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CONTES DES MILLE ET UNE KABYLIES


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Il était une fois...ces jours d'après son indépendance, une Kabylie qui sauta à pieds joints dans le feu et le sang d'une bien Fratricide vendetta, entre des Aarouch's remuants, ou chacun revendiquait au langage des fusils, des conspirations et des traitrises sa primauté sur les autres héritiers présomptifs auto-proclamés.

 

- Son EXCELLENCE , Achour Moustache, alias JUBA III , roi du djebel aissa Mimoun , assisté par sa fille Feroudja Comtesse de Tikoubaïne , et Pompadour des Ait-Ouagh'noun.

 

- Sa MAJESTE Lahlou Amravadh, alias KOCEILA II , cruel Sultan des principautés de djamaa nesaridj,et Mekla, dont le grand Vizir est Alexandre Moh said...

 

- Son EMINENCE, Loucif Amokrane, alias EL MOKRANI II, Roi-Major des ath-irathen , assisté par son fils el Mokrani III.

 

Et enfin...

 

- Son ALTESSE royale , ferhat vous s'nitra, alias TARTARIN II ,Roi-Bachagha des kiboutz et Baronnies de tizi bouchen, azazga, iloula, et du ZOO à ciel ouvert de Yakouren.

Compte tenu de toutes ces forces en présence, et dans l'urgente perspective de mettre fin à leurs luttes Byzantines qui avaient déjà décimé la moitie de la Kabylie...Son Excellence Juba III ,sur conseil de sa Tajmaït-suprême , présidée par le Baron-Caid d'Akaouj..Ahemal djaaffar, decida d'envoyer sa fille Feroudja , négocier et faire alliance avec Koceila II , le plus belliqueux des nouveaux seigneurs de la Kabylie.

 

L'automne avait déjà bien raccourci ses jours, en ce debut septembre, quand l'héritière du trône arriva à Mekla, à la tête d'une garde de quelques hommes.

Au long du chemin faisant, elle n'eut de cesse à mémoriser les consignes de son Père, dont le prime abord, était de flatter la vanité du terrible Koceila II et au besoin aller jusqu'à donner le change, à sa délectation de la concupiscence...

La Comtesse, avant de descendre de son carrosse, se repoudra le nez face a un petit miroir circulaire et descendit gracieusement dans la cour du Palais.

Deux gardes à l'entrée les burnous resplendissants de blancheur devant l'éternel se rincèrent les yeux à son passage, avant que trois coups de timbale n'annoncent son accession dans l'antre du terrible.

D'un pas étudié, elle s'approcha du trône pour faire sa révérence au Roi.

 

- Je ne saurai, Excellence, qualifier le grand honneur que vous m'accordez à me recevoir dans des circonstances aussi difficiles que celles que traversent nos deux Royaumes.... Mon Père, sa Majesté Juba III m'a chargé à l'endroit de votre auguste grandeur, de témoigner de son bon vouloir pour une perspective d'alliance, et combattre à vos côtés contre les royaumes d'el Mokrani II et de Tartarin vou snitra...

Votre force, votre courage, votre bravoure, qui prônent tous votre justice que vous approuvons est perçue dans notre royaume comme un atout providentiel...

 

Sans doute Piqué au vif...Koceila II se leva subitement.

 

- Mais ! je suis la providence , la preuve vivante que toute réalité est materielle...et qu'on dehors de la matière, il n'y a que le non -être..

 

La comtesse, d'une démarche chaloupée s'approcha du Monarque.

 

- Vous êtes un grand raisonneur votre Majesté, vous ne devez pas, comme moi, votre séduction aux accords de la lyre orphique...elle tient de vivacité de votre imagination. Vous m'ébranlez, Sir, dans mes convictions, et me vois pénétrée bien profond par votre esprit réfléchi ,rompu aux subtilités de la dialectique. Cela n'est donc pas dû au hasard, qui ne fait appel a aucune transcendance...

 

Koceila II sentant l'inflation d'une protubérance dans son caleçon, s'approcha à son tour de la Comtesse de Tikoubaïne.

 

- Tu parles bien femme ! je suis la matière qui surprime ce hasard, pour accrocher les carrosses de deux phénomènes bien au delà de la vision platonicienne des choses.... trêve de mots ! je t'invite dans mon Alcôve pour échanger nos secrets d'états...je dirai même des choses sur ta beauté, et Esthète que tu es...j'apprendrai aussi beaucoup de ta bouche...après quoi, il ne manquera à mon confort, que l'allégeance et la subordination de ton père et ses sujets, au seul et unique Roi des Kabyles, C'est à dire MOI...Koceila II

Esclave ! prend ta torche et conduis cette créature dans mes appartements pour qu'elle se mette en évidence.

 

Une lueur démentielle, traversa les yeux de la Comtesse. souriante, elle suivi l'esclave ,en se disant, comme dans la Bible, "Mathieu 10.34.36)

 

"Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le poignard"

 

Qui a dit que la sexualité ne domine pas l'homme kabyle, de l'utérus maternel à l'heure de sa mort...?? non personne...

 

A SUIVRE....

