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V G E : «Boumediene n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure»


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Valéry Giscard d’Estaing : «Boumediene n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure»

Article | 1. décembre 2015 - Algérie Patriotique

 

Dans un long entretien qu’il a accordé à Frédéric Mitterrand, neveu de son rival François Mitterrand, l’ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a évoqué les derniers moments de la vie de Houari Boumediene. Il rappelle, non sans fierté, dans ce recueil de la mémoire orale de celui qui a présidé aux destinées de la France de 1974 à 1981, diffusé par la Chaîne parlementaire (LCP) dans la soirée de ce lundi 30 novembre, qu’il a été le premier président de la République française à se rendre dans l’Algérie indépendante. «Je me suis dit que j’allais reprendre le message du général de Gaulle, c’est-à-dire que nous étions indépendants, qu’ils (les Algériens, ndlr) l’étaient aussi, que ce qui s’était passé était derrière nous et qu’il fallait que nous l’oubliions. Nous étions deux nations indépendantes qui défendions des intérêts, mais qui pouvions établir des relations normales», a déclaré l’ancien chef de l’Etat français. A une question de Frédéric Mitterrand qui estimait que «Boumediene était différent des autres», qu’il «parlait peu français», qu’«il avait un physique austère», qu’«il appartenait à la mouvance tiers-mondiste qui était très importante à l’époque», Giscard d’Estaing a, au contraire, affirmé que la situation était décrispée, car il y a avait «moins de poids du passé». «C’était contemporain», a-t-il souligné, expliquant qu’il avait l’impression que Houari Boumediene s’était dit qu’au fond, «c’est comme ça que cela devait se passer, c’est-à-dire des gens qui savent qu’il y a des souvenirs naturellement difficiles, voire même très douloureux, mais qui se respectent et qui se conduisent en conséquence». Ne partageant pas l’avis de l’ancien ministre de la Culture et néanmoins journaliste Frédéric Mitterrand, pour qui Houari Boumediene était «difficile à apprivoiser», Valéry Giscard d’Estaing a assuré que son homologue algérien était «chaleureux et très correct» : «Plutôt que l’hypocrisie d’une façon générale, j’aime assez ce qui est correct», a-t-il affirmé. C’est avec une grande émotion que Giscard d’Estaing a évoqué l’épisode de la maladie de Houari Boumediene : «Il (Boumediene, ndlr) est tombé malade et il est parti se faire soigner à Moscou. Pourquoi, je n’en sais rien ; je ne savais pas quelle était sa maladie», a-t-il affirmé. «Il faisait ses trajets en avion militaire algérien. Je ne sais pas pourquoi il avait choisi un trajet qui le faisait passer au-dessus de la Corse», s’est demandé l’ancien président français. «Nous [leur] avons envoyé un message, alors – à ce moment-là – Boumediene m’a adressé un message remarquable, extraordinairement chaleureux», s’est rappelé Giscard d’Estaing qui a révélé que le texte en question devait certainement exister dans les archives. Il en a récité, de mémoire, un extrait : «Je suis très touché par votre geste qui ne me surprend pas (…) D’ailleurs, ceci devrait vouloir dire que nous allons ouvrir un nouveau chapitre beaucoup plus positif dans les relations algéro-françaises. Dès mon arrivée à Alger, je m’y consacrerai.» «C’était un message très émouvant et fort», a soutenu Valéry Giscard d’Estaing qui regrette que Houari Boumediene, «qui n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure», fût décédé avant que ce réchauffement des relations se réalisât. Ce qu’il considère comme «une occasion perdue».

M. Aït Amara

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Valéry Giscard d’Estaing : «Boumediene n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure»

Article | 1. décembre 2015 - Algérie Patriotique

 

