Samir16 10 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 Le premier ministre Abdelmalek Sellal ne sait pas s’il doit rassurer ou dire la vérité à propos de la situation économique du pays. Il a alterné, aujourd’hui à Alger, les propos apaisants et alarmants lors de son intervention devant les cadres du secteur de l’Energie. Les dépenses budgétaires de l'Etat ont baissé durant le 1er trimestre 2015 « suite aux arbitrages portant gel ou report de certaines opérations d'équipements », a indiqué Sellal, cité par APS. Autre indicateur positif, les réserves de changes ont augmenté de 1,8 milliard de dollars sous « l'effet croisé de la baisse des flux de réserves de change et de leur valorisation positive ». La situation demeure « sous contrôle », assure-t-il, avant d’avouer que le pays est confronté à une situation « délicate », vu que les recettes des exportations d'hydrocarbures ont baissé de 45% durant le 1er trimestre de 2015, soit un recul de 7,8 milliards de dollars. Tout en rappelant les mesures d’ajustement visant, entre autres, à réduire les importations, Abdelmalek Sellal n’a pas caché sa vision de développement économique basé essentiellement sur l’exploitation des hydrocarbures. « Notre potentiel n'est pas suffisamment exploré et exploité. Nous devons mettre en production les nouvelles découvertes. Ceci est possible et fondamental. Il appartient à Sonatrach de s'investir davantage dans l'exploration, la production d'hydrocarbures et leur valorisation », a-t-il insisté. Farouk Djouadi Source El Watan Citer Link to post Share on other sites
Alexander 10 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 Je croyais qu'ils cherchent à diversifier... Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 diversifier lol !!! pour diversifier faut 10 a 20 ans pour un pays europeen ou asiatique pour l'algerie faut minimum 50 ans- il sait que c'est trop tard ! donc on va creuser encore jusqu'a arriver de l'autre coté de la planete ... Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 Je trouve plutôt bizarre que l'Algérie s'aligne sur la crise européenne. Cette dernière est financière et les banques Algériennes n'ont aucune attache de ce côté. Si les hydrocarbures ne marchent plus, pourquoi vouloir exploiter le gaz de schiste ? Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 Je trouve plutôt bizarre que l'Algérie s'aligne sur la crise européenne. Cette dernière est financière et les banques Algériennes n'ont aucune attache de ce côté. Si les hydrocarbures ne marchent plus, pourquoi vouloir exploiter le gaz de schiste ? c'est un terrain ou toutes les compagnies étrangère vont pouvoir tester leurs méthode d'exploitation avec les risques uniquement pour les Algériens., une fois qu'ils auront affiné leurs méthodes et trouver celle qui présente le moindre risque, ils pourront alors, sans problème, la présenter à leur pouvoir public. pendant ce temps..............en Algérie................. Citer Link to post Share on other sites
aline121 10 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 Un desastre, qu'est devenu l algerie, je sais plus quoi dire, c est sale de partout, corruption, a tous les niveaux, Citer Link to post Share on other sites
JAMES 10 Posted May 25, 2015 Partager Posted May 25, 2015 vous avez trop foutu la merde ... vole corruption etc etc pendant 50 ans il y aucun algérien qui hait l Algérie plus que vous !! ... vous l avez complémentent détruite a tous les niveaux ! tic tac tic tac le temps joue contre vous ... Algérie ne tien plus que sur un file ... il suffit que les prix grimpe pour voir les vieux démon ressortir la fin de l Algérie elle a durée que 50 ans finalement ... les français avait predit 40 ans :D Citer Link to post Share on other sites
Lemlih 10 Posted May 29, 2015 Partager Posted May 29, 2015 Dans une interview le ministre Italien exposait ses idée... et la Sellal répond qu'on va manger un pizza d'abord, oui, profites, profites, dans 4 ans on risquera de manger le gravier [YOUTUBE]UbWz6noihNE#t=19[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted May 29, 2015 Partager Posted May 29, 2015 vous avez trop foutu la merde ... vole corruption etc etc pendant 50 ans il y aucun algérien qui hait l Algérie plus que vous !! ... vous l avez complémentent détruite a tous les niveaux ! tic tac tic tac le temps joue contre vous ... Algérie ne tien plus que sur un file ... il suffit que les prix grimpe pour voir les vieux démon ressortir la fin de l Algérie elle a durée que 50 ans finalement ... les français avait predit 40 ans :D Elle est dans le coma depuis la décennie noire et elle disparaîtra à la prochaine (qui est proche)! Citer Link to post Share on other sites
