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Paris Alger,une histoire passionelle


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Les bonnes affaires immobilières de nos ministres à Paris

20:30 vendredi 10 avril 2015 | Par Neila Latrous, @Neila | Actualité

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Le livre promet d’être un pavé dans la mare. TSA se l’est procuré en exclusivité. « Paris Alger, une histoire passionnelle » sort en France le 15 avril prochain. L’essai de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, deux journalistes de TF1 et le JDD, explore les relations dangereuses entre la France et l’Algérie. Et se penche notamment sur les bonnes affaires immobilières de certains hauts responsables algériens. Le chapitre 3, « Alger-sur-Seine », s’intéresse notamment aux acquisitions immobilières de ministres ou anciens ministres.

 

« Le lundi 26 juin 2006, Abdessalem Bouchouareb a rendez-vous boulevard Saint-Germain à Paris dans une étude notariale de renom, racontent les auteurs. Il vient de conclure l’achat d’un bien. » Avant de raconter que les deux lots acquis par le ministre de l’Industrie, 156 mètres carrés évalués à plus de trois millions d’euros aujourd’hui, ont été réglés par un versement comptant de 580.000 euros, et un prêt relais d’un an de 600.000 euros.

 

Interrogé par les auteurs, Abdesselem Bouchouareb dit ne rien avoir à cacher, mais sans dévoiler les fonds. Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet notent que la biographie officielle du ministre ne note aucune activité privée de nature à justifier le gain de telles sommes.

 

Le livre évoque aussi les cas de Cherif Rahmani. Ancien voisin parisien de Bouchouareb, il serait propriétaire d’un appartement dans le très chic 16e arrondissement de Paris. Là encore, la provenance des fonds reste inexpliquée. Le premier ministre Abdelmalek Sellal est cité mais à travers un membre de sa famille.

 

Le livre cite d’autres noms que nous vous livrerons prochainement. L’enquête de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet contient des révélations sur l’affaire Khalifa, sur l’assassinat d’Hervé Gourdel, ainsi que sur les « arrangements » des gouvernements français avec l’Algérie.

 

TSA publiera régulièrement ces prochains jours des extraits du livre.

 

 

Les bonnes affaires immobilières des ministres algériens à Paris | Le Libre Penseur

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Comprendre la « FrançAlgérie » en trois exemples

 

09:57 dimanche 12 avril 2015 | Par Neila Latrous @Neila | Actualité

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« Paris Alger, une histoire passionnelle » sort en France le 15 avril prochain (lire les bonnes feuilles du livre). L’essai de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, deux journalistes de TF1 et le JDD, explore les relations dangereuses entre la France et l’Algérie. Et notamment le concept de « FrançAlgérie », un terme à connotation péjorative créé pour dénoncer l’action néocoloniale prêtée à la France en Algérie. Voici trois exemples pour comprendre.

 

François Hollande, avocat du FLN

 

Les liens sont anciens. Ancrés. Très politiques. Ils ont été noués en juillet 2006. François Hollande, alors premier secrétaire du Parti Socialiste (PS) en France, songe à se lancer dans la course présidentielle. Les relations entre le gouvernement français et l’Algérie sont glaciales, en grande partie à cause de Nicolas Sarkozy. Les socialistes, eux, misent notamment sur le vote musulman pour revenir au pouvoir. François Hollande saute dans un avion, direction Alger ! « Il est alors accueilli avec les fastes d’un chef d’Etat par le président Bouteflika, qui le reçoit pendant trois heures, écrivent Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet. S’il est reçu avec autant d’honneurs, c’est aussi parce que le premier secrétaire du PS va devenir le meilleur avocat du FLN pour son adhésion à l’Internationale Socialiste ».

A l’époque, le FFS, seul membre algérien de cette IS (International Socialiste), s’oppose fermement à ce qu’un parti de la majorité, qui cautionne la dérive autoritaire du régime, puisse rejoindre ce club de sociaux-démocrates, socialistes et travaillistes. Mais François Hollande n’en a cure : il se rapproche du chef de gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, et promet de peser de tout son poids. « Le PS, au-delà de toute question éthique, cherche à reprendre pied en Algérie » expliquent les auteurs. Au point de s’opposer « à des résolutions visant à dénoncer les violences commises en Algérie », accuse Karim Tabbou dans le livre.

A l’approche de la présidentielle de 2012, François Hollande réitère sa démarche. « Nous avions en tête que les Français d’origine algérienne manifestaient leur intérêt pour les élections », confie Kader Arif, conseiller du futur candidat. Quelques mois avant le scrutin, François Hollande reprend donc attache avec Abdelaziz Belkhadem, et lui promet encore une fois l’adhésion du FLN à l’Internationale Socialiste. Mission accomplie en février 2013, lors d’un congrès de l’IS au Portugal. Entre temps, la gauche a remporté les élections. François Hollande est président de la République.

Collaboration poussée entre les services de renseignement

 

 

Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet l’affirment : « Le ministère de l’Intérieur français reste l’interlocuteur privilégié des Algériens. » Depuis des années, les services secrets des deux pays se parlent et échangent des informations. « Lorsque rien ne va entre les pays, la coopération sécuritaire est la seule qui continue à fonctionner » insistent les auteurs. Bernard Squarcini, ancien directeur du renseignement intérieur en France, raconte ainsi comment ses services ont « surveillé, détecté, puis arrêté » des islamistes désignés par l’Algérie. L’homme est traité avec beaucoup d’égards quand il traverse la Méditerranée. Lors de l’un de ses séjours à Constantine, le wali prend soin de l’emmener voir l’endroit où Bernard Squarcini habitait, enfant, avec ses parents.

