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Comment sauver le pays de la famine qui va arriver ?


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l'heure est grave messieurs dames- l'arabie saoudite vient d'arreter de frapper le yemen -ce qui a pour consequence ce matin une nouvelle tendance baissiere sur le prix du baril de petrole -notre seule et unique ressource pour finir le mois .

 

le forum est blindé de sujet sur les femmes -meme moi vous m'entrainez la dedans -mais je vous rappelle que la femme ça fait la cuisine -entre autres choses bien sur -aujourd'hui nous avons besoin de tout le monde car les frigos vont se vider si on ne fait rien -et les femmes seront notre dernier soucis ou le premier d'ailleurs car c'est elles qui devront cuir la galette et nous devons lui fournir la semoule que nous n'avons pas-je vous laisse imaginer la situation dans 2/3 ans et les cris a la maison .

 

que faire pour changer les choses avant qu'il ne soit trop tard ?.

 

le gouvernement semble croire que les prix du baril vont rebondir pour lui faire plaisir mais apparemment ce n'est pas le choix des americains et autres europeens et chinois qui utilisent ce petrole et qui le verraientt bien continuer a descendre ce qui est tout a fait normal -un petit rappel en 1981 ou 1986 le baril etait a 9 dollars . on a importé au 1 trimestre 2015 13 milliards de dollars et on a vendu en dehors du petrole ecoutez moi bien 680 millions de dollars -autant vous dire qu'ils vont nous renvoyer les bateaux vides ou avec des huissiers !.

 

 

on fait quoi selon vous pour eviter le pire ?

 

 

ps! pour faire un geste personnellement je suis pret a renoncer a l'option climatisation sur le Hilux et vous ?

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y a seulement deux solution

sois on quitte tous ce pays !

sois on change ce gouvernement de merde !

 

On peut pas le peuple algériens est trop fragile ... pas assez souder !

chaque personne voit que son propre intérêt ... ça le gouvernement le sait .

 

quitter le pays ... beaucoup de gens le font ... regarde la majorité des membres Fa vivent en occident il y a toi et moi quelque autre encore prisonnier de ce pays

même selegas vit en occident mais maskine lui au moins il pense tout le temps a notre bien être ... il veut pas que nous grevons de faim

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Guest saluti

Quand le navire coule le matelot ( le peuple) son role c'est de s'occuper des canots de sauvetage ....le reste c'est de la responsabilité du commandant de bord(l'état)....

Hors que ce commandant de bord n'en est pas un..... en vérité c'est un pirate...il a juste pris en otage ce navire pour le piller et le laisser couler lentement ...

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quitter le pays ce n'est pas la solution -facile a dire evidemment quand on est deja a l'etranger -savez vous que les juifs sont revenus 2000 ans apres construire une nation -donc on ne quitte jamais un pays -on y revient toujours ou alors on accepte de porter le fardeau de la separation jusqu'a l'extinction de sa lignée genetique...pas facile a porter faut pas se fier aux mirages.

 

il faut changer les choses sur place et vite -peut etre un gvt d'union nationale-des technocrates et puis le reveil d'une population endormie pour la remettre sur la bonne route .

 

ou alors la dictature car pour aller vite on a pas le choix .

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Guest saluti

Crise politique et faillite économique : Le temps des grandes inquiétudes

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le 22.04.15 | 10h00 Réagissez

Les portes de la Présidence restent bien fermées sur les intentions politiques des tenants du pouvoir

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Les portes de la Présidence restent bien fermées sur les...

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L’Algérie s’apprête-t-elle à vivre une période d’incertitudes sur tous les plans ? Le gouvernement a-t-il vraiment un cap, une feuille de route et une stratégie politique et économique pour négocier au mieux ces mois de vaches maigres qui se profilent à l’horizon ? Ces questions coulent de source dans la conjecture actuelle, marquée par l’effondrement soudain des cours du pétrole, cette vache nourricière qui a maintenu le pays sous perfusion.

 

Les Algériens ont toutes les raisons de s’inquiéter quand ils observent ces voyants rouges qui s’allument un peu partout. Il ne s’agit pas, ici, d’alarmer le peuple, mais la situation est réellement préoccupante. Il y a d’abord ce flou épais qui enveloppe l’avenir politique du pays, avec un Président visible mais aphone. Et ce ne sont pas ces images récurrentes d’audiences accordées aux diplomates étrangers qui vont convaincre qu’il y a véritablement un pilote dans l’avion Algérie.

