poème à ma mere

[Guest séraphin]

Qu’avons-nous fait pour ses êtres si tendres. La mère la mère et la mère…rien entendre ce mot tout les portes de la poésie s’ouvrent. Mais je n’ai même pas pu écrire pourtant un poème à ma mère. Je ne savais pas d’où commencer et par quoi finir.

 

J’ai poser ma plume, et j’ai regarder longtemps cette blanchâtre feuille qui m’a battu sur mes terres. J’aurai aime faire la moindre des chose pour cette femme qui a vu toute les infamie pour mon bonheur…je dormais malade… mais elle veille et pleur…je voyageai on emmenons son cœur avec moi. Enfin que sais-je c’est une mère…dormir à ses pied est le plus prompte bonheur…embrasser sa main je le fairai à l'éternel...

 

Je supplier ma plume de lui écrire les moindre des paroles sincères. Mais elle m’a lâcher…elle ne veut pas être châtier pour avoir dit moi que mérite ma mère car fort et aussi éloquente qu’elle soit …jamais elle ne pourras remercier ma mère...le père a aussi sa place mais aant lui ....la mère..

 

ma plume ne veut écrire

 

O plume je te conjure d’écrire

Ecrit le plus beau des poèmes à ma mère

Choisie les mots qui lui iront à ravir

Je te payerai du sang de mon cœur

 

Je ne profanerai point un saphir

Je crains de Dieu sa terrible colère

Lui faire des éloges c‘est de l’agonir

Car elle est en dessus des e que tu espères

 

Puise en mon cœur de quoi écrire

Royaume des émois, tout sincère

Là bas le roi est prêt à s’assujettir

Et prompte à s’incliner devant sa mère

 

Jamais mon encre saignera d’injures

Ne me demandez e que je ne peux faire

Ton éloquente rhétorique ne peut y suffire

Seul l’Eden du seigneur pourra le faire

 

que Dieu nous gardent en bonne santé nos mère

 

[Guest Bleeding Angel]

Qu’avons-nous fait pour ses êtres si tendres. La mère la mère et la mère…rien entendre ce mot tout les portes de la poésie s’ouvrent. Mais je n’ai même pas pu écrire pourtant un poème à ma mère. Je ne savais pas d’où commencer et par quoi finir.

 

J’ai poser ma plume, et j’ai regarder longtemps cette blanchâtre feuille qui m’a battu sur mes terres. J’aurai aime faire la moindre des chose pour cette femme qui a vu toute les infamie pour mon bonheur…je dormais malade… mais elle veille et pleur…je voyageai on emmenons son cœur avec moi. Enfin que sais-je c’est une mère…dormir à ses pied est le plus prompte bonheur…embrasser sa main je le fairai à l'éternel...

 

Je supplier ma plume de lui écrire les moindre des paroles sincères. Mais elle m’a lâcher…elle ne veut pas être châtier pour avoir dit moi que mérite ma mère car fort et aussi éloquente qu’elle soit …jamais elle ne pourras remercier ma mère...le père a aussi sa place mais aant lui ....la mère..

 

ma plume ne veut écrire

 

O plume je te conjure d’écrire

Ecrit le plus beau des poèmes à ma mère

Choisie les mots qui lui iront à ravir

Je te payerai du sang de mon cœur

 

Je ne profanerai point un saphir

Je crains de Dieu sa terrible colère

Lui faire des éloges c‘est de l’agonir

Car elle est en dessus des e que tu espères

 

Puise en mon cœur de quoi écrire

Royaume des émois, tout sincère

Là bas le roi est prêt à s’assujettir

Et prompte à s’incliner devant sa mère

 

Jamais mon encre saignera d’injures

Ne me demandez e que je ne peux faire

Ton éloquente rhétorique ne peut y suffire

Seul l’Eden du seigneur pourra le faire

 

que Dieu nous gardent en bonne santé nos mère

 

 

 

 

 

merci séraphino

[Guest séraphin]

{ وقضى ربك ألا تعبدوا إلا إياه وبالوالدين إحسانا إما يبلغن عندك الكبر أحدهما أو كلاهما فلا تقل لهما أف ولا تنهرهما وقل لهما قولا كريما واخفض لهما جناح الذل من الرحمة وقل رب ارحمهما كما ربياني صغيرا ** .

 

 

 

MOTHER

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