La coopération entre l’Algérie et la France est telle que des réunions techniques sont organisées au plus haut niveau ! « Les interlocuteurs des services français sont le général-major Athmane Tartag et le général Hassan » écrivent les deux journalistes. Une source française leur assure que des actions communes sont menées, « notamment des opérations d’infiltration ».

Jacques Chirac court-circuite Hadj-Nacer

 

C’est sans doute le passage le plus éclairant de ce que peut être la « FrançAlgérie. » Il est raconté par l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie, Abderrahmane Hadj-Nacer, qui « se souvient d’une histoire étrange lorsqu’il travaillait à la Présidence algérienne ». L’anecdote est savoureuse et mérite que l’on s’y attarde. Elle date de 1986. La Corée du Sud est alors en quête d’une reconnaissance diplomatique par l’Algérie. L’Algérie n’y est pas opposée, mais souhaite obtenir en contrepartie un prêt à taux faible. Abderrahmane Hadj-Nacer est envoyé à Séoul avec, dit-il, « une lettre de mission très claire. Pas de prêt, pas de contrat, pas de reconnaissance diplomatique ».

Mais les choses ne se passent pas comme prévu : les Sud-coréens hésitent, négocient et font traîner les discussions. Agacé, le jeune conseiller se replie sur Hong Kong … où il découvre qu’entre temps, d’Alger, la reconnaissance diplomatique a bel et bien été accordée et sans aucune contrepartie ! « Une opération parallèle avait été menée par un homme politique français de premier plan » raconte Hadj-Nacer aux auteurs. L’homme en question ne serait autre que Jacques Chirac, qui dans la foulée aurait également négocié l’implantation de Daewoo en Algérie.

« Un chèque de 100.000 dollars aurait été versé à des intermédiaires » accuse Abderrahmane Hadj-Nacer. Le bureau de Jacques Chirac y oppose un démenti ferme.

« Paris-Alger, une histoire passionnelle », Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, Editions Stock, à paraître le 15 avril

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EXCLUSIF

Bouteflika, Toufik, Khalifa… Les bonnes feuilles de « Paris Alger, une histoire passionnelle »

16:04 samedi 11 avril 2015 | Par Rédaction @TSAlgerie | Actualité

TSA publie les bonnes feuilles de « Paris Alger, une histoire passionnelle ».

 

L’essai de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, deux journalistes de TF1 et du JDD, sortira le 15 avril en France. Il contient de nombreuses révélations. Extraits.

 

Khalifa et Bouteflika

 

« Au début des années 2000, selon l’un des ex-cadres du groupe, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, propose à « Moumen » de créer une télévision privée avec des partenaires (français) choisis par le pouvoir. L’offre est formulée par le président algérien dans son bureau, en comité restreint. L’idée séduit Khalifa. Cependant, ce dernier se ravise et annonce qu’il va créer sa propre chaîne, en dehors du Système. « Sans eux, on ne peut rien faire en Algérie », raconte l’un des participants au projet. Khalifa décide de faire de « sa » télévision une arme politique. Il supporte Ali Benflis, Premier ministre de Bouteflika, qui va se présenter contre lui en 2004. Et il se rêve lui-même un destin politique. « Pourquoi pas Premier ministre ? » confie-t-il à des proches. « Ma télévision s’opposait à Bouteflika, en Algérie. J’étais engagé dans une campagne contre lui », confirme Rafik Khalifa.

Dans un document rédigé par lui-même et transmis par les autorités britanniques, il enfonce le clou: il explique avoir utilisé 400000 euros provenant de l’hypothèque sur la villa Bagatelle de Cannes pour « financer des programmes antigouvernementaux pendant les élections algériennes de 2004 ». Dans ce témoignage, où il parle de lui à la troisième personne, il poursuit: « Le président Bouteflika était inquiet que Rafik Khalifa et son groupe deviennent trop puissants, à tel point que le gouvernement algérien a pris des dispositions pour discréditer Rafik Khalifa personnellement et entraî- ner l’effondrement du groupe.

Il dit avoir voulu créer un parti d’opposition, Union pour une nouvelle Algérie (UNA). Il confie au passage sa dépendance à l’alcool, « deux bouteilles de vodka par jour », qui ont « altéré son état mental ». Khalifa est prêt à tout pour déloger Bouteflika. Il dépense des sommes folles (qu’il n’a pas) pour louer des studios à Londres à un oncle de Bachar el-Assad, le président syrien. Il recrute une équipe de quarante journalistes. La chaîne KTV émet quelques mois en 2003, puis ferme. Mais elle redémarre en janvier 2004, au début de la campagne présidentielle algérienne, sous le nom de K-News. L’homme espère la chute de Bouteflika pour se refaire une santé financière ».

Le yacht et les immeubles de Farid Bedjaoui à Paris

 

« Sa silhouette effilée fend les eaux bleues de la Méditerranée. La coque blanche avec sa bande marine lui donne une allure d’oiseau flottant. Le Makira 43-01 entre dans la catégorie des superyachts, ceux que l’on regarde avec des yeux envieux sur les ports de la Côte d’Azur. Le chiffre 43 indique la longueur du bateau en mètres et 01 son numéro de série. Plusieurs sites spécialisés dans la location de ces palaces flottants vantent les performances du modèle. Le luxe absolu: le jacuzzi sur le pont supérieur avec des serviettes siglées au nom du bateau; le vaste salon-salle à manger avec une moquette épaisse; la chambre à coucher avec l’écran plat; le scooter des mers qui attend dans le pont inférieur. Selon la fiche technique du bateau, construit en Italie, il peut embarquer douze plaisanciers et cinq membres d’équipages et voguer jusqu’à 35 nœuds. Un rêve loué 150000 euros la semaine.

