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Escapade -professionnelle - à l'Est


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J’ai pratiquement sillonné toute l’Algérie. Grâce à mes activités professionnelles. Rarement en faisant du tourisme.

Il n’y a que trois wilaya que je n’ai pas visitées. Pas plus loin que la semaine prochaine j’ai à me rendre à Tizi Ouzou, jusqu’à Akbil et je pousserai même jusqu’à Ouacif, au pied du Djurdjura, sous la Main du Juif. « la Main du Juif » est un toponyme.

 

Toujours la semaine prochaine je me rendrai aussi à Médéa mais seulement au chef lieu de Wilaya.

 

Ce sont des déplacement d'une journée chacun.

 

Pour l’heure je poursuis une escapade à l’est du pays.

Destinations Jijel, Mila, Constantine et Sétif.

Donc départ hier à 5 heures un quart des environs d’Alger. En compagnie de mon collaborateur-chauffeur. Appelons le Anis. Il conduit très bien, a un sens de l’orientation hors norme (ce que je n’ai pas) et une grande mémoire des itinéraires (ce que je n’ai pas non plus).

 

Outre les wilaya de destination nous passerons aussi par Boumerdès, Tizi Ouzou, Bejaia, Bordj Bou Arreridj et Bouira.

 

Je prends le volant.

 

À Thenia (Wilaya de Boumerdès) nous optons pour l’itinéraire de Tizi Ouzou (évitement de Tizi Ouzou, Azzaga, forêt de Yakouren, Adekar et El Kseur) plutôt que celui de Bouira-vallée de la Soummam (trop encombré).

 

Premier arrêt à Naciria pour un petit déjeuner sur le pouce.

Un chausson, un café-crème, un café – 75 dinars. Anis ne prend rien sinon le volant.

On poursuit. Le jour pointe peu à peu.

 

A Azzazga Anis a un coup de pompe et me repasse le volant.

On traverse la forêt de Yakouen.

On apprécie toujours ces paysages fabuleux qu’on dirait à chaque fois renouvelés.

Plein de carburant aux environs d’Adekar. 1 250 Da de gaz oil.

Poursuite sans interruption jusqu’à Jijel.

Après El Kseur, évitement de Bejaia, Tichy, Cap Aokas jusqu’à Melbou, la limite avec la wilaya de Jijel.

 

Entre Ziama Mansourah et El Aouana c’est la corniche jijellienne. Elle est toujours aussi magnifique mais je n’ai pas trop eu le loisir de l’apprécier, je conduisais.

Depuis la construction des tunnels (Il y en a quatre) la route est beaucoup plus facile mais reste tout de même délicate, tortueuse et étroite en de nombreux endroits.

Les falaises sur la mer à main gauche invitent à encore plus de prudence.

 

Arrivée à Jijel à 10 heures 30.

J’achète la presse (El Watan et Liberté) et Anis (mon collabo) reprend le volant.

Nous nous rendons à notre premier rendez-vous. Anis se charge des pourparlers

pendant que je lis les journaux. Il revient à 12 heures 30 avec un invité-surprise.

Nous allons dans un restaurant que j’avais déjà fréquenté. Anis et l’invité

optent pour la soupe de poissons et moi pour une salade de thon. La soupe était bien servie avec des croûtons et de la rouille. La salade était un choix moins judicieux, c’était du thon .... en boite.

On a poursuivi avec des crevettes en sauce avec garniture (carottes, fenouil, riz et pommes de terre) et des flans maison.

Addition : 3 900 dinars.

Les crevettes n’étaient pas aussi goutteuses que ce à quoi l’on aurait pu s’attendre.

C’était peut être des congelées. Même le prix semblait trop bas pour des crevettes fraîches.

Il me semble que la dernière fois où j’avais déjeuné dans ce même

resto c’était un peu plu cher.

De toute façon je ne retournerai plus dans ce lieu.

Après avoir pris un café, départ pour Mila vers 14 heures.

Taher, Sidi Abdelaziz, le site de Bellara, des gorges magnifiques dont je n’ai pas retenu le nom, le barrage de Beni Haroun - presque rempli - (le plus grand d’Algérie).

Très belles vues - J’y ai pris quelques photos.

On traverse un patelin où environ un auparavant, de passage, j’y avais acheté une Kachabia que je n’ai pas encore étrennée.

Cette année il fait trop beau. Il n'y a pratiquement pas eu de journées de froid.

Arrivée à Mila vers 16 heures. Réservation à l’hôtel. Il n’y a pas de choix.

Je crois qu’il n’y en a qu’un seul. Inutile de visiter la chambre nous connaissons

l'établissement.

