Guest Prisme Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 Alors que la communauté LGBT algérienne s’apprête à célébrer le 9e TenTen, journée de solidarité nationale, les homosexuels maghrébins tentent de faire entendre leur voix. Portraits croisés. C’est le même rituel depuis neuf ans. Allumer une bougie le 10 octobre à 20 h, à l’occasion du TenTen, pour mettre en lumière la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transexuels) algérienne. Mais cette année, l’initiative lancée par l’association Alouen prend une tout autre dimension. En Tunisie, la société civile a jeté un pavé dans la mare en demandant l’abrogation de l’article 230 du Code pénal selon lequel "la sodomie et le lesbianisme" sont passibles de trois ans de prison. Un sursaut qui pourrait donner des idées à l'Algérie, où l’homosexualité est aussi un crime. Ce délit est en effet puni par les articles 333 et 338 du Code pénal : "Tout coupable d’un acte d’homosexualité est puni d’un emprisonnement de deux mois à deux ans et d’une amende de 500 à 2 000 DA [dinars algériens, de 4 à 16 euros]. Si l’un des auteurs est mineur de 18 ans, la peine à l’égard du majeur peut être élevée jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 10 000 DA d’amende [84 euros]." Malgré cette chape de plomb, la parole se libère en Algérie. De plus en plus d’homosexuels osent ainsi affronter le regard des autres mais surtout de leur famille en faisant leur coming out. Une petite révolution dans un pays pétri de traditions musulmanes et patriarcales. Portraits croisés. (Les prénoms ont été changés.) Amine, 37 ans : "Je ne suis ni triste, ni heureux" Amine a toujours su qu’il aimait les hommes. Pourtant, il a bel et bien failli se marier. Une manière de fuir ce qu’il était et d’être en paix avec la religion musulmane. "Je me suis dit que si je me mariais, je réglerais le problème, que j'aurais la vie de tout le monde", raconte-t-il. Amine porte son choix sur "la fille la plus masculine de la ville". Pendant un an, ils se voient tous les soirs pour préparer le mariage. "On restait souvent seuls dans la même chambre et il ne s’est jamais rien passé", se souvient-il en précisant qu’avec le temps, elle avait fini par "comprendre". Une situation d’autant plus paradoxale que sa fiancée était elle-même homosexuelle : "Le mariage l’arrangeait, elle aussi. C’était une couverture. Mais on n’en a jamais parlé ouvertement, c’était un sujet trop tabou." Et puis, il y eut le déclic. La jeune femme refuse de lui dire "je t’aime". Et elle affirme haut et fort qu’elle ne prononcera jamais ces mots. Une manière détournée de faire son coming out. "J’ai alors compris que je ne pouvais pas vivre avec elle. Je me suis dit qu’elle avait raison, que moi aussi j’étais gay." La rupture est consommée. Les amoureux de papier ne se reparleront plus jamais. L’option du mariage est définitivement exclue. Et petit à petit, Amine commence à accepter sa sexualité. Le jeune homme n’a jamais de relation avec un homme, hormis quelques "flirts à 18-20 ans, mais rien de sérieux". Ce n’est qu’à l’âge de 30 ans qu’il a osé dire l’indicible. "J’ai fait mon coming out auprès de ma mère avant même d’assumer complètement ma sexualité. Dans mon inconscient, si ma mère m’acceptait, je pouvais m’accepter moi-même", murmure-t-il. La révélation est brutale. Excédé par les complaintes de sa mère sur les difficultés de la vie, le jeune homme explose. Crûment. "Je lui ai dit : 'je suis homosexuel, je suis pédé, je suis une tarlouze…'" Sa mère écarquille les yeux. La sexagénaire est sous le choc même si elle confesse avoir "toujours su". Pour répondre à ses interrogations, il décide de coucher les mots sur le papier. "Elle a lu ma lettre et m’a dit : 'Ça ne change rien, tu restes toujours mon fils.'" Pourtant, tout change. "On ne s’entendait pas du tout avant, maintenant c’est exactement l’inverse. Tout petit, je pensais que je n’avais pas de mère. On ne s’entendait pas, on ne s’aimait pas", regrette Amine. Le jeune homme réalise alors qu’il ne s’agissait que de pudeur. Dans les société arabo-musulmanes, on ne montre pas facilement ses sentiments. Seul son père, qui a quitté le domicile familial 15 ans auparavant, ignore toujours qu’il est homosexuel. "Il me parle tellement de mariage que la dernière fois, j’ai failli lui demander s’il voulait que je lui fasse un dessin. Mais je me suis retenu car j’avais