 

Début 2014, un groupe de policiers de l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (Ocliff) se présente au port Camille Rayon de Golfe-Juan (Alpes-Maritimes), où le yacht est alors à quai. Ils n’ont ni gilets pare-balles ni fusils d’assaut, mais un simple stylo pour signifier au propriétaire présumé que le bien est désormais gelé. Son nom : Farid Bedjaoui (…).

Outre le superyacht, la justice française a saisi deux immeubles avenue d’Iéna à Paris (16e arrondissement) et une villa à Ramatuelle. Certains de ses biens avaient en fait déjà été revendus et sont considérés comme une créance. Par ailleurs, un complice présumé et ami de Bedjaoui, Omar Habour, 76 ans, est lui aussi visé par la justice fran- çaise : des ensembles immobiliers lui appartenant ont été saisis pour une valeur de 6 millions d’euros. Au total, selon une source proche de l’enquête, cela constitue un patrimoine estimé à 36 millions d’euros. Ces biens avaient fait l’objet d’un signalement de la cellule anti-blanchiment Tracfin en juillet 2013. Farid Bedjaoui et Omar Habour en seraient les bénéficiaires économiques via des sociétés civiles immobilières (SCI) immatriculées au Luxembourg. »

Toufik et les Français

 

« Dans ce Système, le président Abdelaziz Bouteflika représente la partie émergée de l’iceberg. Le général Mohamed Lamine Mediène, 78 ans, alias Toufik, patron des services secrets, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS), incarne, lui, la partie immergée, invisible. Au sens propre. Il n’existe qu’une photo du général, prise il y a de nombreuses années.

L’ancienne Sécurité militaire (SM), qui dépend du ministère de la Défense, a tous les moyens de peser sur les décisions: elle bénéficie d’un maillage unique dans le pays. Pas une entreprise, pas un journal, pas un syndicat… n’échappe à son contrôle. Cette police politique est la spécialiste des coups tordus. Jusqu’à peu, le DRS – qui dépend du ministère de la Défense – pouvait mener des enquêtes judiciaires, notamment sur des faits de corruption. Un instrument puissant pour faire et défaire les ministres et hommes de pouvoir en fonction des intérêts et de l’humeur du jour. Un ancien membre du DRS a ainsi raconté sur procès-verbal en France avoir eu pour mission d’espionner des militaires de haut rang: « Je devais tout photographier. L’idée générale était de photographier les biens des généraux. À cette époque, en 2008-2009, c’est le DRS qui s’est chargé à la place de la police judiciaire de la corruption (…).

En décembre 2011, Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur, annonce son arrivée à Alger. L’ancien secrétaire général de l’Élysée doit rencontrer le ministre de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia. Dans les milieux diplomatiques, l’annonce suscite un certain embarras. Le protocole algérien déclare dans un premier temps ne pas être au courant de ce déplacement. Sous couvert d’une visite consacrée à la coopération administrative avec le ministre de l’Intérieur algérien, le premier flic de France veut – en fait – voir le général Mohamed Lamine Mediène. La théorie du pouvoir visible (le ministre) et invisible (le patron des services secrets). Cependant, la manœuvre française passe mal au niveau algérien, qui trouve le procédé désobligeant. Claude Guéant demande à voir le président, Abdelaziz Bouteflika, qui refuse. « Vous avez choisi votre camp », fait-on comprendre en substance au ministre français (…).

Claude Guéant avait déjà rencontré le tout-puissant patron du DRS à l’Élysée, lorsqu’il était secrétaire général. Lors de l’un de ses déplacements, Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, insistera lui aussi pour le voir ».

Paris-Alger-une-histoire-passionnelle

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Mardi 14 Avril 2015 TSA Algérie

ENTRETIEN

 

Biens mal acquis des Algériens en France : « Il n’y a pas une seule enquête ouverte »

 

16:31**lundi 13 avril 2015*|*Par Propos recueillis par Zahra Rahmouni - @ZahraaRhm*|*Entretiens*

L’essai, cosigné par Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, revient sur les relations entre la France et l’Algérie avec de nombreuses révélations que*vous avez pu découvrir ces derniers jours. Christophe Dubois, journaliste pour TF1 a accepté de répondre aux questions de TSA avant la sortie du livre en France, ce mercredi 15 avril.*Entretien.*

 

Qu’est-ce qui a motivé cette enquête et sur quelle période a-t-elle été menée ?*

 

Cela fait un peu plus d’un an*qu’on mène cette enquête. La motivation vient du constat qu’il existe assez peu d’ouvrages récents sur la relation franco-algérienne ou algéro-française. Il y a beaucoup de livres d’histoire, de récits, de parcours individuels mais il n’y avait pas eu, depuis quelques années un livre qui soit un peu la photographie de ce que sont les relations franco-algériennes aujourd’hui.

 

Pourquoi avoir choisi ce timing pour la sortie du livre ? Près d’un an après la réélection de Bouteflika pour un quatrième mandat….

 

La réponse est dans votre question.*La présidence de Bouteflika*suscite une forme de curiosité depuis la France. On a bien vu que les réactions étaient très mitigées sur ce quatrième mandat. Ce n’est pas un livre sur l’Algérie en tant que telle, mais plus sur l’imbrication des relations entre nos deux pays. C’est une actualité sur laquelle on pouvait rebondir. Dès que l’on parle de l’Algérie en France ou vice versa, on sent bien qu’il y a des réactions relativement exacerbées.

 

 

Dans votre livre, vous expliquez qu’en vertu d’accords plus diplomatiques qu’économiques, la France accepte de payer le gaz algérien 30% plus cher que sa valeur…

 

Tout ce qui touche le sujet de l’énergie entre la France et l’Algérie est extrêmement sensible et fait l’objet de négociations très serrées.

