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OUF KAMEL DAOUD DEVIENT INTELLIGENT IL SE PREND POUR LE GROUPE DES LUMIERES DES SIECLES DERNIERS


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tu n'est pas plus algérien que mois je ne suis chinois ...tu est savoyard un point c'est tout ! ...l'algerie se debrouille comme peut ....et ce que dit kamel est de l'ordre des solutions pour nos problemes pas les votres ...

 

moi algeriens je lui reconnais tout les droits surtout ceux qui consistent a mettre a nu nos tares et nos faiblesse que tu passes ton temps a mettre sous le tapis en idealisant ton pays d'origine !!!! et cela au dela de toute réalité !!!

 

proverbes bretons .:crazy:..franchement surrealiste !!! ....

MOI je le refuse

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Top Posters In This Topic

PMAT ... laisse Kamel Daoud tranquille .. et va mendier ton seigneur et maître Bouteflika .. qu'il t'offre un appart contre un peu de toi ...

Daoud, ne fait que te rappeler et te jeter une réalité en face .. réalité que toi tu veux ignorer ... par souci de ton petit confort personnel ... histoire d'anesthésier ta conscience ...toi et tous tes semblables

Quand tu saura ou t'en est et ou tu es toi

On verra ce jour

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Mais il n'est pas question de moi ici...:D

N'est ce pas vrai... Ce que je dis ?

Bonjour réflexion

CE MATIN JE SUIS FATIGUES

Disons qu'il n'est pas question de toi

et tu fais partie de ceux des infatigables a se contredire et a se convertir

a dire une chose et son contraire et a persister a ce qui devant le droit la loi serait perdu d'avance

ca s'appelle essayer de faire du rentre dedans et de l'abus de pouvoir

Edited by pmat
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pour beaucoup ce n'est qu'un jeux les sujets

Alors que bien des sujet il disent attention il y a le feux

Alors oui qu'ils ont leurs importance du fait mem que tous et toutes il nous faudra compter vivre avec ses voisins

Edited by pmat
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la seule foie que je l'est entendu est a on est pas couché pour l'histoire de l'ETRANGER D'ALBERT CAMUS

et la il fut lamentable pour moi

 

Qu'il me donne les moyens de changer mon avis sur lui et je verrais

Si tu veux avoir une discussion sérieuse, dis-nous ce qu'il a dit exactement sans modifier ses paroles et on verra si c'est lamentable ou pas

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ALORS QU'IL SE RETIENT DE PARLER AU NOM DES ALGERIENS

mais en sa propre personne et parler de sa propre perssonne

IL A AUCUN DROIT DE PARLER DS AUTRES

Au lieu de raconter n'importe quoi, dis-nous ce qu'il a dit exactement (sans modifier ses paroles) et qu'est ce que tu lui reproches

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et tu fais partie de ceux des infatigables a se contredire et a se convertir

a dire une chose et son contraire et a persister a ce qui devant le droit la loi serait perdu d'avance

Pourquoi tu ne montres pas tout ce que tu racontes ? Si c'était vrai tu l'aurais montré

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Au lieu de raconter n'importe quoi, dis-nous ce qu'il a dit exactement (sans modifier ses paroles) et qu'est ce que tu lui reproches

 

Il a jamais ne serait un seul article de Kamel Daoued....comment veux tu qu'il te dise ce qu'il lui reproche? il ne fait que repeter ce qu'on lui dit....

 

Il ne sait meme pas dans quel quotidien il ecrit K.D

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TENEZ C'EST LUI MÊME QUI VOUS LE DIT

QU'IL A PROVOQUER

 

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Algérie.*Islamophobie*: la cinglante réponse de Kamel DaoudPublié le*22/02/2016 - 17:04L’écrivain et journaliste algérien* Kamel Daoud à Marseille, le 27*Octobre 2014.