peur qu’il ait une crise cardiaque", insiste Amine en ajoutant que "tout ce qui compte, c’est l’avis de ma mère". Aujourd’hui, Amine est célibataire. "Je me fais souvent draguer mais je n’ai pas du tout envie de rencontrer quelqu’un. Ça ne sert à rien. Je suis quelqu’un de cérébral. Le monde des gays est un monde à part. Pour moi, ça ne se résume qu’au sexe. J'ai l’impression que je ne trouverai jamais la bonne personne. Tant que j’aurai l’impression de ne pas être à ma place, je ne pourrai pas." Quant à sa vie sociale, elle se réduit comme peau de chagrin. "C’est un peu par choix mais pas totalement. Je me sens incompris. Je me suis longtemps senti seul. Quand j’étais petit, j’avais des tas de clichés sur les homosexuels, comme leur tendance à être efféminés. J’ai construit ma vie autour de ça. J’ai arrêté les études parce que je croyais qu’il n’y avait que les gays qui faisaient des études", regrette-t-il, la tristesse dans la voix. Amine semble presque étranger à sa vie. Un spectateur esseulé, quasi misanthrope. "Je ne suis ni triste, ni heureux. Je vis au jour le jour. Je ne cherche pas à avoir de relation avec quiconque", assume le trentenaire. Ses amis sont loin, à Alger, à 500 km de là. Il ne les voit qu’une fois par an. Mais Amine ne s’en plaint pas. Gérant d’une sandwicherie, alors qu’il est en contact permanent avec la clientèle, il ne parle pourtant "presque avec personne". "Je fais mon travail comme un robot. J’ai une arrière-boutique où je passe la plupart de mon temps à fumer des joints", lance-t-il sur un ton monocorde. Ce qu’il attend de la vie ? Pas grand-chose, confie Amine. Premier à avoir quitté le domicile familial, il a été contraint d’y retourner il y a deux mois. Non pas par manque d’argent mais par "obligation". Ses frères et sœurs ont quitté le nid pour se marier, laissant sa mère seule. Impensable. Dans les sociétés arabo-musulmanes, les enfants n’abandonnent par leurs parents. Même grabataires. Un sacrifice qu’Amine est prêt à assumer, quitte à mettre sa propre vie de côté. "Tant que ma mère est vivante, je suis obligé de rester avec elle. Si jamais je ne meurs pas avant elle, le jour où elle partira, je partirai d’ici. J’irai n’importe où. J’ai envie de ne connaître plus personne. Ça peut paraître triste mais mon rêve, c’est de vivre à la Robinson Crusoé. Seul avec la nature." (...) Citer Link to post Share on other sites
Guest Prisme Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 (suite) Smaïn, 34 ans : "Ma mère a toujours l'espoir que je me marie" Son coming out, Smaïn l'a fait lorsqu'il avait 31 ans. "J’étais un peu acculé. Chaque année, depuis mes 20 ans, il y avait toujours un moment où quelque chose tombait entre les mains de la famille, même si je faisais attention. J’avais fait un travail sur moi-même, du coup, lors de l'énième incident, j’ai décidé d’arrêter d’essayer de me camoufler avec des bobards plus gros les uns que les autres", se souvient l'Algérois. Dans le quartier de ses parents, les voisins parlent. À chaque fois, par une pirouette parfois des plus acrobatiques, Smaïn parvient à faire croire au malentendu. Et puis un jour, la mère de Smaïn tombe son journal intime. "J’étais en couple et j’échangeais beaucoup de lettres avec mon homme. Elle s’est mise à crier et à me dire que même si ça n’était que des histoires, ce n’était pas des choses à écrire." Le jeune homme décide alors de ne plus se défausser et prononce l'imprononçable. Des cris, des pleurs mais aussi beaucoup de violence verbale. "Je l’ai vécu très mal parce que pendant très longtemps, j’ai pensé que tout le monde le savait mais faisait semblant. Ce jour-là, les masques sont tombés. Ma mère a vraiment exprimé sa rage. J’ai eu droit à 'Va t’enfermer dans un appartement avec un autre homme, vous mourrez du sida de toute façon'", raconte Smaïn. Contre toute attente, son père, lui, se montre bien plus modéré. "J’ai toujours eu le sentiment que mon père allait mal réagir et que ma mère me protègerait parce que l’amour d’une mère est inconditionnel. Finalement, c’était l’inverse. Il avait accepté la chose. Elle faisait tout pour se mentir à elle-même", regrette-t-il en insistant sur "les signes qui n'étaient pas trompeurs" dans son "comportement". Smaïn raconte alors une anecdote qui peut prêter à sourire : "Une fois, j’ai un voisin qui est tombé sur une photo de moi sur un site de rencontres avec