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Kamel Daoud à l'honneur dans les colonnes du New York Times


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Le site du prestigieux quotidien américain The New York Times a publié mercredi un long article consacré au romancier et journaliste algérien Kamel Daoud, plusieurs fois primé.

 

Titré "Stranger Still" (Étranger toujours), cet article à paraître le 5 avril dans le supplément hebdomadaire The New York Times Magazine, présente le parcours personnel, littéraire et journalistique de Kamel Daoud, rencontré en janvier dernier à Oran par le journaliste américain Adam Shatz .

 

En plus de rapporter cette rencontre avec un écrivain qui "défend avec intrépidité (dans son roman et ses chroniques) la cause de la liberté individuelle", l'auteur propose également une lecture de son roman "Meursault, contre-enquête", publié en Algérie en 2013 puis en France où il a été finaliste au prix Goncourt.

 

Dans ce premier roman, Kamel Daoud reprend l'histoire de l'assassinat commis par le personnage polémique de "L’Étranger" d'Albert Camus, en livrant une version du meurtre racontée, d'un point vue algérien, par le frère de "l'Arabe" assassiné.

 

Dans cet article qui tient à la fois des impressions de voyage et de l'entretien, le critique littéraire aborde, par ailleurs, le contexte politique et historique algérien pour éclairer sur les prises de position de Kamel Daoud dans ses chroniques de presse.

 

L'auteur de l'article revient aussi sur les menaces proférées contre l'écrivain algérien en faisant intervenir plusieurs personnalités littéraires, journalistiques et politiques qui expriment des avis divergents sur les prises de position de Daoud, tout en s'accordant sur son talent d'écrivain.

 

Salué par la critique et la presse en Algérie comme en France, "Meursault, contre enquête" avait reçu en 2014 plusieurs distinctions dont le Prix François Mauriac de l'Académie Française, le Prix des Cinq continents, décerné par l'Organisation internationale de la francophonie, et le Prix "Escale littéraire" d'Alger, décerné par des écrivains et journalistes algériens et français.

 

Le roman "Meursault, contre-enquête" de Kamel Daoud paraîtra en juin aux Etats-Unis

 

La traduction en anglais du roman "Meursault, contre-enquête" de l'écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud, finaliste au Goncourt, paraîtra en juin prochain chez "Other Press", une maison d'édition de New-York, indique l'éditeur américain sur son site Internet.

 

Sous le titre de "The Meursault Investigation", cette traduction du premier roman de Kamel Daoud a été réalisée par John Cullen, traducteur entre autre du Français Philippe Claudel et récompensé en 2010 du "Independant Foreing Fiction Prize", un prix annuel décerné par l'influent journal britannique "The Independant".

 

Créée en 1998 à New-York, la maison d'édition Other Press s'est d'abord spécialisée dans les ouvrages académiques et les livres de psychanalyse, avant de s'ouvrir à la littérature.

 

Source Huffing Post

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Le site du prestigieux quotidien américain The New York Times a publié mercredi un long article consacré au romancier et journaliste algérien Kamel Daoud, plusieurs fois primé.

 

Titré "Stranger Still" (Étranger toujours), cet article à paraître le 5 avril dans le supplément hebdomadaire The New York Times Magazine, présente le parcours personnel, littéraire et journalistique de Kamel Daoud, rencontré en janvier dernier à Oran par le journaliste américain Adam Shatz .

 

En plus de rapporter cette rencontre avec un écrivain qui "défend avec intrépidité (dans son roman et ses chroniques) la cause de la liberté individuelle", l'auteur propose également une lecture de son roman "Meursault, contre-enquête", publié en Algérie en 2013 puis en France où il a été finaliste au prix Goncourt.

 

Dans ce premier roman, Kamel Daoud reprend l'histoire de l'assassinat commis par le personnage polémique de "L’Étranger" d'Albert Camus, en livrant une version du meurtre racontée, d'un point vue algérien, par le frère de "l'Arabe" assassiné.

 

Dans cet article qui tient à la fois des impressions de voyage et de l'entretien, le critique littéraire aborde, par ailleurs, le contexte politique et historique algérien pour éclairer sur les prises de position de Kamel Daoud dans ses chroniques de presse.

 

L'auteur de l'article revient aussi sur les menaces proférées contre l'écrivain algérien en faisant intervenir plusieurs personnalités littéraires, journalistiques et politiques qui expriment des avis divergents sur les prises de position de Daoud, tout en s'accordant sur son talent d'écrivain.

 

Salué par la critique et la presse en Algérie comme en France, "Meursault, contre enquête" avait reçu en 2014 plusieurs distinctions dont le Prix François Mauriac de l'Académie Française, le Prix des Cinq continents, décerné par l'Organisation internationale de la francophonie, et le Prix "Escale littéraire" d'Alger, décerné par des écrivains et journalistes algériens et français.

 

Le roman "Meursault, contre-enquête" de Kamel Daoud paraîtra en juin aux Etats-Unis

 

La traduction en anglais du roman "Meursault, contre-enquête" de l'écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud, finaliste au Goncourt, paraîtra en juin prochain chez "Other Press", une maison d'édition de New-York, indique l'éditeur américain sur son site Internet.

 

Sous le titre de "The Meursault Investigation", cette traduction du premier roman de Kamel Daoud a été réalisée par John Cullen, traducteur entre autre du Français Philippe Claudel et récompensé en 2010 du "Independant Foreing Fiction Prize", un prix annuel décerné par l'influent journal britannique "The Independant".

 

Créée en 1998 à New-York, la maison d'édition Other Press s'est d'abord spécialisée dans les ouvrages académiques et les livres de psychanalyse, avant de s'ouvrir à la littérature.