Newen 10 Posted May 29, 2015 Partager Posted May 29, 2015 Le premier ministre Abdelmalek Sellal ne sait pas s’il doit rassurer ou dire la vérité à propos de la situation économique du pays. Il a alterné, aujourd’hui à Alger, les propos apaisants et alarmants lors de son intervention devant les cadres du secteur de l’Energie. Les dépenses budgétaires de l'Etat ont baissé durant le 1er trimestre 2015 « suite aux arbitrages portant gel ou report de certaines opérations d'équipements », a indiqué Sellal, cité par APS. Autre indicateur positif, les réserves de changes ont augmenté de 1,8 milliard de dollars sous « l'effet croisé de la baisse des flux de réserves de change et de leur valorisation positive ». La situation demeure « sous contrôle », assure-t-il, avant d’avouer que le pays est confronté à une situation « délicate », vu que les recettes des exportations d'hydrocarbures ont baissé de 45% durant le 1er trimestre de 2015, soit un recul de 7,8 milliards de dollars. Tout en rappelant les mesures d’ajustement visant, entre autres, à réduire les importations, Abdelmalek Sellal n’a pas caché sa vision de développement économique basé essentiellement sur l’exploitation des hydrocarbures. « Notre potentiel n'est pas suffisamment exploré et exploité. Nous devons mettre en production les nouvelles découvertes. Ceci est possible et fondamental. Il appartient à Sonatrach de s'investir davantage dans l'exploration, la production d'hydrocarbures et leur valorisation », a-t-il insisté. Farouk Djouadi Source El Watan ah, le bouffon du roi, l,amuseur de galleries Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 29, 2015 Partager Posted May 29, 2015 khlasou draham ou boulot! Citer Link to post Share on other sites
Guest George Bish Posted May 29, 2015 Partager Posted May 29, 2015 Finances publiques /Voila pourquoi nous n’aurons que 9 milliards de dollars dans nos réserves en 2019 khlasou draham ou boulot! Mazel chwiaaaaaaaaaaaaaaaaa :D Finances publiques /Voila pourquoi nous n’aurons que 9 milliards de dollars dans nos réserves en 2019 “Avec un baril à 60 dollars, nous disposerons de 38 milliards de dollars de réserves de change en 2019, et avec un baril à 50 dollars nous n’aurons que 9 milliards de dollars”. Avec cette déclaration, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, plante le décor et prévient les Algériens : nous sommes d’ores et déjà en train de perdre complètement notre aisance financière. D’ici une année à deux ans, l’Algérie ne sera plus considéré comme un pays riche. La situation économique mondiale devra prolonger la chute des prix du pétrole. Et Sellal, comme tous les autres dirigeants algériens, en est bien conscient. Le FMI a tout expliqué dans ses prévisions et ses notes stratégiques . Le scénario le plus optimiste table sur une remontée des cours à 73 dollars le baril d’ici 2019. Ce scénario s’appuie sur les stocks de pétrole qui ont atteint leur niveau le plus élevé des deux dernières années, ce qui traduirait des anticipations d’augmentation des cours et non de baisse. Cependant, ce scénario positif se heurte à un obstacle de taille : l’incertitude liée à l’activité économique mondiale et les tensions géopolitiques en Irak, Libye et Syrie ainsi que l’Ukraine. L’explosion de l’exploitation du gaz de schiste aux Etats-Unis compromet aussi dangereusement une remontée des prix du pétrole. L’augmentation de l’extraction du pétrole de schiste américain devrait imposer un prix de 55 dollars le baril au monde entier. Ce qui signifie une chute vertigineuse des revenus pour l’Algérie. C’est ce que craint Sellal. Une crainte qu’aggrave aussi la récent chute des cours. Les cours du pétrole ont chuté de près de 50 % depuis juin 2014, et de 40 % depuis septembre 2014. Une chute aussi spectaculaire s’était produite en 1986, lorsque l’Arabie Saoudite avait décidé de ne plus jouer le rôle de producteur d’appoint : le prix du baril est alors descendu de 27 à 14 dollars, pour ne se redresser qu’une quinzaine d’années plus tard, en 2000. Un scénario catastrophique qui alimente le cauchemar des dirigeants algériens car deux ans après la chute des prix du pétrole de 1986, l’Algérie a été secouée par un certain Octobre 1988. Mais qui va tirer les leçons de l’histoire à Alger ? Par Abdou Semmar | Citer Link to post Share on other sites
