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Quelles solutions pour le mure dans lequel fonce l'Algerie


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Oui

 

Tsema ray tdiri feliz monkir

 

Tu voles l'état et fais des transactions illégales. ..et évidement les euros que tu fais rentres ne sont pas déclarés en douanes....

 

En plus tu fais du riba puisqu il s agit de taux d intérêt. ...

Comme quoi Debdouba...il te faut jeûner 3 mois :D

 

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Quelles solutions pour le mure dans lequel fonce l'Algerie

 

1- Le pétrole continue à chuter pour 5 prochaines années.

 

2- Caisses vides.

 

3- Explosion sociale.

 

4- Boutef meurt.

 

5- Manifs dans tout le pays.

 

6- Révolution.

 

7- Ou... guerre civile

 

Je ne vois pas l'Algérie entamer la phase de développement et des reformes avant 2050 au moins.

 

La cause ? Les islamistes. Ils sont là à polluer toute révolution ou débat politique qui pourrait faire évoluer le pays.

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Guest L'étrangère
Tsema ray tdiri feliz monkir

 

Tu voles l'état et fais des transactions illégales. ..et évidement les euros que tu fais rentres ne sont pas déclarés en douanes....

 

En plus tu fais du riba puisqu il s agit de taux d intérêt. ...

Comme quoi Debdouba...il te faut jeûner 3 mois :D

 

 

Mais non c'est un taux de change, l'argent ne fructifie pas et l'argent est dépensé en Algérie, ça boost l'économie.

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Mais non c'est un taux de change, l'argent ne fructifie pas et l'argent est dépensé en Algérie, ça boost l'économie.

 

Debdouba...tu prendrais pas ton Dieu pour un naïf? En prétendant que ça fructifies

Pas...si tu le vendais au taux de change officiel OK. ..mais la c'est est du parallel..de la ilegal...et ça ne boost aucunement le comienza au contraire sur agissant dans un circuit illégal sur lequel les état ne prend aucune comission c'est est un vol pur et simple....

 

Si ça ne était pas du vol...ça serait pas interdit Debdouba...

 

Court vite à la cuisine te couper la main avec ton couteau de patate..

 

Tant de discours religieux et toi tu volés l état Algérien et en plus tu fais dans le riba

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Guest L'étrangère
1- Le pétrole continue à chuter pour 5 prochaines années.

 

2- Caisses vides.

 

3- Explosion sociale.

 

4- Boutef meurt.

 

5- Manifs dans tout le pays.

 

6- Révolution.

 

7- Ou... guerre civile

 

Je ne vois pas l'Algérie entamer la phase de développement et des reformes avant 2050 au moins.

 

La cause ? Les islamistes. Ils sont là à polluer toute révolution ou débat politique qui pourrait faire évoluer le pays.

 

i mella le pétrole i medouh batel.

Le président Boutefliqa n'aurait pas dû faire le mandat actuel, la passation devait et doit être faite.

 

Je ne crois pas qu'une guerre civile soit une chose à rajouter à une crise. Il va falloir changer de politique.

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Guest L'étrangère
Bi3ih darwak! Car il va chuter sur le marché parallèle... Les importateurs li nechfou el marché se retirent de l'importation... :D

 

Ah bon ? Les Algériens ont besoin de devise pour voyager je crois (?)

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Guest L'étrangère

Debdouba...tu prendrais pas ton Dieu pour un naïf? En prétendant que ça fructifies

Pas...si tu le vendais au taux de change officiel OK. ..mais la c'est est du parallel..de la ilegal...et ça ne boost aucunement le comienza au contraire sur agissant dans un circuit illégal sur lequel les état ne prend aucune comission c'est est un vol pur et simple....

 

Si ça ne était pas du vol...ça serait pas interdit Debdouba...

 

Court vite à la cuisine te couper la main avec ton couteau de patate..

 

Tant de discours religieux et toi tu volés l état Algérien et en plus tu fais dans le riba

 

Ifkek n'est pas la religion.

Il existe 3 genres de ribas différents.

 

C'est une vente et non un dépôt qui augmentera. D'ailleurs il augmente et baisse selon l'offre et la demande.

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Ah bon ? Les Algériens ont besoin de devise pour voyager je crois (?)