 

C’est vrai que par le passé, la France*a accepté*de payer son gaz plus cher au nom de cette histoire que l’on assume très difficilement en France.*Mais c’était en 1981. Mitterrand voulait réchauffer les relations entre les deux pays. La guerre d’indépendance et la guerre de colonisation ont laissé des traces dans les relations entre les deux pays. Aujourd’hui, ce cas de figure ne pourrait plus se reposer. L’Algérie n’est plus que le*4e*fournisseur de gaz en France.

 

La France ferme-t-elle les yeux sur les «*biens mal acquis*» de responsables algériens en échange de concessions et de marchés publics ?*

 

Ce qui est certain c’est que la France ne paraît pas très curieuse contrairement à ce qui concerne les biens mal acquis d’autres dirigeants africains. Il se trouve qu’il n’y a pas une seule enquête, aujourd’hui, ouverte en France, sur les investissements faits par les dirigeants algériens en France.*On parle de plusieurs milliards d’euros qui sont investis de manière plus ou moins légale donc on peut, a minima, se poser la question de savoir si nous ne sommes pas gênés par rapport à l’Algérie et sa classe dirigeante et si nous ne sommes pas moins regardant que lorsqu’il s’agit d’autres dirigeants.

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TSA Algérie

 

RETOUR DU CRÉDIT À LA CONSOMMATION

 

Le gouvernement au secours de la Renault Symbol

 

17:51**mardi 14 avril 2015*|*Par Massissilia Chafai @Massissiliachaf*|*Actualité*

 

Le Conseil du gouvernement se réunira demain, mercredi 15 avril, a-t-on appris de source gouvernementale. Au menu*de la réunion : les modalités de retour du crédit à la consommation, interdit depuis 2009. Cette fois, seuls les produits «*made in Algeria*» devraient être concernés par cette réintroduction.

 

Parmi les produits concernés figure la Renault Symbol fabriquée en Algérie. Le retour du crédit à la consommation serait même directement lié à l’implantation de l’usine Renault à Oran, affirment Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet, dans leur livre «*Paris Alger, une histoire passionnelle*».

 

 

La France a fait pression

 

«*Le crédit à la consommation*est interdit depuis 2009 en Algérie, par peur de voir les*consommateurs s’endetter outre mesure en achetant*des produits chinois de mauvaise qualité. La France a*fait pression pour qu’il soit restauré au moment de la*sortie des premières voitures (Symbol) en novembre 2014. Un*décret devait être pris avant la fin de l’année 2014, mais*cela n’a pas été fait. Il devait être adopté au printemps*2015*»,*écrivent les deux journalistes dans leur*ouvrage à paraître ce*jeudi en France.

 

Contacté par TSA, ce mardi 14 avril, Christophe Dubois, un des auteurs du livre affirme que les responsables français ont fait clairement comprendre au gouvernement algérien, durant les discussions qu’ils ont eu dans le cadre de l’ouverture de l’usine Renault, qu’ils souhaitaient que le crédit à la consommation soit rétabli. «*Plusieurs personnes m’ont confié que c’était un souhait de la partie française*», explique-t'il.

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Politique, Une

Deux ministres algériens voisins de palier au 23-25, rue Singer dans le 16e arrondissement à Paris

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Décidément, il n’y a pas que Club des Pins où les dirigeants algériens aiment se retrouver et se rassembler. A Paris aussi, les décideurs algériens ont leurs adresses et leurs clubs. Preuve en est, deux ministres algériens ont été voisins de palier au 23-25, rue Singer dans le 16e arrondissement de la prestigieuse capitale française.

Ces deux ministres s’appellent Abdessalem Bouchouareb, l’actuel ministre de l’Industrie et des Mines, et Chérif Rahmani, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports ou de l’Environnement. Les deux hommes sont deux figures importantes et incontournables du RND, le deuxième parti politique le plus influent en Algérie. Deux hommes qui ont longtemps soutenu Abdelaziz Bouteflika depuis son arrivée à la tête de l’Etat algérien en 1999. Chérif Rahmani est connu pour son parcours politique hors norme. Ancien Wali, directeur Général des collectivités locales au Ministère de l’intérieur, inspecteur général à la Présidence de la République, ministres à maintes reprises et dans de nombreux gouvernements successifs Chérif Rahmani est un véritable cacique du régime politique en Algérie.

 

Un cacique fortuné puisqu’il possède au moins 4 appartements parisiens, un patrimoine très considérable, nous apprend ainsi le livre “Paris-Alger, une histoire passionnelle”, écrit par les deux journalistes français Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet. Chérif Rahmani possède ainsi deux appartements à la rue Singer, un autre studio à la rue Sablons, située près du Trocadéro, et un autre studio situé à la rue Lekain. Le patrimoine immobilier parisien de cet ancien ministre et Wali d’Alger peut être encore beaucoup plus important puisque dans l’acquisition de ses biens immobiliers, Chérif Rahmani recourt à des prête-noms pour que son nom n’apparaisse pas.

 

Quoi qu’il en soit, Chérif Rahmani et Abdessalem Bouchoureb possédaient tous les deux jusqu’à 2006, quatre appartements dans l’immeuble du 23-25, rue Singer dans le 16e arrondissement. Il s’agit d’un quartier très chic visité par les touristes pour ses nombreux musées et ses lieux remarquables comme le Trocadéro ou le bois de Boulogne. Il abrite également le plus grand nombre d’ambassades et de consulats de Paris ainsi que des installations sportives célèbres dans le monde entier, comme le Parc des Princes ou le stade Roland-Garros.