 

*

 

BERTRAND LANGLOIS/AFP PHOTO /

 

Accusé de relayer des idées“islamophobes”,*le journaliste et écrivain algérien Kamel Daoud, ulcéré,*“arrête le journalisme”pour se consacrer à la littérature.Dans cette correspondance et ultime chronique, Daoud répond à ses*détracteurs.

 

Cher ami. J’ai lu avec attention ta lettre, bien sûr. Elle m’a touché par sa générosité et sa lucidité. Etrangement, ton propos est venu conforter ce que j’ai déjà pris comme décision ces derniers jours, et avec les mêmes arguments. J’y ai surtout retenu l’expression de ton amitié tendre et complice malgré l’inquiétude.**

 

Kamel Daoud et les “clichés orientalistes”

 

 

Je voudrais cependant répondre encore. J’ai longtemps écrit avec le même esprit qui ne s’encombre pas des avis d’autrui quand ils sont dominants. Cela m’a donné une liberté de ton, un style peut-être mais aussi une liberté qui était insolence et irresponsabilité ou audace. Ou même naïveté. Certains aimaient cela, d’autres ne pouvaient l’accepter. J’ai taquiné les radicalités et j’ai essayé de défendre ma liberté face aux clichés dont j’avais horreur. J’ai essayé aussi de penser. Par l’article de presse ou la littérature. Pas seulement parce que je voulais réussir, mais aussi parce que j’avais la terreur de vivre une vie sans sens. Le journalisme en Algérie, durant les années dures, m’avait assuré de vivre la métaphore de l’écrit, le mythe de l’expérience. J’ai donc écrit souvent, trop, avec fureur, colère et amusement. J’ai dit ce que je pensais du sort de la femme dans mon pays, de la liberté, de la religion et d’autres grandes questions qui peuvent nous mener à la conscience ou à l’abdication et à l’intégrisme. Selon nos buts dans la*vie.

 

Sauf qu’aujourd’hui, avec le succès médiatique, j’ai fini par comprendre deux ou trois*choses.

 

Pétition*immorale

 

D’abord, que nous vivons désormais une époque de sommations. Si on n’est pas d’un côté, on est de l’autre*; le texte sur “Cologne”, j’en avais écrit une partie, celle sur la femme, il y a des années. A l’époque, cela n’a fait réagir personne ou si peu de monde. Aujourd’hui, l’époque a changé*: des crispations poussent à interpréter et l’interprétation pousse au procès. J’avais écrit*cet article*et celui du*New York Timesdébut janvier*; leur succession dans le temps est donc un accident et pas un acharnement de ma part. J’avais écrit, poussé par la honte et la colère contre les miens, et parce que je vis dans ce pays, sur cette terre. J’y ai dit ma pensée et mon analyse sur un aspect que l’on ne peut cacher sous prétexte de “charité culturelle”. Je suis écrivain et je n’écris pas des thèses d’universitaire. C’est une émotion aussi. Que des universitaires pétitionnent contre moi aujourd’hui, pour ce texte, je trouve cela immoral parce qu’ils ne vivent pas ma chair ni ma terre et que je trouve illégitime sinon scandaleux que certains me servent le verdict d’islamophobie à partir de la sécurité et des conforts des capitales de l’Occident et de ses terrasses. Le tout servi en forme de procès stalinien et avec le préjugé du spécialiste*: je sermonne un indigène parce que je parle mieux des intérêts des autres indigènes et postdécolonisés. Et au nom des deux mais avec mon nom. Et cela m’est intolérable comme posture. Je pense que cela reste immoral de m’offrir en pâture à la haine locale sous le verdict d’islamophobie qui sert aujourd’hui aussi*d’inquisition.

 

*

 

Appel au meurtre de Kamel Daoud*: penser sera bientôt un crime

 

 

Je pense que c’est honteux de m’accuser de cela en restant bien loin de mon quotidien et de celui des miens.

L’islam est une belle religion selon l’homme qui la porte, mais j’aime que les religions soient un chemin vers un dieu et qu’y résonnent les pas d’un homme qui marche. Ces pétitionnaires embusqués ne mesurent pas la conséquence de leurs actes et du tribunal sur la vie*d’autrui.

