait une révolution des mentalités, prendrait du temps et coûterait cher. Un million de naissances annuelles Personne, ainsi, ne semble vraiment se rendre compte du caractère inédit de la situation. Sauf à ce que le prix du baril repasse au dessus des 100 $ (et même encore) une démographie galopante va, en Algérie, rencontrer une croissance largement insuffisante. La paix sociale, aujourd’hui achetée par de larges subventions, va coûter de plus en plus cher, avec des ressources de plus en plus réduites. L’Etat providence algérien coûte au bas mot 50 milliards $ par an, un tiers du PIB. Les importations représentent 60 milliards $ et elles ne peuvent être fortement réduites sans que la population n’en pâtisse durement. Dans ces conditions, les réserves de change seront épuisées dans quelques années. Or, le million de naissances annuelles sera prochainement atteint, pour la première fois. Dans dix ans, la population algérienne dépassera les 50 millions d’habitants, dont 70% seront en âge de travailler. Or, dans ces conditions, tous les composants d’une déflagration démographique, se traduisant par une exaspération sociale de forte intensité, ne sont pas en train de prendre forme. Ils sont déjà en place ! Chômage de masse, forte inflation rognant la consommation (qui bénéficie aujourd’hui de la baisse de l’euro et qui profite artificiellement d’un dinar surévalué de 20%, selon le FMI), spéculation immobilière atteignant déjà des records dans certains endroits, tensions sur les retraites (en 1988, huit travailleurs cotisaient pour un retraité, contre 2,5 aujourd’hui). Il est très difficile de prédire les effets concrets d’une bombe démographique de ce type. Mais l’on peut croire qu’ils seraient profonds. Il est encore plus difficile de se prononcer sur une date de mise à feu mais, dans la situation actuelle de l’Algérie, sauf à compter sur un retournement spectaculaire et durable des prix du pétrole, le compte à rebours semble bien enclenché. econostrum.info La solution ? remplacer la population masculine par les eunuques . Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 :wheelchair: pas encore mais on va mourrir de faim c'est sur... A 35 millions dans un pays aussi vaste, on est une menace ? Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 A 35 millions dans un pays aussi vaste, on est une menace ? -------------------------- encore une erreur le pays n'est pas aussi vaste que vous le dites en kilometre carré oui j'en conviens mais en surface habité non ...si vous regardez bien la repartition de l'habitat seul la frontiere nord sur une bande peut etre de 500km est habitée allant du maroc a la tunisie ...le reste c'est du sable chaud . nous ne faisons meme pas pousser des patates dans les terres fertiles pourquoi veux tu qu'on fasse des frites dans du sable chauffé a 80 degré a midi . techniquement c'est possible sous serre evidemment mais avons nous fait quelque chose en 50 ans de ce desert -walou ... -certains comptent encore sur le petrole meme a bas prix il restera toujours quelque chose des exportations -mais encore une fois c'est une erreur -pourquoi tout simplement parce qu'il y a 20 ans nous utilisions le bois pour cuisiner ou nous chauffer -aujourd'hui le gaz arrive dans les foyers et les cuisinieres a gaz -le chauffage au gaz -la climatisation -l'electricité et les millions de voitures importés notamment les 4x4 hilux a gros reservoirs ect ...notre utilisation du petrole et du gaz augmente donc de façon exponentielle...la population augmentant tous les nouveaux logements construits aadl ect utiliseront de l'energie et notre consommation va bien entendu supprimer une grosse partie des exportations -et oui soit on vend soit on consomme . conclusion la famine arrive ! Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 -------------------------- encore une erreur le pays n'est pas aussi vaste que vous le dites en kilometre carré oui j'en conviens mais en surface habité non ...si vous regardez bien la repartition de l'habitat seul la frontiere nord sur une bande peut etre de 500km est habitée allant du maroc a la tunisie ...le reste c'est du sable chaud . nous ne faisons meme pas pousser des patates dans les terres fertiles pourquoi veux tu qu'on fasse des frites dans du sable chauffé a 80 degré a midi . techniquement c'est possible sous serre evidemment mais avons nous fait quelque chose en 50 ans de ce desert -walou ... -certains comptent encore sur le petrole meme a bas prix il restera toujours quelque chose des exportations -mais encore une fois c'est une erreur -pourquoi tout simplement parce qu'il y a 20 ans nous utilisions le bois pour cuisiner ou nous chauffer -aujourd'hui le gaz arrive dans les foyers et les cuisinieres a gaz -le chauffage au gaz -la climatisation -l'electricité et les millions de voitures importés notamment les 4x4 hilux a gros reservoirs ect ...notre utilisation du petrole et du gaz augmente donc de façon exponentielle...la population augmentant tous les nouveaux logements construits aadl ect utiliseront de l'energie et notre consommation va bien entendu supprimer une grosse partie des exportations -et oui soit on vend soit on consomme . conclusion la famine arrive ! Dans le sable on peut faire cuir le matlo3 et nchrrechmou les oeufs :closedeyes: Qui compte sur le pétrole ? Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 tout le monde compte sur le petrole -encore une erreurvous laissez supposez que le petrole les gens n'en profitent pas-c'est evidemment faux ...et j'explique evidemment il faut des dinars pour faire ses courses -jusque la on est d'accord il faut travailler pour avoir des dinars ou bien vendre un logement aadl ou bien encore obtenir une subvention ansej ou autre et faire ses courses -ou encore pour ceux qui ont de la chance ont un poste au sein de l'administration qui les paie...je pense avoir resumer a peu pres d'ou vient le pouvoir d'achat des algeriens ... bon maintenant que tout le monde a des dinars pour faire ses courses il faut maintenant des biens a vendre -C"est a dire l batata ;courgettes ,piments tomates viande semoule ect ect ... comme ses produits ne poussent plus chez nous faut donc les acheter au maroc en espagne en egypte en tunisie en espagne en france ect ...donc il faut des devises or y en a plus ! conclusion la famine arrive Citer Link to post Share on other sites
chacalette 124 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 Entendu ce midi sur France3 région: un cargo rempli de semences de pommes de terre est araisonné et bloqué à Brest. il est à destination de Mostaghanem. l'importateur algérien est sur place, c'est le bins, car les semences peuvent germer, là bas ils attendent. des tonnes et des tonnes de semences. attendez vous à pénurie de batata l'automne prochain, ou bien un prix bien + élevé. Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 Vois tu Debdouba....ca pourrait te surprendre mais mondialement la moyenne (Et particulierement l'Inde et la chine) d'enfants par famille est de 1.5, c'est á dire trés trés loin de ce que tu penses encore.... d'enfants Pas trop loin des populations des régions sud et est de la Méditerranée tous les pays de la région semblent en effet connaitre un alignement progressif de leurs taux de fécondité autour de deux enfants par femme Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 tout le monde compte sur le petrole -encore une erreurvous laissez supposez que le petrole les gens n'en profitent pas-c'est evidemment faux ...et j'explique evidemment il faut des dinars pour faire ses courses -jusque la on est d'accord il faut travailler pour avoir des dinars ou bien vendre un logement aadl ou bien encore obtenir une subvention ansej ou autre et faire ses courses -ou encore pour ceux qui ont de la chance ont un poste au sein de l'administration qui les paie...je pense avoir resumer a peu pres d'ou vient le pouvoir d'achat des algeriens ... bon maintenant que tout le monde a des dinars pour faire ses courses il faut maintenant des biens a vendre -C"est a dire l batata ;courgettes ,piments tomates viande semoule ect ect ... comme ses produits ne poussent plus chez nous faut donc les acheter au maroc en espagne en egypte en tunisie en espagne en france ect ...donc il faut des devises or y en a plus ! conclusion la famine arrive Jamais entendu parler de la batata qui vient de chine ou marka, elle est cultivé en Algérie, tomate pareil, courgettes aussi. Viande ok, semoule il y a des fetalettes algériennes sinon oui il existe aussi conditionné. Citer Link to post Share on other sites
BIDOU57 226 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 N'ayez pas d'enfants et laisser les autres tranquilles. 1 couple = 2 enfants pour qu'il y ait renouvellement. L'Algérie est un grand pays, il y a de la place. tu parle 3/4 du pays c'est du sable inhabitable Citer Link to post Share on other sites
BIDOU57 226 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 On meurt pas de faim non plus. mais si le gaz continue de baisser ça risque d'arriver très vite Citer Link to post Share on other sites
