COASTER 10 Posted June 14, 2015 Partager Posted June 14, 2015 Il n’y a pas qu’en Algérie que la question de la succession de Abdelaziz Bouteflika brûle les lèvres. De l’autre côté de l’Atlantique, les cogitations et les pronostics vont aussi bon train. Le centre américain de recherches Stratfor, l’un des think tank qui inspire à Washington, basé à Houston, prédit le départ de Abdelaziz Bouteflika durant l’année 2016. Une conclusion qui épouse un peu ce qui se dit à voix basse dans le sérail algérien. Le centre Stratfor, où officient d’anciens militaires et agents du Renseignement américain, croit savoir que le président Bouteflika «songerait à organiser sa succession» durant l’année 2016. Mieux encore, Stratfor dresse même la short list des prétendants les plus sérieux au remplacement de Bouteflika. Il s’agirait du trio Lakhdar Brahimi, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia. Aucune précision n’a été faite sur l’exposé des motifs d’un tel casting politique par le centre américain mis à part le souci évident de «mener à bien les réformes qu’il compte (Bouteflika) lancer pour consolider la stabilité économique et sociale de l’Algérie (sic)». Quel crédit peut-on accorder à ces supputations américaines que les références de Stratfor (proximité avec les services de renseignement) incitent pourtant à les prendre au sérieux ? On y lit que cette agence américaine est considérée aux Etats-Unis comme une sorte de service parallèle de renseignements. Autrement dit, ses analyses et ses conclusions sont prises en considérations en raison du talent et de la pertinence de leurs auteurs. Mais cela suffirait-il pour dire que cette feuille de route déclinée depuis Houston soit la bonne ? Pas sûr. Jeudi dernier, Ahmed Ouyahia – l’un des «heureux élus» du think tank US aux côtés de Sellal et Brahimi – a invité les opposants à Bouteflika à patienter jusqu’à 2019. Une manière d’évacuer complètement l’hypothèse d’une présidentielle anticipée. Mais s’il est vrai que l’option de l’activation de l’article 88 – qui est à la fois problématique et pas très populaire – est clairement exclue, la formule d’un renoncement volontaire du président Bouteflika au reste de son mandat est du domaine du possible. Les salons algérois foisonnent de rumeurs autour d’une probable décision du Président de sauver son image et sa santé en se retirant à mi-mandat. Vue sous cet angle, l’annonce de Stratfor paraît crédible. Aussi, les trois «impétrants» semblent les mêmes sur lesquels le landernau algérois spécule depuis des mois, mis à part peut-être Lakhdar Brahimi, qui paraît être un «senior» malgré son pedigree onusien. Mais ses «états de service», sa proximité et son amitié avec Bouteflika pourraient être décisifs face à l’«incolore» Sellal et à l’«impopulaire» Ouyahia. H. M. (elwatan) Citer Link to post Share on other sites
Ayrod 10 Posted June 14, 2015 Partager Posted June 14, 2015 Il n’y a pas qu’en Algérie que la question de la succession de Abdelaziz Bouteflika brûle les lèvres. De l’autre côté de l’Atlantique, les cogitations et les pronostics vont aussi bon train. Le centre américain de recherches Stratfor, l’un des think tank qui inspire à Washington, basé à Houston, prédit le départ de Abdelaziz Bouteflika durant l’année 2016. Une conclusion qui épouse un peu ce qui se dit à voix basse dans le sérail algérien. Le centre Stratfor, où officient d’anciens militaires et agents du Renseignement américain, croit savoir que le président Bouteflika «songerait à organiser sa succession» durant l’année 2016. Mieux encore, Stratfor dresse même la short list des prétendants les plus sérieux au remplacement de Bouteflika. Il s’agirait du trio Lakhdar Brahimi, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia. Aucune précision n’a été faite sur l’exposé des motifs d’un tel casting politique par le centre américain mis à part le souci évident de «mener à bien les réformes qu’il compte (Bouteflika) lancer pour consolider la stabilité économique et sociale de l’Algérie (sic)». Quel crédit peut-on accorder à ces supputations américaines que les références de Stratfor (proximité avec les services de renseignement) incitent pourtant à les prendre au sérieux ? On y lit que cette agence américaine est considérée aux Etats-Unis comme une sorte de service parallèle de renseignements. Autrement dit, ses analyses et ses conclusions sont prises en considérations en raison du talent et de la pertinence de leurs auteurs. Mais cela suffirait-il pour dire que cette feuille de route déclinée depuis Houston soit la bonne ? Pas sûr. Jeudi dernier, Ahmed Ouyahia – l’un des «heureux élus» du think tank US aux côtés de Sellal et Brahimi – a invité les opposants à Bouteflika à patienter jusqu’à 2019. Une manière d’évacuer complètement l’hypothèse d’une présidentielle anticipée. Mais s’il est vrai que l’option de l’activation de l’article 88 – qui est à la fois problématique et pas très populaire – est clairement exclue, la formule d’un renoncement volontaire du président Bouteflika au reste de son mandat est du domaine du possible. Les salons algérois foisonnent de rumeurs autour d’une probable décision du Président de sauver son image et sa santé en se retirant à mi-mandat. Vue sous cet angle, l’annonce de Stratfor paraît crédible. Aussi, les trois «impétrants» semblent les mêmes sur lesquels le landernau algérois spécule depuis des mois, mis à part peut-être Lakhdar Brahimi, qui paraît être un «senior» malgré son pedigree onusien. Mais ses «états de service», sa proximité et son amitié avec Bouteflika pourraient être décisifs face à l’«incolore» Sellal et à l’«impopulaire» Ouyahia. H. M. (elwatan) Salut frère COASTER Tout ce que je vous demande,c'est de ne pas choisir un marocain,d'ourigine comme moi pour le remplacement de votre président Citer Link to post Share on other sites