 

Source Huffing Post

 

 

je ne suis pas certains que le soutiens qu'il obtient des yenkéé va dans le sens de défendre les liberté individuels sinon la population américains et la premières a etre concerné. ce qui remettra en cause la crédibilité de certains intellos préfabriqué soutenu et subventionné par la maison noir et ne pousse a se posé la question.

pourquoi les yankée soutiennent t'ils ces vulgaires intellos en carton que si une fois ils s'abstiendront d'insulté et de craché sur leurs nations ils n'écriront pas deux ligne.?

 

 

 

la violence et la première nature de système yankée

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A la dernière séance de conversations avec les USA, à Washington, les yankees voulaient mettre le sujet des Droits de l'Homme sur la table. Cuba a répondu : il n'y a pas de problème. A son arrivée, la délégation cubaine a sorti un dossier "Human Rights in USA". Les américains stupéfaits et en difficulté ont dit : nous ne voulons pas déjà parler de cela. Craignaient-ils les photos, les vidéos et autres arguments que portait Cuba ? Ou pire encore, craignaient-ils la vérité ? … Comme celle-ci : une femme sans défense et menottée, frappée lâchement et traîtreusement par un policier du régime yankee.

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je ne suis pas certains que le soutiens qu'il obtient des yenkéé va dans le sens de défendre les liberté individuels sinon la population américains et la premières a etre concerné. ce qui remettra en cause la crédibilité de certains intellos préfabriqué soutenu et subventionné par la maison noir et ne pousse a se posé la question.

pourquoi les yankée soutiennent t'ils ces vulgaires intellos en carton que si une fois ils s'abstiendront d'insulté et de craché sur leurs nations ils n'écriront pas deux ligne.?

 

 

 

la violence et la première nature de système yankée

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A la dernière séance de conversations avec les USA, à Washington, les yankees voulaient mettre le sujet des Droits de l'Homme sur la table. Cuba a répondu : il n'y a pas de problème. A son arrivée, la délégation cubaine a sorti un dossier "Human Rights in USA". Les américains stupéfaits et en difficulté ont dit : nous ne voulons pas déjà parler de cela. Craignaient-ils les photos, les vidéos et autres arguments que portait Cuba ? Ou pire encore, craignaient-ils la vérité ? … Comme celle-ci : une femme sans défense et menottée, frappée lâchement et traîtreusement par un policier du régime yankee.

 

c,est vrai que les pouvoir arabo-musulmans sont un model en matiere de non violence et de droit de l,homme.

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si Kamel Daoud était une vraie lumière pour sa société et le Monde actuel, le NY Times n'en parlerait certainement pas

ou alors, il parlerait pour mieux le descendre, je fais la parallèle avec le Français Piketty qui a fait enragé toute l'Amérique mafieuse

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la renommée de cet écrivain algérien est en train de s'universaliser, on ne va pas se plaindre.

 

meme la renommée de rocco est indiscutable l’universalisation n'est pas une marque honorifique mais publicitaire il fallait triller pour aligner qui est quoi et pour quoi? et aprés chaque uns a le libre choix de prendre sa voie.on critique pas la célébrité des gens mais leurs orientation et objectifs.celui qui fait de sa nation un crachat pour monté sur le podium universelle et considéré traitre depuis la nuit des temps meme les yankée partagent le meme concepts.

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Guest Miss angel
meme la renommée de rocco est indiscutable l’universalisation n'est pas une marque honorifique mais publicitaire il fallait triller pour aligner qui est quoi et pour quoi? et aprés chaque uns a le libre choix de prendre sa voie.on critique pas la célébrité des gens mais leurs orientation et objectifs.celui qui fait de sa nation un crachat pour monté sur le podium universelle et considéré traitre depuis la nuit des temps meme les yankée partagent le meme concepts.

 

je restais dans le domaine littéraire :)

 

je sais bien qu'être connu et reconnu n'est ni un gage de grandeur ,ni un gage de postérité.

 

Mais si Kamel Daoud commence à être cité en dehors de l'Algérie et de la France, qu'il a été favori dans un grand prix littéraire, c'est que c'est un écrivain talentueux et intellectuellement intéressant.

 

L'Algérie en a beaucoup trop perdu pendant les années noires.

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je restais dans le domaine littéraire :)

 

je sais bien qu'être connu et reconnu n'est ni un gage de grandeur ,ni un gage de postérité.

 

Mais si Kamel Daoud commence à être cité en dehors de l'Algérie et de la France, qu'il a été favori dans un grand prix littéraire, c'est que c'est un écrivain talentueux et intellectuellement intéressant.

 

L'Algérie en a beaucoup trop perdu pendant les années noires.

 

"domaine littéraire" voila l'intersection qui sépare nos angles de vue:)

 

je préfère l'analyse pour contesté les compétences La situation actuelle nous oblige de filtré et reconstituer le concept de l'efficacitécertains écrivains ont rédigé des ouvrages précieux indispensable de valeur pour un intérêt générale ils n'ont pas fait de la critique un vice de service.

prenant l'exemple de malek ibn nabi ce grand écrivain qui a laissé ses empreintes sa critique etait constructif et non destructif qui fait étendre la déchirure dans une société et faire allonger ses ampleurs il bâtissait et ne détruisait pas il donné des cours d'organisation contre l'anarchie il rétabli ce qui a deja été édifier pourtant la majorité de ses réflexions les a consacré sur la société arabo musulman sans insulte ni vulgarité une preuve du talent de maître.voici quelques exemple sur l'art de la critique que nous ne croisons jamais dans les rédactions de ces écrivains en carton car la sagesse reste le seul concepts qui ne l'ont jamais côtoyé.

