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Moustafa kamal.................................


Guest Serena1

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Les premiers temps de la vie d’Ataturk

 

Mustafa Kemal Ataturk est né en 1881 dans un pauvre quartier de Salonique . Après avoir démissionné de son poste de fonctionnaire insignifiant, son père, Ali Riza, après avoir échoué deux fois dans les affaires, cherche à fuir ses problèmes dans l’alcool et meurt de tuberculose alors que Mustafa n’avait que sept ans. Sa mère, Zubaida, ayant mené une vie retirée et complétement analphabéte, dirigea alors la famille. A l’inverse de son mari, elle fut une croyante et une musulmane pieuse. Comme n’importe quelle femme turque de son époque, toute sa vie tourna autour de son fils ainé. De part ses profondes convictions religieuses, Zubaida voulait que son fils devienne un pieu savant. Mais le fils n’était pas du meme avis. Il se battait bec et ongles contre toute espèce d’autorité, et était insolent et injurieux envers ses enseignants. Il était extrêmement arrogant envers ses camarades, et refusait de se joindre à leurs jeux, ce qui le rendit à raison impopulaire. S’ils venaient à avoir affaire avec lui , il se battait contre eux, préférant jouer tout seul. Au cours d’un de ces violents épisodes, un enseignant, fou de rage, est intervenu et le frappa si durement que l’honneur du garçon en fut atteint. Mustafa s’en alla et refusa de retourner à l’école. Quand sa dévouée mère essaya de le raisonner, il se déchaîna contre elle.

 

Zubaida était désespérée, ne sachant plus quoi faire. Finalement, un oncle lui suggéra de l’envoyer à l’école militaire de Salonique afin d’en faire un soldat. Depuis que cette école est subventionné par le gouvernement, elle ne coûte plus rien ; si le garçon montre de l’habileté, il pourra devenir officier ; sinon il pourra toujours rester simple soldat. Dans tous les cas, son avenir serait assuré. Bien que Zubaida ne fut pas d’accord, et avant qu’elle puisse l’arrêter, Mustafa, alors âgé de douze ans, persuada un des amis de son père de le soutenir auprès des autorités du collège. Il passa les examens et devint élève officier. Il se plaisait dans ces lieux. Il était si bon élève qu’un de ses enseignants le surnomma « Kemal », qui veut dire en arabe « perfection ». Du fait de ses notes brillantes en mathématiques et dans les disciplines militaires, il obtint un poste d’enseignant au sein de l’Etat-major, ou il pouvait à loisir exercer son autorité. Après avoir obtenu les meilleurs notes à ses examens finals, il fut en janvier 1905 promut avec les honneurs au grade de Capitaine.

 

M.K au pouvoir

 

Durant cette période il rejoignit un mouvement étudiant nationaliste extremiste connu sous le nom de Vatan ou « Patrie » en turc (qui vient de « Watan », la patrie en arabe). Les membres de Vatan se targuent d’être des révolutionnaires. Ils étaient hostiles au régime du Sultan Abdel Hamid II et le condamnèrent pour la suppression des soi-disant idées « libérales » qui minimisent l’autorité de l’Islam. Ils prirent soin de ne jamais accabler l’Islam du retard de la Turquie et dirigèrent leur rancoeur contre la prétendue désuète Shari’a; ils firent des mystiques Soufies l'objet de ridicule. Les membres du Vatan étaient liés par le serment selon lequel ils renverseraient le Sultan légitime et le remplaceraient par un gouvernement d’inspiration occidental, avec une constitution et un parlement, detruisant l’autorité des oulémas et des savants. Bientôt, Mustafa Kemal devint leur chef.

