Jump to content

Manifestation en prepration en Kabylie en soutien a Rebrab


Recommended Posts

Ca risque de p...

 

Le pouvoir qui a toujours eu peur de la Kabylie finira par faire marche arriere et virer Bouchenfirine.

 

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

Link to post
Share on other sites

et les arabes vont sortir dans toutes les regions d,algerie pour soutenir bouteflika, car en realite c,est bouteflika qui veut la peau de rebrab, pas bouchouareb, pour crime de lese fakhamatouhou.

rebrab etait le seul homme d,affaire qui n,avait pas soutenu le 4e mandat.

 

bouteflika est un rancunier,

mohammed mechati, un des 22 qui ont pris part la reunion precedent le declenchement de novembre a ete ignore par l,etat de bouteflika a sa mort, tout simplement parce qu,il etait contre le 4e mandat

Link to post
Share on other sites
Ca risque de p...

 

Le pouvoir qui a toujours eu peur de la Kabylie finira par faire marche arriere et virer Bouchenfirine.

 

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

 

la khalifasation de cevital est enclenché , mais cette fois la couleuvre est trop grosse des milliers d'emplois en dépend , une bonne partie du chômage de la kabylie est absorbée par cevital

Link to post
Share on other sites

Hamel : Aucune action contre Rebrab

 

Par Lila Ghali | 07/10/2015 Algérie1.com

 

Le Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), le Général-major Abdelghani Hamel, a réagi à son tour pour apporter un démenti aux assertions sur une prétendue mandat d’arrêt à l’encontre de l’homme d’affaires Issad Rebrab.

 

Depuis Laghouat ce mercredi, le DGSN a indiqué qu’ « Il n’y a aucune action intentée à l’encontre de l’homme d’affaires Issad Rebrab », dans un point de presse en marge de l’ouverture des journées d’information sur les activités de la sûreté nationale organisées dans la wilaya de Laghouat.

 

Le DGSN a indiqué qu' »il a le droit, comme tout citoyen, d’agir en toute liberté », contrairement aux informations colportées ces derniers jours par certains organes de presse.

 

Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a lui aussi démenti mercredi, l’émission d’un mandat d’arrêt contre l’homme d’affaires, Issad Rebrab, invitant ce dernier à venir en Algérie afin d’y présenter les « preuves » de ses assertions. « A ma connaissance, il n’existe aucune plainte et je prends pour acquis qu’il n’y a aucun mandat d’arrêt contre l’homme d’affaires Issad Rebrab » a ajouté le ministre..

 

Pour rappel, une polémique oppose, depuis quelques jours, Rebrab au ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb qui l’accuse d’avoir voulu importer des équipements vétustes pour l’une de ses usines implantées en Algérie, chose que l’industriel nie catégoriquement. M. Bouchouareb avait démenti récemment tout « blocage » exercé sur les investissements du groupe Cevital d’Issad Rebrab, arguant que l’importation d’équipements vétustes est « interdite » par la loi.

Link to post
Share on other sites
Ca risque de p...

 

Le pouvoir qui a toujours eu peur de la Kabylie finira par faire marche arriere et virer Bouchenfirine.

 

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

 

Vous accuser RABRAB de Voleur???????? ..........Vous n’êtes plus EL MOUDIR, Juste DH'A A3ESSASS.

Link to post
Share on other sites

LES RAISONS DE LA COLÈRE...

 

 

rebrab-h-lyes_1870067.jpg

 

ALGER L’homme d’affaires Kabyle et patron de Cevital, Issad Rebrab confirme en personne l’information faisant état d’un mandat d’arrêt lancé contre lui par la presse algérienne. « On veut m’arrêter car j’ai parlé et j’ai dénoncé le blocage de mes projets par l’administration algérienne ».

 

Rebrab a tiré aussi à boulet rouge sur le gouvernement algérien qu’il qualifie d’un « danger pour le pays ». Il se trouve actuellement au Brésil en mission, Rebrab dit qu’il compte retarder son retour en Algérie mais affirme qu’il n’a pas peur car ses affaires sont transparentes. De ce fait, Rebrab risque de s’exiler pour échapper à la vindicte de la justice algérienne que tout le monde sait qu’elle est aux ordres. Actuellement aux ordres du clan de Bouteflika.

 

La décision d’arrêter un homme d’affaire aussi crédible que Rebrab est très grave. Elle résume à elle seule à quel point le régime algérien compte se maintenir et écraser toute voix qui se lève. Dans les rues d’Alger de Tizi Wezzu et de Bgayet l’information est tombée tel un couperet. La colère des citoyens est lisible sur leurs visages. Un soulèvement populaire, notamment en Kabylie d’où est issu Issaad Rebrab, n’est pas à écarter. Par ailleurs, le pouvoir algérien a démenti l’information. A t-il fait marche arrière devant la gravité de cet acte d’injustice?

 

Lounès B

Link to post
Share on other sites

ENCORE ET ENCORE...

 

L'ETAT ALGÉRIEN AMPLIFIE SON ACHARNEMENT CONTRE L'INVESTISSEUR KABYLE : ISSAD REBRAB.