 

 

« La plus grave parmi les paralysies, celle qui détermine dans une certaine mesure les deux autres (sociale et intellectuelle), c'est la paralysie morale. Son origine est connue : "L'islam est une religion parfaite. Voilà une vérité dont personne ne discute. Malheureusement il en découle dans la conscience post-almohadienne une autre proposition : "Nous sommes musulmans donc nous sommes parfaits". Syllogisme funeste qui sape toute perfectibilité dans l'individu, en neutralisant en lui tout souci de perfectionnement. Jadis Omar ibn al-Khattab faisait régulièrement son examen de conscience et pleurait souvent sur ses "fautes". Mais il y a longtemps que le monde musulman a cessé de s'inquiéter de possibles cas de conscience. On ne voit plus qui que ce soit s'émouvoir d'une erreur, d'une faute. Parmi les classes dirigeantes règne la plus grande quiétude morale. On ne voit aucun dirigeant faire son mea culpa. C'est ainsi que l'idéal islamique; idéal de vie et de mouvement a sombré dans l'orgueil et particulièrement dans la suffisance du dévot qui croit réaliser la perfection en faisant ses cinq prières quotidiennes sans essayer de s'amender ou de s'améliorer : il est irrémédiablement parfait, Parfait comme la mort et comme le néant. Tout le mécanisme psychologique du progrès de l'individu et de la société se trouve faussé par cette morne de satisfaction de soi. Des êtres immobiles dans leur médiocrité et dans leur perfectible imperfection deviennent ainsi l'élite d'une société morale d'une société où la vérité n'a enfanté qu'un nihilisme. La différence est essentielle entre la vérité, simple concept théorique éclairant un raisonnement abstrait, et la vérité agissante qui inspire des actes concrets. La vérité peut même devenir néfaste, en tant que facteur sociologique, lorsqu'elle n'inspire plus l'action et la paralyse, lorsqu'elle ne coïncide plus avec les mobiles de la transformation, mais avec les alibis de la stagnation individuelle et sociale. Elle peut devenir l'origine d'un monde paralytique que Renan et Lamennais dénonçaient en disant que l'islam "pourrait devenir une religion de stagnation et de régression". »

 

« Quand une société primitive met des tabous autour de ses traditions, de ses convictions, de ses goûts, de ses usages, ce qui est risible là-dedans - à supposer qu'il y ait quelque chose de risible - ce n'est pas le tabou mais le vide culturel, l'inculture qu'elle défend, c'est-à-dire l'ensemble de causes qui maintiennent cette société en stagnation. »

 

lorsqu'on a proposé des emploie a malek ibn nabi en france il les a refusé il a préféré donné des cours de formation et d'éducations au travailleurs émigré voila ce qui rassemble intellect et l'estime de soi.jamais on a senti que malek ibn nabi etait un traître ou un arabe de service.

 

fais toi une comparaison entre cet art de la critiques et celle de dessous

 

 

 

"Hirsute, violent, édenté, sale, yeux exorbités, rageur, ongles courbés, intolérant, affamé, cannibale et impossible à fréquenter. C’est le portrait imposé de « l’arabe », alias le musulman de souche, de l’Océan à l’Océan. De quoi vous donner envie de préciser l’essentiel de l’avenir : je suis algérien et pas arabe. Je suis humain et j’ai le choix d’être musulman ou pas. A ma manière, discrètement, entre moi et le ciel, Dieu et le murmure.Car pour le reste, je n’en veux plus ! Je ne veux pas le dire, le répéter, y insister ni le revendiquer, ni le proclamer. Sur la scène de la création vaut mieux se proclamer aujourd’hui extraterrestre que musulman. Car cette nationalité céleste détient désormais le monopole de la bêtise, de la capacité d’être manipulable jusqu’à l’absurde, de l’idiotie, de la détresse et du meurtre et des fatwas surréalistes.

 

Bien sûr ceux qui ont tué l’ambassadeur US, en Libye il y a quelques jours, sont dix ou vingt et ceux qui manifestent contre les ambassades de l’Occident en les incendiant ne sont que quelques milliers sur le total du milliard mais n’empêche : les autres se taisent, reculent, ne disent rien et laisse faire ou regardent ailleurs. Du coup, les arabes/musulmans n’ont pas la nationalité du plus intelligent mais celle du plus fou de leur village. Du coup, il faut assumer la confusion puisqu’on la laisse faire. Puisqu’on préfère culpabiliser devant les islamistes. Puisqu’on choisit de s’exiler pour leur laisser les pays. Puisqu’on n’ose pas leur répondre, qu’on s’écrase, qu’on acquiesce et qu’on glisse avec eux sur leur pente folle de leur interprétation moyenâgeuse du sacré. Puisqu’aussi on n’ose même plus écrire un mot sur eux chez soi et qu’on leur concède le droit de parler en notre nom, avec l’Occident et avec Dieu et même avec nos femmes et nos corps....."

 

ca donne meme pas l'envie de continué a lire c'est de la vulgarité littéraire un rengaine dégouttant un copier coller hérité d'une bouche a l'autre aucun innovation c'est fade une perception borgne MONOCULAIRE qui ne critique pas mais qui cible une catégorie bien précis ca donne l’impression qu'il met ses capacités (d'intellect) et d'écriture au service des colons ceux la qui ont utilisé ces termes vulgaire lors de la colonisation contre les habitants autochtones.

