admin 2 Posted September 23, 2008 Partager Posted September 23, 2008 Il aurait acquis des terrains pour 800 dinars/m2 : le mystère continue d’entourer les affaires d’Emiral en Algérie L'affaire de la promotion immobilière émirati Emiral n'a pas révélé tous ses secrets. Elle continue de susciter des commentaires acerbes dans les milieux d'affaires nationaux et même étranger. Depuis quelques jours, des informations non confirmées circulent sur le prix dérisoire payé par Emiral pour acquérir des terrains à forte valeur vénale près de Morreti dans la banlieue huppée de la capitale. «Les Emiratis ont acquis entre 6 et 8 hectares pour une bouchée de pain», affirme une source gouvernementale qui a requis l’anonymat. La même source n’a pas souhaité dévoiler le prix payé par les émiratis. Mais une source proche des milieux d’affaires nationaux approchée par TSA (toutsurlalgerie.com) avance le chiffre de 800 dinars le m2. Le mystère reste également entier concernant la surface totale acquise par Emiral pour lancer ses projets. Selon une source proche des milieux d’affaires arabes en Algérie, le groupe émirati aurait bénéficié d’une surface totale de 15 hectares mais l’acte de propriété ne mentionne que 12 hectares. Une chose est toutefois sûre : Emiral est aujourd’hui le seul groupe du Golfe qui possède un titre de propriété de ses terrains en Algérie. Tous les autres investisseurs potentiels se sont implantés sur la base de promesses émanant de ministres ou de hauts cadres de l’Etat. Cette situation agace de nombreux patrons algériens, eux-mêmes confrontés à des difficultés pour obtenir des terrains. «Les Emiratis ont payé un prix symbolique pour avoir des terrains sur un site touristique, bien protégé où réside la plupart des cadres de l'Etat. C'est un cadeau inexpliqué et injustifié de la part des autorités aux promoteurs du Golfe», fulmine le chef d'une entreprise privée. Certains patrons ne comprennent pas l'utilité du bradage de terrains à forte valeur vénale au profit de promoteurs immobiliers étrangers au moment où l'Algérie a davantage besoin d'investissements dans l'industrie et la création de la valeur ajoutée. Les patrons s'inquiètent aussi du non respect par Emiral de la loi sur la promotion immobilière. Le cas a même été évoqué, jeudi 11 septembre, par le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia devant les membres du Forum des chefs d'entreprises (FCE). Emiral, qui a lancé son projet immobilier fin 2007, prévoit de construire des appartements haut standing près de Morreti. Le prix prévisionnel du mètre carré de l'appartement aurait été fixé à 440.000 dinars. Emiral a exigé des demandeurs de déposer une caution d'au moins 3 millions de dinars auprès de Fransabank, une banque à capitaux arabes, qui vient d'obtenir son agrément de la Banque d'Algérie. Ne figurant pas dans la loi sur la promotion immobilière en Algérie, cette exigence n'a pas été appréciée par le chef du gouvernement. Selon nos informations, Emiral n'aurait pas établi d'actes notariés aux souscripteurs, ce qui est également contraire à la loi. TSA Citer Link to post Share on other sites
djamal 2008 10 Posted September 23, 2008 Partager Posted September 23, 2008 Il aurait acquis des terrains pour 800 dinars/m2 : le mystère continue d’entourer les affaires d’Emiral en Algérie L'affaire de la promotion immobilière émirati Emiral n'a pas révélé tous ses secrets. Elle continue de susciter des commentaires acerbes dans les milieux d'affaires nationaux et même étranger. Depuis quelques jours, des informations non confirmées circulent sur le prix dérisoire payé par Emiral pour acquérir des terrains à forte valeur vénale près de Morreti dans la banlieue huppée de la capitale. «Les Emiratis ont acquis entre 6 et 8 hectares pour une bouchée de pain», affirme une source gouvernementale qui a requis l’anonymat. La même source n’a pas souhaité dévoiler le prix payé par les émiratis. Mais une source proche des milieux d’affaires