Asdurbal 10 Posted June 1, 2015 Partager Posted June 1, 2015 Si on pouvait recuperer un peu de fric par la vente des appartements achetés aux champs et 6ém arrondissement Citer Link to post Share on other sites
Asdurbal 10 Posted June 1, 2015 Partager Posted June 1, 2015 L'hotél plazza de barcelone a lui seul nous a couté 68 millions d'eur!! Citer Link to post Share on other sites
mousmous 10 Posted June 21, 2015 Partager Posted June 21, 2015 Sellal, l'Harcène Lupin gentleman cambrioleuse algérien, il faut bien un coup de main de la famille ni vu ni connu. Il faut bien acheter a l'étranger au cas où ça dégénérerait en Algérie. De ce fait, il croit berner la peuple algérien mais la vérité éclate en achetant un appartement 860.000 euros à moins que qu'il a gagné à l' Euro millions, montre nous le chèque de la française des jeux En plus il veut salir l'Algérie avec son exploitation de gaz de schiste. Voleurs, va Citer Link to post Share on other sites
amarlekabyle 10 Posted June 21, 2015 Partager Posted June 21, 2015 Le premier ministre Abdelmalek Sellal ne sait pas s’il doit rassurer ou dire la vérité à propos de la situation économique du pays. Il a alterné, aujourd’hui à Alger, les propos apaisants et alarmants lors de son intervention devant les cadres du secteur de l’Energie. Les dépenses budgétaires de l'Etat ont baissé durant le 1er trimestre 2015 « suite aux arbitrages portant gel ou report de certaines opérations d'équipements », a indiqué Sellal, cité par APS. Autre indicateur positif, les réserves de changes ont augmenté de 1,8 milliard de dollars sous « l'effet croisé de la baisse des flux de réserves de change et de leur valorisation positive ». La situation demeure « sous contrôle », assure-t-il, avant d’avouer que le pays est confronté à une situation « délicate », vu que les recettes des exportations d'hydrocarbures ont baissé de 45% durant le 1er trimestre de 2015, soit un recul de 7,8 milliards de dollars. Tout en rappelant les mesures d’ajustement visant, entre autres, à réduire les importations, Abdelmalek Sellal n’a pas caché sa vision de développement économique basé essentiellement sur l’exploitation des hydrocarbures. « Notre potentiel n'est pas suffisamment exploré et exploité. Nous devons mettre en production les nouvelles découvertes. Ceci est possible et fondamental. Il appartient à Sonatrach de s'investir davantage dans l'exploration, la production d'hydrocarbures et leur valorisation », a-t-il insisté. Farouk Djouadi Source El Watan Abdelmalek Sellal souffle le chaud et le froid et explique ce qu'il convient de faire face à la baisse (?) de la rente pétrolière... C'est un grand visionnaire, sa vision lui a permis entre autre de développer son portefeuille boursier et pas que, pour le reste inchallah... Citer Link to post Share on other sites
mousmous 10 Posted June 22, 2015 Partager Posted June 22, 2015 Chez nous, l'éducation des généraux vis vis de leurs enfants c'est de voler le maxi avant qu'il y en ai plus. Citer Link to post Share on other sites
rosier belda 10 Posted June 22, 2015 Partager Posted June 22, 2015 Chez nous, l'éducation des généraux vis vis de leurs enfants c'est de voler le maxi avant qu'il y en ai plus. C'est bel et bien la devise du systéme plutôt ...sécher la vache Algérie jusqu'à l'extréme, avoir 2 ou 3 nationalités étrangères, investir dans différents pays européens ou mondialistes...Le nationalisme et l’Algérie pauvre et dénudée de tout c'est pour nous....quelque part nous méritons ce qui nous attend. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted June 22, 2015 Partager Posted June 22, 2015 Il faut faire confiance aux capacités nationales. Nous avons des cadres, des potentialités, sachons les utiliser. Citer Link to post Share on other sites