 

Cher*ami,

 

J’ai compris aussi que l’époque est dure. Comme autrefois, l’écrivain venu du froid, aujourd’hui, l’écrivain venu du monde dit “arabe” est piégé, sommé, poussé dans le dos et repoussé. La surinterprétation le guette et les médias le harcèlent pour conforter qui une vision, qui un rejet et un déni. Le sort de la femme est lié à mon avenir, à l’avenir des miens. Le désir est malade dans nos terres et le corps est encerclé. Cela, on ne peut pas le nier et je dois le dire et le dénoncer. Mais je me retrouve soudainement responsable de ce qui va être lu selon les terres et les airs. Dénoncer la théocratie ambiante chez nous devient un argument d’islamophobe ailleurs. Est-ce ma faute*? En partie. Mais c’est aussi la faute de notre époque, son mal du siècle. C’est ce qui s’est passé pour la tribune sur “Cologne”. Je l’assume mais je me retrouve désolé pour ce à quoi elle peut servir comme déni et refus d’humanité de l’Autre. L’écrivain venu des terres d’Allah se retrouve aujourd’hui au centre de sollicitations médiatiques intolérables. Je n’y peux rien mais je peux m’en soustraire*: par la prudence comme je l’ai cru, mais aussi par le silence comme je le choisis*désormais.

 

Retrait du*journalisme

 

Je vais donc m’occuper de littérature et en cela tu as raison. J’arrête le journalisme sous peu. Je vais aller écouter des arbres ou des cœurs. Lire. Restaurer en moi la confiance et la quiétude. Explorer. Non pas abdiquer, mais aller plus loin que le jeu de vagues et des médias. Je me résous à creuser et non à*déclamer.

 

J’ai pour ma terre l’affection du “déchanté”. Un amour secret et fort. Une passion. J’aime les miens et les cieux que j’essaie de déchiffrer dans les livres et avec l’œil la nuit. Je rêve de puissance, de souveraineté pour les miens, de conscience et de partage. Cela me déçoit de ne pas vivre ce rêve. Cela me met en colère ou me pousse au châtiment amoureux. Je ne hais pas les miens, ni l’homme en l’autre. Je n’insulte pas les raisons d’autrui. Mais j’exerce mon droit d’être libre. Ce droit a été mal interprété, sollicité, malmené ou*jugé.

 

Aujourd’hui, je veux aussi la liberté de faire autre chose. Mille excuses si j’ai déçu, un moment, ton amitié, cher A…. Et si je rends publique cette lettre aujourd’hui, avant de t’en parler, c’est parce qu’elle s’adresse aux gens affectueux, de bonne foi comme toi. Et surtout à toi. A*Oran.

 

Kamel Daoud

 

SOURCE

 

LE QUOTIDIEN D'ORAN*

 

Oran

 

*

 

http://www.quotidien-oran.com/

 

Quotidien régional fondé en 1994 à Oran, devenu national en 1997, c’est désormais le premier quotidien francophone du pays. Sérieux, surtout lu par les cadres, il rassemble les meilleures signatures de journalistes et d’intellectuels d’Algérie dans [...]*Lire la suite

 

À LIRE AUSSI

 

Polémique.*Kamel Daoud et les “clichés orientalistes”ALGÉRIE.*“Je vote Bouteflika si…”ALGÉRIE.*"Bouteflika, le peuple vous lynchera un jour..."

 

*

 

 

SUR COURRIER INTERNATIONAL

 

Témoignage. “Je ne supportais plus d’entendre mon bourreau dire 'Allah Akbar’… Je haïssais ces mots !”

Edited by pmat
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un vulgaire qui a décidé de se débarrassé de ses comportement et devenir un garçon poli

 

Salam mon ami dent de sagesse

On devrait lui poser la question suivante

 

LA LAÏCITÉ NE RESPECTE LE TERME SUIVANT

Sans aucune distinction de Race de Sexe ou de Religion

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Algérie.*Islamophobie*: la cinglante réponse de Kamel DaoudPublié le*22/02/2016 - 17:04L’écrivain et journaliste algérien* Kamel Daoud à Marseille, le 27*Octobre 2014.

