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UNE BASE AMÉRICAINE DANS LE DÉSERT ALGÉRIEN


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UNE BASE AMÉRICAINE DANS LE DÉSERT ALGÉRIEN

La base existe déjà. Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit où les touristes, pour la plupart allemands, ont été enlevés au début de l’année et rendus pour les derniers le 18 août (1).

 

 

D’après des témoins, des bulldozers ont été aperçus déplacés sur des camions dans la région d’Illizi. D’autres personnes affirment avoir vu passer des porte-chars chargés de grosses boules brillantes et de paraboles de radars. Elles parlent d’un grand nombre de véhicules et d’hélicoptères survolant le convoi. Sur le passage de ce dernier, la population des agglomérations traversées étaient consignée dans les maisons et tous les commerces fermés.

 

Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans l’installation de la base américaine d’Iherir.

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UNE BASE AMÉRICAINE DANS LE DÉSERT ALGÉRIEN

La base existe déjà. Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit où les touristes, pour la plupart allemands, ont été enlevés au début de l’année et rendus pour les derniers le 18 août (1).

 

 

D’après des témoins, des bulldozers ont été aperçus déplacés sur des camions dans la région d’Illizi. D’autres personnes affirment avoir vu passer des porte-chars chargés de grosses boules brillantes et de paraboles de radars. Elles parlent d’un grand nombre de véhicules et d’hélicoptères survolant le convoi. Sur le passage de ce dernier, la population des agglomérations traversées étaient consignée dans les maisons et tous les commerces fermés.

 

Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans l’installation de la base américaine d’Iherir.

 

c'etait le deploiement de l'anp c'est tout

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Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans l’installation de la base américaine d’Iherir.

 

Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS (2) du CPMI (3). Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le "Quotidien d’Oran" en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les "révélations" faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.

 

Le général Abdelmajid Saheb dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.

 

Il y a plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.

I

 

l s’agit "d’Executive Outcomes," ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS (2). Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.

 

 

Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération (4).

 

Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.

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J aimerais bien te croire, mais avec ces anti patriotes que sont nos generaux je doutes.

 

au sud il y a des base americaines petrolieres oui ( il y a sur des militaires camouflés sur)

non les generaux ne decident pas surtout la nouvelle generation ils sont jeunes et profesionnels

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Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans l’installation de la base américaine d’Iherir.

 

Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS (2) du CPMI (3). Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le "Quotidien d’Oran" en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les "révélations" faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.

 

Le général Abdelmajid Saheb dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.

 

Il y a plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.

I

 

l s’agit "d’Executive Outcomes," ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS (2). Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.

 

 

Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération (4).

 

Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.

 

qu'es qu'il ne faut pas lire comme conneries. :crazy:

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Aucune trace sur google earth images 2015 !

 

 

pour avoir vu à la télé un reportage algérien consacré à la dite base, il était bien question d'un vaste complexe avec des pistes à l'abandon . Je n'ai pas retrouvé trace sur le net cette vidéo, mais des articles détaillés sur l'aménagement des pistes pour accueillir les aéronefs marikanis alors que leur binational KHELIL était le ministre très écouté de BOUTEFLIKA . Avant de construire la base d'illizi, les USA avaient réaménagé l'aéroport de Tamanrasset , agrandissant sa piste et créant des hangars.

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