une annonce on ne peut plus explicite. Ça a fait le tour du quartier. Quand ma mère m’a demandé des explications, je lui ai dit que je devais de l’argent à quelqu’un qui s’était vengé de moi en créant un faux profil. Une histoire a dormir debout. Elle y a cru parce qu’elle préférait que je mente." Chassé du domicile familial, il s’installe chez un ami puis trouve rapidement une location. Un "mal pour un bien" insiste le jeune homme. L'occasion pour lui de prendre du recul et de revoir ses relations avec la famille. "L’étape suivante, à savoir reconstruire ce qui avait été brisé, a été plus compliqué. Il y a eu un accord tacite : on le sait mais on n’en parle plus." Si dans la fratrie, l'homosexualité de Smaïn a été acceptée de manière inégale, le regard de la société reste parfois le grain de sable qui vient enrayer la machine. Devant les "potes du quartier", son jeune frère, pourtant "bienveillant à son égard", n'affiche pas sa tolérance. "Il ira dans leur sens en disant : 'Il faut les brûler, c’est des pédés !'" Les relations sont plus compliquées avec sa jeune sœur. Une sorte de guerre froide. "Quand ma mère a commencé à montrer des signes d’acceptation, elle était toujours là pour relancer la chose. Je ne venais plus à la maison à cause d’elle. Je n’avais plus mon mot à dire. Elle estimait que je ne partageais pas leurs valeurs." Aujourd'hui, Smaïn vit seul. Une distance avec ses parents qui permet une "relation sereine". Parfois, le naturel revient cependant au galop. "Si je viens passer mes congés chez eux, très vite, ma mère remet des sujets sur le tapis comme le mariage. Elle a toujours de l’espoir. Elle tente toujours", s'amuse-t-il. Sa vie amoureuse, elle, semble avoir été mise entre parenthèses. "J’étais en couple lorsque j’ai fait mon coming out. Nous avions des visions totalement différentes sur cette question, notre couple s’est fissuré. Pour lui, il était inadmissible de dire à ma mère que j’étais gay. Il voulait que je revienne dessus, que je lui dise que j’étais sous influence. Ça a pourri notre relation. Elle a fini par exploser quand il a commencé à me dire qu’il allait se marier, qu’il ne pouvait pas faire ça à ses parents. Je ne voyais pas l’intérêt de continuer", regrette le trentenaire. Trois ans se sont écoulés depuis. Seul. "J’ai un peu perdu la foi. J'ai des petites histoires mais je ne suis pas disposé à revivre une relation à moins que l’autre partage mes positions en assumant son homosexualité. J’aimerais rencontrer quelqu’un qui me dise que se marier avec une femme est inenvisageable." Entier. Pour Smaïn, impossible de faire semblant d'être hétéro pour se fondre dans le paysage. L'accepter tel qu'il est est "une chose inconditionnelle". Et ce, même si la société algérienne n'est pas encore prête à accepter la différence. Il évoque un monde tiraillé entre deux visions différentes : la jeunesse branchée sur Internet, ouverte sur la culture occidentale ; et les adultes pétris de valeurs de patriarcales, de traditionalisme mais aussi d'un islam hypocrite. "Ils parlent des valeurs à défendre alors qu’ils font les 400 coups. Je ne dis pas que je n’ai pas d’espoir mais je ne dirais pas non plus qu’on va vers une amélioration de la situation. Si je compare avec la Tunisie, on est en décalage total. Il y a des homos qui se sont sentis assez en sécurité pour créer une association. En Algérie, c’est inenvisageable. Si demain je poste une vidéo sur YouTube pour dire que je suis homo, je me ferai tabasser en sortant de chez moi." Ines, 34 ans : "Je préfère rester seule que mal accompagnée" Ines a su très tôt qu'elle était lesbienne. Elle avait 14 ans. "Garçon manqué", comme elle se plaît à se décrire elle-même, elle tombe alors amoureuse de sa professeure de français. Imprégnée d'une culture très francophone, l'adolescente savait que "ça existait, qu’il y avait des communautés partout dans le monde". Elle s'est donc acceptée "naturellement". "Ma première histoire, c’était à 15 ans. J’étais en vacances à Oran. J’ai flashé sur une fille lors d'une soirée et c’était réciproque", se souvient la jeune femme. Quant à son coming out, il n'a jamais vraiment eu lieu. Inutile. "Je n’ai pas eu besoin de le dire. Ça se voyait, c'était flagrant. Mon père me disait 'viens voir ta femme à la télé' quand mon idole passait", s'amuse-t-elle. Une fois de plus, le soutien est venu de la figure paternelle. "Ma