07/10/2015 - 17:54

 

KABYLIE (SIWEL) - Depuis plusieurs mois, l’homme d’affaires kabyle, Issad Rabrab, subit un acharnent politique de la part des tenants du pouvoir algérien.

Le crime de lèse-majesté dont est coupable l’homme, qui a manifesté sa volonté de créer un pôle industriel avec un accompagnement d’un million d’emploi directs à Cap Djinet (Boumerdès) et que l’Etat algérien, toute honte bue, a rejeté la proposition, n’est rien d’autre que d’avoir investi en Kabylie.

Si Issaâd Rabrab avait boudé sa terre natale, comme d’autre l’ont fait, Bouteflika et ses serviteurs l’auraient glorifié et

lui auraient forcé la main pour être leur ministre

 

La société civile kabyle a exprimé sa solidarité avec le président du groupe Cévital. Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de rassurer de nouveau les investisseurs kabyles dont Issad Rabrab , qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.

Avec cette affaire Rebrab, l’Etat algérien confirme plus que jamais son caractère foncièrement anti-kabyle. Que peut signifier la désignation de Rebrab comme « méchant loup » sinon de le contraindre à abandonner tout projet structurant en Kabylie, et qui en a pourtant tant besoin. En définitive, l’objectif final du pouvoir algérien incarné par le nommé Abdelaziz Bouteflika est de maintenir dans une indigence économique la Kabylie, condition usine-qua- non à son maintien à cette Algérie. Et à lire en filigrane la stratégie d’El Mouradia, c’est d’engendrer la colère des Kabyles contre le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK). Des exemples du passé n’ont pas manqué. Lors du bombardement meurtrier de Londres en 1940, beaucoup de citoyens anglais ont reproché à Winston Churchill de refuser d’abdiquer comme le maréchal Philippe Pétain devant les Nazis. Beaucoup de Français ont essayé de coller l’étiquette d’ « aventurier » au général Charles de Gaules suite à son appel du 18 Juin proclamant la France libre.

 

Le ministre algérien de l’industrie, en l’occurrence Abdeslam Bouchouareb, connu déjà dans le passé pour ses tirs aux boulets rouges contre le MAK, a usé de toutes une batterie d’arguments plus ou moins fallacieux les uns que les autres, pour stigmatiser Issad Rebrab. En effet, dans une sortie médiatique, Abdeslam Bouachouareb a poussé l’outrecuidance jusqu’ désigner l’investisseur d’At Dwala de favoriser plus le consommateur français que le consommateur "algérien".

Selon bien l’oui dire, un mandat d’arrêt aurait été lancé contre Issad Rabarab. Une affaire qui nous rappelle celle du mandat d’arrêt émis par l’Etat algérien contre le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Ferhat Mehenni.

Le ministre algérien de l’intérieur a démenti l’information ce qu’il n’a jamais fait pour le cas du président de l'Anavad.

 

Le MAK, dès le début de cette affaire, a apporté son soutien indéfectible à Issad Rabrab. Le mouvement souverainiste kabyle, estime qu’en en sus de la transformation des usines et des centres de formation en casernes militaires, la construction des prisons sur des terres agricoles, la prolifération des campements militaires à la place des infrastructures nécessaires au développement économique, l’application de la politique de la terre brûlée, la destruction de l’environnement et la politique de terreur qui vise entre autre à travers les kidnappings à faire fuir les investisseurs, le pouvoir algérien cherche carrément à créer la ruine et la désolation de la Kabylie. L’attaque frontale contre les hommes d’affaires kabyles en est la dernière preuve. Le crime de Lèse-majesté de Rebrab est l’investissement, qui est pourtant loin du montant annuel que perçoit l’hôpital de Val-de-Grâce de la part du Chef d’Etat algérien, qu’il a effectué en Kabylie. En somme, il n’est point besoin d’être Jérémie pour savoir qu’à travers cet acharnement, les autorités algériennes veulent pousser le groupe Cévital à se délocaliser de la Kabylie.

 

Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de dénoncer une fois de plus le terrorisme économique dirigé contre la Kabylie à travers des opérations d’intimidations menées contre les investisseurs dans le désir d’y investir, à l'instar de Rebrab.

 

Le MAK tient à rassurer les investisseurs kabyles dont Issad Rebrab, qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.

Link to post
Share on other sites
RABRAB est est homme d'affaire privé national (un vrai investisseur) originaire de TIZI OUZOU certes, mais c'est un Algérien Comme tous les autres Algériens et plus nationalistes et plus propre que certains KHOROTOS du Système.

 

(l'ahsseb) les comptes oui mais ...Chakib Khalil d'abord

Link to post
Share on other sites
Vous accuser RABRAB de Voleur???????? ..........Vous n’êtes plus EL MOUDIR, Juste DH'A A3ESSASS.

 

Tu comprends pas ce que tu lis ? Je parlais de bouchenfirine.

 

Ca veut pas dire que je ne pense pas que rebrab est un voleur. Mais entre lui et la bande à boutef, les bouchenfirine et hadad, mon choix est vite fait.