 

L’opportunité pour Mustafa Kemal d’étendre son influence vint enfin, quand juste avant le renversement du Sultan Abdul Hamid en 1908 par les Jeunes-Turcs, le parti alors au pouvoir, le Comité pour l’Union et le Progrès l’invita à le rejoindre. Cependant, étant un nouveau venu, il fut obligé d’obéir aux ordres alors que son caractère était de tout vouloir contrôler. Il a grandi agité et insatisfait. Il ne témoigna aucun respect pour les autres membres qu’il regardait de haut. Il haïssait particulièrement les musulmans sincères, comme le Premier Ministre le Prince Said Halim Pasha (1865-1921) et le Ministre de la Guerre, Anwar Pasha (1882-1922), avec lesquels il se disputait sans arrêt.

 

Progressivement, grâce à sa personnalité dominatrice, il acquit de plus en plus d’influence politique. Il passa ses soirées dans les réunions secrètes, fomentant le coup d’état qui lui permettra d’accéder au pouvoir absolu. Sa chance vint quand à la fin de la Première Guerre mondiale, il prit la tête de la défense de l’intégrité territoriale de la Turquie contre les appétits des pouvoirs européens dont le dessein était de se partager « l’homme malade de l’Europe » et de hâter rapidement sa disparition. En déjouant leurs sinistres projets et en encourageant le peuple à lutter, Mustafa Kemal Pasha devint un héros national. Quand les Grecs furent battus et la victoire des Turcs assurée, le peuple turc entra en liesse. Il l’acclama comme un Sauveur et lui donna le titre honorifique de « Ghazi » ou « Défenseur de la foi » (sic)

 

Une multitude d’invitations provenant de diplomates l’exhortent à devenir leur champion de l’Est contre l’Ouest. En direction des hommes d’état arabes il répond dans l’Assemblée Nationale: « Je ne suis pas de ceux qui croient en une fédération de toutes les nations musulmanes, ni en une ligue de tous les peuples turcs sous la coupelle soviétique. Mon seul but est de sauvegarder l’indépendance de la Turquie avec ses frontières naturelles pas de faire revivre les Ottomans ou toute autre empire.»

 

La politique de Mustafa Kemal Pasha fut de faire de la Turquie une nation de petite taille, dans ses frontières naturelles, et surtout, un état moderne et prospère respecté partout dans le monde. Il était si convaincu que lui et seulement lui était qualifié pour ce rôle qu’il déclara : « Je suis Turc ! Me détruire, c’est détruire la Turquie ! »

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Guest Serena1

Destruction du califat.

 

Aussitôt après son accession au pouvoir, il déclarera vouloir détruire toutes traces de l’Islam dans la nation turque. La Turquie ne pourra progresser et devenir une nation moderne et respectée uniquement lorsque l’autorité de l’Islam aura complètement disparu. Il enchaîna discours après discours, sans peur et impudemment, en attaquant l’Islam et tous ses préceptes :

 

« Depuis plus de 500 ans, ces règles et théories d’un cheikh arabe et les interprétations de générations d’hommes de religion bon à rien ont décidés de la législation civile et criminelle de la Turquie. Ils ont décidé de la forme de la Constitution, des détails de la vie de chaque turc. L’Islam –cette théologie provenant d’un Arabe est une chose morte. Il est possible que cela ait convenu à des tribus dans le désert. Mais cela ne convient pas à un état moderne et progressiste. La révélation de Dieu ? Il n’y a pas de Dieu ! Aucune faiblesse ne doit diriger ! »

 

Quand Abdel majid fut élu Calife, Mustafa Kemal Pasha refusa de permettre à la cérémonie traditionnelle d’avoir lieu complétement. Quand l’Assemblée se mit à en discuter , Mustafa Kemal coupa court au débat : « Le Calife n’a pas de pouvoir ou de rôle excepté celui de symbole. Le Califat, votre fonction, n’est pas plus qu’une relique du passé. Il n’y a plus de justification à son existence. Ce que vous écrivez à mes secrétaires n’est rien de plus que de l’impertinence »

 

 

Le 3 mars 1924, Mustafa Kemal proposa une loi à l’assemblée permettant d’abolir totalement le Califat, et d’établir un état purement laïc. Cependant, avant que la proposition de loi ne soit connue, il prit le soin de musel1er toute opposition en déclarant :

