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Ménopause : les femmes veulent plus de sexe !


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L'activité sexuelle diminue avec le temps et autour de la ménopause, c'est certain.

 

Une étude réalisée a indiqué que 60,7% des femmes sont sexuellement actives entre 50 et 59 ans, contre 44,9% entre 60 et 69 ans, et 28,2% entre 70 et 79 ans.

 

Parmi elles, 63,2% sont satisfaites de leur vie sexuelle. C'est dans les causes du mécontentement que se cache la première surprise : les femmes insatisfaites voudraient plus de sexe, pas moins ou pas différemment.

 

Ceci va à l’encontre de l'idée classique selon laquelle la libido des femmes diminuerait avec la ménopause, et que le ralentissement de leur activité sexuelle en serait la conséquence logique.

source: Votre Santé au quotidien

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tout frais du journal de ce matin

 

et oui les vieux ont une vie ... ;)

 

Actualités Actu France Société

 

Il y a de la vie après 70 ans !

 

Publié le 17/05/2015 à 06:42

 

 

 

En se voyant à la Une du Nouvel Observateur sous le titre «Sexygénaire», Fanny Ardant avait rétorqué : «Le monde est à feu et à sang, et c'est tout ce qu'ils trouvent à écrire ?». Il n'empêche, elle est toujours sexy, Fanny, et les Françaises de plus de soixante ans aspirent aussi à l'être.

 

Plus de 60 ans, ils sont (vous êtes) déjà un cinquième de la population. La courbe ne cesse de progresser, puisque la proportion sera d'un tiers des Français en 2035.

 

Le poids dans l'économie est impressionnant. Estimé à plus de 400 milliards d'€, le revenu disponible de l'ensemble des retraités devrait augmenter de 150 % d'ici à 2050. Pas par le montant des retraites mais par l'augmentation du nombre de personnes âgées. Le marché du confort, de la sécurité et de la communication n'est pas près de s'étioler. Celui du camping-car non plus, car lorsqu'on parle d'âge, il ne faut pas oublier les loisirs, ni les plaisirs.

Macha n'a jamais perdu la flamme

 

La promesse de vivre plus longtemps laisse ouverte la porte des envies, et le tabou de la sexualité tend à ne plus l'être. A la condition de changer leurs prénoms, plusieurs lectrices nous ont raconté sans gêne leurs désirs. Pour Alice, la diva du dancing, c'est une fois par semaine, pour Marguerite un bisou seulement, mais Nicole, toujours amoureuse à 78 ans, jouit de l'harmonie à deux. La chef de file des mamies de l'amour est assurément Macha Méril, 75 ans. Elle n'a jamais perdu la flamme mais elle s'est embrasée l'an dernier en retrouvant son amour des vingt ans, Michel Legrand. Mariage, confidences sur le divan rouge de Drucker et balades dans le Gers (où elle a une maison, et où le propre père du musicien s'était marié)... cette rencontre a aussi nourri le nouveau livre de la psychologue Marie de Hennezel, «Sex & Sixty».

Blablacar et colocation

 

Cette chercheuse de 68 ans, découverte lors de son accompagnement des derniers jours de François Mitterrand, s'intéresse de près aux désirs des aînés. Marie de Hennezel remarque que si leur corps a 70 ans et plus, leur cœur en a parfois 18...

 

Les nouvelles unions faisant suite aux divorces ou aux séparations de la vie en sont la cause. Mais pas question de multiplier les relations pour le seul plaisir : les sentiments sont le meilleur carburant d'étreintes où la tendresse a remplacé l'ardeur, avec ou sans Viagra, la célèbre pilule bleue, ou blanche, en générique depuis 2013.

 

Au-delà de ses questions intimes, les aînés trouvent, avec internet, le moyen de se mêler aux autres générations. Aujourd'hui, les covoiturés de Blablacar n'ont pas tous 25 ans, et la colocation intergénérationnelle a ses sites. L'âge importe moins que ces impératifs : bonne humeur, partage des tâches et convivialité. P.M.