 

*

 

BERTRAND LANGLOIS/AFP PHOTO /

 

Accusé de relayer des idées“islamophobes”,*le journaliste et écrivain algérien Kamel Daoud, ulcéré,*“arrête le journalisme”pour se consacrer à la littérature.Dans cette correspondance et ultime chronique, Daoud répond à ses*détracteurs.

 

Cher ami. J’ai lu avec attention ta lettre, bien sûr. Elle m’a touché par sa générosité et sa lucidité. Etrangement, ton propos est venu conforter ce que j’ai déjà pris comme décision ces derniers jours, et avec les mêmes arguments. J’y ai surtout retenu l’expression de ton amitié tendre et complice malgré l’inquiétude.**

 

Kamel Daoud et les “clichés orientalistes”

 

 

Je voudrais cependant répondre encore. J’ai longtemps écrit avec le même esprit qui ne s’encombre pas des avis d’autrui quand ils sont dominants. Cela m’a donné une liberté de ton, un style peut-être mais aussi une liberté qui était insolence et irresponsabilité ou audace. Ou même naïveté. Certains aimaient cela, d’autres ne pouvaient l’accepter. J’ai taquiné les radicalités et j’ai essayé de défendre ma liberté face aux clichés dont j’avais horreur. J’ai essayé aussi de penser. Par l’article de presse ou la littérature. Pas seulement parce que je voulais réussir, mais aussi parce que j’avais la terreur de vivre une vie sans sens. Le journalisme en Algérie, durant les années dures, m’avait assuré de vivre la métaphore de l’écrit, le mythe de l’expérience. J’ai donc écrit souvent, trop, avec fureur, colère et amusement. J’ai dit ce que je pensais du sort de la femme dans mon pays, de la liberté, de la religion et d’autres grandes questions qui peuvent nous mener à la conscience ou à l’abdication et à l’intégrisme. Selon nos buts dans la*vie.

 

Sauf qu’aujourd’hui, avec le succès médiatique, j’ai fini par comprendre deux ou trois*choses.

 

Pétition*immorale

 

D’abord, que nous vivons désormais une époque de sommations. Si on n’est pas d’un côté, on est de l’autre*; le texte sur “Cologne”, j’en avais écrit une partie, celle sur la femme, il y a des années. A l’époque, cela n’a fait réagir personne ou si peu de monde. Aujourd’hui, l’époque a changé*: des crispations poussent à interpréter et l’interprétation pousse au procès. J’avais écrit*cet article*et celui du*New York Timesdébut janvier*; leur succession dans le temps est donc un accident et pas un acharnement de ma part. J’avais écrit, poussé par la honte et la colère contre les miens, et parce que je vis dans ce pays, sur cette terre. J’y ai dit ma pensée et mon analyse sur un aspect que l’on ne peut cacher sous prétexte de “charité culturelle”. Je suis écrivain et je n’écris pas des thèses d’universitaire. C’est une émotion aussi. Que des universitaires pétitionnent contre moi aujourd’hui, pour ce texte, je trouve cela immoral parce qu’ils ne vivent pas ma chair ni ma terre et que je trouve illégitime sinon scandaleux que certains me servent le verdict d’islamophobie à partir de la sécurité et des conforts des capitales de l’Occident et de ses terrasses. Le tout servi en forme de procès stalinien et avec le préjugé du spécialiste*: je sermonne un indigène parce que je parle mieux des intérêts des autres indigènes et postdécolonisés. Et au nom des deux mais avec mon nom. Et cela m’est intolérable comme posture. Je pense que cela reste immoral de m’offrir en pâture à la haine locale sous le verdict d’islamophobie qui sert aujourd’hui aussi*d’inquisition.