« A tout prix, la République doit être maintenue… L’Empire Ottoman était basé sur des fondements religieux dépassés. Le Calife et les restes de la Maison d’Osman doivent partir. Les codes et tribunaux religieux désuets doivent être remplacés. Les écoles religieuses doivent être remplacés par des écoles publiques laïques. La République de Turquie doit finalement devenir un état laïc. »

 

Par consequent, la proposition de loi a été entériné sans débat, et le Calife déchu ainsi que sa famille s’exilerent en France. Le nouveau régime décréta alors ce qui suit :

« Le préambule de la nouvelle constitution (turque) est dédié totalement aux réformes entreprises par Ataturk et l’articles 153 prohibent toute remise en jeu de ces réformes. Elle dit : Aucune disposition dans cette constitution ne doit permettre de rendre anticonstitutionnel les réformes suivantes dont le but est d’amener la société turque au niveau des civilisations comptemporaines, et de sauvegarder le caractére laïc de la république qui prendra effet le jour ou cette constitution sera adoptée par le vote du peuple :

 

1. Loi pour l’unification et la laïcisation de l’éducation le 3 mars 1924

 

2. Loi sur les chapeaux le 25 Novembre 1925 (qui interdit le port du fez et du foulard, et impose le chapeau comme coiffe nationale)

 

3. Loi sur la fermeture des couvents des derviches et des mausolées, l’abolition de la fonction de gardien des tombes, et l’interdiction de l’utilisation des titres honorifiques religieux, le 30 novembre 1925

 

4. L’instauration de l’acte civil du mariage le 17 février 1926

 

5. Loi sur l’adoption du système numérique international le 20 mai 1928

 

6. Loi concernant l’adoption et l’application des caractères latins (et l’interdiction des caractères arabes) le 1er novembre 1928

 

7. Loi dur l’abolition de titres et d’appellations tel que Efendi, Bey ou Pasha, le 26 novembre 1934

 

8. Loi concernant l’interdiction du port du costume indigene le 3 decembre 1934

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Guest Serena1

Toutes ces réformes étaient accompagnées de répressions. Par exemple, ne pas savoir lire les caractères latins pouvait être passible de prison.

:):):D

 

 

Le déni total de l’Ataturkisme reste impossible et inconcevable. Impossible car la constitution l’interdit, et inconcevable car jeunes et vieux ont accépté beaucoup des consequences de ces réformes et l’occidentalisation a signifié dans l’imaginaire populaire la promesse d’une vie plus aisée.

 

Durant la période au cours de laquelle ces réformes ont été appliquées, Mustafa Kemal Pasha se marria avec une belle et occidentalisée dame, appelée Latifa, qui durant la bataille pour l’indépendance turque, fut encouragée par lui à s’habiller comme un homme. Mais elle a grandi en sachant s’affirmer, et insista pour etre traitée comme une femme respectable, au lieu d’etre piétinée comme un paillasson à cause de ses infidélités. Il la divorca et la congédia. L’ironie voulu que plus tôt, Kemal fut le tenant de l’annulation de la forme islamique du divorce, alors qu’il prononca le talaq envers sa femme. Quelques moi plus tard, l’annulation du divorce sous sa forme islamique fut décrété.

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Guest Serena1

m.k, assention et décadence d'un dictateur des temps modernes

 

Après son divorce de Latifa, son impudence ne connut aucune limite. Il buvait tellement qu’il devint un buveur et un alcoolique avéré. Les maladies veneriennes detruisaient sa santé. Il était un débauché et devint si agressif envers les femmes et les filles de ses amis politiques que ceux ci commencerent à éloigner celles-ci le plus loin possible de lui. Ainsi, un proche d’Ataturk, Riza Nur, observait ceci :

 

"Notre chef respecté a une habitude. Il aime les femmes. Il les change très souvent. Mais sa violence et sa vulgarité le rend repoussant."