 

Chacun de ses deux ministres et dirigeants algériens possédaient deux appartements dans le même immeuble. Ils étaient même voisins de palier. Mais en 2006, Bouchouareb a vendu l’un de ses appartements pour la modique somme de 905 000 euros…

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Politique, Une

El Mouradia : L’épouse de Chérif Rahmani acquiert un bien d’Etat à 20 mille Euros pour le revendre le même jour à 800 mille Euros

Par Abdou Semmar | avril 19, 2015 4:58

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Il n’y a pas qu’à Paris où les dirigeants algériens s’enrichissent grâce à leurs bonnes affaires immobilières. Alger aussi est un terrain de chasse pour cette caste. Preuve en est, le 27 décembre 1998, Chérif Rahmani, à l’époque ministre chargé du gouvernorat du Grand Alger, a acquis, pour une bouchée de pain, un appartement luxueux situé dans le quartier chic d’El Mouradia.

C’est Naili Benaniba, un citoyen français d’origine algérienne, qui révèle cette affaire dans les colonnes du livre “Alger-Paris, une histoire passionnelle”, écrit par les journalistes français Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet. Ce témoin affirme avoir participé à des opérations financières très douteuses. Des opérations auxquelles était associé Chérif Rahmani, l’ancien ministre de l’Aménagement du territoire et de l’environnement et ex-ministre de l’Industrie, de la petite et moyenne entreprise et de la promotion de l’investissement.

 

Naili Benaniba reconnaît avoir servi,en 1998, de prête-nom à Chérif Rhamni pour l’achat d’un appartement de 300 mètres carrés situé au coeur d’El-Mouradia, non loin du Palais présidentiel occupé par Abdelaziz Bouteflika. La transaction s’est élevée à 420 987 DA, environ 4000 Euros. Le 3 juin 2003, cet appartement sera officiellement racheté, cette fois-ci, par l’épouse de Chérif Rahmani, Zoubida Bentahar, pour la somme de 20 mille Euros. Le même jour, Zoubida Bbentahar revend cet appartement pour la somme de 800 mille Euros ! Le couple Rahmani a donc engrangé une plus-value hallucinante. Naili Benaniba assure qu’il devait toucher une commission de 300 mille euros pour avoir servi de prête-nom. Mais il n’a jamais “vu la couleur de cet argent”, témoigne-t-il dans le livre de Christophe Dubois et Marie-Christine Tabet.

 

 

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Hafidh Benabdallah · Infs ain el turc

ils se valent tous et ce n'est un secret pour personne qu'ils se sucrent sur le dos de l'Algérie et des Algériens.Mais jusqu'à quand?

Reply ·

· 5 minutes ago

 

Ghediri Badre-Eddine · Top Commenter · Oum El Bouaghi, Oum El Bouaghi, Algeria

Mr Ben Zair, ce n'est un secret pour personne. Le plus étonnant, pourquoi le pouvoir, pouvoir s'il y a, reste amorphe devant toutes ces révélations? Ne sommes nous pas au bord de l'implosion?

Reply ·

· 28 minutes ago

 

Ben Zair · Top Commenter

******! (excusez le terme). C'est le seul mot qui m'est venu à l'esprit en voyant le nom de Rahmani

Reply ·

· 1 · 2 hours ago

 

Melissa Rachel · Top Commenter · Algiers, Algeria

vraiment du n'impote quoi ces algeriens c'est des traitres dans le sang ils ne vont pas aller loin heureusement que ce n'est pas des confident pour des recherche importante des secret de nucléaire ou autre chose d'important rien que pour des transitions immobiliere n'importe quel citoyen algeien qui a eu la chance d'acheter un bien immobilier queqlue année plus tard on peut le vendre 100 fois plus cher alors arretez de dire n'importe quoi peut etre que ça choque un etranger mais en algerie ça ne me choque pas tout le monde sait que l'immobilier augmente de jour en jour en algerie

Reply ·

· 3 hours ago

 

Wacim Piderman

S'il avait touché sa commission, est ce que cette histoire serait divulguée?

A leur niveau , rien ne m'étonne, ils encouragent même le cha3bi à la malhonnêteté pour mieux vivre.

Reply ·

· 12 hours ago

 

Djilani Rahmoune · Top Commenter · El Oued

Bien fait pour sa gueule , il devrait savoir que preter son nom pour de telles transactions , peut se relever très dangereux pour sa santé , il aurait du savoir que ces " gens " ne sont pas dignes de confiance , et qu ' a la moindre alèrte , c ' est lui qui en subira les conséquences .

Reply ·

· 4 · 19 hours ago

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personnellement ce qui me laisse perplexe, on sait ce qui se passe, on commente , on pose les diagnostic , ceci on sait le faire depuis 1954, et on laisse faire comme si c'etait devenue une evidence inscrite ou presrite dans les genes de tous algériens

 

alors va-t-on continuer a les scruter les observer delapider notre patrimoine et faire ce que bon leur semble sans agir ?

pourquoi ne pas se rassembler en association se porter partie civile et deposer des plaintes, essayons de faire des operations coup de poing contre cette racaille exigeons d'eux de s'expliquer concernant cet enrichissement personnel sur le patrimoine des algériens et les richeses de ce pays

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Vidéo. Biens immobiliers des dirigeants algériens en France : Ce qu’il faut faire pour que la Justice française s’auto-saisisse

 

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Par Abdou Semmar | avril 20, 2015 12:12

 

La justice française ne va pas s’auto-saisir pour enquêter sur les biens immobiliers acquis par les dirigeants algériens en France, si l’Algérie ne dénonce pas ces faits, a averti le journaliste français Christophe Dubois, le co-auteur du livre fracassant, “Paris-Alger, une histoire passionnelle”. Dans une émission spéciale diffusée par la chaîne française LCI, l’auteur de cette enquête portant sur les relations qu’entretiennent les dirigeants français avec la classe dirigeante Algérienne, a estimé qu”on peut difficilement considérer que ce qui a été acheté en France est fait avec de l’argent sale”.