2 700 dinars la nuitée. C’est pas bien cher mais ça n’en vaut pas plus.

Nous reprenons immédiatement la route à la rencontre de nos partenaires.

Nous rencontrons un partenaire à Ferdjioua et un autre dans une autre

agglomération - plus petite – que je ne nomme pas. He oui nous contactons nos

partenaires à des heures tout à fait inhabituelles. Retour à Mila à 18 heure 30.

Diner vite fait bien fait dans un resto – plutôt une gargote. Une entrecôte chacun

avec garniture – 1 080 Dinars, c'es pas un grand souvenir.

 

Mila by night est aussi triste que la mort.

Il n’y a rien.

Apparemment aucun spectacle, pas de cinéma, on n’a pas vue de resto ni de troquet sympa.

De toute façon nous sommes si vannés qu’on aurait rien fait d’autre

que de rester dans la chambre d’hôtel.

Elle est petite, presque pas meublée et sentait un peu le renfermé –

mais on n’est pas venu là pour faire du tourisme.

Il y avait une petite télévision que l’on n’a pas cherché à allumer – sachant par expérience qu’il n’y a pas de chaînes que je veuille voir.

Connexion Wifi disponible. Donc Internet et au lit on dort.

 

Aujourd’hui.

 

Levé à sept heures. Petit déjeuner à l'hôtel : une noix de beurre, un cuillerée de confiture,

croissant, pain et café-crème. Café noir dans des thermos que nous n’avons pas goûté.

L’encas avalé, j’installe mon micro sur la table du petit déjeuner et je finalise

un rapport que je dois remettre dans la journée à Constantine. J’y ai ajouté aussi

des éléments que j’ai recueillis aujourd’hui.

Ensuite départ sur Teleghma, toujours dans la wilaya de Mila.

Nous voyons encore un partenaire et fonçons tête baissée dans un cybercafé

pour encore mettre à jour le même rapport, l’imprimer en deux exemplaires et le relier.

Il est environ midi, casse croûte vite avalé et en route pour Constantine ou nous

arrivons à 14 heures.

Et là patatras les personnes à qui nous devions livrer ce rapport sont absentes.

On s’y attendait un peu.

Décision - qui peut paraître irrationnelle – est prise d’aller à Sétif

où nous avons un rendez-vous avec un partenaire dans les environs de Ain Kebira.

Nous réservons d’abord une nuitée dans la « Maison de l’Enseignant » qui fait aussi hôtel.

La nuitée est à 3 000 Dinars, un peu moins pour les adhérents à la mutuelle des enseignants.

Le rapport qualité/prix est excellent. Nous montons nos bagages,

il est environ 16 heures et nous allons vers Ain Kebira. Nous voyons les personnes

que nous devions rencontrer. Il est 17 heures passé.

 

Qu’aurions nous fait sans téléphone. Les rendez-vous avec les partenaires sont

généralement pris avec cet outil et ça marche plutôt bien. Nous avons eu un contact

téléphonique avec les gens de Constantine et on savait qu'ils n’étaient pas là le

matin mais nous pensions les trouver l’après midi.

 

De retour de Ain Kebira vers Sétif nous avons diné dans un restaurant qui avait de la

Dobara Biskria Hara au menu. Je ne supporte pas le piquant, en demandant un plat

sans har ça m’était quand même à la limite du supportable. Anis a pris un plat avec

har normal. Je pense qu’il l’a regretté. S’en est suivi une pâtisserie orientale

– très gourmande – des oranges et l'hôtel.

 

C’est de la chambre d’hôtel que j’écris ce laïus.

Il est 23 heures 12. Elle (la chambre) est nettement mieux que celle de Mila :

plus spacieuse, mieux meublée, plus aérée, ….

 

Le programme de demain commence par un levé à 7 heures, un passage,

à titre tout à fait personnel, dans un magasin de Sétif que l’on m’a recommandé

et départ sur Constantine. Normalement je vais trouver les personnes que je devais

voir ce matin (encore le téléphone). J’ai la flemme de rédiger un bordereau d’envoi.

J’utiliserai le double du rapport où nous en « manuscrirons » un sur place.

 

Nous escomptons finir notre travail et revenir de Constantine avant midi.

Donc retour sur Alger, avec un arrêt gourmand à El Achir. Pour ceux qui ne connaissent pas

cette agglomération est réputée pour ses rôtisseries et surtout ses grilladeries

(oui oui le mot existe). Ça sera bien mérité. On prévoit d’arriver sur Alger

(ou plutôt ses environs) en fin d’après midi (17 ou 18 heures).