 

En decrivant son caractere, HC Armstrong écrit :

"Mustafa Kemal Pasha a toujours été un homme seul. Il ne faisait confiance à personne. Il ne voulait pas écouter les opinions qui ne correpondaient pas aux siennes. Il insultait quiquonque n’était pas d’accord avec lui. Il jugeait toutes les actions selon ses propres interets. C’était un jaloux malsain. Un homme capable ou intelligent était un danger dont il fallait se débarasser. Il critiquait amérement les capacités des autres. Il prenait un malin plaisir à démolir les autres personnages et à ridiculiser leurs actions, même s’il s’agissait de personnes qui le soutenaient. Il disait rarement une chose gentille ou généreuse et il ne lancait que des sarcasmes. Il ne se confiait à personne. Ses amis étaient les diables avec qui il buvait, se prétant à ses plaisirs et comblant sa vanité. Tous les hommes de valeurs, les hommes qui se sont tenus auprès de lui lors des jours les plus sombre de la guerre d’indépendance étaient contre lui."

 

Et comme tout dictateur qui ne peut tolérer de rivaux, Mustaka Kemal ne perd aucune occasion pour écraser toute opposition politique.

 

La police secrète a fait son travail. Par la torture, la bastonnade, par tous les moyens qu’ils ont voulu, la police devait trouver assez de preuves pour incriminer les chefs opposants qui sont arrêtés. Un Tribunal de l’Indépendance a été nommé pour les juger. Sans se soucier de la procédure ou des preuves, la cour les condamnait à la pendaison.

Les arrêts condamnant à mort étaient envoyés à Mustafa Kemal pour qu’il y appose sa signature dans sa maison de Khan Kaya.

 

Un de ces arrêts concernait Arif, qui, après une querelle avec Mustafa Kemal, rejoignit l’opposition. Arif, un de ses amis, qui s’était tenu loyalement derrière lui lors des jours les plus sombres de la Guerre d’Indépendance –le seul homme a qui il avait ouvert son coeur. Un de ceux qui fut present rapporte que lorsque l’arrêt est arrivé, sa figure grise ne changea pas, il ne fit aucune remarque, il n’hésita pas. Il fumait. Il posa sa cigarette en travers du cendrier, signa l’arrêt de mort de Arif, comme s’il s’agissait d’un papier ordinaire, et passa à la suite… Il voulait faire les choses correctement. Il allait donner un ball ce soir-là également. Tout le monde devait venir : les juges, le Cabinet, les ambassadeurs, les ministres étrangers, tous les notables, toutes les belles dames. Tout Ankara devait etre en fête… Les danses commencerent doucement. Habillé d’un costume de soirée immaculé spécialement taillé pour lui par un tailleur de Londres, le Ghazi se tenait debout dans un coin discutant avec un diplomate. Les invités se tournaient discretement vers lui. S’il montrait de la mauvaise humeur, il fallait parler à voix basse. C’était dangereux d’etre de bonne humeur alors qu’il ne l’était pas.

Mais le Ghazi était au meilleur de sa forme. C’était une soirée ou on devait beaucoup s’amuser : « Nous devons etre gai, nous devons vivre, etre vivant ! » s’exclamait-il et il prit une femme et se mit à danser avec elle. Les invités le suivirent. S’ils ne le faisaient pas, il les y enjoignit. Le Ghazi était en forme, entrainant ses partenaires sur la piste de danse et leur donnant à boire… Quatre miles plus loin, à Ankara, la grande place était éclairé de la lumière blanche d’une douzaine de lampadaires. Autour de cette place et dans les rues était rassemblé une grande foule. Sous les lampadaires près des murs de la prison se tenait onze grandes potences de bois. En dessous de chacune, un homme, ses mains ligotés derrière lui et une corde autour du cou –les opposants politiques de Mustafa Kemal, sur le point de mourir. Dans un grand silence, chaque condamné à mort parle tourné vers les gens. Un récita un poème, un autre une prière ou encore un autre criant qu’il était le fils loyal de la Turquie… A Khan Kaya, la majorité des invités sont partis. Les salles sont pleines de la fumée de cigarettes, d’odeur d’alcool et des haleines nauséabondes. Le sol est rempli de mégots de cigarette et les tables semées de cartes et d’argent. Mustafa Kemal traversa la pièce et regarda par la fenetre. Sa figure était impassible et sombre, ses yeux pales sans expression ; il ne montrait aucun signe de fatigue et son costume de soirée était toujours aussi immaculé. Le Commissaire de Police a annoncé que les executions étaient terminés. Les corps accrochés aux potences ont cessés de se contracter. Il est enfin le souverain absolu. Ses ennemis sont bannis, cassés, ou mort.