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qui a tué la démocratie en Algérie ? les militaires affairistes, les militaires putchistes et ou les islamistes terroristes, integristes, vociférateurs et contre les libertés ?

et bien NON NON ET NON, celui qui a tué la Démocratie en Algérie, ce sont les DEMOCRATES les demokhrates comme a dit le poète,

si des gens sincères, honnetes, éclairés, bien élevés, se seraient revendiqué de la Démocratie, elle aura été appliquée en algérie malgré tout ce qu'on a connu

pourquoi ? parce que le peuple, aussi bete et ignorant soit il, voit d'abord l'exemple, et hélas, les Kamel Daoud, bien qu'ils aient raison pratiquement sur chaque mot, se révèlent TOUT sauf le BON EXEMPLE à suivre aux Algériens, paradoxe ? oui, je viens de l'expliquer

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et bien NON NON ET NON, celui qui a tué la Démocratie en Algérie, ce sont les DEMOCRATES les demokhrates comme a dit le poète,

si des gens sincères, honnetes, éclairés, bien élevés, se seraient revendiqué de la Démocratie, elle aura été appliquée en algérie malgré tout ce qu'on a connu

pourquoi ? parce que le peuple, aussi bete et ignorant soit il, voit d'abord l'exemple, et hélas, les Kamel Daoud, bien qu'ils aient raison pratiquement sur chaque mot, se révèlent TOUT sauf le BON EXEMPLE à suivre aux Algériens, paradoxe ? oui, je viens de l'expliquer

 

Plus simpliste que ça tu meurs... En même temps pour quelqu'un qui cite le Népal comme modèle suivre... Pas très crédible...

 

Le Peuple algérien ne suivra pas un Kamel Daoud parce qu'on lui a embobiné le cerveau lui faisant croire que les laïques, ou tout simplement les non-religieux, sont les ennemis de la nation au solde des juifs et des Occidentaux.

 

Kamel Daoud n'a pas les moyens du pouvoir algérien pour défendre ses idées, il n'a pas 800 milliard de dollar, une Ecole publique, des medias lourds, des milliers de mosquées et des dizaines de télés et de journaux à sa disposition pour lui présenter un autre son de cloche...

 

Mais t'as raison le Népal is good...

 

Les blog conspirationnistes, ça rend....

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Plus simpliste que ça tu meurs... En même temps pour quelqu'un qui cite le Népal comme modèle suivre... Pas très crédible...

 

Le Peuple algérien ne suivra pas un Kamel Daoud parce qu'on lui a embobiné le cerveau lui faisant croire que les laïques, ou tout simplement les non-religieux, sont les ennemis de la nation au solde des juifs et des Occidentaux.

 

Kamel Daoud n'a pas les moyens du pouvoir algérien pour défendre ses idées, il n'a pas 800 milliard de dollar, une Ecole publique, des medias lourds, des milliers de mosquées et des dizaines de télés et de journaux à sa disposition pour lui présenter un autre son de cloche...

 

Mais t'as raison le Népal is good...

 

Les blog conspirationnistes, ça rend....

 

 

Kamel Daoud est l'arbre qui cache la foret des "démocrates" algériens depuis les années 90, quand on ne comprend pas quelque chose, on accuse ou on insulte, ou on essaie de discréditer, complotistes, etc etc, tu parles !

en réalité, le mot "démokhrate" a un sens profond, trés peu de gens l'ont véritablement analysé, normal, ils sont à occuper à hurler aprés les integristes, et maintenant contre Daech, alors que le plus simple serait qu'on soit de VRAIS DEMOCRATES tout simplement, ce n'était pas le cas en algérie pendant les années noires, et c'est toujours pas le cas de nos jours, avec l'épisode des caricatures et charlie hebdo, la contamination des démokhrates a essaimé le monde entier

tu peux m'accuser ya minouche de tout ce que tu voudras, il ne reste dans l'oued que ses pierres, wa el fahem yafhem :cool:

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Le site du prestigieux quotidien américain The New York Times a publié mercredi un long article consacré au romancier et journaliste algérien Kamel Daoud, plusieurs fois primé.

 

Titré "Stranger Still" (Étranger toujours), cet article à paraître le 5 avril dans le supplément hebdomadaire The New York Times Magazine, présente le parcours personnel, littéraire et journalistique de Kamel Daoud, rencontré en janvier dernier à Oran par le journaliste américain Adam Shatz .

 

En plus de rapporter cette rencontre avec un écrivain qui "défend avec intrépidité (dans son roman et ses chroniques) la cause de la liberté individuelle", l'auteur propose également une lecture de son roman "Meursault, contre-enquête", publié en Algérie en 2013 puis en France où il a été finaliste au prix Goncourt.

 

Dans ce premier roman, Kamel Daoud reprend l'histoire de l'assassinat commis par le personnage polémique de "L’Étranger" d'Albert Camus, en livrant une version du meurtre racontée, d'un point vue algérien, par le frère de "l'Arabe" assassiné.

 

Dans cet article qui tient à la fois des impressions de voyage et de l'entretien, le critique littéraire aborde, par ailleurs, le contexte politique et historique algérien pour éclairer sur les prises de position de Kamel Daoud dans ses chroniques de presse.

 

L'auteur de l'article revient aussi sur les menaces proférées contre l'écrivain algérien en faisant intervenir plusieurs personnalités littéraires, journalistiques et politiques qui expriment des avis divergents sur les prises de position de Daoud, tout en s'accordant sur son talent d'écrivain.

 

Salué par la critique et la presse en Algérie comme en France, "Meursault, contre enquête" avait reçu en 2014 plusieurs distinctions dont le Prix François Mauriac de l'Académie Française, le Prix des Cinq continents, décerné par l'Organisation internationale de la francophonie, et le Prix "Escale littéraire" d'Alger, décerné par des écrivains et journalistes algériens et français.