Dans un long entretien qu’il a accordé à Frédéric Mitterrand, neveu de son rival François Mitterrand, l’ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a évoqué les derniers moments de la vie de Houari Boumediene. Il rappelle, non sans fierté, dans ce recueil de la mémoire orale de celui qui a présidé aux destinées de la France de 1974 à 1981, diffusé par la Chaîne parlementaire (LCP) dans la soirée de ce lundi 30 novembre, qu’il a été le premier président de la République française à se rendre dans l’Algérie indépendante. «Je me suis dit que j’allais reprendre le message du général de Gaulle, c’est-à-dire que nous étions indépendants, qu’ils (les Algériens, ndlr) l’étaient aussi, que ce qui s’était passé était derrière nous et qu’il fallait que nous l’oubliions. Nous étions deux nations indépendantes qui défendions des intérêts, mais qui pouvions établir des relations normales», a déclaré l’ancien chef de l’Etat français. A une question de Frédéric Mitterrand qui estimait que «Boumediene était différent des autres», qu’il «parlait peu français», qu’«il avait un physique austère», qu’«il appartenait à la mouvance tiers-mondiste qui était très importante à l’époque», Giscard d’Estaing a, au contraire, affirmé que la situation était décrispée, car il y a avait «moins de poids du passé». «C’était contemporain», a-t-il souligné, expliquant qu’il avait l’impression que Houari Boumediene s’était dit qu’au fond, «c’est comme ça que cela devait se passer, c’est-à-dire des gens qui savent qu’il y a des souvenirs naturellement difficiles, voire même très douloureux, mais qui se respectent et qui se conduisent en conséquence». Ne partageant pas l’avis de l’ancien ministre de la Culture et néanmoins journaliste Frédéric Mitterrand, pour qui Houari Boumediene était «difficile à apprivoiser», Valéry Giscard d’Estaing a assuré que son homologue algérien était «chaleureux et très correct» : «Plutôt que l’hypocrisie d’une façon générale, j’aime assez ce qui est correct», a-t-il affirmé. C’est avec une grande émotion que Giscard d’Estaing a évoqué l’épisode de la maladie de Houari Boumediene : «Il (Boumediene, ndlr) est tombé malade et il est parti se faire soigner à Moscou. Pourquoi, je n’en sais rien ; je ne savais pas quelle était sa maladie», a-t-il affirmé. «Il faisait ses trajets en avion militaire algérien. Je ne sais pas pourquoi il avait choisi un trajet qui le faisait passer au-dessus de la Corse», s’est demandé l’ancien président français. «Nous [leur] avons envoyé un message, alors – à ce moment-là – Boumediene m’a adressé un message remarquable, extraordinairement chaleureux», s’est rappelé Giscard d’Estaing qui a révélé que le texte en question devait certainement exister dans les archives. Il en a récité, de mémoire, un extrait : «Je suis très touché par votre geste qui ne me surprend pas (…) D’ailleurs, ceci devrait vouloir dire que nous allons ouvrir un nouveau chapitre beaucoup plus positif dans les relations algéro-françaises. Dès mon arrivée à Alger, je m’y consacrerai.» «C’était un message très émouvant et fort», a soutenu Valéry Giscard d’Estaing qui regrette que Houari Boumediene, «qui n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure», fût décédé avant que ce réchauffement des relations se réalisât. Ce qu’il considère comme «une occasion perdue».

M. Aït Amara

Il a rencontre son agent, car Boukharouba etait le representant de FAFA, reveilles toi zoubir, boukharouba a mange son extrait de naissance et est rentre de plein droit dans les poubelles de l'histoire
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Il a rencontre son agent, car Boukharouba etait le representant de FAFA, reveilles toi zoubir, boukharouba a mange son extrait de naissance et est rentre de plein droit dans les poubelles de l'histoire

 

là, je viens de lire une connerie : Boumedienne Agent de FAFA, du pur leurre :(

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  • 2 weeks later...
C'est normal c'était leur chien

 

Absolument pas.

Boumedienne préférait mourir que d'aller se faire soigner en france et guérir.

tu ne sais rien de lui.

boumedienne a commis l'erreur d'ouvrir deux fronts de guerre, l'un sur la france, l'autre sur israel.

Hitler avant lui, avait commis la meme erreur, deux front de guerre en europe.

les generaux japonais lors de la seconde guerre mondiale avaient commis la meme erreur : deux front de guerre : l'asie et les USA.

 

je t'en dirai pas plus.

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A l'état où ce trouve l'Algérie depuis son départ; c'est pas du tout reluisant et honorifique...Un état de mafiosos et clochardisé.

Selon un ancien rapport de wikileaks : les generaux algeriens etaient divisé..

ils le sont encore...chacun son territoire et sa zone d'influence LoL

chacun son budget et chacun gere ses affaire par lui meme et par ce qu'il leur octrois le petit nain

 

PS: je crois avoir lu un general dire qu'il recevait moins qu'un autre general.

c'etait en 2010.

on discutait ensemble.

je ne vous dirai pas plus.

 

:D :D :D

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Salut

 

je me souvient du temps de bouddi....c’était la SM ( DRS de nos jours ) partout, le peuple ne parlaient que du foot et des films western....

 

Boumedienne a régner avec la terreur...c’était un très mauvais président qui a voulu appliquer le socialisme a un peuple vivant sur le système tribal... tout les autres sujet étaient tabous..

 

heureusement que personne ne l'a remplacer car l’Algérie aurait été comme la Corée du nord...

 

 

....

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Salut

 

je me souvient du temps de bouddi....c’était la SM ( DRS de nos jours ) partout, le peuple ne parlaient que du foot et des films western....