 

 

-

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Il était une fois...ces jours d'après son indépendance, une Kabylie qui sauta à pieds joints dans le feu et le sang d'une bien Fratricide vendetta, entre des Aarouch's remuants, ou chacun revendiquait au langage des fusils, des conspirations et des traitrises sa primauté sur les autres héritiers présomptifs auto-proclamés.

 

- Son EXCELLENCE , Achour Moustache, alias JUBA III , roi du djebel aissa Mimoun , assisté par sa fille Feroudja Comtesse de Tikoubaïne , et Pompadour des Ait-Ouagh'noun.

 

- Sa MAJESTE Lahlou Amravadh, alias KOCEILA II , cruel Sultan des principautés de djamaa nesaridj,et Mekla, dont le grand Vizir est Alexandre Moh said...

 

- Son EMINENCE, Loucif Amokrane, alias EL MOKRANI II, Roi-Major des ath-irathen , assisté par son fils el Mokrani III.

 

Et enfin...

 

- Son ALTESSE royale , ferhat vous s'nitra, alias TARTARIN II ,Roi-Bachagha des kiboutz et Baronnies de tizi bouchen, azazga, iloula, et du ZOO à ciel ouvert de Yakouren.

Compte tenu de toutes ces forces en présence, et dans l'urgente perspective de mettre fin à leurs luttes Byzantines qui avaient déjà décimé la moitie de la Kabylie...Son Excellence Juba III ,sur conseil de sa Tajmaït-suprême , présidée par le Baron-Caid d'Akaouj..Ahemal djaaffar, decida d'envoyer sa fille Feroudja , négocier et faire alliance avec Koceila II , le plus belliqueux des nouveaux seigneurs de la Kabylie.

 

L'automne avait déjà bien raccourci ses jours, en ce debut septembre, quand l'héritière du trône arriva à Mekla, à la tête d'une garde de quelques hommes.

Au long du chemin faisant, elle n'eut de cesse à mémoriser les consignes de son Père, dont le prime abord, était de flatter la vanité du terrible Koceila II et au besoin aller jusqu'à donner le change, à sa délectation de la concupiscence...

La Comtesse, avant de descendre de son carrosse, se repoudra le nez face a un petit miroir circulaire et descendit gracieusement dans la cour du Palais.

Deux gardes à l'entrée les burnous resplendissants de blancheur devant l'éternel se rincèrent les yeux à son passage, avant que trois coups de timbale n'annoncent son accession dans l'antre du terrible.

D'un pas étudié, elle s'approcha du trône pour faire sa révérence au Roi.

 

- Je ne saurai, Excellence, qualifier le grand honneur que vous m'accordez à me recevoir dans des circonstances aussi difficiles que celles que traversent nos deux Royaumes.... Mon Père, sa Majesté Juba III m'a chargé à l'endroit de votre auguste grandeur, de témoigner de son bon vouloir pour une perspective d'alliance, et combattre à vos côtés contre les royaumes d'el Mokrani II et de Tartarin vou snitra...

Votre force, votre courage, votre bravoure, qui prônent tous votre justice que vous approuvons est perçue dans notre royaume comme un atout providentiel...

 

Sans doute Piqué au vif...Koceila II se leva subitement.

 

- Mais ! je suis la providence , la preuve vivante que toute réalité est materielle...et qu'on dehors de la matière, il n'y a que le non -être..

 

La comtesse, d'une démarche chaloupée s'approcha du Monarque.

 

- Vous êtes un grand raisonneur votre Majesté, vous ne devez pas, comme moi, votre séduction aux accords de la lyre orphique...elle tient de vivacité de votre imagination. Vous m'ébranlez, Sir, dans mes convictions, et me vois pénétrée bien profond par votre esprit réfléchi ,rompu aux subtilités de la dialectique. Cela n'est donc pas dû au hasard, qui ne fait appel a aucune transcendance...

 

Koceila II sentant l'inflation d'une protubérance dans son caleçon, s'approcha à son tour de la Comtesse de Tikoubaïne.

 

- Tu parles bien femme ! je suis la matière qui surprime ce hasard, pour accrocher les carrosses de deux phénomènes bien au delà de la vision platonicienne des choses.... trêve de mots ! je t'invite dans mon Alcôve pour échanger nos secrets d'états...je dirai même des choses sur ta beauté, et Esthète que tu es...j'apprendrai aussi beaucoup de ta bouche...après quoi, il ne manquera à mon confort, que l'allégeance et la subordination de ton père et ses sujets, au seul et unique Roi des Kabyles, C'est à dire MOI...Koceila II

Esclave ! prend ta torche et conduis cette créature dans mes appartements pour qu'elle se mette en évidence.

 

Une lueur démentielle, traversa les yeux de la Comtesse. souriante, elle suivi l'esclave ,en se disant, comme dans la Bible, "Mathieu 10.34.36)

 

"Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le poignard"

 

Qui a dit que la sexualité ne domine pas l'homme kabyle, de l'utérus maternel à l'heure de sa mort...?? non personne...

 

A SUIVRE....

 

 

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Du pipi de chat sans couilles...et qui plus est haineux des Kabyles..

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