nationaux approchée par TSA (toutsurlalgerie.com) avance le chiffre de 800 dinars le m2. Le mystère reste également entier concernant la surface totale acquise par Emiral pour lancer ses projets. Selon une source proche des milieux d’affaires arabes en Algérie, le groupe émirati aurait bénéficié d’une surface totale de 15 hectares mais l’acte de propriété ne mentionne que 12 hectares. Une chose est toutefois sûre : Emiral est aujourd’hui le seul groupe du Golfe qui possède un titre de propriété de ses terrains en Algérie. Tous les autres investisseurs potentiels se sont implantés sur la base de promesses émanant de ministres ou de hauts cadres de l’Etat. Cette situation agace de nombreux patrons algériens, eux-mêmes confrontés à des difficultés pour obtenir des terrains. «Les Emiratis ont payé un prix symbolique pour avoir des terrains sur un site touristique, bien protégé où réside la plupart des cadres de l'Etat. C'est un cadeau inexpliqué et injustifié de la part des autorités aux promoteurs du Golfe», fulmine le chef d'une entreprise privée. Certains patrons ne comprennent pas l'utilité du bradage de terrains à forte valeur vénale au profit de promoteurs immobiliers étrangers au moment où l'Algérie a davantage besoin d'investissements dans l'industrie et la création de la valeur ajoutée. Les patrons s'inquiètent aussi du non respect par Emiral de la loi sur la promotion immobilière. Le cas a même été évoqué, jeudi 11 septembre, par le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia devant les membres du Forum des chefs d'entreprises (FCE). Emiral, qui a lancé son projet immobilier fin 2007, prévoit de construire des appartements haut standing près de Morreti. Le prix prévisionnel du mètre carré de l'appartement aurait été fixé à 440.000 dinars. Emiral a exigé des demandeurs de déposer une caution d'au moins 3 millions de dinars auprès de Fransabank, une banque à capitaux arabes, qui vient d'obtenir son agrément de la Banque d'Algérie. Ne figurant pas dans la loi sur la promotion immobilière en Algérie, cette exigence n'a pas été appréciée par le chef du gouvernement. Selon nos informations, Emiral n'aurait pas établi d'actes notariés aux souscripteurs, ce qui est également contraire à la loi. TSA Cette plage est interdite d'accès au citoyen lambda, autant que des investisseurs étrangers viennent et profitent et nous construisent un modèle basé sur Dubaï, parce que les entreprises algériennes ne sont pas à la mesure de le faire et les occidentaux hésitent d'investir chez nous, ils préfèrent nous vendre des produits quand la date d'expiration approche. Un Orascom du bâtiment, puisque on a opté pour la libéralisation et la mondialisation, il faut accepter les conséquences fussent-elles pénibles pour certains. In life,you have to take the good and the bad. En plus rein n'empêchera l'Etat de lever l'impôt sur les bénéfices ( j'oublie que l'algérien en général n'aime pas payer les impôts, hacha l'ouvrier et le consommateur : les prélèvements et la TVA ) et tout rentrera dans l'ordre avec des gratte-ciel surplombant la baie d'Alger avec la bénédiction de nos frères arabes du Golf.wa ahlan wa sahlan bikoum ya 3arab wa bi amwalikoum, af3alou wa ka'anakoum fi bouyoutikoum. Et Morreti sera ouverte à tous les Algériens qui se le permettrons et pas seulement à cette classe de privilégiés et Gratos. Et c'est comme qu'on construit un pays et non pas écrire de beaux articles écrits en bon français qui aurait pour but d'impressionner les lecteurs. Le terme en anglais est obfuscation un peu comme obscurcissement. C'est le style préféré de nos Media. Liberté, Le Soir, et Dilem et ses caricatures à la anti-arabe et j'en passe de pire... NB : le mot gratte-ciel ne prend pas de pluriel : on écrit les gratte-ciel parce qu'ils y grattent toujours le même ciel que Dieu a créé à nous tous. Wa Al hamdou ilayhi. Citer Link to post Share on other sites
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