Après demain repos complet et peut être même le surlendemain.

 

Tout est quasiment exact, excepté le prénom de mon collabo et deux ou trois noms

de lieu que j’ai volontairement omis.

 

Je posterai peut être le déroulement de la journée de demain et aussi les

déplacements que je vais faire sur Médéa et Tizi Ouzou la semaine prochaine.

 

Ciao

Edited by Belame
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  • 1 month later...

 

Donc retour sur Alger, avec un arrêt gourmand à El Achir. Pour ceux qui ne connaissent pas

cette agglomération est réputée pour ses rôtisseries et surtout ses grilladeries

(oui oui le mot existe). Ça sera bien mérité.

 

 

Ils ne font que ça là-bas et il n'y a rien d'autres :confused: Nous on l'appelle El Bachir et non pas El Aachir :D

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Guest thalwith
J’ai pratiquement sillonné toute l’Algérie. Grâce à mes activités professionnelles. Rarement en faisant du tourisme.

Il n’y a que trois wilaya que je n’ai pas visitées. Pas plus loin que la semaine prochaine j’ai à me rendre à Tizi Ouzou, jusqu’à Akbil et je pousserai même jusqu’à Ouacif, au pied du Djurdjura, sous la Main du Juif. « la Main du Juif » est un toponyme.

 

Toujours la semaine prochaine je me rendrai aussi à Médéa mais seulement au chef lieu de Wilaya.

 

Ce sont des déplacement d'une journée chacun.

 

Pour l’heure je poursuis une escapade à l’est du pays.

Destinations Jijel, Mila, Constantine et Sétif.

Donc départ hier à 5 heures un quart des environs d’Alger. En compagnie de mon collaborateur-chauffeur. Appelons le Anis. Il conduit très bien, a un sens de l’orientation hors norme (ce que je n’ai pas) et une grande mémoire des itinéraires (ce que je n’ai pas non plus).

 

Outre les wilaya de destination nous passerons aussi par Boumerdès, Tizi Ouzou, Bejaia, Bordj Bou Arreridj et Bouira.

 

Je prends le volant.

 

À Thenia (Wilaya de Boumerdès) nous optons pour l’itinéraire de Tizi Ouzou (évitement de Tizi Ouzou, Azzaga, forêt de Yakouren, Adekar et El Kseur) plutôt que celui de Bouira-vallée de la Soummam (trop encombré).

 

Premier arrêt à Naciria pour un petit déjeuner sur le pouce.

Un chausson, un café-crème, un café – 75 dinars. Anis ne prend rien sinon le volant.

On poursuit. Le jour pointe peu à peu.

 

A Azzazga Anis a un coup de pompe et me repasse le volant.

On traverse la forêt de Yakouen.

On apprécie toujours ces paysages fabuleux qu’on dirait à chaque fois renouvelés.

Plein de carburant aux environs d’Adekar. 1 250 Da de gaz oil.

Poursuite sans interruption jusqu’à Jijel.

Après El Kseur, évitement de Bejaia, Tichy, Cap Aokas jusqu’à Melbou, la limite avec la wilaya de Jijel.

 

Entre Ziama Mansourah et El Aouana c’est la corniche jijellienne. Elle est toujours aussi magnifique mais je n’ai pas trop eu le loisir de l’apprécier, je conduisais.

Depuis la construction des tunnels (Il y en a quatre) la route est beaucoup plus facile mais reste tout de même délicate, tortueuse et étroite en de nombreux endroits.

Les falaises sur la mer à main gauche invitent à encore plus de prudence.

 

Arrivée à Jijel à 10 heures 30.

J’achète la presse (El Watan et Liberté) et Anis (mon collabo) reprend le volant.

Nous nous rendons à notre premier rendez-vous. Anis se charge des pourparlers

pendant que je lis les journaux. Il revient à 12 heures 30 avec un invité-surprise.

Nous allons dans un restaurant que j’avais déjà fréquenté. Anis et l’invité

optent pour la soupe de poissons et moi pour une salade de thon. La soupe était bien servie avec des croûtons et de la rouille. La salade était un choix moins judicieux, c’était du thon .... en boite.

On a poursuivi avec des crevettes en sauce avec garniture (carottes, fenouil, riz et pommes de terre) et des flans maison.

Addition : 3 900 dinars.

Les crevettes n’étaient pas aussi goutteuses que ce à quoi l’on aurait pu s’attendre.

C’était peut être des congelées. Même le prix semblait trop bas pour des crevettes fraîches.

Il me semble que la dernière fois où j’avais déjeuné dans ce même

resto c’était un peu plu cher.