 

Atatürk est mort le 10 novembre 1938 à 9:05 heures au palais de Dolmabahçe, à cause d'une cirrhose qu'il n'est pas arrivé à vaincre. Il a été enterré provisoirement au musée d'Ethnographie, à Ankara, le 21 novembre 1938. Quand la construction du Mausolée a été achevée, il a été enterré définitivement après une cérémonie solonelle le 10 novembre 1953.

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  • 3 weeks later...

= B2/ Le Kémalisme. Traité de Lausanne. RépressionsAntiKurdes. Enfumages1915. Diplomaties subtiles. Complaisances/nazisme.

 

m.k, assention et décadence d'un dictateur des temps modernes

 

Ainsi, un proche d’Ataturk, Riza Nur, observait ceci :

"Notre chef respecté a une habitude. Il aime les femmes. Il les change très souvent. Mais sa violence et sa vulgarité le rend repoussant."

...

Au sujet de Riza NUR 1879-1942 ce politicien kémaliste faisait partie des diplomates turcs au Traité de Lausanne en 1923. Voici ce qu'écrit aujourd'hui un historien suisse à son sujet :

 

L’idéologie du docteur Riza Nur, un spécialiste en chirurgie, est radicale, comme le prouvent ses notes privées sur les négociations: "Il est d’intérêt vital et parfaitement juste de ne laisser vivre aucun humain d’une autre race, d’une autre langue et d’une autre religion dans notre patrie." Sur la même page, il ajoute que les non-Turcs et les non-musulmans sont "un élément étranger, un fléau et des microbes". Que faire des Kurdes, pourtant musulmans? "Moyennant un programme d’assimilation suivi il faut les purifier de leurs langue et race distinctes."

Extrait de l'article de l'historien suisse Hans-Lukas Kieser.

 

SVP, Serena1, quelles sont les sources de ce texte ? Merci d'avance. InfoHay1915.

#154

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Si je compare Ataturk et Erdogan

C'est grâce au deuxième que la Turquie est devenue une puissance mondiale

Le reste n'est que de la broderie intellectuelle

 

Erdogan est un criminel notoire, il s'est fourvoyé avec les ennemis des musulmans en s'alliant avec Israel et les USA pour attaquer et massacrer des pays arabes pour des interets economique,

il est cofondateur de Daech avec les USA et les Arabe du golf, ses pseudo bombardements sont uniquement contre les kurdes, Daech c'est son protégé

ceci dit, la Turquie reste une pièce maitresse dans la région avec ou sans merdogan,de la à dire une puissance mondiale, faut d'abord qu'on voit plus clair avec l'imminente recomposition du Monde, ça va pas tarder, soyez en sur

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- La Turquie frappe sept objectifs du PKK dans le nord de l’Irak

 

- L’aviation turque bombarde des positions kurdes et des zones d’habitation civile au Sud-Kurdistan (Irak)

 

L'Etat turc ne changera pas...même par la soit-disante "magie occidentale". Cela fait plus de cent ans que cela dure. InfoHay1915.

#212

 

à mes yeux, tu serais plus crédible si tu nous donnais ton avis sur la relation Turquie - Daech, parce que les minorités ont ceci de niais, ils ne s'interessent qu'a leur petites personnes ou celle qui leur ressemble ( arméniens = kurdes, etc ) mais la politique dans son ensemble, ça se lave les mains à bon compte,

 

cette posture est pour moi est aussi criminelle que celle qui est supposée les avoir génocidé, et perso, je n'en ferait pas un principe dogmatique, la Turquie avait effectivement un différent plus que sanglant avec la minorité armenienne, mais faut il aussi dire et chercher le pourquoi tant de sauvagerie ?