aline121 10 Posted June 24, 2015 Partager Posted June 24, 2015 jusqu’où vont ils piller l algerie? Citer Link to post Share on other sites
aline121 10 Posted June 24, 2015 Partager Posted June 24, 2015 Mais que fait le TPI? Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted June 25, 2015 Partager Posted June 25, 2015 laissez le manger sa pizza et ensuite promis il va vous trouvez un compromis pour vous sortir de la , juste le temps de manger , de roter de pet..., et un moment .... d'aller au toilette ......on attend ..... on attend......:rolleyes: et on fais tourner les serviettes!!!!! et on fais tourner les valises le temps juste de vider les depots :eek: et ensuite attrapez le si vous pouvez:D Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted June 25, 2015 Partager Posted June 25, 2015 «La situation actuelle est plus grave qu’en 1986» L’Algérie en proie à une crise économique qui pourrait être pire que celle vécue par le passé. Les données actuelles, explique l’ancien chef de gouvernement, Ahmed Benbitour, démontrent que le pays s’engouffre dans une crise économique sans précédent. Ayant toujours été critique à l’égard de la politique du président Bouteflika, Ahmed Benbitour affirme que l’Algérie, ou bien les tenants du pouvoir, n’ont pas retenu les leçons de la crise de 1986 et ont reproduit les mêmes échecs qui mettront le pays dans un situation plus complexe et inextricable. Selon lui, les plans d’austérité annoncés par le gouvernement n’apporteront pas la solution à cette crise. «Il faut absolument une nouvelle politique», lance-t-il. - Des recettes pétrolières en baisse et une balance commerciale déficitaire. L’Algérie risque de s’enfoncer encore dans la crise économique. Cette situation est-elle similaire à celle de 1986 qui avait précipité le pays dans une grave crise économique, sociale et politique ? La situation d’aujourd’hui est pire que celle des années 1986. Pourquoi ? Parce qu’à l’époque, il y avait une baisse des prix du pétrole. Mais il n’y avait pas de problèmes concernant les capacités de production et d’exportation. Or ce que nous enregistrons, depuis 2006, c’est une baisse du volume des exportations qui a été amortie par une augmentation des prix. Mais depuis 2014, nous sommes entrés dans une nouvelle phase caractérisée par une décrue, à la fois, des quantités exportées et une baisse des prix. Cependant, du point de vue de recettes, la situation d’aujourd’hui est similaire à celle des années 1986. A cette époque, les recettes des exportations des hydrocarbures avaient reculé de 40% et nous sommes presque au même niveau aujourd’hui. Mais le problème, cette fois-ci, c’est que les quantités exportées et les prix vont continuer à baisser encore. En termes de perspectives, pour résumer, la situation est plus grave aujourd’hui qu’en 1986. - Donc tous les indicateurs passent au rouge actuellement. Quelle sera la situation du pays les mois à venir ? L’Algérie a une très forte dépendance des hydrocarbures. Elle a également une très forte dépendance, dans sa consommation alimentaire, des importations. Même scénario pour ce qui est de la couverture des dépenses budgétaires ; car les recettes pétrolières arrivent en devise et au niveau de la Banque centrale, elles sont transformées en dinars pour partir au Trésor comme fiscalité pétrolière ou à la société qui a exporté comme recettes dans le chiffre d’affaires. En ce qui concerne les capacités du budget à faire face à cette situation, l’argent qui est au niveau du Fonds de régulation des recettes (FRR) permet de couvrir le déficit de 2015 et celui de l’année 2016. Mais dès 2017, on aura un très sérieux problème de couverture des dépenses. Et là, ce n’est pas la politique d’austérité qui résoudra le problème. Celle-ci ne marchera pas. La solution sera dans la rationalisation des choix budgétaires et des dépenses. S’agissant des capacités d’importations, avec un prix du pétrole autour de 60 dollars le baril, nous n’aurons pas de problème pour les quatre prochaines années. Au-delà de cette échéance, il faut trouver d’autres ressources, car il est impossible de faire face à cette situation, d’autant que nous avons aussi la dépendance alimentaire, puisque