De toute façon je ne retournerai plus dans ce lieu.

Après avoir pris un café, départ pour Mila vers 14 heures.

Taher, Sidi Abdelaziz, le site de Bellara, des gorges magnifiques dont je n’ai pas retenu le nom, le barrage de Beni Haroun - presque rempli - (le plus grand d’Algérie).

Très belles vues - J’y ai pris quelques photos.

On traverse un patelin où environ un auparavant, de passage, j’y avais acheté une Kachabia que je n’ai pas encore étrennée.

Cette année il fait trop beau. Il n'y a pratiquement pas eu de journées de froid.

Arrivée à Mila vers 16 heures. Réservation à l’hôtel. Il n’y a pas de choix.

Je crois qu’il n’y en a qu’un seul. Inutile de visiter la chambre nous connaissons

l'établissement.

2 700 dinars la nuitée. C’est pas bien cher mais ça n’en vaut pas plus.

Nous reprenons immédiatement la route à la rencontre de nos partenaires.

Nous rencontrons un partenaire à Ferdjioua et un autre dans une autre

agglomération - plus petite – que je ne nomme pas. He oui nous contactons nos

partenaires à des heures tout à fait inhabituelles. Retour à Mila à 18 heure 30.

Diner vite fait bien fait dans un resto – plutôt une gargote. Une entrecôte chacun

avec garniture – 1 080 Dinars, c'es pas un grand souvenir.

 

Mila by night est aussi triste que la mort.

Il n’y a rien.

Apparemment aucun spectacle, pas de cinéma, on n’a pas vue de resto ni de troquet sympa.

De toute façon nous sommes si vannés qu’on aurait rien fait d’autre

que de rester dans la chambre d’hôtel.

Elle est petite, presque pas meublée et sentait un peu le renfermé –

mais on n’est pas venu là pour faire du tourisme.

Il y avait une petite télévision que l’on n’a pas cherché à allumer – sachant par expérience qu’il n’y a pas de chaînes que je veuille voir.

Connexion Wifi disponible. Donc Internet et au lit on dort.

 

Aujourd’hui.

 

Levé à sept heures. Petit déjeuner à l'hôtel : une noix de beurre, un cuillerée de confiture,

croissant, pain et café-crème. Café noir dans des thermos que nous n’avons pas goûté.

L’encas avalé, j’installe mon micro sur la table du petit déjeuner et je finalise

un rapport que je dois remettre dans la journée à Constantine. J’y ai ajouté aussi

des éléments que j’ai recueillis aujourd’hui.

Ensuite départ sur Teleghma, toujours dans la wilaya de Mila.

Nous voyons encore un partenaire et fonçons tête baissée dans un cybercafé

pour encore mettre à jour le même rapport, l’imprimer en deux exemplaires et le relier.

Il est environ midi, casse croûte vite avalé et en route pour Constantine ou nous

arrivons à 14 heures.

Et là patatras les personnes à qui nous devions livrer ce rapport sont absentes.

On s’y attendait un peu.

Décision - qui peut paraître irrationnelle – est prise d’aller à Sétif

où nous avons un rendez-vous avec un partenaire dans les environs de Ain Kebira.

Nous réservons d’abord une nuitée dans la « Maison de l’Enseignant » qui fait aussi hôtel.

La nuitée est à 3 000 Dinars, un peu moins pour les adhérents à la mutuelle des enseignants.

Le rapport qualité/prix est excellent. Nous montons nos bagages,

il est environ 16 heures et nous allons vers Ain Kebira. Nous voyons les personnes

que nous devions rencontrer. Il est 17 heures passé.

 

Qu’aurions nous fait sans téléphone. Les rendez-vous avec les partenaires sont

généralement pris avec cet outil et ça marche plutôt bien. Nous avons eu un contact

téléphonique avec les gens de Constantine et on savait qu'ils n’étaient pas là le

matin mais nous pensions les trouver l’après midi.

 

De retour de Ain Kebira vers Sétif nous avons diné dans un restaurant qui avait de la

Dobara Biskria Hara au menu. Je ne supporte pas le piquant, en demandant un plat

sans har ça m’était quand même à la limite du supportable. Anis a pris un plat avec

har normal. Je pense qu’il l’a regretté. S’en est suivi une pâtisserie orientale

– très gourmande – des oranges et l'hôtel.

 

C’est de la chambre d’hôtel que j’écris ce laïus.

Il est 23 heures 12. Elle (la chambre) est nettement mieux que celle de Mila :

plus spacieuse, mieux meublée, plus aérée, ….