mère savait mais elle ne voulait pas l’admettre. On n'en a jamais parlé directement, ouvertement, bien que j’aie essayé à maintes reprises. Ils évitent le sujet", raconte Ines. Les trois frères de l'Algéroise, eux, "ne cherchent pas midi à quatorze heures". Reste l'entourage plus ou moins proche. La jeune femme, qui vit seule, ne botte pas en touche lorsqu'on lui pose la question. "Je n’ai pas à avoir honte de ce que je suis. On choisit ses amis et je les ai bien choisis. Ils ne me jugent pas, ils m’acceptent telle que je suis. Il y a certes le harcèlement de la société mais on essaie de gérer ça pacifiquement", lâche-t-elle. Sa vie amoureuse, Ines semble aussi l'avoir mise entre parenthèses. Là encore, la pression sociale, les faux semblants ont eu raison d'elle. "Ce n’est pas évident en Algérie. Les femmes sont toutes des psychopathes. Elles n’acceptent pas ce qu’elles sont. Pour faire plaisir à la famille et à la société, elles sont prêtes à se marier. Je préfère rester seule que mal accompagnée ! C’est dur mais on fait avec. On n’a pas le choix", admet-elle. La solution ? Partir. Un jour, peut-être. Car le quotidien n'est pas toujours évident. "On peut sortir, s’amuser mais en faisant toujours attention. Il faut surveiller tout le monde. On est dans un pays musulman. On peut être agressé. Il faut faire attention aux quartiers où l’on va. On ne peut pas vivre en totale liberté", regrette Ines. Pourtant, la jeune femme garde espoir. "Avec la nouvelle génération et Internet, il y a plus de tolérance. Avant, on était vraiment pointé du doigt. C’est moins le cas aujourd’hui. Ça commence à changer et j’espère que ça va continuer." Citer Link to post Share on other sites
Guest Prisme Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 j'aime bien les articles "témoignage" sur le site du monde, il y avait un dossier intéressant sur les clandestins en algérie, et là j'en vois un concernant le machisme au maroc... http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/02/19/macho-mouchkil-ou-la-lutte-contre-le-sexisme-ordinaire-au-maroc_4868550_3212.html Citer Link to post Share on other sites
peggy 236 Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 Si les hétéros ne sont pas bien dans leurs peau en Algérie, la question n'est même pas à poser pour les gays ! Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 il faut du courage, c'est pas facile de faire ce qu'ils ont fait. Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 c'est sans doute la pire epreuve a vivre pour un homme en algerie -j'ose meme pas y penser aux difficultés -et il va s'ecouler encore 2 siecles pour changer les mentalités- pourtant faudra les changer pour que la societe s'adapte aux realités de ses composantes...Si j'osais une comparaison c'est comme vivre comme un arabe alors qu'on est amazigh, ça ne mene nulle part ! Citer Link to post Share on other sites
Guest Prisme Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 c'est sans doute la pire epreuve a vivre pour un homme en algerie -j'ose meme pas y penser aux difficultés -et il va s'ecouler encore 2 siecles pour changer les mentalités- pourtant faudra les changer pour que la societe s'adapte aux realités de ses composantes...Si j'osais une comparaison c'est comme vivre comme un arabe alors qu'on est amazigh, ça ne mene nulle part ! tu es étonnamment ouvert d'esprit sur cette question:eek: Citer Link to post Share on other sites
peggy 236 Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 tu es étonnamment ouvert d'esprit sur cette question:eek: :mdr::o:D Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted February 20, 2016 Partager Posted February 20, 2016 tu es étonnamment ouvert d'esprit sur cette question:eek: si y a des hommes qui aiment cuisiner pourquoi les empecher :D Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Avoir des homos dans la oumma de Mouhammed :saws: fait partie des signes de la fin des temps. Entre 1 signe et un autre s'écoule 40 années. La société algérienne ne les acceptera pas, du moins je l'espère. Je ne crois pas ces articles c'est juste pour pousser les Algériens et le faire, un algérien dire ça à sa famille ? Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 c'est sans doute la pire epreuve a vivre pour un homme en algerie -j'ose meme pas y penser aux difficultés -et il va s'ecouler encore 2 siecles pour changer les mentalités- pourtant faudra les changer pour que la societe s'adapte aux realités de ses composantes...Si j'osais une comparaison c'est comme vivre comme un arabe alors qu'on est amazigh, ça ne mene nulle part ! N'importe quoi.. Et quelle belle comparaison. Citer Link to post Share on other sites
