Wertilani 10 Posted January 30, 2016 Partager Posted January 30, 2016 Par DDK | Il ya 11 heures 30 minutes | 491 lecture(s) Virée au marché des fruits et légumes à Draâ El-Mizan La mercuriale en baisse Si depuis le mois de janvier, les discussions ne tournent qu'autour des prix des produits alimentaires qui ne cessent de subir des augmentations, parfois inexpliquées, de jour en jour, ce n’est heureusement pas le cas pour les légumes et les volailles. D'ailleurs, tout le monde craint qu'un jour, les boulangers et les laitiers augmenteront les prix de la baguette de pain et du sachet de lait, même si ce sont des produits encore subventionnés, sans qu'une décision ne soit prise par l'Etat. Car, faudra-t-il le souligner, la libéralisation des prix ne freine aucun commerçant à appliquer des prix comme il l'entend. Cependant, il nous a été donné de relever avant-hier, jour du marché hebdomadaire, que la mercuriale est en baisse. Pratiquement tous les légumes ont baissé de moitié par rapport aux premières semaines de janvier. " C'est quand même important de souligner que la tomate cédée à 25 dinars le kilo ou encore la pomme de terre qui se négocie entre trente et cinquante dinars, est une aubaine pour nous qui subissons les hausses au quotidien", nous dira un fonctionnaire accosté devant un étal de fruits et légumes. Effectivement, ce consommateur a bien vu quand on constate que la salade se vend entre 30 et 50 dinars, la carde à 30 dinars le kilo, le poivron entre 80 et 120 dinars, la carotte entre 35 et 50 dinars, les navets à 40 dinars, les fèves entre 60 et 80 dinars,... Pourtant, ce sont des produits presque hors saison, excepté la carotte et les navets. Ce qui reste tout de même cher est l'oignon de l'arrière saison, cédé entre 80 et 100 dinars. Du côté des volailles, le poulet vif est affiché à 180 dinars le kilo. D'ailleurs, ses vendeurs ont été assaillis par les clients. " On ne comprend rien à ce marché. Il y a seulement quelques semaines, il ne descendait pas sous la barre des 260 dinars. Mieux encore, à la veille du Mawlid Ennabaoui et du nouvel an amazigh, il a atteint les 330 dinars le kilo pour le poulet non vidé et 450 pour celui vidé", constatera un autre client. Cependant, si le consommateur se réjouit de ces prix abordables, il ne peut pas toutefois s'approcher des fruits. Ces derniers coûtent encore cher. La pomme est proposée entre 200 et 350 dinars, la banane entre 200 et 230 dinars, l'orange entre 130 et 200 dinars alors que la mandarine s'est envolée pour atteindre 230 jusqu'à 250 dinars. En tout cas, il est temps que le travail de la terre reprenne sa place d'antan aussi bien dans les plaines que dans les campagnes. Avec cette austérité qui s'installe, chacun doit réfléchir au moyen de satisfaire sa consommation personnelle comme le faisaient nos parents dans les années 70 lorsqu'ils ne se rendaient au marché que pour s'approvisionner en les produits qu'ils ne pouvaient cultiver. Amar Ouramdane Read more at http://www.depechedekabylie.com/kabylie/tizi-ouzou/159712-la-mercuriale-en-baisse.html#FO11eoR2IHap0HQk.99 Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted January 30, 2016 Author Partager Posted January 30, 2016 etrangement les prix baissent -a quoi est ce du ? -arrivée des produits locaux? -subventions augmentées pour calmer la population dans l'attente d'une acceptation des autres hausses sur l'electricité -le gaz les transports ect ? -baisse de la consommation pour faire face a d'autres depenses de la population et donc deflation sur les prix -c'est possible on assiste a la meme chose en europe ? -baisse des cours internationaux -c'est le cas par exemple du prix de tomate en surproduction . il faudra surveiller pour en tirer des conclusions avec le temps . Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted January 30, 2016 Author Partager Posted January 30, 2016 Aïn El Hammam Leurs prix donnent le tournis Les viandes et le poisson trop chers Les prix affichés par les produits protidiques, nécessaires à notre santé, s’éloignent de plus en plus du pouvoir d’achat du citoyen moyen. Comme nous l’avons remarqué à Aïn El Hammam, la viande de veau dite «avec os», atteint la barre fatidique des neuf cents dinars alors que le kilogramme de steak que le boucher découpe à sa manière, ne descend pas des mille quatre cents (1 400) dinars. Quant au morceau de foie vendu sous le manteau et «commandé d’avance» par de vieux retraités, il trône au dessus du lot à mille six cents dinars (1 600) le kilo. On se demande qui du client ou du commerçant est roi. Ce qui donne le tournis aux petites bourses, contraintes de se rabattre sur les tripes dont près de la moitié est représentée par une masse de graisse, immangeable. Couteau en main, le