“Il faut que l’Algérie dénonce certains faits liés au blanchiment”, a encore souligné Christophe Dubois. Et tant que ce blanchiment, “conséquence de l’argent détourné en Algérie”, n’est pas dénoncé par l’Algérie et ses autorités, la justice française ne pourra pas faire grand-chose, a conclu Christophe Dubois.

 

Par ailleurs, de nombreux diplomates français, qui ont travaillé et vécu en Algérie, ont confié au co-auteur du livre “Paris-Alger, une histoire passionnelle”, que l’Algérie est un pays gouverné de “manière assez étrange”. “Après Bouteflika, il y aura un Bouteflika-bis”, ont révélé ces mêmes diplomates français à Christophe Dubois qui revient, dans cette vidéo, sur le caractère sombre et mystérieux du régime algérien.

 

Vidéo L?Algérie : aurait-elle une face cachée ? - MYTF1News - Actu / Buzz

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les choses sérieuses commencent à partir de 15min:00

 

J'ai pas vu jusqu'à la fin ...à part les journalistes qui parlent bien,les députés font partie du systéme .... comme il a dit " un voleur ne va pas demander des comptes à d'autres voleurs"....carry on !!!

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Politique, Une

Les appartements parisiens des dirigeants algériens : “Tout a été vérifié au cadastre, avec les notaires”

 

Par Abdou Semmar | avril 23, 2015 5:12

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Les auteurs du livre “Paris-Alger, une histoire passionnelle” persistent et signent. Le colossal et extraordinaire patrimoine immobilier parisien de dirigeants algériens est une réalité. “Tout a été vérifié au cadastre, avec les notaires”, explique jeudi Marie-Christine Tabet lors d’une interview accordée à Point Afrique.

 

Mais pourquoi donc les autorités françaises n’enquêtent pas sur l’origine des fonds qui ont servi à l’achat de ces biens immobiliers? “Il faudrait que des Algériens déposent des plaintes en France, car la justice française ne peut s’autosaisir”, explique la co-auteur de “Paris-Alger, une histoire passionnelle”. ”Le fisc français pourrait aussi s’interroger sur l’origine de ces fonds. Mais Bercy ne le fait pas. La question est de savoir pourquoi. Certains Algériens sont très bien renseignés sur ces appartements. On nous a aidés à déterminer quels étaient ces appartements, et tout a été vérifié au cadastre, avec des notaires. Les chiffres que nous avançons sont solides. Mais, encore une fois, ce sont des personnes qui nous ont donné des pistes d’enquête, ce qui signifie que ces informations existent. Il y a là un manque évident de volonté politique d’enquêter”, relève encore cette journaliste française.

 

Enfin, Marie-Christine Tabet se pose sérieusement la question de savoir si l’Algérie indépendante depuis 1962, est réellement souveraine aujourd’hui en 2015. “Oui, c’est une question qui peut se poser au regard des liens qui ont subsisté avec la France. Mais on peut aussi inverser la question et se demander si, en 1962, l’Algérie souveraine a vraiment acquis son indépendance”, a-t-elle conclu, en nous invitant à ouvrir ce débat déterminant pour l’avenir politique de notre pays.

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Politique

Belkhadem, livre « Paris Alger : une histoire passionnelle » : Saâdani accuse

16:31 jeudi 23 avril 2015 | Par Achira mammeri

 

Le torchon brûle à nouveau entre Amar Saâdani et Abdelaziz Belkhadem. Le Secrétaire général du FLN a accusé ouvertement son prédécesseur de « manigancer contre la direction du parti, sous les ordres de ses maîtres ». « Belkhadem porte bien son nom. C’est un Khadem, (un serviteur) au profit de ses maîtres », a accusé M. Saâdani ce jeudi 23 avril lors d’un discours prononcé devant les Mouhafidhs du parti, réunis à Alger.

 

Les ambitions présidentielles de Belkhadem

 

Saâdani est revenu sur le dîner offert par Abdelaziz Belkhdem à ses invités la semaine passée, chez lui, après son retour de la Mecque. Le dîner s’est transformé, selon lui, en une réunion pour comploter contre le parti. « Belkhadem ne bouge pas sans les ordres de ses maîtres », insiste Saâdani.

 

Qui est derrière Belkhadem ? Quel est l’objectif de « cette campagne de déstabilisation» ?

 

Pour Saâdani, les choses sont claires : Belkhadem veut être « le candidat du FLN aux prochaines présidentielles ». « C’est vraiment inédit. Tous les secrétaires généraux du FLN, et ce depuis la création du parti, se sont retirés dans le calme. Sauf Belkhadem, qui veut transférer la direction du parti chez lui ». Lance-t-il. « Belkhadem était incapable de gérer le FLN à l’époque où il était la tête du parti, poursuit-il. Il est quand même étonnant qu’il tente de le faire à partir de chez lui».

 

« Complot contre le camp du Président »

 

Amar Saâdani a également évoqué le « Paris-Alger : une histoire passionnelle » qui cite notamment les biens immobiliers détenus par de hauts responsable algériens en France.

Selon lui, des parties à l’intérieur du pays sont derrière ce projet : « ce livre a été écrit en Algérie, par des Algériens », a-t-il accusé. Selon lui, le livre cible « le camp du président Bouteflika». « Au lieu de s’intéresser aux biens des hauts responsables algériens à Paris, l’auteur français aurait mieux fait de s’intéresser et d’enquêter sur les massacres du 8 mai 45, aux biens des responsables marocains au Maroc », dit-t-il.

 

Saâdani a défendu Abdesselam Bouchouareb, l’actuel ministre de l’Industrie et Cherrif Rahmani , l’ancien ministre de l’Environnement, cités dans le livre.