Chréa 10 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 N'importe quoi.. Et quelle belle comparaison. Pourquoi dis tu ça, je trouve que c'est une bonne comparaison! Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Pourquoi dis tu ça, je trouve que c'est une bonne comparaison! Le plus inquiétant est que vivre homo, il l'accepte, par contre vivre Arabe il est FN ! Si j'osais à mon tour je comprendrai que mieux vaut être homo qu'Arabe. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Avoir des homos dans la oumma de Mouhammed :saws: fait partie des signes de la fin des temps. Entre 1 signe et un autre s'écoule 40 années. La société algérienne ne les acceptera pas, du moins je l'espère. Je ne crois pas ces articles c'est juste pour pousser les Algériens et le faire, un algérien dire ça à sa famille ? Sachant que les Homosexuels...existent dans la Ouma de Mohamed depuis bien plus que des siecles...on se demande si les 40 ans sont pas une autre idiotie.... Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Sachant que les Homosexuels...existent dans la Ouma de Mohamed depuis bien plus que des siecles...on se demande si les 40 ans sont pas une autre idiotie.... Ce sont un des signes et entre un signe et un autre arba'ina sana, sahel mahel. Les homos chez les musulmans existent depuis quand, puisque vous semblez le savoir.. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Ce sont un des signes et entre un signe et un autre arba'ina sana, sahel mahel. Les homos chez les musulmans existent depuis quand, puisque vous semblez le savoir.. Depuis que le monde est monde avant meme les musulmans....durant...l'extension musulmanne, et durant son expansion....donc...ton charabya de 40 ans...faut trouver mieux:p Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Le plus triste Debdouba...ce que ca soit nous qui t'enseignons ta religion...et ta langue....:confused: ca démontre le degré de ton irgnorance des deux choses Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Depuis que le monde est monde avant meme les musulmans....durant...l'extension musulmanne, et durant son expansion....donc...ton charabya de 40 ans...faut trouver mieux:p Faux encore, le Coran précise que les premiers à avoir commis l'homos. sont le peuple de Lot et cela fait partie des fahisha (turpitudes) , donc le monde est monde khorti ! L'Islam interdit l'homos. et la place parmi les perversions, il ne s'agit ni d'une maladie, ni d'un gène mais de mauvais penchant hors nature. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Faux encore, le Coran précise que les premiers à avoir commis l'homos. sont le peuple de Lot et cela fait partie des fahisha (turpitudes) , donc le monde est monde khorti ! L'Islam interdit l'homos. et la place parmi les perversions, il ne s'agit ni d'une maladie, ni d'un gène mais de mauvais penchant hors nature. :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 'lech rak tedhak ? Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 'lech rak tedhak ? Lá est toute la preuve de ton ignorance de l'Islam, et de l'arabe...tu as eu un enseignement presque Pakistanais de l'Islam á Paris et Londres ce qui epolique que tu n'aie aucune idée de la litterature arabe, et théologie musulmanne:p Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Lá est toute la preuve de ton ignorance de l'Islam, et de l'arabe...tu as eu un enseignement presque Pakistanais de l'Islam á Paris et Londres ce qui epolique que tu n'aie aucune idée de la litterature arabe, et théologie musulmanne:p Je connais cette stratégie, vous devez être un joueur d'échec n'est-ce pas haha. En Pakistanais je sais dire "sister sister put your nikab on" (on bougeant la tête de gauche à droite) :D Citer Link to post Share on other sites