 

Le roman "Meursault, contre-enquête" de Kamel Daoud paraîtra en juin aux Etats-Unis

 

La traduction en anglais du roman "Meursault, contre-enquête" de l'écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud, finaliste au Goncourt, paraîtra en juin prochain chez "Other Press", une maison d'édition de New-York, indique l'éditeur américain sur son site Internet.

 

Sous le titre de "The Meursault Investigation", cette traduction du premier roman de Kamel Daoud a été réalisée par John Cullen, traducteur entre autre du Français Philippe Claudel et récompensé en 2010 du "Independant Foreing Fiction Prize", un prix annuel décerné par l'influent journal britannique "The Independant".

 

Créée en 1998 à New-York, la maison d'édition Other Press s'est d'abord spécialisée dans les ouvrages académiques et les livres de psychanalyse, avant de s'ouvrir à la littérature.

 

Source Huffing Post

 

Un apprenti-sioniste enfin reconnu par les maîtres sionistes ???

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Kamel Daoud n'a pas les moyens du pouvoir algérien pour défendre ses idées, il n'a pas 800 milliard de dollar, une Ecole publique, des medias lourds, des milliers de mosquées et des dizaines de télés et de journaux à sa disposition pour lui présenter un autre son de cloche...

 

Les seules idées de ce bonhomme sont des insultes à l'arabité et à l'islam (donc à l'Algérianité réelle) couplées à une soumission intellectuelle totale au sionisme !!

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Les seules idées de ce bonhomme sont des insultes à l'arabité et à l'islam (donc à l'Algérianité réelle) couplées à une soumission intellectuelle totale au sionisme !!

 

je dois reconnaitre que perso, j'adorais lire les chroniques de Kamel Daoud comme celles de chawki amari, deux excellents chroniqueurs de la presse dz, mais au fur et à mesure, je n'arrivais pas à admettre certains betises entre deux lignes, surtout depuis le printemps arabe, et avec la poussée des Daech etc, alors le Kamel Daoud a carrément pété les plombs, au lieu de reflechir, c'est son role normalement, il n'a fait que répéter les conneries des Said Sadi et autres éradicateurs démokhrates qui ont ramené à souhait de l'eau au moulin à tous les escrocs ( militaires, mafieux, integristes islamistes )

ceci dit, cette "ligne" celle que je crois défendre est celle du FFS et d'Ait Ahmed trés précisement et de quelques rares intellectuels algériens ( Lahouari Addi, salima GHEZALI ) dont trés peu de "demokhrates" algériens comprennent, incultes meme travaillant zaama avec un ordinateur :mdr:

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"domaine littéraire" voila l'intersection qui sépare nos angles de vue:)

 

je préfère l'analyse pour contesté les compétences La situation actuelle nous oblige de filtré et reconstituer le concept de l'efficacitécertains écrivains ont rédigé des ouvrages précieux indispensable de valeur pour un intérêt générale ils n'ont pas fait de la critique un vice de service.

prenant l'exemple de malek ibn nabi ce grand écrivain qui a laissé ses empreintes sa critique etait constructif et non destructif qui fait étendre la déchirure dans une société et faire allonger ses ampleurs il bâtissait et ne détruisait pas il donné des cours d'organisation contre l'anarchie il rétabli ce qui a deja été édifier pourtant la majorité de ses réflexions les a consacré sur la société arabo musulman sans insulte ni vulgarité une preuve du talent de maître.voici quelques exemple sur l'art de la critique que nous ne croisons jamais dans les rédactions de ces écrivains en carton car la sagesse reste le seul concepts qui ne l'ont jamais côtoyé.

 

 

« La plus grave parmi les paralysies, celle qui détermine dans une certaine mesure les deux autres (sociale et intellectuelle), c'est la paralysie morale. Son origine est connue : "L'islam est une religion parfaite. Voilà une vérité dont personne ne discute. Malheureusement il en découle dans la conscience post-almohadienne une autre proposition : "Nous sommes musulmans donc nous sommes parfaits". Syllogisme funeste qui sape toute perfectibilité dans l'individu, en neutralisant en lui tout souci de perfectionnement. Jadis Omar ibn al-Khattab faisait régulièrement son examen de conscience et pleurait souvent sur ses "fautes". Mais il y a longtemps que le monde musulman a cessé de s'inquiéter de possibles cas de conscience. On ne voit plus qui que ce soit s'émouvoir d'une erreur, d'une faute. Parmi les classes dirigeantes règne la plus grande quiétude morale. On ne voit aucun dirigeant faire son mea culpa. C'est ainsi que l'idéal islamique; idéal de vie et de mouvement a sombré dans l'orgueil et particulièrement dans la suffisance du dévot qui croit réaliser la perfection en faisant ses cinq prières quotidiennes sans essayer de s'amender ou de s'améliorer : il est irrémédiablement parfait, Parfait comme la mort et comme le néant. Tout le mécanisme psychologique du progrès de l'individu et de la société se trouve faussé par cette morne de satisfaction de soi. Des êtres immobiles dans leur médiocrité et dans leur perfectible imperfection deviennent ainsi l'élite d'une société morale d'une société où la vérité n'a enfanté qu'un nihilisme. La différence est essentielle entre la vérité, simple concept théorique éclairant un raisonnement abstrait, et la vérité agissante qui inspire des actes concrets. La vérité peut même devenir néfaste, en tant que facteur sociologique, lorsqu'elle n'inspire plus l'action et la paralyse, lorsqu'elle ne coïncide plus avec les mobiles de la transformation, mais avec les alibis de la stagnation individuelle et sociale. Elle peut devenir l'origine d'un monde paralytique que Renan et Lamennais dénonçaient en disant que l'islam "pourrait devenir une religion de stagnation et de régression". »

 

« Quand une société primitive met des tabous autour de ses traditions, de ses convictions, de ses goûts, de ses usages, ce qui est risible là-dedans - à supposer qu'il y ait quelque chose de risible - ce n'est pas le tabou mais le vide culturel, l'inculture qu'elle défend, c'est-à-dire l'ensemble de causes qui maintiennent cette société en stagnation. »

 

lorsqu'on a proposé des emploie a malek ibn nabi en france il les a refusé il a préféré donné des cours de formation et d'éducations au travailleurs émigré voila ce qui rassemble intellect et l'estime de soi.jamais on a senti que malek ibn nabi etait un traître ou un arabe de service.