 

Boumedienne a régner avec la terreur...c’était un très mauvais président qui a voulu appliquer le socialisme a un peuple vivant sur le système tribal... tout les autres sujet étaient tabous..

 

heureusement que personne ne l'a remplacer car l’Algérie aurait été comme la Corée du nord...

 

 

....

 

tu veux dire malheureusement

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Salut

 

Boumedienne a régner avec la terreur...c’était un très mauvais président qui a voulu appliquer le socialisme a un peuple vivant sur le système tribal... tout les autres sujet étaient tabous..

 

 

 

....

Wow, je ne suis pas le seul à penser ca.

meme l'ancien ambassadeur David pearce disait la meme chose LoL.

je crois que pearce est actuellement en Grèce.

mes salutations monsieur l'ambassadeur.

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«Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère Sud pour aller dans l'hémisphère Nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.»

Ces paroles on été de trop, tout a été fait pour le liquider (Mossad)

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«La manière avec laquelle son corps a changé au moment où il était déjà tombé dans le coma prouvait qu’il y avait quelque chose d’anormal. Et si l’on voit ce qui est arrivé à Arafat plus tard, on peut sérieusement croire à un empoisonnement de Houari Boumediène», a déclaré Ahmed Taleb Ibrahimi. Le documentaire cite un rapport secret de la CIA sur l’état de santé de Boumediène, où il était mentionné que le chef de l’Etat algérien avait souffert de coagulation du sang et d’une perturbation non ordinaire de son métabolisme. «L’état de santé de Boumediène s’était détérioré au moment-même où il était en soins intensifs».

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Fallait être à sa place ! ce n'était pas le règne de la terreur mais de la discipline pour un peuple à majorité analphabète , l'indépendance proclamé était en 1962 , la gouvernance a débuté pour BOUMEDIENE en 1965 , n'accuse pas sans raison et à tort cher ami ... je te recommande de lire un Algérien nommé BOUMEDIENE et la stratégie de BOUMEDIENE , tu auras de quoi te retourner , pour savoir que tes accusations sont infondés , désolé

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Valéry Giscard d’Estaing : «Boumediene n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure»

Article | 1. décembre 2015 - Algérie Patriotique

 

Dans un long entretien qu’il a accordé à Frédéric Mitterrand, neveu de son rival François Mitterrand, l’ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a évoqué les derniers moments de la vie de Houari Boumediene. Il rappelle, non sans fierté, dans ce recueil de la mémoire orale de celui qui a présidé aux destinées de la France de 1974 à 1981, diffusé par la Chaîne parlementaire (LCP) dans la soirée de ce lundi 30 novembre, qu’il a été le premier président de la République française à se rendre dans l’Algérie indépendante. «Je me suis dit que j’allais reprendre le message du général de Gaulle, c’est-à-dire que nous étions indépendants, qu’ils (les Algériens, ndlr) l’étaient aussi, que ce qui s’était passé était derrière nous et qu’il fallait que nous l’oubliions. Nous étions deux nations indépendantes qui défendions des intérêts, mais qui pouvions établir des relations normales», a déclaré l’ancien chef de l’Etat français. A une question de Frédéric Mitterrand qui estimait que «Boumediene était différent des autres», qu’il «parlait peu français», qu’«il avait un physique austère», qu’«il appartenait à la mouvance tiers-mondiste qui était très importante à l’époque», Giscard d’Estaing a, au contraire, affirmé que la situation était décrispée, car il y a avait «moins de poids du passé». «C’était contemporain», a-t-il souligné, expliquant qu’il avait l’impression que Houari Boumediene s’était dit qu’au fond, «c’est comme ça que cela devait se passer, c’est-à-dire des gens qui savent qu’il y a des souvenirs naturellement difficiles, voire même très douloureux, mais qui se respectent et qui se conduisent en conséquence». Ne partageant pas l’avis de l’ancien ministre de la Culture et néanmoins journaliste Frédéric Mitterrand, pour qui Houari Boumediene était «difficile à apprivoiser», Valéry Giscard d’Estaing a assuré que son homologue algérien était «chaleureux et très correct» : «Plutôt que l’hypocrisie d’une façon générale, j’aime assez ce qui est correct», a-t-il affirmé. C’est avec une grande émotion que Giscard d’Estaing a évoqué l’épisode de la maladie de Houari Boumediene : «Il (Boumediene, ndlr) est tombé malade et il est parti se faire soigner à Moscou. Pourquoi, je n’en sais rien ; je ne savais pas quelle était sa maladie», a-t-il affirmé. «Il faisait ses trajets en avion militaire algérien. Je ne sais pas pourquoi il avait choisi un trajet qui le faisait passer au-dessus de la Corse», s’est demandé l’ancien président français. «Nous [leur] avons envoyé un message, alors – à ce moment-là – Boumediene m’a adressé un message remarquable, extraordinairement chaleureux», s’est rappelé Giscard d’Estaing qui a révélé que le texte en question devait certainement exister dans les archives. Il en a récité, de mémoire, un extrait : «Je suis très touché par votre geste qui ne me surprend pas (…) D’ailleurs, ceci devrait vouloir dire que nous allons ouvrir un nouveau chapitre beaucoup plus positif dans les relations algéro-françaises. Dès mon arrivée à Alger, je m’y consacrerai.» «C’était un message très émouvant et fort», a soutenu Valéry Giscard d’Estaing qui regrette que Houari Boumediene, «qui n’a jamais été remplacé par quelqu’un de son envergure», fût décédé avant que ce réchauffement des relations se réalisât. Ce qu’il considère comme «une occasion perdue».