 

Oui mais tla3 bezzaf, et ces algériens qui voyagent, peuvent de moins en moins se permettre de voyage avec ce taux là.. Déjà qu'il a reculé de 5 dinars, ces derniers jours.. :o

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Au train où vont les choses, il est claire que nous avons une crise profonde devant nous et nous fonçons dessus aussi vite qu'elle s'accelere vers nous....

 

Les chute des exportations de presque 42% (On peut bien imaginer de quelles exportations nous parlons), la chute du prix du petrole au dessous des 40 dollars, rend de plus en plus evidente l'incapacité des mesures "de maquillage" economique à faire face à 25 ans de stagnation et sans reformes du tissus industriel et de services

 

Nous sommes là où nous sommes, et il serait vain de vouloir imaginer que les choses se regleront de par elles memes, d'autant plus qu'il est certain que le prix du petrole ne remontra pas avant une dizaine d'année si jamais il remonte et arrete sa chute.

 

Donc mis à part les timides restrictions budgetaires que l'on réalise par ci par là sans trop de convictions la crise ne fait que grandir et l'incpacité à y faire face.

 

 

Selon vous quelles seraient les mesures que l'on devrait prendre pour -à défaut de freiner la crise- freiner la chute economique Algerienne

 

apres avoir heurte le mur et s,etre cassee en miettes, il va falloir recoller encore les morceaux qui ne voudront plus prendre tellement la cassure sera profonde

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Il faut de la bonne gouvernance.

A mon humble avis, tselk' ha gheir la bonne gouvernance

comment l'obtenir?

 

Plus d'associations, de mouvements citoyens s'élevant contre el battal oual el houggra.

 

Walafte arragda w tmongé.... aya chamar 3la dra3ek....

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Ifkek n'est pas la religion.

Il existe 3 genres de ribas différents.

 

C'est une vente et non un dépôt qui augmentera. D'ailleurs il augmente et baisse selon l'offre et la demande.

 

Bon que tu prennes ton Dieu pour un naïf en jouant sur les mots c'est ton souci...c'est toi là super Muslim 2.0

 

Mais pour le vol de l'état et le fait de favoriser et alimenter le marché parallèle ...ça c'est plus la religion mais l'économie. ..et ça tu peux pas jouer aux mots. ..:P

 

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la seule solution pour moi c'est de mobiliser l'anp pour continuer le developpement des infrastrutures du pays - il faudra travailler gratis quelques années et bien sur nettoyer les problemes de corruption ,de bureaucratie ect par la force .Je ne vois pas le pays prendre un virage en si peu de temps sans passer par la case dictature politico economique _on a plus le temps d'essayer on a l'obligation de reussir .Le gvt devrait instaurer l'etat d'urgence et un gvt d'union national devrait etre mis en place dans l'interet superieur du pays - mais ils ne le feront pas et on ira vers la destabilisation politique et la faillite economique totale.Ce sera pire que 88

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Former des milliers d'agriculteurs dés le début de l'année

Former 100 milles travailleurs de la terre et cultiver la terre

En cas de crise c'est de la nourriture qu'on aura besoin demain

Tout le reste viendra aprés

 

Donc je suis pour le projet d'une Algerie Verte

et se donner le moyen

 

C'est l'agriculture en premier qui sauvera le pays le jour de la crise

 

Sauvera, rien n'est moins sûr mais c'est à la fois un impératif catégorique sur le plan générationnel (faire ce que l'on croit être bon et conforme spirituellement donc respectueux de notre terre, celle de nos ancêtres et celle de nos enfants) et la seule option de survie économique qui se présente à nous, aussi bien sur le plan de la gouvernance que de l'action individuelle.

 

Un maximum de capitaux et de ressources humaines doivent être drainés (en urgence, ce qui est très difficile à mettre en oeuvre en l'état, pesanteurs structurelles obligent) vers le développement de la permaculture et d'une manière générale l'indépendance alimentaire. Des pays se lancent, la Tunisie par exemple, la résilience cubaine est connue de chacun ici... Dans le contexte financier et géopolitique actuel une agriculture souveraine et efficace est une garantie de sécurité minimale.

 

Sans un soutien massif à la paysannerie notre pays sera rapidement livré aux institutions étrangères type FMI ou Banque Mondiale et l'on sait tous à quel point les politiques menées par ces organisations sur le continent (et au-delà) sont mortifères. Nb: Le choix macroéconomique le plus pertinent que l'on ait jamais fait est bien celui du paiement de la dette par anticipation.