Link to post
Share on other sites
Tu comprends pas ce que tu lis ? Je parlais de bouchenfirine.

 

Ca veut pas dire que je ne pense pas que rebrab est un voleur. Mais entre lui et la bande à boutef, les bouchenfirine et hadad, mon choix est vite fait.

 

Je vous rend votre titre alors, mais sachez que j'ai bien compris ce qui j'ai lu,

 

la preuve

 

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

 

le dernier que vous avez citer est RABRAB .

Link to post
Share on other sites
Je vous rend votre titre alors, mais sachez que j'ai bien compris ce qui j'ai lu,

 

la preuve

 

 

 

le dernier que vous avez citer est RABRAB .

 

 

Citation:

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

 

Erreur,le dernier cité,c'est bien grosses lèvres...

Link to post
Share on other sites

Issad Rebrab : “Je le défie de venir à un face-à-face télévisé”

 

Le patron du groupe Cevital a déconstruit ce qui s’apparentait à un réquisitoire du ministre de l’Industrie et des Mines contre le plus grand investisseur privé national.

 

Hier, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a fait des déclarations qui, d’emblée, ont fait les choux gras de la presse électronique. Et pour cause, il s’en est pris, sans ménagement, au patron du plus grand groupe industriel privé algérien Cevital, Issad Rebrab, se laissant aller à des accusations si graves que ce dernier, qui était entre deux aéroports, a tenu à réagir sans plus tarder. Ainsi, le président de Cevital, joint par téléphone, oppose un démenti formel aux allégations du ministre, à commencer par la plus “fantaisiste” d’entre toutes : celle relative à la prétendue surfacturation d’équipements devant être importés par le groupe. “C’est faux”, a martelé Issad Rebrab, avant d’assener : “Je le défie de venir à un face-à-face télévisé devant les Algériens.”

Sur le fond, le patron du groupe Cevital a déconstruit ce qui s’apparentait à un réquisitoire du ministre de l’Industrie et des Mines contre le plus grand investisseur privé national. En réponse au ministre qui a laissé entendre que M. Rebrab avait voulu importer et déclarer du matériel usagé au prix d’un neuf, le capitaine d’industrie réfute catégoriquement cette accusation. Il souligne avoir demandé au département de Bouchouareb par courrier, et deux fois plutôt qu’une, “l’autorisation de dédouanement de chaîne de production rénovée”.

Les deux courriers datent l’un du 2 décembre 2014 (accusé de réception daté du 21 décembre 2014) et l’autre du 17 février 2015, à titre de rappel. “Quand on a l’intention de frauder, on n’a surtout pas à l’écrire !”, a ironisé M. Rebrab. “Je n’ai obtenu aucune réponse, ni au premier ni au second courrier”, a-t-il encore déploré. Cette absence de réponse du ministère lui a causé un préjudice financier qu’il évalue à près de 80 millions d’euros qu’il aurait pu éviter si le département de M. Bouchoureb avait réagi à temps à ces couriers, d’autant que le personnel du complexe Samha, quelque 600 salariés, est au chômage technique, mais toujours rémunéré, depuis l’incendie qui a ravagé l’usine en juillet 2014, soit depuis 15 mois. Autre conséquence de ce blocage : le groupe est contraint d’importer des produits semi-finis (tambours pour machines à laver) qu’il aurait pu fabriquer à Sétif, a-t-il tenu à souligner encore. “Cela se passe dans un pays où l’on prétend encourager la production nationale”, se désole le

patron de Cevital. “C’est pour cela que j’ai tenu à dénoncer ce décalage entre le discours du gouvernement et ses actes”, a-t-il ajouté. Mais, au-delà de ces préjudices financiers causés à l’investisseur et, par-delà, à l’économie nationale, c’est cette accusation sous-entendue de tentative de transfert illégal de devises qui peine le plus le patron de Cevital. “Si c’était le cas, pourquoi le ministre n’a-t-il pas engagé une procédure devant les tribunaux ?”, s’est-il interrogé.

Le patron de Cevital a tenu à réagir ainsi à chaud aux déclarations du ministre de l’Industrie et des Mines faites à l’occasion de sa conférence de presse conjointe avec son homologue tunisien en visite à Alger. Durant cette conférence, M. Bouchouareb a soutenu n’avoir jamais reçu de demande d’audience émanant d’Issad Rebrab qui, auparavant, avait dénoncé les blocages de ses projets d’investissement, d’autant, avait-il insisté, que Cevital restait un “patrimoine national” qui, propriété des Algériens, n’est pas à vendre.

 

S. A. I.

Link to post
Share on other sites
Ca risque de p...

 

Le pouvoir qui a toujours eu peur de la Kabylie finira par faire marche arriere et virer Bouchenfirine.

 

Rebrab aura la peau de grosses levres.

 

D'ailleurs, il est temps que ce dernier s'explique sur la source des biens qu'il a achetés à Paris. Le voleur qui donne des lecons.

 

Rebrab ness mlawe7, lazemlou statue.

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...