 

Le programme de demain commence par un levé à 7 heures, un passage,

à titre tout à fait personnel, dans un magasin de Sétif que l’on m’a recommandé

et départ sur Constantine. Normalement je vais trouver les personnes que je devais

voir ce matin (encore le téléphone). J’ai la flemme de rédiger un bordereau d’envoi.

J’utiliserai le double du rapport où nous en « manuscrirons » un sur place.

 

Nous escomptons finir notre travail et revenir de Constantine avant midi.

Donc retour sur Alger, avec un arrêt gourmand à El Achir. Pour ceux qui ne connaissent pas

cette agglomération est réputée pour ses rôtisseries et surtout ses grilladeries

(oui oui le mot existe). Ça sera bien mérité. On prévoit d’arriver sur Alger

(ou plutôt ses environs) en fin d’après midi (17 ou 18 heures).

Après demain repos complet et peut être même le surlendemain.

 

Tout est quasiment exact, excepté le prénom de mon collabo et deux ou trois noms

de lieu que j’ai volontairement omis.

 

Je posterai peut être le déroulement de la journée de demain et aussi les

déplacements que je vais faire sur Médéa et Tizi Ouzou la semaine prochaine.

 

Ciao

 

la forêt de Yakouren,,,, j'ai fait ce trajet plus d'une dizaine de fois l'année passée et c'est plus que fabuleux!!

 

comme l'a dit prisme, si comme si on y' était

 

a demain pour un autre voyage :p

Edited by thalwith
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et dire que certains nous disent qu'il n'y a rien a faire dans ce bled ! pas de tourisme -que c'est une prison lol!!! vient t'enchainer a mon fauteuil de bureau et tu vas voir ce qu'est la prison :D...ah si il me donnait un hilux le vieux , j'irais a cent mille lieux de cette chaise , je la desteste ! meme quand j'ai fini de bosser ,elle est la a me regarder et me dire que demain tu seras encore la coco!...:D

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@Prisme

Merki

 

A Constantine que je connaissais déjà assez bien, nous avons réduit nos déplacements au minimum.

Ils ont été limités à une visite à des partenaires, avec une petite séance de travail pour

faire avancer le schmilblick (le bout de bois).

Sinon c'est une très belle ville avec les ponts, le Koudia, Souika, les routes taillées dans la roche, ....

Mais comme pour toutes les villes algériennes le centre ville est trop engorgé.

On évite d'y rentrer à cause des problèmes de circulation, de stationnement

et il m'est même arrivé de ressentir la pollution de l'air.

 

@wertilani

Je ne regrette pas le travail que je fais. Je dirai même que sur ce point j'ai eu de la chance.

Avec l'age on a tendance à réduire la durée des déplacements.

Auparavant je me déplaçais facilement pour 2 ou trois semaines.

Maintenant ça ne dépasse pas une semaine.

Je n'ai aucun lien avec L'ANSEJ, si c'est pas pour avoir un HILUX ....

 

@Zouf

Je ne sais pas si je suis ou non de l'ancienne école, mais c'est sans grec ni latin. Ici je rends hommage à Mademoiselle Liebschutz (c'est sont vrai nom) mon institutrice pendant quatre ans qui m'a énormément (presque tout) transmis (connaissances et éducation). " M'amzelle " ou " M'zelle " (diminutifs de Mademoiselle que l'on utilisait pour l'interpeler) si vous me voyez ou m’entendez de là où vous êtes je vous dis que vous êtes une très grande Dame.

 

@Thalwith

Il y a des sites que l’on ne se lasse pas de (re) découvrir – la forêt de Yakouren,

celles des environs de El Kala, les corniches jijelienne, oranaise, … le site d’El Kantara,

Tolga, les balcons de Ghoufi, les gorges de Palestro, de Kherata et celles de la Chifa

avec le ruisseau des singes et le parc de Chréa, et d’autres, et d’autres, ….

 

@Zoubir

Je ne suis pas " franssaoui " et je ne vends rien, surtout pas de la camelote

quand bien même elle serait de bonne qualité.

 

@Miss Angel

Pour les photos, désolé, ce sera peut-être pour une prochaine narration.

 

Comme dit dans mon post, depuis je me suis déplacé à

Tizi Ouzou (Yatafene, Akbil et Ouacif) et à Médéa.

Je eu aussi à faire un voyage de deux jours à Annaba et Constantine.

Pour l'heure il est prévu que je fasse cinq ou six déplacements sur Médéa

(plutôt vers le sud de la Wilaya, à la limite avec la wilaya de Djelfa) dans les prochaines semaines.

 

Ciao

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