 

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Appel au meurtre de Kamel Daoud*: penser sera bientôt un crime

 

 

Je pense que c’est honteux de m’accuser de cela en restant bien loin de mon quotidien et de celui des miens.

L’islam est une belle religion selon l’homme qui la porte, mais j’aime que les religions soient un chemin vers un dieu et qu’y résonnent les pas d’un homme qui marche. Ces pétitionnaires embusqués ne mesurent pas la conséquence de leurs actes et du tribunal sur la vie*d’autrui.

 

Cher*ami,

 

J’ai compris aussi que l’époque est dure. Comme autrefois, l’écrivain venu du froid, aujourd’hui, l’écrivain venu du monde dit “arabe” est piégé, sommé, poussé dans le dos et repoussé. La surinterprétation le guette et les médias le harcèlent pour conforter qui une vision, qui un rejet et un déni. Le sort de la femme est lié à mon avenir, à l’avenir des miens. Le désir est malade dans nos terres et le corps est encerclé. Cela, on ne peut pas le nier et je dois le dire et le dénoncer. Mais je me retrouve soudainement responsable de ce qui va être lu selon les terres et les airs. Dénoncer la théocratie ambiante chez nous devient un argument d’islamophobe ailleurs. Est-ce ma faute*? En partie. Mais c’est aussi la faute de notre époque, son mal du siècle. C’est ce qui s’est passé pour la tribune sur “Cologne”. Je l’assume mais je me retrouve désolé pour ce à quoi elle peut servir comme déni et refus d’humanité de l’Autre. L’écrivain venu des terres d’Allah se retrouve aujourd’hui au centre de sollicitations médiatiques intolérables. Je n’y peux rien mais je peux m’en soustraire*: par la prudence comme je l’ai cru, mais aussi par le silence comme je le choisis*désormais.

 

Retrait du*journalisme

 

Je vais donc m’occuper de littérature et en cela tu as raison. J’arrête le journalisme sous peu. Je vais aller écouter des arbres ou des cœurs. Lire. Restaurer en moi la confiance et la quiétude. Explorer. Non pas abdiquer, mais aller plus loin que le jeu de vagues et des médias. Je me résous à creuser et non à*déclamer.

 

J’ai pour ma terre l’affection du “déchanté”. Un amour secret et fort. Une passion. J’aime les miens et les cieux que j’essaie de déchiffrer dans les livres et avec l’œil la nuit. Je rêve de puissance, de souveraineté pour les miens, de conscience et de partage. Cela me déçoit de ne pas vivre ce rêve. Cela me met en colère ou me pousse au châtiment amoureux. Je ne hais pas les miens, ni l’homme en l’autre. Je n’insulte pas les raisons d’autrui. Mais j’exerce mon droit d’être libre. Ce droit a été mal interprété, sollicité, malmené ou*jugé.

 

Aujourd’hui, je veux aussi la liberté de faire autre chose. Mille excuses si j’ai déçu, un moment, ton amitié, cher A…. Et si je rends publique cette lettre aujourd’hui, avant de t’en parler, c’est parce qu’elle s’adresse aux gens affectueux, de bonne foi comme toi. Et surtout à toi. A*Oran.

 

Kamel Daoud

 

SOURCE

 

LE QUOTIDIEN D'ORAN*

 

Oran

 

*

 

http://www.quotidien-oran.com/

 

Quotidien régional fondé en 1994 à Oran, devenu national en 1997, c’est désormais le premier quotidien francophone du pays. Sérieux, surtout lu par les cadres, il rassemble les meilleures signatures de journalistes et d’intellectuels d’Algérie dans [...]*Lire la suite

 

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Polémique.*Kamel Daoud et les “clichés orientalistes”ALGÉRIE.*“Je vote Bouteflika si…”ALGÉRIE.*"Bouteflika, le peuple vous lynchera un jour..."

 

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SUR COURRIER INTERNATIONAL

 

Témoignage. “Je ne supportais plus d’entendre mon bourreau dire 'Allah Akbar’… Je haïssais ces mots !”