 

Pas plus que les déclarations contradictoires, et parfois risibles, de ceux qui prétendent être dans les secrets de la République. La maladie du président Bouteflika a contaminé tout l’univers institutionnel algérien. Pour avoir concentré tous les pouvoirs entre ses mains, il a fini par figer le pays tant rien ne bouge sans lui. Le projet de révision de la Constitution, devenu une arlésienne, est, à cet égard, symptomatique de l’état de la République. Annoncé imminent, puis remisé au placard puis relancé à grand renfort médiatique et enfin renvoyé sine die…

 

Les voyants sont au rouge

 

Ce tâtonnement politique provoque un sentiment de malaise chez les Algériens qui s’inquiètent légitimement de l’avenir de leur pays. De quoi sera fait demain ? Voilà une question qui taraude l’esprit devant cette enfilade d’actes manqués d’un gouvernement qui semble naviguer à vue. Il n’est certes pas recommandé de verser dans le pessimisme.

 

Mais il n’est pas non plus question d’afficher un optimisme béat, comme le conseillent les thuriféraires du régime et ceux qui en tirent profit. La situation actuelle de l’Algérie est assurément délicate au moins au double plan politique et économique. Quand on entend un ancien haut responsable comme Mouloud Hamrouche la qualifier de «gravissime», il est difficile de garder le moral et prendre pour argent comptant les fausses assurances de Amar Saadani.

 

Parce qu’en plus de l’impasse politique admise à demi-mot par le secrétaire général du FLN, l’Algérie fait face, hélas, à un tarissement soutenu de ses recettes en devises. N’ayant pas été capable de mettre en place un modèle de croissance autre que celui qui consiste à vendre le pétrole et redistribuer la rente, le régime est pris en flagrant délit d’incompétence. Le baril qui flambait à plus de 120 dollars lui a explosé à la figure alors qu’il n’a pas prévu de se couvrir. Résultat des courses : le pays est redevenu subitement très vulnérable économiquement et donc socialement aussi, et devra prier pour que le prix de l’or noir amorce une remontée providentielle.

 

Double impact

 

Rien n’est moins sûr cependant, surtout quand on entend les prévisions inquiétantes des institutions financières et autres organismes internationaux qui prédisent un assèchement inéluctable des réserves de changes au maximum dans deux ans. Et pour cause, l’Algérie a gaspillé en 15 ans plus de 800 milliards de dollars engloutis dans des projets géants d’infrastructures, qui plus est ont fait grossir les comptes des corrompus de tout acabit. C’est un désastre de constater que tout cet argent n’a pas servi à jeter les bases d’une économie compétitive et créatrice de richesses.

 

Que notre pays en arrive à importer l’oignon des Emirats ou à réceptionner des containeurs remplis de sable est signe qu’on a touché le fond… Et dire que ce gouvernement fait de l’adhésion à l’OMC une priorité, comme si c’est le seul chaînon manquant à l’excellence économique ! Une coquetterie politique qui n’est pas sans rappeler l’Accord d’association signé, par un effet de mode, avec des dommages collatéraux terribles pour l’Algérie.

 

Là aussi, les impératifs politiques ont lourdement pesé dans ce mauvais choix de démanteler les barrières tarifaires et non tarifaires aux produits européens qui ont envahi le marché national. C’est dire que l’Algérie subit aujourd’hui un double impact politique et économique d’une gouvernance autiste et populiste. Il n’y a pas de visibilité sur l’avenir à moyen terme tant il dépend à la fois des facteurs endogènes et exogènes.

 

Les Algériens sont donc naturellement préoccupés, au-delà de leurs différences, face à ce tableau de bord pas très rassurant que tentent de farder ceux qui en sont responsables. C’est dire à quel point le président Bouteflika est interpellé pour faire en sorte de sauver l’Algérie au lieu de sauver le régime. Pour cela, le pays a besoin de toutes les bonnes volontés, pas seulement celles qui se recrutent parmi la clientèle. La diabolisation de l’autre a fait des ravages en Algérie.

Hassan Moali

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Segalas, ton sujet est trés sérieux, le peuple Algerien doit revenir surtout à l'agriculture

 

Le travail de la terre est ce qui nous permettera de vivre

les medecins et ingénieurs doivent penser à se reconvertir à agriculteur et éleveurs de moutons

Je suis sérieux, tout le monde doit penser à produire sa propre nourriture, les temps seront difficile

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y a seulement deux solution

sois on quitte tous ce pays !

sois on change ce gouvernement de merde !

 

Le gouvernement est issu du peuple je te rappelles

 

La solution idéale est de travailler la terre, l'agriculture, que l'état vende 1 hectare, deux hectares... à qui veut les travailler et que les gens s'y mettent à bosser, vraiment... qu'en pensez vous

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Guest Chakhss
Le gouvernement est issu du peuple je te rappelles

 

La solution idéale est de travailler la terre, l'agriculture, que l'état vende 1 hectare, deux hectares... à qui veut les travailler et que les gens s'y mettent à bosser, vraiment... qu'en pensez vous

 

Salam Lemlih,

 

Travailler la terre, ceci est pertinent, on doit aussi réduire notre consommation et ne pas gaspiller.