 

fais toi une comparaison entre cet art de la critiques et celle de dessous

 

 

 

"Hirsute, violent, édenté, sale, yeux exorbités, rageur, ongles courbés, intolérant, affamé, cannibale et impossible à fréquenter. C’est le portrait imposé de « l’arabe », alias le musulman de souche, de l’Océan à l’Océan. De quoi vous donner envie de préciser l’essentiel de l’avenir : je suis algérien et pas arabe. Je suis humain et j’ai le choix d’être musulman ou pas. A ma manière, discrètement, entre moi et le ciel, Dieu et le murmure.Car pour le reste, je n’en veux plus ! Je ne veux pas le dire, le répéter, y insister ni le revendiquer, ni le proclamer. Sur la scène de la création vaut mieux se proclamer aujourd’hui extraterrestre que musulman. Car cette nationalité céleste détient désormais le monopole de la bêtise, de la capacité d’être manipulable jusqu’à l’absurde, de l’idiotie, de la détresse et du meurtre et des fatwas surréalistes.

 

Bien sûr ceux qui ont tué l’ambassadeur US, en Libye il y a quelques jours, sont dix ou vingt et ceux qui manifestent contre les ambassades de l’Occident en les incendiant ne sont que quelques milliers sur le total du milliard mais n’empêche : les autres se taisent, reculent, ne disent rien et laisse faire ou regardent ailleurs. Du coup, les arabes/musulmans n’ont pas la nationalité du plus intelligent mais celle du plus fou de leur village. Du coup, il faut assumer la confusion puisqu’on la laisse faire. Puisqu’on préfère culpabiliser devant les islamistes. Puisqu’on choisit de s’exiler pour leur laisser les pays. Puisqu’on n’ose pas leur répondre, qu’on s’écrase, qu’on acquiesce et qu’on glisse avec eux sur leur pente folle de leur interprétation moyenâgeuse du sacré. Puisqu’aussi on n’ose même plus écrire un mot sur eux chez soi et qu’on leur concède le droit de parler en notre nom, avec l’Occident et avec Dieu et même avec nos femmes et nos corps....."

 

ca donne meme pas l'envie de continué a lire c'est de la vulgarité littéraire un rengaine dégouttant un copier coller hérité d'une bouche a l'autre aucun innovation c'est fade une perception borgne MONOCULAIRE qui ne critique pas mais qui cible une catégorie bien précis ca donne l’impression qu'il met ses capacités (d'intellect) et d'écriture au service des colons ceux la qui ont utilisé ces termes vulgaire lors de la colonisation contre les habitants autochtones.

 

J'aime bien que tu cites Malek Bennabi que tu n'as pas dû d'ailleurs lire .. ou bien lire ..et que tu le compare à Kamel Daoud .. que tu méprises tant .. et que t'arrives même pas à lire...

 

refaisons donc une petite lecture de ces passages que tu cites ..

 

-Son origine est connue (Malek Bennabi parlant ici de la paralysie morale ..que subit la société arabo-musulmane) .. : "L'islam est une religion parfaite. Voilà une vérité dont personne ne discute. Malheureusement il en découle dans la conscience post-almohadienne une autre proposition : "Nous sommes musulmans donc nous sommes parfaits" ..Malek Bennabi traite ces proposition de "Syllogisme funeste qui sape toute perfectibilité dans l'individu, en neutralisant en lui tout souci de perfectionnement" ..

 

La croyance donc, en un islam parfait, .. par extension tout musulman est parfait, entraînera que " tout mécanisme psychologique du progrès de l'individu et de la société se trouve faussé par cette morne de satisfaction de soi. Des êtres immobiles dans leur médiocrité et dans leur perfectible imperfection deviennent ainsi l'élite d'une société morale d'une société où la vérité n'a enfanté qu'un nihilisme" ..selon ses dires encore que tu cites ...

 

revenons maintenant à Kamel Daoud .. dans l'une de ses chroniques que tu cites .. "Hirsute, violent, édenté, sale, yeux exorbités, rageur, ongles courbés, intolérant, affamé, cannibale et impossible à fréquenter. C’est le portrait imposé de « l’arabe », alias le musulman de souche, de l’Océan à l’Océan..."

faudrait comprendre ce "imposé" déjà ...

 

plus loin dans cette même chronique ...""Et qu’on ne vienne pas dire ensuite que tout le monde ne ressemble pas à tout le monde. Qui ne tue pas, consent. Qui ne dit rien, approuve. Qui croit que ces gens là ont raison, mais seulement pas dans les manières, les aide" en parlant de ces sanguinaires...de tous les fous d'allah ...

 

ces deux hommes, ne disent ils pas finalement la même chose .. chacun avec sa langue, ..Un Malek Bennabi ..penseur ..traitant de civilisation, de culture, d'idéologie .. écrivain, dans son style analytique littéraire mesuré et pondéré ... et un Kamel Daoud ..journaliste, chroniqueur, donc un style assez direct .. réagissant à une actualité à chaud, journalisme oblige... la difference est très subtile pour être perçue par certains "haineux", .. qui peuvent se reconnaître dans les propos crus de Kamel Daoud ..