 

Et comme d'habitude tu postes ce que tu ne lis pas....parce que si tu avais lu tu saurais qu'il n'y a rien de ce que tu dis ....

 

Sois un homme honnete intellectuellement iune fois dans ta vie et avance les preuves des inepties et mensonges que tu debites H24 sur K.D....

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Et ce sont ses pères qui le jugent

Et pas ceux qu'on croit

Ou laser croire la preuve

%%%%_______%%%%%%%%%

 

Kamel Daoud, en 2015. Photo Thomas Samson. AFP

 

 

 

Non à l’hallali contre Kamel Daoud

 

Édito

Et si on lui foutait la paix ? L’écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud s’est retrouvé ces derniers jours, par tribunes interposées, au cœur d’une incroyable polémique dans les milieux médiatico-littéraires de part et d’autre de la Méditerranée et même de l’Atlantique.

 

Une polémique qui a à ce point enflé que l’auteur de Meursault contre-enquête (prix Goncourt du premier roman) et chroniqueur au Quotidien d’Oran, écœuré, a brusquement annoncé qu’il arrêtait le journalisme pour se consacrer à la littérature.

 

Il faut lire la tribune par laquelle tout est arrivé, celle où il tente d’expliquer les agressions sexuelles de la Saint-Sylvestre à Cologne. Il y parle du rapport aux femmes et plus généralement au sexe dans le monde arabo-musulman où «la femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée

ou possédée». Avec des phrases provocatrices qui ont mis le feu.

Exemple : «Le sexe est la plus grande misère dans le "monde d’Allah". COMME SI AILLEUR PARIS (PIGALLE LES FOLIES BERGERES ) ILS ETAIENT DES SAINTS

A tel point qu’il a donné naissance à ce porno-islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs "fidèles".» Un collectif de chercheurs l’a aussitôt accusé d’islamophobie et de «paternalisme colonial», lui reprochant en gros d’avoir trahi sa culture et de faire le jeu des Occidentaux. Et un journaliste américain, Adam Shatz, qui le connaît bien pour avoir fait un portrait de lui dans le New York Times, lui a adressé une lettre ouverte titrée : «C’est difficile d’imaginer que tu pourrais vraiment croire ce que tu as écrit.»

 

L’hallali, donc. Ces accusations sont graves. Le respect de l’autre n’implique pas une interdiction de critiquer. On peut ne pas aimer Daoud (ce qui n’est pas notre cas), on peut à la rigueur juger qu’il généralise un peu facilement, mais on ne peut nier que son texte touche un point crucial, la place de la femme dans le monde arabo-musulman.

 

Cet homme a assez fait la preuve de son courage, en décidant de rester vivre en Algérie malgré les menaces dont il est l’objet, pour que l’on ne vienne pas lui reprocher d’avoir pris fait et cause pour l’Occident. Son cas rappelle celui d’un autre écrivain algérien, Boualem Sansal, très critique des islamistes, méprisé par beaucoup depuis qu’il a osé mettre les pieds en Israël. Lui aussi a le courage de rester vivre dans son pays. Ce sont ces voix dont on a besoin dans le monde d’aujourd’hui qui tend au communautarisme et au repli sur soi. Les propos de Daoud et Sansal sont d’autant plus importants qu’ils viennent de l’intérieur, ils savent tous deux de quoi ils parlent. Aux dernières nouvelles, Daoud, surmené par une année chargée en voyages et salons littéraires, aurait surtout besoin de calme. Il ne répondra plus aux sollicitations, il veut se concentrer sur son prochain roman. Le journalisme, il ne pourra sans doute pas s’empêcher d’y revenir, lui qui vient de recevoir le prix Jean-Luc Lagardère du journaliste de l’année. Prenons tous du recul, donc.