vendeur vous impose un mélange de boyaux et de panse graisseux. «En fin de compte, payés à deux cents cinquante (250) et parfois trois cents (300) dinars le kilo dont la moitié ira à la poubelle, les abats ne sont pas si bon marché», commente un client qui fait la chaîne pour être servi.et d’ajouter : «On ne peut même pas se permettre du poisson en substitution». En effet, devant les prix de la sardine, affichés chaque matin au marché d’Aïn El Hammam, un vieux fonctionnaire nous rappelle : «Nous avons appris à l’école que le poisson était la viande du pauvre. Nous savons par ailleurs, que, d’après le livre de «leçons de choses» de la vieille école, que la viande qui a toujours été loin des possibilités des bas revenus, «peut être remplacée par les œufs ou le poisson». «Comment y arriver avec le plateau d’œufs à trois cents dinars et le kilo de sardine de qualité médiocre à deux cent cinquante-cinq (255) dinars ?». Une question sans réponse au moment où de nombreux citoyens arrivent difficilement à subvenir aux besoins les plus élémentaires de leurs familles. Alors que dire des chômeurs ? A.O.T Read more at http://www.depechedekabylie.com/kabylie/tizi-ouzou/159713-les-viandes-et-le-poisson-trop-chers.html#8ITF1pjmIPx1Udkz.99 Citer Link to post Share on other sites
rosemary 239 Posted January 30, 2016 Partager Posted January 30, 2016 tu as fais le tour des marché ?:confused: Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted January 30, 2016 Author Partager Posted January 30, 2016 tu as fais le tour des marché ?:confused: je compte venir vous rendre visite-je me renseigne -sinon je prends mon felfel d'ici :D Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted January 30, 2016 Partager Posted January 30, 2016 je compte venir vous rendre visite-je me renseigne -sinon je prends mon felfel d'ici :D arwah fi Barbès khouya. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted January 30, 2016 Partager Posted January 30, 2016 Aïn El Hammam Leurs prix donnent le tournis Les viandes et le poisson trop chers Les prix affichés par les produits protidiques, nécessaires à notre santé, s’éloignent de plus en plus du pouvoir d’achat du citoyen moyen. Comme nous l’avons remarqué à Aïn El Hammam, la viande de veau dite «avec os», atteint la barre fatidique des neuf cents dinars alors que le kilogramme de steak que le boucher découpe à sa manière, ne descend pas des mille quatre cents (1 400) dinars. Quant au morceau de foie vendu sous le manteau et «commandé d’avance» par de vieux retraités, il trône au dessus du lot à mille six cents dinars (1 600) le kilo. On se demande qui du client ou du commerçant est roi. Ce qui donne le tournis aux petites bourses, contraintes de se rabattre sur les tripes dont près de la moitié est représentée par une masse de graisse, immangeable. Couteau en main, le vendeur vous impose un mélange de boyaux et de panse graisseux. «En fin de compte, payés à deux cents cinquante (250) et parfois trois cents (300) dinars le kilo dont la moitié ira à la poubelle, les abats ne sont pas si bon marché», commente un client qui fait la chaîne pour être servi.et d’ajouter : «On ne peut même pas se permettre du poisson en substitution». En effet, devant les prix de la sardine, affichés chaque matin au marché d’Aïn El Hammam, un vieux fonctionnaire nous rappelle : «Nous avons appris à l’école que le poisson était la viande du pauvre. Nous savons par ailleurs, que, d’après le livre de «leçons de choses» de la vieille école, que la viande qui a toujours été loin des possibilités des bas revenus, «peut être remplacée par les œufs ou le poisson». «Comment y arriver avec le plateau d’œufs à trois cents dinars et le kilo de sardine de qualité médiocre à deux cent cinquante-cinq (255) dinars ?». Une question sans réponse au moment où de nombreux citoyens arrivent difficilement à subvenir aux besoins les plus élémentaires de leurs familles. Alors que dire des chômeurs ? A.O.T Read more at http://www.depechedekabylie.com/kabylie/tizi-ouzou/159713-les-viandes-et-le-poisson-trop-chers.html#8ITF1pjmIPx1Udkz.99 Peut être remplacé par les légumes secs aussi Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted January 30, 2016 Partager Posted January 30, 2016 Dans le premier article, les prix semblent bas et dans le 2eme les prix n'ont pas changé, la viande et compagnie sont chères en Algérie. Les Algériens sont de gros consommateurs, beaucoup ont des sociétés et strictement rien n'est déclaré, l'argent tourne sans atteindre les caisses de l’état. Rien que dans ma houmma, le nombre qui ont des activités non déclarés, coiffure, gâteau, couture, mécanique, cours privés, etc. Citer Link to post Share on other sites
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