Enfin, Sâadani a souhaité que la révision de la Constitution soit faite avant le congrès du parti dont la date n’est pas encore arrêtée. Il a rappelé que ce dossier « reste du ressort exclusif du Président ».

 

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56 commentaires

 

Basta Pour de Bon

Au temps de boumediene,les hauts responsables n'avaient comme bien que des villas et des appartements acquis auprès des biens vacants ainsi que des véhicules de fonction.Aujourd'hui que le papa noël a élu domicile en Algérie, tout le monde se retrouve riche .Il faut donc chasser le père noël et saisir les biens et les richesses mal acquis au profit du trésor. et ce n'est qu'a partir de la que tout rentrera dans l'ordre.

Répondre · J’aime · 19 · S’abonner à la publication · Modifié · il y a 19 heures

 

Rezki Takalou · Meilleur commentateur

Alors le père noël existe?

Répondre · J’aime · 1 · il y a 18 heures

 

Basta Pour de Bon

oui il existe, il s'habille en rouge et porte une barbe.

Répondre · J’aime · 1 · il y a 18 heures

 

Dialo Mamadou · Meilleur commentateur · Directeur du vent à Ville nouvelle

Au lieu de s’intéresser aux biens des hauts responsables algériens à Paris, l’auteur français aurait mieux fait de s’intéresser et d’enquêter sur les massacres du 8 mai 45. donc il confirme ce qui est dit dans le livre .

Répondre · J’aime · 15 · S’abonner à la publication · il y a 19 heures

 

Idir Iddir ·

S’abonner · Meilleur commentateur

TOZ LE FLN D OUDJDA N INTERESSE PAS LES BERBERES ..........

Répondre · J’aime · 5 · il y a 18 heures

 

Sofiane Metmati · Meilleur commentateur · USTHB

ils ne savent même pas comment parler et quoi dire. Ils se tirent sur les pattes c'est ignorants criminels hhh

Répondre · J’aime · 6 · il y a 18 heures

 

Ali Awhid · Meilleur commentateur · Ecole normale tizi ouzou

Idir Iddir On dirait que tu parles de ton toz. Toz toz toz. C'est la seule chose qu'on entend de toi.

Répondre · J’aime · 1 · il y a 18 heures

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Oumlile Thalath · Sagrado Corazon Sophianum

Ce qui m'offusque, c'est que un énergumène comme cette face de crapaud se croit crédible et qu'il y a encore des gens qui le croit.

Répondre · J’aime · 13 · S’abonner à la publication · il y a 19 heures

 

Adam Boulebnane · Lycée ibn toumert boufarik

c'st exactement ce que je pense oumlile

Répondre · J’aime · 3 · il y a 18 heures

 

Riad Tizerarine · Meilleur commentateur

et qu'il y ai des journalistes qui lui tendent le micro !!

Répondre · J’aime · il y a 2 heures

 

Isghi Isghi ·

S’abonner · Travaille chez Artisans du Monde

Les Algériens ont le droit de savoir,le livre dit des vérités.si ce n'etait pas le cas les personnes Algériennes citées auraient du saisir la justice compétente pour diffamation.

Répondre · J’aime · 10 · S’abonner à la publication · Modifié · il y a 18 heures

 

Paul Eliakim · Travaille chez NASA - National Aeronautics and Space Administration

on doit te faire passer par la guillotine, morceaux par morceaux avec tous tes semblables.

Répondre · J’aime · 7 · S’abonner à la publication · il y a 19 heures

 

Sofiane Metmati · Meilleur commentateur · USTHB

Minaa Yl non des lions pour les bouffer ça serait un honneur pour ces gens là. Il méritent d'être rongés par des rongeurs comme eux.

Répondre · J’aime · 3 · il y a 18 heures

 

Cali Nou · Meilleur commentateur

Une guerre de clans par personnes interposées que se livrent ces deux analphabètes. L'un ne sait pas s'il est algérien ou afghan, l'autre est le spécialiste de darbouka.

 

Le premier joue du turban pendant que l'autre tape sur son stal et à défaut de projets politiques pour l'Algérie, ils font les marioles indignes de leurs responsabilités supposées car l'un et l'autre ne sont en fait que des marionnettes entre les mains de qui vous savez.

Répondre · J’aime · 4 · S’abonner à la publication · il y a 16 heures

 

Lino Ken · Meilleur commentateur · Vienne (Isère)

Des menteur - toute de suite le complot il assument rien y a qu'à voir leur tranche des vampire ca ce voit toute de suite leur niveau trop bas bas

Répondre · J’aime · 4 · S’abonner à la publication · il y a 19 heures

 

Amine Miloudi · Lycée Marcel Pagnol marseille

Pourquoi vous parlez seulement de Saadani et Bouchouareb, Haddad, Bouteflika?

 

Et les généraux comme Touati, Nezzar, Toufik, guenaizia, Betchine, les 2 Lamari, Belkheir, eux ont volé des milliards!

Répondre · J’aime · 3 · S’abonner à la publication · Modifié · il y a 18 heures

 

Alloula Mery Moulay · Wilaya de Tiaret

un voleur et corrompus defendque les voleirs et les corrompus comme lui.

Répondre · J’aime · 3 · S’abonner à la publication · il y a 19 heures

 

Hichem Ben · Meilleur commentateur

Et toi tranche merde hachakoum,tu t'es payé les appartements de Neuilly sur Seine pour te recueillir sur les algériens morts jeté dans la seine, c'est ça pauvre con, que fait tu toi, pourquoi tu ne demande pas a ton maître Hollande pour reconnaître les massacres du 08 mai 1945, ou bien t'as peur de te faire expulsé, quand tu défend les bouchouareb et compagnie,tu pense te couvrir ou quoi imbécile de mes deux ton heure est proche,même si ce livre à était écrit en Algérie, cela veut dire qu'il ya toujours des hommes qui dénoncent des corrompus que toi et tes semblables ya edrabki t'aurais dû raser les murs au lieu de montré ta tranche d'horreur.