«Leur sexualité est plus lente mais plus tendre»

 

On avait découvert Marie de Hennezel lorsqu'elle accompagnait François Mitterrand dans ses derniers jours. Après s'être intéressée à l'accompagnement des mourants, elle analysera l'expérience de vieillir avec «La chaleur du cœur empêche nos corps de rouiller». Aujourd'hui, Marie de Hennezel signe «Sex& Sixty»(ed. Robert Laffont), un remarquable ouvrage dans lequel elle évoque la sexualité du grand âge.

 

Qu'est-ce qui fait que pour certaines personnes, l'âge n'est pas un frein à l'épanouissement sexuel ?

 

L'âge n'a rien à voir avec le désir, le cœur… Quand on est un ou une grand amoureux ou amoureuse, on le reste. Ceux que j'ai rencontrés, même à 90 ans, ils me disent qu'ils ont 18 ans à l'intérieur d'eux-mêmes.

 

À 70 ans, on ne fait pas l'amour comme à 40 ans, qu'est-ce qui change véritablement ?

 

Il y a un vieillissement sexuel, c'est-à-dire qu'il y a un vieillissement du corps. Il faut plus de temps pour avoir un plaisir qui n'est pas exactement le même parce que la sensation s'émousse. Par contre, la perception du plaisir augmente. Je suis étonnée de voir des personnes âgées qui ont du plaisir infiniment plus grand qu'avant.

 

D'où vient cette idée préconçue que le sexe c'est pour les jeunes ?

 

C'est quelque chose que notre société véhicule : sexualité égale jeunesse. Les articles sur la sexualité s'adressent toujours à un public jeune. Dans l'esprit des gens, on fait l'amour quand on est jeune. Beaucoup de gens ont l'impression qu'à partir d'un certain âge, ce n'est plus de leur âge.

 

Quels sont les bienfaits du sexe?

 

Jeunes ou vieux, les bienfaits du plaisir génèrent de l'ocytocine, l'hormone du bonheur. Quand on se fait plaisir, et pas seulement sur le plan sexuel, ça fait du bien partout et permet de lutter contre le stress… Il y a une infinité de bienfaits. Le plaisir sexuel est très fort et très comblant surtout s'il est associé à un épanouissement affectif. Il contribue au sentiment de bien-être.

 

Les hommes confrontés à des pannes ont recours au Viagra...

 

Pourquoi pas si c'est important pour eux, pour leur image masculine, je n'ai rien contre. Mais il y a des hommes qui ne peuvent plus pour des raisons médicales. Et certains comprennent, peut-être grâce aux femmes qui sont avec eux, qu'on peut avoir infiniment de plaisir sans nécessairement avoir une érection ni très longue ni très dure. On entre dans un registre érotique différent mais qui n'est pas moins bien.

 

Une sexualité épanouie sur le long terme suppose-t-elle beaucoup de tendresse ?

 

Oui. Je crois que c'est l'une des caractéristiques de la sexualité mature : pour qu'elle soit source de plaisir et de bonheur, il faut qu'il y ait de l'émotion, de l'amour, de la tendresse. Alors que plus jeune, on peut dissocier plus facilement le plaisir et les sentiments.

 

Certaines personnes prennent un partenaire plus jeune, un miroir narcissique?

 

Cela peut les rassurer un temps mais ils ne font que reporter le problème à plus tard. Cela les oblige à vivre sur un rythme qui n'est pas celui de leur âge. Ils se retrouvent avec des enfants jeunes alors qu'ils sont sexagénaires. Un homme qui a une relation avec une femme du même âge, voire plus âgée, va explorer avec elle d'autres voies érotiques. Je crois que les hommes qui expérimentent des relations avec des femmes plus âgées découvrent qu'elles sont plus sensuelles, plus disponibles, qu'elles s'abandonnent plus facilement.

 

Beaucoup de femmes se retrouvent seules suite à un divorce ou au décès de leur mari, comment remédier aux affres de la solitude?