 

Avantage, s'il en est, de la globalisation, c'est que les fléaux -donc les remèdes potentiels- sont les mêmes partout, ici en Europe:

 

https://www.youtube.com/watch?v=3dbHZ_eFsNY

 

Donc nous devrions savoir précisément ce qu'il ne faut pas faire, et promouvoir:

 

https://www.youtube.com/watch?v=jtUjRW5yoew

 

 

 

1- Le pétrole continue à chuter pour 5 prochaines années.

 

2- Caisses vides.

 

3- Explosion sociale.

 

4- Boutef meurt.

 

5- Manifs dans tout le pays.

 

6- Révolution.

 

7- Ou... guerre civile

 

Je ne vois pas l'Algérie entamer la phase de développement et des reformes avant 2050 au moins.

 

La cause ? Les islamistes. Ils sont là à polluer toute révolution ou débat politique qui pourrait faire évoluer le pays.

 

C'est hélas, et de loin, le scénario le plus probable. Les solutions foisonnent mais le time-in n'est plus jouable. Il eût fallut concevoir, négocier entre les différents acteurs et matérialiser une stratégie globale il y a dix ans environ lorsque nos ressources industrielles nous fournissaient de grandes marges de manoeuvre pour opérer une transition coordonnée, dans la concertation et étape par étape c'est-à-dire avec souplesse et l'assentiment social nécessaire. Car toutes les problématiques actuelles et à venir étaient en gestation dans les orientations (incohérentes, volatiles et parfois même inadaptées aux réalités algériennes) décidées ces dernières décennies. Donc pas de surprise.

 

Outre la tendance à la baisse du prix des hydrocarbures sur le moyen terme (il faut envisager un baril à 20$) le principal écueil qui se trouve devant nous est évidemment politique: Au moment même où nous aurions besoin d'une équipe à la fois capable de sécuriser le pays (et nos frontières) et de mettre en oeuvre un plan d'urgence d'envergure en pleine austérité budgétaire, l'instabilité régionale et internationale nous rend plus que jamais vulnérable aux ingérences étrangères (sous leurs formes militaires, paramilitaires ou clandestines).

 

S'il on adopte un point de vue dépassionné (donc forcément un peu froid) sur les enjeux immédiats qui sont les nôtres, force est de constater que sans ordre social et sécuritaire, initier les changements de stratégie décrits précédemment est impossible. Mais qui d'autre que l'armée, sur la scène algérienne et dans la situation objective qui se présente, est susceptible de garantir celui-ci? Nous voilà donc coincés entre une menace intérieure, la continuité politique (tout autant des politiques menées - essentiellement des "plans de relance" - que des structures et mouvances politiques en tant que telles) et des pressions extérieures de plus en plus prégnantes (OTAN, organisations internationales, instrumentalisation du religieux etc).

 

Le dilemme est le suivant: Notre pays souffre d'une hypercentralisation du processus décisionnel, d'absence de vision locale et régionale, qui sont les dimensions existentielles réelles de l'algérien. Émettons l'hypothèse (optimiste) qu'une volonté politique de travailler (toujours dans l'urgence) à ces échelons existe. Comment impulser un tel renversement de paradigme économique et social, dans un environnement international de plus en plus chaotique, belliciste et globalisé sans recourir... À un Etat centralisé, stratège et militarisé?

 

Ouroboros.

 

L'Histoire enseigne que dans l'urgence les gestionnaires prennent rarement de bonnes et/ou sages décisions. Dans l'absolu, il faudrait:

 

-allouer prioritairement le crédit aux PME/PMI de secteurs clés

 

-accroître la superficie agricole (et non pas la taille des exploitations) notamment dans le sud, les hauts plateaux et les montagnes

 

-faciliter l'accès à la propriété foncière

 

-adopter et généraliser l'approche agroécologique

 

-se retirer de la commission du codex alimentarius

 

-créer un fond de restructuration des entreprises en faillites (elles vont se multiplier, dans le public comme dans le privé)

 

-réorienter nos fleurons énergétiques vers le solaire thermique à concentration

 

Et tellement d'autres choses, toutes aussi irréalisables les unes que les autres dans l'asphyxie économique, les turbulences monétaires ou l'insécurité...

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