dentdesagesse 30 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 le gaz c'est juste une salle de réanimation,sa fin brusque est un arrêt cardiaque. Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted March 12, 2015 Partager Posted March 12, 2015 Entendu ce midi sur France3 région: un cargo rempli de semences de pommes de terre est araisonné et bloqué à Brest. il est à destination de Mostaghanem. l'importateur algérien est sur place, c'est le bins, car les semences peuvent germer, là bas ils attendent. des tonnes et des tonnes de semences. attendez vous à pénurie de batata l'automne prochain, ou bien un prix bien + élevé. La saison des exportations de semences de pommes de terre se poursuit. Actuellement, deux cargos sont en cours de chargement au quai nord du cinquième bassin. Les dockers de la société ADS y procèdent à la manutention de 1.244 et 1.500 tonnes de palettes, qui constitueront les cargaisons respectives de l'Artova et du Eser, qui les transporteront, pour le compte de la société Élorn Plants, à Mostaganem, en Algérie. Un pays qui, en début de saison, n'avait pas fait connaître de manière ferme ses intentions et qui, en définitive, aura relativement sauvé la saison des sociétés Gopex et Germicopa, les principaux exportateurs dans la région. Ce sont en effet deux fois plus de tubercules qui seront livrés dans les ports algériens cette année. En savoir plus sur Pommes de terre. L'exportation une activité difficile à maîtriser - Brest - Le Télégramme, quotidien de la Bretagne Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 12, 2015 Partager Posted March 12, 2015 -------------------------- encore une erreur le pays n'est pas aussi vaste que vous le dites en kilometre carré oui j'en conviens mais en surface habité non ...si vous regardez bien la repartition de l'habitat seul la frontiere nord sur une bande peut etre de 500km est habitée allant du maroc a la tunisie ...le reste c'est du sable chaud . nous ne faisons meme pas pousser des patates dans les terres fertiles pourquoi veux tu qu'on fasse des frites dans du sable chauffé a 80 degré a midi . techniquement c'est possible sous serre evidemment mais avons nous fait quelque chose en 50 ans de ce desert -walou ... -certains comptent encore sur le petrole meme a bas prix il restera toujours quelque chose des exportations -mais encore une fois c'est une erreur -pourquoi tout simplement parce qu'il y a 20 ans nous utilisions le bois pour cuisiner ou nous chauffer -aujourd'hui le gaz arrive dans les foyers et les cuisinieres a gaz -le chauffage au gaz -la climatisation -l'electricité et les millions de voitures importés notamment les 4x4 hilux a gros reservoirs ect ...notre utilisation du petrole et du gaz augmente donc de façon exponentielle...la population augmentant tous les nouveaux logements construits aadl ect utiliseront de l'energie et notre consommation va bien entendu supprimer une grosse partie des exportations -et oui soit on vend soit on consomme . conclusion la famine arrive ! Si on met nos poubelles et nos excréments dans des fermenteurs à biogaz, on pourra produire du méthane. Citer Link to post Share on other sites
Lemlih 10 Posted March 12, 2015 Partager Posted March 12, 2015 En 2016 on sera 40 millions d'Algeriens, on était combien à l'indépendance, 8 à 10 millions!! En France ils sont à 65 millions environ, leurs nombre a beaucoup augmenté Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted March 13, 2015 Partager Posted March 13, 2015 En 2016 on sera 40 millions d'Algeriens, on était combien à l'indépendance, 8 à 10 millions!! En France ils sont à 65 millions environ, leurs nombre a beaucoup augmenté La France a largement de quoi se nourrir et exporter les surplus, l'Algérie a largement de quoi en faire autant, mais pour cela il faut entreprendre. Avant 1962, l'Algérie exportait ses surplus, depuis, il y a eu la réforme agraire et le pétrole qui a généré des bras cassés. Bientôt la famine obligera tous ces paresseux à se mettre au travail. Citer Link to post Share on other sites
Lemlih 10 Posted March 13, 2015 Partager Posted March 13, 2015 La France a largement de quoi se nourrir et exporter les surplus, l'Algérie a largement de quoi en faire autant, mais pour cela il faut entreprendre. Avant 1962, l'Algérie exportait ses surplus, depuis, il y a eu la réforme agraire et le pétrole qui a généré des bras cassés. Bientôt la famine obligera tous ces paresseux à se mettre au travail. Il y'a un argent qui circule en Algerie et elle est devenu dependante de cet argent des hydrocarbures L'algerie est devenu un pays de Biens et Services on a l'alimentation qu'on veut, les habils qu'on veut (par par ce qu'on les produit ou fait) mais on les importe grace à l'argent des hydrocarbures, il faudrait se mettre à travailler la terre J'ai une question, si on habite pas à l'endroit ou on a son potager, faut il construire un mur tout autour ou vous preferez baricader, et est ce que c'est couteux, je veux tellement apprendre mais ne sais pas par ou commencer Citer Link to post Share on other sites
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