 

C'est un vrai problème. Il y a de plus en plus de femmes qui se disent qu'au fond c'est peut-être l'occasion d'entreprendre une vie amoureuse différente, qui se l'autorisent et vont sur des sites de rencontres, qui prennent des risques. Elles s'autorisent à avoir des amitiés érotiques tout en gardant leur autonomie.

 

En vieillissant, la sexualité change, vous parlez de slow sexe. Qu'entendez-vous par là ?

 

En vieillissant la sexualité devient nécessairement plus lente, plus méditative. On a remplacé le «plus vite plus fort» par le «plus lent plus doux». Le slow sexe vient des Etats-Unis, il est lié au tantrisme, c'est-à-dire à des voies érotiques orientales dans lesquelles on ne cherche pas vraiment à obtenir un pic de jouissance mais plutôt à savourer le contact érotique avec l'autre.

 

«Sex & Sixty, un avenir pour l'intimité amoureuse», par Marie de Hennezel, Ed. Robert Laffont,210 pages, 18,50€.

Au dancing

 

Le dancing est aux retraités ce que la discothèque est aux jeunes. Pour eux, la soirée débute à 14 heures, par un passo doble ou un rock. Les amoureux de la danse y trouvent leur compte, les dragueurs aussi ! Quoi de mieux, en effet, qu'un tango, joue contre joue, pour faire connaissance? Qu'on le veuille où non, c'est au dancing que le troisième âge en quête de rencontres se rend et non au boulodrome, bien qu'on y trouve de plus en plus femmes. Le dancing est le lieu de drague préféré des plus de 50 ans. Viennent ensuite les associations de bénévolat et les sites internet comme seniorplanet.fr, club50.fr ou cmaintenant.com.

Confidences sur l'oreiller

 

Alice. 72 ans : «Je l'ai rencontré au dancing» . Des yeux de chat, bleus, à peine surlignés au crayon et une silhouette de rêve, Alice, 72 ans, vient d'entamer une relation amoureuse après 6 années de célibat. «J'ai rencontré un homme qui a 10 ans de plus que moi au dancing», annonce Alice. Veuve depuis plus de 30 ans, Alice ne manque ni de charme, ni de courtisans. «Je me rends compte que je séduis beaucoup au dancing mais peu d'hommes m'intéressent, je me trouve bien seule. Mais là j'ai décidé de dire oui parce que cet homme m'a paru avoir de l'humour et être agréable. Et puis, c'est plaisant d'être à nouveau désirée», avoue Alice.

 

Bien dans son âge, bien dans son corps, Alice se laisse aller au plaisir avec son nouveau partenaire. «Quand on fait l'amour, on prend plus de temps pour se toucher, se caresser, on est moins impatient. Personnellement, un rendez-vous amoureux par semaine me suffit», conclut-elle.

 

Marguerite, 73 ans : «un bisou tous les matins». Même âge à peu près qu'Alice mais une histoire complètement opposée, à Saint-Gaudens. Marguerite est mariée depuis 57 ans et pour elle, le sexe n'est qu'un lointain souvenir. «C'est bien pour les jeunes et les moins jeunes, mais pour les gens de mon âge, je n'en vois pas l'utilité et surtout je n'en ai pas du tout envie.» Au fil des ans, l'amour que Marguerite porte à son mari s'est transformé en tendresse, «et cela ne pousse pas à avoir des relations sexuelles, reconnaît -elle. J'ai arrêté de faire l'amour à 50 ans. Je pense qu'on a perdu quelques années où on aurait pu s'épanouir davantage.» Aujourd'hui, Marguerite ne supporterait pas qu'un homme la touche, «je crois que cela me répugnerait.» N'empêche tous les matins, au saut du lit Marguerite prend son mari dans ses bras «et on se fait un bisou».

