Samir16 10 Posted March 4, 2015 Partager Posted March 4, 2015 Le professeur Hong Liang et son équipe de la Texas A&M University publient ce mercredi dans le Journal of the Royal Society Interface les résultats de leurs expériences visant à mettre au point des cafards télécommandés. Le principe est simple: en plongeant des électrodes dans les organes commandant les pattes de l’insecte, il est possible, à distance, d’indiquer au cafard de tourner à gauche ou à droite. L'animal est équipé d’un petit sac à dos constitué d’une batterie, d’une puce électronique et de deux fils reliés à son système nerveux. Le tout ne pèse que trois grammes, et permet de guider les mouvements du cafard avec un taux de réussite de 60%. Pas énorme, mais il ne s’agit que d’un prototype, assurent les ingénieurs texans. Le cafard, mieux que les robots Le but ultime de la manœuvre est de se doter d’un petit explorateur, plus maniable qu’un humain et plus malin qu’un robot. «Les insectes peuvent faire des choses qu’un robot ne peut pas, explique Hong Liang au Guardian. Ils peuvent se rendre dans des petits endroits, sentir l’environnement, et s’il y a du mouvement, d’un prédateur par exemple, ils peuvent s’échapper bien plus vite que ne le ferait un système conçu par l’Homme.» Sans parler des caractéristiques du cafard lui-même, petite bête increvable pouvant régénérer ses membres, résister aux radiations, porter jusqu’à cinq fois son poids… On peut imaginer un groupe de cafards téléguidés, lâchés dans les ruines de Fukushima caméra et autres capteurs sur le dos, livrer aux techniciens restés à l’abri des radiations de précieuses informations. Et l’éthique dans tout ça? Même si on ne les aime pas, les cafards sont des êtres vivants, et l’idée de contrôler leur comportement à distance grâce à des électrodes plantées dans des glandes peut déranger. «On ne les épuise pas à la tâche et on les laisse se reposer», répond Hong Liang au site Live Science. Et assure qu’une méthode de contrôle non-invasive est à l’étude. Source: 20minutes.fr Citer Link to post Share on other sites
peggy 236 Posted March 6, 2015 Partager Posted March 6, 2015 Comme si les cafards ne sont pas assez costauds !!! Citer Link to post Share on other sites
Ethery 10 Posted March 6, 2015 Partager Posted March 6, 2015 Le professeur Hong Liang et son équipe de la Texas A&M University publient ce mercredi dans le Journal of the Royal Society Interface les résultats de leurs expériences visant à mettre au point des cafards télécommandés. Le principe est simple: en plongeant des électrodes dans les organes commandant les pattes de l’insecte, il est possible, à distance, d’indiquer au cafard de tourner à gauche ou à droite. L'animal est équipé d’un petit sac à dos constitué d’une batterie, d’une puce électronique et de deux fils reliés à son système nerveux. Le tout ne pèse que trois grammes, et permet de guider les mouvements du cafard avec un taux de réussite de 60%. Pas énorme, mais il ne s’agit que d’un prototype, assurent les ingénieurs texans. Le cafard, mieux que les robots Le but ultime de la manœuvre est de se doter d’un petit explorateur, plus maniable qu’un humain et plus malin qu’un robot. «Les insectes peuvent faire des choses qu’un robot ne peut pas, explique Hong Liang au Guardian. Ils peuvent se rendre dans des petits endroits, sentir l’environnement, et s’il y a du mouvement, d’un prédateur par exemple, ils peuvent s’échapper bien plus vite que ne le ferait un système conçu par l’Homme.» Sans parler des caractéristiques du cafard lui-même, petite bête increvable pouvant régénérer ses membres, résister aux radiations, porter jusqu’à cinq fois son poids… On peut imaginer un groupe de cafards téléguidés, lâchés dans les ruines de Fukushima caméra et autres capteurs sur le dos, livrer aux techniciens restés à l’abri des radiations de précieuses informations. Et l’éthique dans tout ça? Même si on ne les aime pas, les cafards sont des êtres vivants, et l’idée de contrôler leur comportement à distance grâce à des électrodes plantées dans des glandes peut déranger. «On ne les épuise pas à la tâche et on les laisse se reposer», répond Hong Liang au site Live Science. Et assure qu’une méthode de contrôle non-invasive est à l’étude. Source: 20minutes.fr Oui , il ya toujours le cote Sombre et macabre de leur mauvais usage comme par exemple t'empoisoner a distance specialite de la CIA (comme par exemple en portant un gellule remplie d'une toxine et tomber dans ta soupe ou ton verre ) en se debarrassant des leaders progressistes a travres le monde,aussi ceux qui s'opposent a leur interests. Peuvent etre equippes de micro couples a des cameras pour faire de l'espionage industrielle ou personelle. Entrer dans les "cracks" d'un building et rester dormants et puis activer pour entrer en service et collecter une conversation secrete d'un groupe qui est entrain d'elaborer ou synthetiser un nouveau remede ou avancee technologique...Enfin je prefere m'arreter la car les " prospectes Sombres " ainsi que leur impactes nefastes sont incalculables En effet , on a a jamais aussi perfectione l'outil du crime sous couvert du progres technologique qu'on allant vers la mico industrie....je n'ose meme pas penser au mauvais usage de la Nanotechnologie!:fear::fear: Ethery Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted March 8, 2015 Partager Posted March 8, 2015 vu la taille des cafards Algériens, on pourrait les utiliser comme moyen de transport en commun......mieux que le tramway. :thumbup::mdr: Citer Link to post Share on other sites
kakashi31 10 Posted March 8, 2015 Partager Posted March 8, 2015 merci pour le partage, sinon cette pharse m'a fait rire :mdr: ===> .(( ...on les laisse se reposer )) :mdr: mdrrrrrrrr de toute façon, un jour, certains être humain vont occuper cette place de ces cafards .... bin oui, les gouvernement actuels n'ont aucune éthique Citer Link to post Share on other sites
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