Wertilani 10 Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Le plus inquiétant est que vivre homo, il l'accepte, par contre vivre Arabe il est FN ! Si j'osais à mon tour je comprendrai que mieux vaut être homo qu'Arabe. _ j'ai jamais ete FN avec les arabes et puis oublies pas on a un drapeau -le FN c'est de l'autre coté...je suis pas arabe ne signifie pas que je suis raciste ,je corrige juste la falsification de mon histoire _mais sinon je te respecte comme tu es -tu pourrais venir de Mars ou de pluton...vivre arabe c'est pas possible pour moi comme pour toi de vivre amazigh - comme pour un homo de vivre en hetero ou un hetero de se transformer en homo - c'est la nature qui veut ça!...tu crois serieusement que c'est un vice et qu'un jeune de 16 ANS dont les sens se reveillent veut dire a sa mere " yema je veux un homme " ou d'aller affronter le regard de son pere et d'avouer l'inavouable dans notre societe - juste pour le plaisir de creer la zizanie et faire s'effondrer sur lui le monde...on peut cacher bien sur ,accepter de vivre sous une autre peau _trahir la personne avec qui on s'installe -pas tres musulman ça de trahir les autres si?-on peut se mutiler psychologiquement pour vivre la vie d'un autre pour faire plaisir a la societe mais au final on est dans le mensonge et la negation de soi -une sorte d'ostentation permanente - c'est pas bien ça l'ostentation en islam !...et puis de toute façon puisque le jeune lui meme se decouvre ainsi ,s'en etonne ,ne comprend pas - c'est bien qu'il y a un fautif dans l'histoire puisque c'est une faute selon nous - qui est le fautif selon toi ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Luciana Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 Avoir des homos dans la oumma de Mouhammed :saws: fait partie des signes de la fin des temps. Entre 1 signe et un autre s'écoule 40 années. La société algérienne ne les acceptera pas, du moins je l'espère. Je ne crois pas ces articles c'est juste pour pousser les Algériens et le faire, un algérien dire ça à sa famille ? Tu devrais! Ils sont très nombreux et nombreuses ... Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted February 21, 2016 Partager Posted February 21, 2016 _ j'ai jamais ete FN avec les arabes et puis oublies pas on a un drapeau -le FN c'est de l'autre coté...je suis pas arabe ne signifie pas que je suis raciste ,je corrige juste la falsification de mon histoire _mais sinon je te respecte comme tu es -tu pourrais venir de Mars ou de pluton...vivre arabe c'est pas possible pour moi comme pour toi de vivre amazigh - comme pour un homo de vivre en hetero ou un hetero de se transformer en homo - c'est la nature qui veut ça!...tu crois serieusement que c'est un vice et qu'un jeune de 16 ANS dont les sens se reveillent veut dire a sa mere " yema je veux un homme " ou d'aller affronter le regard de son pere et d'avouer l'inavouable dans notre societe - juste pour le plaisir de creer la zizanie et faire s'effondrer sur lui le monde...on peut cacher bien sur ,accepter de vivre sous une autre peau _trahir la personne avec qui on s'installe -pas tres musulman ça de trahir les autres si?-on peut se mutiler psychologiquement pour vivre la vie d'un autre pour faire plaisir a la societe mais au final on est dans le mensonge et la negation de soi -une sorte d'ostentation permanente - c'est pas bien ça l'ostentation en islam !...et puis de toute façon puisque le jeune lui meme se decouvre ainsi ,s'en etonne ,ne comprend pas - c'est bien qu'il y a un fautif dans l'histoire puisque c'est une faute selon nous - qui est le fautif selon toi ? Il est long ton commentaire et tu résumes trop de chose. Tu ne peux pas comparer le fait d'être Berbère ou Arabe à l'homos. Il n'y a aucun mal à être Amazigh comme tu dis ou Arabe, être homos. c'est autre chose et c'est un grand mal, une terre stérile et sans intérêt sauf le malsain. Dans l'éducation des enfants il y a des erreurs commissent, est-ce que tu crois que la théorie du genre enseignée à maternelle est innocente ? Et ou se font les tests ? Dans le 93 à Clichy sous bois plein de noirs et d'Arabes. L'homosexualité est une épreuve parmi tant d'autres et se combattre est difficile, surtout lorsque la société prône le libertinage, la science ment, et aide à se laisser aller. être homo n'est pas psychologique mais je pense que cela fait partie de annefs et ses mauvais penchants. C'est clair qu'il y a quelques choses qui ne va pas, Rabbi yestorna. L'âme et ses dérives et ne croit pas que cela sera sans conséquence pour nous tous. Pourquoi es-tu si compatissant ? J'espère que tu ne t'appelles pas Ziggy ? (pardon Wertilini je le dire ainsi et je suis gênée de l'écrire). Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.