nous importons près de 75% des calories que nous consommons. - Comment les prix du pétrole pourront-ils évoluer ? Il y a, à travers le monde, une rationalisation de la consommation d’énergie d’origine fossile. Donc, la demande va baisser juste par le fait de cette rationalisation. En plus, si demain, les problèmes du Moyen-Orient seront plus ou moins réglés, on aura le retour sur le marché pétrolier de l’Iran, de l’Irak, de la Libye et peut-être même la Syrie. Nous allons nous retrouver, ainsi, avec une offre très importante face à une demande qui sera toujours en baisse. Alors, de mon point de vue, les prix n’évolueront pas au-delà de la barre de 60 à 70 dollars au maximum. Donc, il faut absolument une nouvelle politique. Et pour moi, la nouvelle politique c’est le changement de tout le système de gouvernance, pas seulement l’adoption des politiques par la gouvernance actuelle. Cela ne marchera pas, car si on n’a pas pu trouver des solutions pendant 15 ans, on doit le faire dans les quatre ou cinq années à venir. Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted June 25, 2015 Partager Posted June 25, 2015 Ahmed Benbitour, sénateur et ancien chef du gouvernement. Il fut également plusieurs fois ministre de 1992 à 1996. en ce temps il ne savait pas quoi faire la pour la nation ? c'est comme meme incroyable tous nos hommes politiques quand ils sont au pouvoir , ils ne savent pas planifier cordonné et structuré les situations, par contre ils excellent pour arranger leur situation personnel se construire des villas, s'octroyer des terrains agricoles , des terrains industriels, faire profiter leurs enfants et leurs proches , une fois qu'ils sont evincé du pouvoir, ils sont frappé par la foudre du devouement patriotique et ils deviennent des analystes politiques qui arrivent a décripter la situation et le desastre Algérien accusant les politiques d'avoir mené le pays dans ce fiasco sans jamais se remettre en question et se dire que c'est d'eux meme et des fruits de leur politiques desastreuse et de leur incompetence qu'on en est là aujourd'hui , et il pousse l'indescence de pretendre savoir ce qu'il faut faire pour sauver le pays, mais de qui se moquent-on les gars ils nous voient pire que des mulets, c'est vrai que le ridicule ne tue pas , mais "el ghoma" oui, tous ses hamrouchettes , ses benflifeste, benbitourette, ouyahyette et j'en passe tous à mettre dans un broyeur pour qu'on n'en parle plus jamais, pour nos eminent Generaux c'est dans des incinerateur qu'il faut les faire pulveriser Citer Link to post Share on other sites
das Leben 10 Posted June 25, 2015 Partager Posted June 25, 2015 Le premier ministre Abdelmalek Sellal ne sait pas s’il doit rassurer ou dire la vérité à propos de la situation économique du pays. Il a alterné, aujourd’hui à Alger, les propos apaisants et alarmants lors de son intervention devant les cadres du secteur de l’Energie. Les dépenses budgétaires de l'Etat ont baissé durant le 1er trimestre 2015 « suite aux arbitrages portant gel ou report de certaines opérations d'équipements », a indiqué Sellal, cité par APS. Autre indicateur positif, les réserves de changes ont augmenté de 1,8 milliard de dollars sous « l'effet croisé de la baisse des flux de réserves de change et de leur valorisation positive ». La situation demeure « sous contrôle », assure-t-il, avant d’avouer que le pays est confronté à une situation « délicate », vu que les recettes des exportations d'hydrocarbures ont baissé de 45% durant le 1er trimestre de 2015, soit un recul de 7,8 milliards de dollars. Tout en rappelant les mesures d’ajustement visant, entre autres, à réduire les importations, Abdelmalek Sellal n’a pas caché sa vision de développement économique basé essentiellement sur l’exploitation des hydrocarbures. « Notre potentiel n'est pas suffisamment exploré et exploité. Nous devons mettre en production les nouvelles découvertes. Ceci est possible et fondamental. Il appartient à Sonatrach de s'investir davantage dans l'exploration, la production d'hydrocarbures et leur valorisation », a-t-il insisté. Farouk Djouadi Source El Watan Décidemment, ça ne changera jamais... Citer Link to post Share on other sites
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