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Une journaliste libanaise tabassée en directe par la police


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Canons à eau, balles en caoutchouc et gaz lacrymogènes ont été utilisés par la police libanaise samedi, alors que la foule s’est rassemblée à Beyrouth pour manifester conte l’incapacité des autorités de régler le problème de la collecte des ordures, une journaliste de la chaîne LBC a été prise en étau entre la police et les manifestants.

 

La raison pour laquelle des milliers d’habitants sont descendus dans la rue, c’est un dysfonctionnement des autorités qui a abouti à un empilement des ordures dans les rues.

 

[YOUTUBE]t9U7sBK0Fmg[/YOUTUBE]

 

Lors des cette manifestation, des affrontements avec les forces de l’ordre ont fait 30 blessés, dont un agent de police, ont annoncé les services libanais de secours. Tous ont été transportés à l’hôpital alors que quelques dizaines de manifestants auraient été arrêtés.

 

Pour calmer les plus virulents des manifestants, la police a recouru aux balles en caoutchouc et aux coups de matraque. Mais en fin de compte, l’utilisation de canons à eau s’est avérée nécessaire pour refroidir l’ardeur des éléments les plus violents.

 

 

C’est la plus grande explosion de violence depuis que les ordures ont commencé à s’entasser dans les rues de la capitale, il y a un mois, après la fermeture de la décharge principale de la ville. Mais la colère des manifestants semble avoir des origines plus profondes au vu des slogans hostiles au pouvoir, allant jusqu’à demander sa démission, qu’ils ont scandé à cette occasion.

 

«Le peuple veut renverser le régime», criaient-ils. Un slogan identique à celui qui a été largement utilisé par les personnes qui manifestaient lors des «printemps arabes» partout dans la région. «Il y a des déchets qui ne peuvent pas être recyclés», disait l’une des bannières, écrite en rouge sur des portraits photos des hommes politiques libanais.

 

Le groupe «Vous empestez !», qui déplore l’importance de la corruption dans le pays, était l’un des organisateurs de cette manifestation. Il estime que cette crise des déchets est l’illustration des dysfonctionnements qui démontrent que les autorités et l’administration doivent être remplacées.

 

Avec RT France

Par Kabylie News

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Canons à eau, balles en caoutchouc et gaz lacrymogènes ont été utilisés par la police libanaise samedi, alors que la foule s’est rassemblée à Beyrouth pour manifester conte l’incapacité des autorités de régler le problème de la collecte des ordures, une journaliste de la chaîne LBC a été prise en étau entre la police et les manifestants.

 

La raison pour laquelle des milliers d’habitants sont descendus dans la rue, c’est un dysfonctionnement des autorités qui a abouti à un empilement des ordures dans les rues.

 

[YOUTUBE]t9U7sBK0Fmg[/YOUTUBE]

 

Lors des cette manifestation, des affrontements avec les forces de l’ordre ont fait 30 blessés, dont un agent de police, ont annoncé les services libanais de secours. Tous ont été transportés à l’hôpital alors que quelques dizaines de manifestants auraient été arrêtés.

 

Pour calmer les plus virulents des manifestants, la police a recouru aux balles en caoutchouc et aux coups de matraque. Mais en fin de compte, l’utilisation de canons à eau s’est avérée nécessaire pour refroidir l’ardeur des éléments les plus violents.

 

 

C’est la plus grande explosion de violence depuis que les ordures ont commencé à s’entasser dans les rues de la capitale, il y a un mois, après la fermeture de la décharge principale de la ville. Mais la colère des manifestants semble avoir des origines plus profondes au vu des slogans hostiles au pouvoir, allant jusqu’à demander sa démission, qu’ils ont scandé à cette occasion.

 

«Le peuple veut renverser le régime», criaient-ils. Un slogan identique à celui qui a été largement utilisé par les personnes qui manifestaient lors des «printemps arabes» partout dans la région. «Il y a des déchets qui ne peuvent pas être recyclés», disait l’une des bannières, écrite en rouge sur des portraits photos des hommes politiques libanais.

 

Le groupe «Vous empestez !», qui déplore l’importance de la corruption dans le pays, était l’un des organisateurs de cette manifestation. Il estime que cette crise des déchets est l’illustration des dysfonctionnements qui démontrent que les autorités et l’administration doivent être remplacées.

 

Avec RT France

Par Kabylie News

 

Merci,pour les sources,mais encore mieux avec le lien:

 

Kabylie News, L'Algérie, le Maghreb et le monde vus de Kabylie

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