ça nous ramène à Daech, et ceux qui se contentent des mensonges des medias occidentaux n'ont qu'a aller se faire foutre:mdr:

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= B2/ Le Kémalisme. Traité de Lausanne. RépressionsAntiKurdes. Enfumages1915. Diplomaties subtiles. Complaisances/nazisme.

 

Au delà de l'agitation de l'internaute 'lelio16' qui s'y croit toujours dur-dur avec ses affirmations péremptoires comme à ce dernier message #44, avançons et revenons à la nature du rôle historique de Mustafa Kemal Ataturk.

 

Le turco-nationalisme de Kemal Ataturk était en délire de falsfications historiques. :crazy:

 

Ainsi les turcologues turcs de son époque fantasmaient sur une civilisation florissante prototurque avec le 1er Congrés d'histoire en Juillet 1932 : Lignes générales de l'Histoire turque (600 pages) amplifiant le rôle des Turcs dans l'islam, glorifiant la race turque, etc., parlant de la migration des Turcs jusqu'en Irlande, les migrants turcs porteurs de techniques civilisatrices face aux peuples autochtones misérables (Chinois, Egyptiens, etc). :rolleyes:

 

Ma mère m'en avait parlé un jour et une autre fois sur la théorie turque de "la langue-soleil" avec ses surenchères linguistiques.

 

La langue turque aurait été à l'origine de toutes les langues du monde. Emoticon-3.gif

 

Voici une étude par le professeur Hamit Bozarslan (Paris) sur le voyage du linguiste Jean DENY 1879-1963 lors du 3ème Congrès de la Langue Turque (Istanbul, 1936).

 

On peut comprendre pourquoi de tels dérapages intellectuels ont eu lieu en Turquie à cette époque. Il fallait donner de l'assurance à un pays où avait été perpétré un génocide : des meurtres collectifs à la sortie des villes-villages, des déportations, des pillages, des voisins qui n'étaient pas revenus, etc, etc. Il fallait des fuites en avant symboliques, des fantasmes nationalistes pour "rassurer", déculpabiliser l'Inconscient collectif d'un pays où avaient été commis des crimes contre l'Humanité. InfoHay1915. :(

#239

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Au delà de l'agitation de l'internaute 'lelio16' qui s'y croit toujours dur-dur avec ses affirmations péremptoires comme à ce dernier message #44, avançons et revenons contre l'Humanité. InfoHay1915. :(

#239

 

si mes affirmations sont de l'agitation, que dirait on des tiennes, apparement c'est l'émeute, pardon, la révolution à chaque intervention

on a rien à foutre de ton arménie et tu le sais trés bien, le jour ou autres sujets que l'arménie t'interessent, dans ce cas, merhaba :cool::cool:

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= F1/ GénocideArménien1915 & DénisTurcoOfficiels : échos & polémiques / 'Forum-Algérie' ?

 

la révolution à chaque intervention
C'est bon signe : l'inconscient de l'internaute 'lelio16' arrive à s'exprimer : malgré sa carapace.

 

crédible ? à toujours nous parler de sa foutu arménie

 

:eek: Tiens, tiens, revoilà Malfurion qui revient avec son blabla creux cherchant à meubler le silence : à défaut de son point de vue économique à être plus ami avec les Turcs qu'avec les Arméniens.

 

C'est trop demander à ces deux-là de se concentrer sur l'importance de la linguistique comme évoquée à mon message #10 de la page précédente. En plus ils veulent nous parler de "crédibilité". :rolleyes:

 

'lelio16' et 'malfurion' ne s'écoutent-ils pas et ne se voient-ils pas ? Essairaient-ils de briller à un nouveau plus haut que des pauvres débiles par accident ? L'immaturité ne connait pas les religions ou les frontières : quelles soient les rives de la Méditerranée...

