la banque centrale va injecter des liquidités

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La Banque centrale d’Algérie va injecter des liquidités dans le secteur financier

06 janvier 2016 à 19h37

Par Benjamin Polle

 

 

 

Une première depuis 2001. La mesure vise à contre-carrer la baisse des liquidités des banques et des établissements financiers, en recul d'un tiers sur un an.

 

 

La Banque centrale algérienne compte injecter, à partir de février prochain, des liquidités pour refinancer les banques du pays dont les ressources se sont contractées en 2015, a fait savoir ce mercredi le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, à l’occasion d’une réunion avec les directions de banques et établissements financiers en activité en Algérie.

 

« Les banques n’ont pas eu recours à la Banque centrale pour se refinancer depuis 2001 », a-t-il indiqué, selon des propos rapportés par l’agence officielle APS.

 

La mesure vise à contre-carrer la baisse des liquidités de ces établissements. Fin septembre 2015, la liquidité globale des banques s’est établi à 1 828 milliards de dinars (15,3 milliards d’euros) contre 2 730 milliards un an plus tôt. « La forte baisse des dépôts du secteur des hydrocarbures en est la principale cause », note le rapport de la Banque centrale présenté par Mohamed Laksaci à cette occasion.

 

Crédits insoutenables

 

« Eu égard [à ce] choc externe violent, le rythme d’expansion des crédits à l’économie ne semble pas être soutenable sans le recours de certaines banques au refinancement auprès de la Banque d’Algérie », note encore le rapport, cité par APS.

 

Les crédits accordés au secteur public ont été de l’ordre de 3 865 milliards de dinars à fin septembre 2015 contre 3 382 milliards de dinars à fin décembre 2014, soit une hausse de -14,3 %.

 

Une baisse du financement au secteur public compensée en partie par la résilience des opérateurs privés. Le montant des crédits contractés par le secteur privé est en revanche en hausse à 3 058 milliards de dinars à fin septembre 2015 contre 2 717 milliards de dinars fin décembre 2014, soit une croissance de 12,5 %.

 

Mohamed Laksaci Laksaci a indiqué, par ailleurs, qu’une opération d’audit des banques serait lancée prochainement afin d’évaluer la résilience des banques et leur capacité à faire face au choc externe, rapporte l’APS.

[Wertilani 10]

restriction du credit a venir - si y a moins de liquidités et pour preserver leur reussite aux stress tests_ ce qui va se produire c'est une restriction du credit donc adieu l'ansej ,les prets immobiliers ect et puis si injection de liquidités -devaluation du dinars...pour recuperer l'epargne qui est en dehors des banques l'etat se verra sans doute obliger de remonter les taux d'interets des placements -beaucoup trop bas face a l'inflation -c'est peut etre la solution pour recuperer une partie de l'argent de l'informel ou meme des epargnants qui ne voient aucun interet a placer l'argent en banque...on s'achemine tout droit vers une periode que les algeriens ont oublié sous l'ere chadli .

[Wertilani 10]

deja qu'on avait des problemes de liquidités quand ça allait bien ,qu'est ce que ca va etre maintenant ! la seule solution des taux d'interets au moins superieur a l'inflation - si l'etat n'a plus de quoi gonfler les liquidités sans imprimer il va declencher un veritable bank run ce qui va empirer la situation de nos banques...les credits ansej non remboursés et sans doute encore non provisionnés vont aussi venir les affaiblir ...esperons qu'on trouvera pas portes closes!

[karim1970 10]

c'est une mesure des plus ordinaire , les banques n'ont pas étés alimentés depuis 2001 , et avec le lancement du crédit a la consommation , pour le mois prochain , les banque auront besoin de liquidités pour supporter une telle opération

[Wertilani 10]

c'est une mesure des plus ordinaire , les banques n'ont pas étés alimentés depuis 2001 , et avec le lancement du crédit a la consommation , pour le mois prochain , les banque auront besoin de liquidités pour supporter une telle opération

 

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depuis 2001 les banques supportent les credits ansej et immobiliers et tu crois que le credit a la consommation va poser un probleme _surtout qu'il sera un echec _ qui va aller emprunter avec la precarité qui arrive _chomage _baisse du pouvoir d'achat _incertitude economique ...et puis ce sont des petites sommes pour acheter un frigo ou une voiture .

non il y a deficit de liquidités parce que sonatrach depose moins et les algeriens sortent des liquidités qui passent en euros et bien sur la hausse des prix qui fait que les liquidités ne sont pas remplacées il a suffit de quelques mois pour assoiffer les banques.

[karim1970 10]

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depuis 2001 les banques supportent les credits ansej et immobiliers et tu crois que le credit a la consommation va poser un probleme _surtout qu'il sera un echec _ qui va aller emprunter avec la precarité qui arrive _chomage _baisse du pouvoir d'achat _incertitude economique ...et puis ce sont des petites sommes pour acheter un frigo ou une voiture .

non il y a deficit de liquidités parce que sonatrach depose moins et les algeriens sortent des liquidités qui passent en euros et bien sur la hausse des prix qui fait que les liquidités ne sont pas remplacées il a suffit de quelques mois pour assoiffer les banques.

 

et depuis quand sonatrach dépose son argent dans les banque algériennes ?? :confused: ; sonatrach ne depose walou , pas plus que le 1% des fiscalités petroliere destinées aux développement za3ma du sud , sinon l'argent de sonatrach c'est des bons de trésor auprès des banques ....américaines

[Wertilani 10]

mais si l'argent est converti en dinars ! les depots des entreprises servent aux banques quelque soit la forme _ ca permet a la banque de garantir ses prets _ l'etat ou sonatrach c'est kif kif en algerie .Quna dl'etat garante les prets ansej aux banques c'est par l'argent de sa participation dans sonatrach_ ils ne sont pas sensé imprimer a chaque fois _quand ils le font par le billet de la banque central l'effet est immediat sur le dinar _c'est la devaluation ...on peut pas repeter l'operation a volonté !