 

René, 80 ans : «18 ans dans ma tête. Veuf depuis 25 ans, petite moustache et regard coquin, René estime que le sexe c'est pour tout le monde : jeunes et moins jeunes. «Mais je m'éclate de moins en moins car je ne suis plus ce que j'étais. Le désir n'est plus le même. Avant il était automatique, maintenant, il faut le stimuler. Dans ma tête, il me semble que j'ai 18 ans mais les douleurs de mon corps sont là pour me rappeler mon âge.» René a une copine depuis 12 ans avec laquelle il partage une tendre relation tout en gardant chacun son chez-soi. «Avec ma femme, la sexualité s'est vite éteinte. Depuis que je suis veuf j'ai connu pas mal de femmes, ce que je n'aurais pas pu faire en étant marié.» René reconnaît que le sexe reste quelque chose d'important, «c'est ce qui permet d'être apprécié, reconnu. On a tous notre petite aura.»

 

Nicole, 78 ans : «C'est très harmonieux». Pimpante et séduisante, à près de 80 ans, cette jolie Albigeoise est toujours amoureuse. «Et ça se passe bien, c'est très harmonieux entre nous. Ce n'est pas la fougue de mes 20 ans mais c'est quand même très agréable. ça fait partie de la vie, de la relation.» Divorcée à deux reprises, Nicole a connu depuis plusieurs partenaires. « J'ai remarqué qu'il y avait parmi les retraités beaucoup de couples qui se recomposaient. Ces nouvelles relations incitent à la sexualité plus que dans les couples installés où le désir s'est estompé. On voit dans la rue, ces nouveaux couples qui n'hésitent plus à afficher leur amour, à montrer qu'ils sont bien ensemble !»

Recueilli par S.V.

 

Société

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d'ailleurs bizarrement ce n'est que depuis le papy boom qu'on parle vraiment de la sexualité des vieux

jusqu'à il y a peu c'était un sujet tabou ...

beurk des vieux qui ....

cela n’empêchaient pas les choses de se faire ..et les vieux et les vieilles de bien se marrer en douce...

la vieillesse n'est qu'une des nombreuses périodes d'adaptation de la vie

mais ce qui rend heureux jeune, rend heureux vieux , il n'y a que les modalités qui changent ...

et croire que les femmes ne sont pas concernées est .....

bête !

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En vieillissant la sexualité devient nécessairement plus lente, plus méditative. On a remplacé le «plus vite plus fort» par le «plus lent plus doux»

 

juste la manière qui change, ... je crois que ça devient plus profond, .. plus harmonieux ...

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Guest Pelloulamed

C ptetr plus psychologique qu'autre chose, chez les ménopausées cki revient souvent c une sensation de perte de "féminité", on a plus d'hormones androgènes produites, on a plus son rdv mensuel, baisse de libido, changements morphologiques... sa met un coup au moral... alors que peut etre qu'a travers la sexualité justement les femmes se rassurent en se disant qu'elles sont encore femmes... (c un phénomène qui doit être encore plus marqué chez les cougars..)

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C ptetr plus psychologique qu'autre chose, chez les ménopausées cki revient souvent c une sensation de perte de "féminité", on a plus d'hormones androgènes produites, on a plus son rdv mensuel, baisse de libido, changements morphologiques... sa met un coup au moral... alors que peut etre qu'a travers la sexualité justement les femmes se rassurent en se disant qu'elles sont encore femmes... (c un phénomène qui doit être encore plus marqué chez les cougars..)

 

Puma3.jpg

 

 

ils font quoi ici ? ...:mad:

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Guest Pelloulamed
Puma3.jpg

 

 

ils font quoi ici ? ...:mad:

 

:mdr::mdr: J'avais envie d'en parler :confused: jviens de voir une émission dessus:crazy::D

 

Si elles vont vers plus jeune jpense que c surtout pour réaffirmer leur féminité, se sentir encore capable de séduire un esprit jeune et un corps jeune...

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Guest padawan
Il y a énormément de femmes entre 50 et 70 ans bien plus attirantes que des jeunes de 20-30 ans.

 

Dok yahasbouk l'agresseur malade de Constantine. :confused:

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les querelles quotidiennes de nos octogénaires (et plus) sont principalement dues au fait de l'impuissance des femmes en général, alors dire que les ménopausées sont des bêtes de sexe en Algérie, c'est un gros mensonge.

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