Edited by pmat
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eh moi je construis des marionette

avec de la ficelle et du papier

l'une d'entre elle qui debite

que le monde vit plus la qu'ici

 

se trompe

on vit dans les deux coins

sauf que l'homme est un insatisfait

oui il y a de l'abus de pouvoir

oui il y a des guerres

et aucune paix n'est possible sur terre

 

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

1. Dis : "Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes.

2. Le Souverain des hommes,

3. Dieu des hommes,

4. contre le mal du mauvais conseiller, furtif,

5. qui souffle le mal dans les poitrines des hommes,

6. qu'il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain".

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Kamel Daoud n'a eu que ce qu'il mérite.

 

Il n'a rien eu.

Voilà ce qu'on lui reproche d'avoir dit :

« Le sexe est la plus grande misère dans le “monde d’Allah”. A tel point qu’il a donné naissance à ce porno-islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs “fidèles” : descriptions d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux, fantasme des vierges pour les kamikazes, chasse aux corps dans les espaces publics, puritanisme des dictatures, voile et burqa. »

« Aujourd’hui, avec les derniers flux d’immigrés du Moyen-Orient et d’Afrique, le rapport pathologique que certains pays du monde arabe entretiennent avec la femme fait irruption en Europe. Ce qui avait été le spectacle dépaysant de terres lointaines prend les allures d’une confrontation culturelle sur le sol même de l’Occident. Une différence autrefois désamorcée par la distance et une impression de supériorité est devenue une menace immédiate. Le grand public en Occident découvre, dans la peur et l’agitation, que dans le monde musulman le sexe est malade. »

 

Montrez-moi ce qui est faux dans ce qu'il a dit

 

Le collectif qui signé contre lui c'est des inconnus et surtout des gens qui ne connaissent rien de la société arabo-musulmane

El ghira maddir

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hahah bien envoyé:roflmao:

ils pensent qu'il ete obligé de quitter le journalisme pour une simple pétition

c'est son choix c'est tout.

Oh la vulgarité partout ça marche

Pigalle et les folie bergère en plus du lido et crasy hors

C'est eux qui font marcher la france

Et l'Algérie c'est les Kamel qui font fumée

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oui.. puisqu'il est riche et célèbre...

 

Tu sais très bien de quoi je parle. Il a été refroidi par certains de ses amis. L'écrivain venant "des terres d'Allâh" n'a apparemment pas compris que, justement, ceux qui n'ont pas grandi dans les "terres d'Allah" (en fait ceux qui ont grandi dans un monde différent, quel qu'il soit) n'ont pas forcément la même approche que lui. Ou, pour "paraphraser" l'histoire, un pied-noir n'est pas un indigène...Chacun sa psychologie.

 

Donc un occidental aurait globalement une approche différente de l'islam et des sujets qui ont trait à l'islam qu'un musulman ou un ex-musulman. Kamel Daoud s'identifie, bon gré mal gré, en partie aux jeunes de Cologne (il font partie de son monde), Adam Shatz non.

Edited by An-Nisr
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Tu sais très bien de quoi je parle. Il a été refroidi par certains de ses amis. L'écrivain venant "des terres d'Allâh" n'a apparemment pas compris que, justement, ceux qui n'ont pas grandi dans les "terres d'Allah" (en fait ceux qui ont grandi dans un monde différent, quel qu'il soit) n'ont pas forcément la même approche que lui. Ou, pour "paraphraser" l'histoire, un pied-noir n'est pas un indigène...Chacun sa psychologie.

 

Donc un occidental aurai globalement une approche différente de l'islam et des sujets qui ont trait à l'islam qu'un musulman ou un ex-musulman. Kamel Daoud s'identifie, bon gré mal gré, en partie aux jeunes de Cologne (il font partie de son monde), Adam Shatz non.

 

tu as vu la liste des petitionnaires ...que des originaires des terres d'islam ...de l'algerie en particulier !!! des penses petit qui ne leve que pour pourfendre et designer a la victime un des leurs ...de vrais laches ......et j'ai preciais comme il se doit la reponse de kamel daoud !!!

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