COASTER 10 Posted June 14, 2015 Author Partager Posted June 14, 2015 salut l'ami ok recu je prefere une femme presidente Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted June 14, 2015 Partager Posted June 14, 2015 Drole de centre et d'Analyses!!!! Zaama on joue au tiercé: """Il s’agirait du trio Lakhdar Brahimi, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia.""""""""""" Meme ma grand mere et son Alzheimer peut mieux faire Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted June 14, 2015 Partager Posted June 14, 2015 Lakhadr Brahimi, 82 ans et des ambitions... Ce pays est maudit:59::59: Seuls les vieux ont un avenir dans ce pays. Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 Je ne comprends pas, il y aura des élections, c'est le peuple qui choisira! Citer Link to post Share on other sites
KEYBOARDZAPPER 6 451 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 Je ne comprends pas, il y aura des élections, c'est le peuple qui choisira! salut le choix du peuple n'a jamais été pris en considération dans ce bled...les élections en Algérie sont juste un tape a l’œil pour couper court au critique extérieur.. Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 http://www.forum-algerie.com/parlons-en/102320-boutef-sera-candidat.html#post3625418 . Citer Link to post Share on other sites
Alioutimbi1 10 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 C'est généralement toute l'Afrique on ne respect pas les voix du peuple. En tout cas moi je préfère la choura (choix) que l'élection. Citer Link to post Share on other sites
Lemlih 10 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 lakhdar ibrahimi non, mais pourquoi, en plus on sait pas comment il réflechit Mais pourquoi ils n'ont pas parlé de rachid nekkaz?!! Citer Link to post Share on other sites
karim1970 10 Posted June 15, 2015 Partager Posted June 15, 2015 Il n’y a pas qu’en Algérie que la question de la succession de Abdelaziz Bouteflika brûle les lèvres. De l’autre côté de l’Atlantique, les cogitations et les pronostics vont aussi bon train. Le centre américain de recherches Stratfor, l’un des think tank qui inspire à Washington, basé à Houston, prédit le départ de Abdelaziz Bouteflika durant l’année 2016. Une conclusion qui épouse un peu ce qui se dit à voix basse dans le sérail algérien. Le centre Stratfor, où officient d’anciens militaires et agents du Renseignement américain, croit savoir que le président Bouteflika «songerait à organiser sa succession» durant l’année 2016. Mieux encore, Stratfor dresse même la short list des prétendants les plus sérieux au remplacement de Bouteflika. Il s’agirait du trio Lakhdar Brahimi, Abdelmalek Sellal et Ahmed Ouyahia. Aucune précision n’a été faite sur l’exposé des motifs d’un tel casting politique par le centre américain mis à part le souci évident de «mener à bien les réformes qu’il compte (Bouteflika) lancer pour consolider la stabilité économique et sociale de l’Algérie (sic)». Quel crédit peut-on accorder à ces supputations américaines que les références de Stratfor (proximité avec les services de renseignement) incitent pourtant à les prendre au sérieux ? On y lit que cette agence américaine est considérée aux Etats-Unis comme une sorte de service parallèle de renseignements. Autrement dit, ses analyses et ses conclusions sont prises en considérations en raison du talent et de la pertinence de leurs auteurs. Mais cela suffirait-il pour dire que cette feuille de route déclinée depuis Houston soit la bonne ? Pas sûr. Jeudi dernier, Ahmed Ouyahia – l’un des «heureux élus» du think tank US aux côtés de Sellal et Brahimi – a invité les opposants à Bouteflika à patienter jusqu’à 2019. Une manière d’évacuer complètement l’hypothèse d’une présidentielle anticipée. Mais s’il est vrai que l’option de l’activation de l’article 88 – qui est à la fois problématique et pas très populaire – est clairement exclue, la formule d’un renoncement volontaire du président Bouteflika au reste de son mandat est du domaine du possible. Les salons algérois foisonnent de rumeurs autour d’une probable décision du Président de sauver son image et sa santé en se retirant à mi-mandat. Vue sous cet angle, l’annonce de Stratfor paraît crédible. Aussi, les trois «impétrants» semblent les mêmes sur lesquels le landernau algérois spécule depuis des mois, mis à part peut-être Lakhdar Brahimi, qui paraît être un «senior» malgré son pedigree onusien. Mais ses «états de service», sa proximité et son amitié avec Bouteflika pourraient être décisifs face à l’«incolore» Sellal et à l’«impopulaire» Ouyahia. H. M. (elwatan) c'est ce meme centre de khorti qui avait prédit dans les années 90 la chute de l'algerie , il conseillait meme a cette epoque aux politique US de traité directement avec les criminels islamiste, dont l'hébergement aux frais de hareem essoltane d'Anouar Haddam aux état-unis pour ce qui est de la succession, le retour d'Ouyahia aux commande du RND n'est pas fortuit c'est le bon client de toufik Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted June 16, 2015 Partager Posted June 16, 2015 C'est généralement toute l'Afrique on ne respect pas les voix du peuple. En tout cas moi je préfère la choura (choix) que l'élection. Tu es donc anti-démocrate! :D:D:D Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.