 

Ces deux rigolos ne remarquent même pas qu'on est en train de parler de KÉMAL ATATÜRK -qui n'est pas arménien. :D Ils veulent peut-être ne pas en parler :no: -c'est ça ? On les comprend : un Turc qui méprise les Arabes. Peut-on penser qu'il est le seul homme d'Etat turc à mépriser les Arabes ? Il faudrait voir si c'est le cas aussi avec Erdogan... :(

 

Je reviendrai sur Ataturk et l'idéologie kémaliste. Cela explique beaucoup la triste réalité du Moyen-Orient aujourd'hui. InfoHay1915.

#334

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C'est bon signe : l'inconscient de l'internaute 'lelio16' arrive à s'exprimer : malgré sa carapace.

 

 

 

:eek: Tiens, revoilà Malfurion qui revient avec son blabla creux cherchant à meubler le silence : à défaut de son point de vue économique à être plus ami avec les Turcs qu'avec les Arméniens.

 

C'est trop demander à ces deux-là de se concentrer sur l'importance de la linguistique comme évoquée à mon message #10 de la page précédente. En plus ils veulent nous parler de "crédibilité". :rolleyes:

 

'lelio16' et 'malfurion' ne s'écoutent-ils pas et ne se voient-ils pas ? Essairaient-ils de briller à un nouveau plus haut que des pauvres débiles par accident ? L'immaturité ne connait pas les religions ou les frontières : quelles soient les rives de la Méditerranée...

 

Ces deux rigolos ne remarquent même pas qu'on est en train de parler de KÉMAL ATATÜRK -qui n'est pas arménien. :D Ils veulent peut-être ne pas en parler :no: -c'est ça ? On les comprend : un Turc qui méprise les Arabes. Peut-on penser qu'il est le seul homme d'Etat turc à mépriser les Arabes ? Il faudrait voir si c'est le cas aussi avec Erdogan... :(

 

Je reviendrai sur Ataturk et l'idéologie kémaliste. Cela explique beaucoup la triste réalité du Moyen-Orient aujourd'hui. InfoHay1915.

#334

 

 

Tu nous pompes l'air, voilà tout:mdr:

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Guest Serena1

Pensez vous que changer la langue et le costume d'un peuple le ferait avancer??? Pour m'expliquer un peu: Si les turcs on decide d'ecrie en lettres latines et porter le pantalon et la veste....est ce que cela les a fait avancer....?

 

:)

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= B2/ Le Kémalisme. Traité de Lausanne. RépressionsAntiKurdes. Enfumages1915. Diplomaties subtiles. Complaisances/nazisme.

 

Pensez vous que changer la langue et le costume d'un peuple le ferait avancer??? Pour m'expliquer un peu: Si les turcs on decide d'ecrie en lettres latines et porter le pantalon et la veste....est ce que cela les a fait avancer....?

 

:)

Je ne le crois pas. Ces deux changements (tenue vestimentaire et alphabet) avaient des motivations politiques :

 

- faire glisser l'image du turco-musulman massacreur sur les deux autres peuples musulmans qui conservaient le costume oriental traditionnel, c'est-à-dire sur les Arabes et les Kurdes ;

 

- créer un écran qui empêche de lire les textes des publications officielles concernant en particulier les lois de déportations et le procès des criminels 'jeunes-turcs' en 1919.

 

Il y a une mémoire en proximité : comme dans le sud des Etats Unis restés encore racistes et qui ont du mal à tourner la page. InfoHay1915.

#400

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Tu nous pompes l'air, voilà tout:mdr:
Ce "NOUS", de qui veut parler l'internaute 'lelio16' ?

 

Penserait-il à l'ensemble des internautes du 'Forum-Algérie' ? Je ne pense pas que l'internaute 'Lelio16' soit compulsionnel à ce point-là.