 

.......ca donne meme pas l'envie de continué a lire c'est de la vulgarité littéraire un rengaine dégouttant un copier coller hérité d'une bouche a l'autre aucun innovation c'est fade une perception borgne MONOCULAIRE qui ne critique pas mais qui cible une catégorie bien précis ca donne l’impression qu'il met ses capacités (d'intellect) et d'écriture au service des colons ceux la qui ont utilisé ces termes vulgaire lors de la colonisation contre les habitants .autochtones.......

 

cet autre paragraphe de Malek Bennabi .. que tu cites encore .. te répond très bien ..

 

"La vérité peut même devenir néfaste, en tant que facteur sociologique, lorsqu'elle n'inspire plus l'action et la paralyse, lorsqu'elle ne coïncide plus avec les mobiles de la transformation, mais avec les alibis de la stagnation individuelle et sociale. Elle peut devenir l'origine d'un monde paralytique que Renan et Lamennais dénonçaient en disant que l'islam "pourrait devenir une religion de stagnation et de régression"

 

En fait tes idées dans tes posts .. en sont l'illustration parfaite ...ça pourrait bien être l'exemple de cette stagnation que craint Malek Bennabi, ..et le paragraphe dessus, .. que toi même tu as posté ... répond très bien à ce que tu dis ....

 

Ainsi va des copier coller qu'on ne lit pas ..

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J'aime bien que tu cites Malek Bennabi que tu n'as pas dû d'ailleurs lire .. ou bien lire ..et que tu le compare à Kamel Daoud .. que tu méprises tant .. et que t'arrives même pas à lire...

 

 

-oui je ne l'ai jamais lu c'est la raison pour laquelle je l'est cité,il n'y'a que vous qui avez ce don d'habilité de pouvoir ouvrir un livre, tourne une page, se fige une seconde et venir prêché sur fa nous on est pas capable non on vous attend comme nous attendons un nuage qui passe pour nous abreuvé d'eau.

 

refaisons donc une petite lecture de ces passages que tu cites ..

 

-Son origine est connue (Malek Bennabi parlant ici de la paralysie morale ..que subit la société arabo-musulmane) .. : "L'islam est une religion parfaite. Voilà une vérité dont personne ne discute. Malheureusement il en découle dans la conscience post-almohadienne une autre proposition : "Nous sommes musulmans donc nous sommes parfaits" ..Malek Bennabi traite ces proposition de "Syllogisme funeste qui sape toute perfectibilité dans l'individu, en neutralisant en lui tout souci de perfectionnement" ..

 

La croyance donc, en un islam parfait, .. par extension tout musulman est parfait, entraînera que " tout mécanisme psychologique du progrès de l'individu et de la société se trouve faussé par cette morne de satisfaction de soi. Des êtres immobiles dans leur médiocrité et dans leur perfectible imperfection deviennent ainsi l'élite d'une société morale d'une société où la vérité n'a enfanté qu'un nihilisme" ..selon ses dires encore que tu cites ...

 

revenons maintenant à Kamel Daoud .. dans l'une de ses chroniques que tu cites .. "Hirsute, violent, édenté, sale, yeux exorbités, rageur, ongles courbés, intolérant, affamé, cannibale et impossible à fréquenter. C’est le portrait imposé de « l’arabe », alias le musulman de souche, de l’Océan à l’Océan..."

faudrait comprendre ce "imposé" déjà ...

 

plus loin dans cette même chronique ...""Et qu’on ne vienne pas dire ensuite que tout le monde ne ressemble pas à tout le monde. Qui ne tue pas, consent. Qui ne dit rien, approuve. Qui croit que ces gens là ont raison, mais seulement pas dans les manières, les aide" en parlant de ces sanguinaires...de tous les fous d'allah ...

 

ces deux hommes, ne disent ils pas finalement la même chose .. chacun avec sa langue, ..Un Malek Bennabi ..penseur ..traitant de civilisation, de culture, d'idéologie .. écrivain, dans son style analytique littéraire mesuré et pondéré ... et un Kamel Daoud ..journaliste, chroniqueur, donc un style assez direct .. réagissant à une actualité à chaud, journalisme oblige... la difference est très subtile pour être perçue par certains "haineux", .. qui peuvent se reconnaître dans les propos crus de Kamel Daoud ..

 

-qu'est ce que tu es entraine de me corrigé? dans toi le temps de lire avant de précipité les critiques.c'est moi qui a posté les rédactions des deux écrivains et c'est moi qui a demandé de faire la comparaison,si j'ai posté les deux rédaction c'est pour cette raison meme d'analysé et je l'ai bien précisé " pourtant la majorité de ses réflexions les a consacré sur la société arabo musulman sans insulte ni vulgarité" les deux critiquent le meme objet mais pas de la meme façon la différenciation parait clair.non il ne disent pas la meme chose le premier détient l'art d'analysé avec précision intelligible sans vulgarité le second donne l’impression d'un gamin de la rue qui est entraine de nous insulté aucun respect a la littérature ni au lecteurs il est tout simplement impoli mal éduqué.presque dans tout ses rédactions la meme vulgarité j'en déduis meme que si une fois il cesse d'insulté il rédigera pas une seul rédaction.

 

-ca te dérange que les gens emploient sa façon de critiqué et le visé ?ca te dérange pas que lui use de cette façon la?lui qui est vulgaire garde son stade d'écrivains qui a un style particulier et ceux qui le critiquent de la meme façon que lui sont des haineux? avoir un minimum d'honnêteté nous évite la mauvaise foi de deux poids deux mesure.