M. Aït Amara

 

je m'arrête sur ce que j'ai quoté , parce que je me remémore , tout le blabla des chauffeur de bendir qui martelaient a satiété, que pendant les navettes alger-moscou, qu'on faisaient faire a Boumediene avec l'avion ambulance , on disaient ( les chauffeur de bendir ) que Boumediene ne traversait jamais l'espace aérien Français pour ne pas saluer son homologue Français comme le veut la tradition et les protocoles,

 

sinon je rejoint key sur ce qu'il dit

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«Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère Sud pour aller dans l'hémisphère Nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.»

Ces paroles on été de trop, tout a été fait pour le liquider (Mossad)

Ca prouve aussi qu'il plus con que ses pieds, mais pour sa defense, c'est le raisonnement d'un taleb
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«La manière avec laquelle son corps a changé au moment où il était déjà tombé dans le coma prouvait qu’il y avait quelque chose d’anormal. Et si l’on voit ce qui est arrivé à Arafat plus tard, on peut sérieusement croire à un empoisonnement de Houari Boumediène», a déclaré Ahmed Taleb Ibrahimi. Le documentaire cite un rapport secret de la CIA sur l’état de santé de Boumediène, où il était mentionné que le chef de l’Etat algérien avait souffert de coagulation du sang et d’une perturbation non ordinaire de son métabolisme. «L’état de santé de Boumediène s’était détérioré au moment-même où il était en soins intensifs».
Il est mort comme un vrai kelb qu'il etait,ce n'est pas une grosse perte
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je m'arrête sur ce que j'ai quoté , parce que je me remémore , tout le blabla des chauffeur de bendir qui martelaient a satiété, que pendant les navettes alger-moscou, qu'on faisaient faire a Boumediene avec l'avion ambulance , on disaient ( les chauffeur de bendir ) que Boumediene ne traversait jamais l'espace aérien Français pour ne pas saluer son homologue Français comme le veut la tradition et les protocoles,

 

sinon je rejoint key sur ce qu'il dit

Mais,il a bien recu Giscard?d'ailleurs pourquoi avoir un probleme avec les francais, il ne les a jamais combattu,pourquoi remuer la merde?? lassons cet energumene dans les poubelles de l'histoire
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Il est mort comme un vrai kelb qu'il etait,ce n'est pas une grosse perte

 

salut

 

je trouve ton langage vulgaire et irrespectueux envers cette homme...tu n'as pas le droit de le traiter de cette façon...toute raison gardées sachons pardonner aux autres leur fautes...Boumedienne a quand même fait de bonnes choses pour l’Algérie en la préservant du féodalisme américaine,la nationalisation des hydrocarbures,la gratuité des soins,l'alphabétisation du peuple par la scolarisation et la reconstruction de l'habitat...il a quand même laisser de bonne choses derrière lui et cela personne ne peut le lui renier...

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salut

 

je trouve ton langage vulgaire et irrespectueux envers cette homme...tu n'as pas le droit de le traiter de cette façon...toute raison gardées sachons pardonner aux autres leur fautes...Boumedienne a quand même fait de bonnes choses pour l’Algérie en la préservant du féodalisme américaine,la nationalisation des hydrocarbures,la gratuité des soins,l'alphabétisation du peuple par la scolarisation et la reconstruction de l'habitat...il a quand même laisser de bonne choses derrière lui et cela personne ne peut le lui renier...

Merci, tu as raison, tu as bien qualifie ceTTE homme

 

 

 

 

 

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  • 4 months later...
Guest samirovsky
bravo VGE!

 

Quand on aura admis que c'est Boumedienne, ses hommes et sa politique, la cause du malheur algérien, on remettra l'Algérie sur les rails.

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