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On peut pas le peuple algériens est trop fragile ... pas assez souder !

chaque personne voit que son propre intérêt ... ça le gouvernement le sait .

 

quitter le pays ... beaucoup de gens le font ... regarde la majorité des membres Fa vivent en occident il y a toi et moi quelque autre encore prisonnier de ce pays

même selegas vit en occident mais maskine lui au moins il pense tout le temps a notre bien être ... il veut pas que nous grevons de faim

 

oui ta raison et puis le gouvernement est a l'image du peuple !

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Salam Lemlih,

 

Travailler la terre, ceci est pertinent, on doit aussi réduire notre consommation et ne pas gaspiller.

 

Chef, on ne mange pas ce qu'on produit, c'est cela le malheur, on importe beaucoup trop

Je suis d'accord avec toi qu'on ne doit pas gaspiller, on doit aussi réguler les marchés des importations

 

Sinon moi meme je suis pour travailler la terre, garder son métier et en plus faire de l'agriculture

Pas pour gagner énormément, mais pour le plaisir et pour se nourrir, un hectare, un demi hectare peuvent me suffir

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Le gouvernement est issu du peuple je te rappelles

 

La solution idéale est de travailler la terre, l'agriculture, que l'état vende 1 hectare, deux hectares... à qui veut les travailler et que les gens s'y mettent à bosser, vraiment... qu'en pensez vous

 

Négatif! il faut minimum 100 hectares de bonne terre et se mécaniser pour les exploiter seul, ici en Champagne Ardennes, il y a des cultures de plus de 100 hectares de blé dur d'un seul tenant.

Idem pour les patates, des grandes cultures et de la mécanique.

Si tu as du blé dur et des patate, le peuple n'aura pas faim.

Si un jour le peuple à faim, il se révoltera et ça ouvrira en grand les portes aux Islamistes et là l'Algérie est morte!

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Pour la viande, je pense que le bœuf est la bonne solution dans un pays ou le porc est illicite.

Je pense aussi à des grands élevages de volaille!

Il ne faut rien faire de petit, les Français font un élevage de 1000 vaches ou tout est automatisé, il sont en retard, les Allemand en font des plus grand!

Il faut faire du fromage et du lait en poudre.

A Montpellier il étudient des plantes ayant besoin de très peu d'eau, attention, l'Algérie manquera d'eau, il faut prévoir!

Le défaut des dirigeants incompétants qui gouvernent l'Algérie depuis 50 ans n'ont pas prévue l'avenir et maintenant il est tard et il sera dificile de remettre les Algériens au travail.

 

Ségalas, viens leur expliquer!

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envoyé par PAX

mais bien sur....ils enverront la femme de ménage chercher le pain avec sa carte à puces...

Tu veux économiser combien de milliards avec ce projet naïf?

 

tu commence à m'inquieter ! tu repond serieusement au com de Zoubir :rolleyes: ton cas s'agrave:mdr::mdr::mdr:

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Négatif! il faut minimum 100 hectares de bonne terre et se mécaniser pour les exploiter seul, ici en Champagne Ardennes, il y a des cultures de plus de 100 hectares de blé dur d'un seul tenant.

Idem pour les patates, des grandes cultures et de la mécanique.

Si tu as du blé dur et des patate, le peuple n'aura pas faim.

Si un jour le peuple à faim, il se révoltera et ça ouvrira en grand les portes aux Islamistes et là l'Algérie est morte!

 

Ecrivez (ecrivons) au ministere de l'agriculture et autres pour les sensibiliser, leurs parler, leurs montrer

Peut etre ils ne savent pas et que une grande partie du budjet doit etre pour qu'on produise nous meme la viande, le blé et la pomme de terre... au moins

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l'heure est grave messieurs dames- l'arabie saoudite vient d'arreter de frapper le yemen -ce qui a pour consequence ce matin une nouvelle tendance baissiere sur le prix du baril de petrole -notre seule et unique ressource pour finir le mois .

 

Réagir au plus vite, inviter le pays à réagir, écrire aux minitères, pour ne plus dépendre d'autrui

Projet d'une Algerie Verte est la solution, à le publier sur tout les murs, à le partager sur tout les toits

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Guest L'étrangère

Je dirais plutôt que c'est une ruse pour se mettre au gaz de schiste. Pourquoi les prix du pétrole baisserait alors tout marche à l'essence, au gazoil, etc. Et le gaz l'Algérie a aussi du gaz et d'autres ressources. On a aussi de l'huile d'olive :D L'Algérie est une grande fille et elle est capable de bien des choses.

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