 

 

 

 

 

.......ca donne meme pas l'envie de continué a lire c'est de la vulgarité littéraire un rengaine dégouttant un copier coller hérité d'une bouche a l'autre aucun innovation c'est fade une perception borgne MONOCULAIRE qui ne critique pas mais qui cible une catégorie bien précis ca donne l’impression qu'il met ses capacités (d'intellect) et d'écriture au service des colons ceux la qui ont utilisé ces termes vulgaire lors de la colonisation contre les habitants .autochtones.......

 

cet autre paragraphe de Malek Bennabi .. que tu cites encore .. te répond très bien ..

 

"La vérité peut même devenir néfaste, en tant que facteur sociologique, lorsqu'elle n'inspire plus l'action et la paralyse, lorsqu'elle ne coïncide plus avec les mobiles de la transformation, mais avec les alibis de la stagnation individuelle et sociale. Elle peut devenir l'origine d'un monde paralytique que Renan et Lamennais dénonçaient en disant que l'islam "pourrait devenir une religion de stagnation et de régression"

 

En fait tes idées dans tes posts .. en sont l'illustration parfaite ...ça pourrait bien être l'exemple de cette stagnation que craint Malek Bennabi, ..et le paragraphe dessus, .. que toi même tu as posté ... répond très bien à ce que tu dis ....

 

Ainsi va des copier coller qu'on ne lit pas ..

cette critique ne vient pas de toi elle vient d'un astre de la sociologie dont je respect bcp je l'accepte avec un coeur ouvert sauf que si moi j'ai posté ses dires ce n'est surtout par pour le comparé a mes attitudes mais précisément pour le mesuré a cette intellos en carton que tu essaie de blanchir en détournant l'intention pour lequel j'ai choisit soigneusement ces deux article qui s'assemblent dans le meme concepts de la critique est qui se séparent devant la sage parole dans la critique.

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-oui je ne l'ai jamais lu c'est la raison pour laquelle je l'est cité,il n'y'a que vous qui avez ce don d'habilité de pouvoir ouvrir un livre, tourne une page, se fige une seconde et venir prêché sur fa nous on est pas capable non on vous attend comme nous attendons un nuage qui passe pour nous abreuvé d'eau.

 

 

 

Garde ton attente.. pour tes muftis et autres conspirationnistes... Moi je n'en ai nul besoin..

 

Pour le reste ... C'est bien ce que je disais... Tu n'as lu , ni compris... Ni l'un ni l'autre...

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AU NON DU POUVOIR

Intellectuelle ou pas

gratte papier comme bien d'autre chose

 

LE MOI

 

ET LE JE

 

PRENNENT POUVOIR

 

Et on ne maitrise plus , on que dans cette logique

surtout si on est élus par ses électeurs comme dans le cas de ceux qui écrivent

ou eux ont la partie belle puisque ils sont atteint du syndrome ... et ils sont solliciter a cause de leur plume qui seduit

INSULTES ou VOYEURS

VOIR JUSTE

DECORTIQUEMENT

ect...

 

ces choses je les ai mem vue au syndicat en France ou je fut menacer de mort par un CFTC

si lui n'etait pas réélu dans une entreprise

 

 

de même esprit sont les écrivains les idéologue les penseurs , les scientifiques les philosophes les enseignants les esprit moderne et se disputant l'idée et et l'avis il desire avoir OPINION SUR RUE

 

en Algerie a cause de l'absence d'elite et de structures prennant en charge la structuration d'une societé

donc on a eut que des cartes blanches donner ICI ET LA

 

et des intellos avait opinion

pour ne rpononcer que par manigance afin d'en etre et le prince et le roi des chose

donc DAOUD ou pas

 

on charche uine vois de passege pour assurer et garantir son pain et sa reconnaissance

en l'asoyant meme en s'associant avec le diable

c'est pourquoi BONJOUR les harkis en, algerie

 

on se met du coté du plus fort

 

et aujourdhui la moitié de nos en fant sont des indic aux service de al France et des granbde puissance copmme DAECH et els autre car IL LES FINANCE comme ils ont finance le FIS en Algerie

 

ALORS BONJOUR LA BESSCOURS

de tout coté on entend plus que ca un air qui nous viens de la bas

 

un air qui nous fait du Degas et vous prendra comme moi

 

TWIST IN TWIST

 

Attention a celui qui vous raconte l'histoire

Soit il vous endort

Soit il vit a vos dépend dans tout les cas

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Ça prouve surtout qu'on est un vrai mouton !!!

 

non non et non, Kamel Daoud n'est pas ce qu'on appelle un "mouton", ça pullule par içi ( anti conspirationnistes zaama :D:D:D )

moi il me rappelle une autre bete, le Mougeon ! c'est nouveau, ça vient de sortir, enfin presque, pour ceux qui s'interessent au sujet, ou à la rigueur, les intrigue, c'est un mot assemblage, entre Mouton et Pigeon

le Kamel DAOUD s'est fait...... pigeonner, d'abord par les integristes du FIS et ensuite par les laicos assimilisationistes de mes deux :cool:

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non non et non, Kamel Daoud n'est pas ce qu'on appelle un "mouton", ça pullule par içi ( anti conspirationnistes zaama :D:D:D )

moi il me rappelle une autre bete, le Mougeon ! c'est nouveau, ça vient de sortir, enfin presque, pour ceux qui s'interessent au sujet, ou à la rigueur, les intrigue, c'est un mot assemblage, entre Mouton et Pigeon

le Kamel DAOUD s'est fait...... pigeonner, d'abord par les integristes du FIS et ensuite par les laicos assimilisationistes de mes deux :cool:

 

C'est vrai qu'il faut être un sacré zygoto intellectuel pour passer d'un extrême à un autre même si ces 2 extrêmes ne sont que deux des facettes judéo-maçonniques .

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