 

S'agirait-il alors du tandème 'Lelio16~Alfurion'. Mais personne n'oblige ces deux compères à lire mes messages -sinon eux-mêmes. :rolleyes:

 

Revenons cependant à la discussion sur Mustafa Kémal et son opinion sur les Arabes. C'est plus important. Je ne sais pas encore bien discerner l'alphabet arabe, mais grace à wikipedia j'arrive à avancer petit à petit. ;)

 

Ataturk, c'est مصطفى كمال أتاتورك >> Google.مصطفى كمال أتاتورك . عرب . Je n'arrive pas à utiliser la fonction traduction pour ce listing entier, mais seulement article par article, ce qui serait trop long.

 

Par la page des jpg, j'ai pu trouver le jpg ci-dessous dont je peux traduire la page d'origine de l'arabe en français. On peut y voir la stratégie kémaliste d'annuler habilement l'iconographie mémorielle du turc massacreur comme expliqué dans mon message #16 précédent.

 

:eek: Il sera intéressant de savoir :

- le regard arabe sur les Turcs ;

- le regard turc sur les Arabes ;

- de disserter sur le double regard franco-occidentaliste sur les Turcs//Arabes pointant au crédit des Turcs par eurocentrisme, que les Turcs ne sont pas des Arabes ;

- sachant pour ce dernier regard, qu'il y a eu aussi un regard eurocentriste-orientaliste de Rome pendant des siècles sur l'Église apostolique arménienne qualifiée non pas d'orientale mais d'hérétique.

 

:fish2: Voici une intéressante page de la Revue des Mondes musulmans et de la Méditerrannée sur la cartographie turque de 1931 à nos jours

 

InfoHay1915.

 

كمال+أتاتورك.jpg

#431

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Ce "NOUS", de qui veut parler l'internaute 'lelio16' ?

 

Penserait-il à l'ensemble des internautes du 'Forum-Algérie' ? Je ne pense pas que l'internaute 'Lelio16' soit compulsionnel à ce point-là.

 

S'agirait-il alors du tandème 'Lelio16~Alfurion'. Mais personne n'oblige ces deux compères à lire mes messages -sinon eux-mêmes. :rolleyes:

 

Revenons cependant à la discussion sur Mustafa Kémal et son opinion sur les Arabes. C'est plus important. Je ne sais pas encore bien discerner l'alphabet arabe, mais grace à wikipedia j'arrive à avancer petit à petit. ;)

 

Ataturk, c'est مصطفى كمال أتاتورك >> Google.مصطفى كمال أتاتورك . عرب . Je n'arrive pas à utiliser la fonction traduction pour ce listing entier, mais seulement article par article, ce qui serait trop long.

 

Par la page des jpg, j'ai pu trouver le jpg ci-dessous dont je peux traduire la page d'origine de l'arabe en français. On peut y voir la stratégie kémaliste d'annuler habilement l'iconographie mémorielle du turc massacreur comme expliqué dans mon message #16 précédent.

 

:eek: Il sera intéressant de savoir :

- le regard arabe sur les Turcs ;

- le regard turc sur les Arabes ;

- de disserter sur le double regard franco-occidentaliste sur les Turcs//Arabes pointant au crédit des Turcs par eurocentrisme, que les Turcs ne sont pas des Arabes ;

- sachant pour ce dernier regard, qu'il y a eu aussi un regard eurocentriste-orientaliste de Rome pendant des siècles sur l'Église apostolique arménienne qualifiée non pas d'orientale mais d'hérétique.

 

:fish2: Voici une intéressante page de la Revue des Mondes musulmans et de la Méditerrannée sur la cartographie turque de 1931 à nos jours

 

InfoHay1915.

 

كمال+أتاتورك.jpg

#431

Je lis tout ce que tu écris,cela m’intéresse, votre malheureuse expérience...pour que plus jamais ça!!!

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j'ai connu à istanbul pas mal de réfugiés chrétiens irakiens, il y' a un groupe ethnique qu'ils ne peuvent pas blérer c'est bel et bien les Kurdes, normal, ces derniers se comportent ( ou se comportaient, je parle de cela il y'a dix ans déjà ) envers eux en barbares......

les minorités quelles qu'elles soient, peuvent etre ou devenir aussi barbares que les "majoritaires", les exemples foisonnent hélas

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