Répondre · J’aime · 2 · S’abonner à la publication · il y a 15 heures

 

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Guest George Bish
J'ai pas vu jusqu'à la fin ...à part les journalistes qui parlent bien,les députés font partie du systéme .... comme il a dit " un voleur ne va pas demander des comptes à d'autres voleurs"....carry on !!!

 

j'ai lu sur un site que l’émission en question vient d'etre arrêté par un ordre venant d'en haut. reste à confirmer.

elle a surement due déplaire à plusieurs responsables algeriens.

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Dans un pays normal, un tel livre ferait chuter un gouvernement.

 

En Algérie, 2 ou 3 articles de presse et après on zappe, et tout le monde passe à autre choses pendant que les voleurs continuent à voler.

 

Je rêve de voir un jour tous ces escrocs dernière les barreaux.

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Guest saluti
j'ai lu sur un site que l’émission en question vient d'etre arrêté par un ordre venant d'en haut. reste à confirmer.

elle a surement due déplaire à plusieurs responsables algeriens.

 

Ce qui est malheureux c'est qu'ils n'ont aucune consideration pour le peuple .....ils font ce qu'ils veulent khardijn'ha tay tay .....ils ont démocratisé le pillage du pays ....à tous les niveaux....

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Guest saluti
j'ai lu sur un site que l’émission en question vient d'etre arrêté par un ordre venant d'en haut. reste à confirmer.

elle a surement due déplaire à plusieurs responsables algeriens.

 

Oui effectivement et les animateurs de cette émission pleurent .....

[YOUTUBE]_Mr6-2fsX5E[/YOUTUBE]

 

 

Médias, Une

 

Vidéo. Algérie : une émission satirique arrêtée

 

Par La rédaction | avril 25, 2015

[ATTACH]3105[/ATTACH]

 

La chaîne algérienne El Djazaïria TV a cessé la diffusion d’une émission satirique politique après des pressions du pouvoir politique, a-t-on appris de plusieurs sources concordantes. El Djazaïria Week-end, une émission animée par le journaliste Mustapha Kessaci en présence du jeune comédien Merouane Boudiab et du Rédacteur en Chef d’Algérie-Focus, Abdou Semmar, a irrité certaines chapelles politiques qui ont exercé des pressions sur la direction d’El Djazaïria TV pour mettre fin à sa diffusion.

Selon plusieurs sources au sein de la chaîne, la programmation d’El-Djazaïria TV Week-End a été arrêtée “à la suite de pressions indirectes des autorités”. “Les autorités n’ont pas apprécié la forme et le contenu du programme”, soulignent encore nos sources. El Djazaïria Week-end a été interrompue brusquement suite à l’intervention d’Abdou Semmar au sujet du patrimoine immobilier parisien de plusieurs ministres algériens. Le passage qui aurait déplu aux autorités concerne l’appartement parisien de la fille du Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Ce dernier a appelé personnellement la direction de la chaîne pour la menacer et la rappeler à l’ordre. Et pourtant, dans son intervention, Abdou Semmar a rapporté uniquement ce qui a été dit et affirmé dans le livre : “Paris-Alger, une histoire passionnelle”. Ses propos ne portaient guère atteinte à l’intégrité morale de la fille d’Abdelmalek Sellal. Le rédacteur en chef d’Algérie-Focus s’est contenté seulement de s’interroger sur la véracité de ces informations et l’origine des fonds mobilisés pour l’achat d’un luxueux appartement parisien.

 

Au lendemain de cette émission satirique, “le Directeur de la chaîne El Djazairia, Karim Kardache a été convoqué, dimanche, par l’Autorité de régulation de l’audiovisuel qui lui a notifé un avertissement verbal pour dérives “répétitives” de l’émission hebdomadaire Weekend“, indique un communiqué rendu public par l’agence étatique l’APS. Et depuis ce moment-là, les pressions sont montées crescendo à l’encontre de l’équipe d’El Djazaïria Week-end . Face aux menaces et aux tentatives d’intimidation, l’animateur et les chroniqueurs de cette émission ont été contraints par la suite de préparer le dernier numéro de leur émission, accusée par les autorités algériennes de ”verser dans le sarcasme et le persiflage à l’encontre de personnes dont des symboles de l’Etat et de hauts responsables de différentes institutions de l’Etat”.

 

L’annonce de l’arrêt prématuré de cette émission très suivie en Algérie a provoqué une vague d’indignation notamment sur les réseaux sociaux où de nombreux internautes algériens ont estimé qu’il s’agit d’un “coup dur pour la liberté d’expression”.

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Dzair bled el mou3djizates. Des filles de ministres, du premier ministre qui tetent encore leurs doigts ont des villas, maisons, apparts et des dizaines, centaines de millions de $. Apres, ca se demande pourquoi il y a des guerres civiles, pourquoi da3esh peut avoir des sympathisants.

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Guest George Bish
Ce qui est malheureux c'est qu'ils n'ont aucune consideration pour le peuple .....ils font ce qu'ils veulent khardijn'ha tay tay .....ils ont démocratisé le pillage du pays ....à tous les niveaux....

 

Le petit journal de canal+ mene l’enquête : :D :wheelchair::wheelchair::wheelchair:

 

Abdou semmar s'explique sur ce qui s'etait produit.

 

Paris/Alger - Le Petit Journal du 27/04 - CANALPLUS.FR

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