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le christ saisit la divinité de dieu aprés avoir été confier de l'attribué a lui


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La divinité de Jésus-Christ – 19 – Jésus est-il adoré ?

 

 

 

Voici la dix-neuvième partie de l’étude sur la divinité de Jésus-Christ. Retrouvez ici le sommaire de la série…

 

Les Témoins de Jéhovah disent qu’il ne faut pas adorer Jésus, et pour appuyer leur position ils disent que Jésus n’est jamais adoré dans la Bible. Ont-ils raison ?

 

Non. On peut mettre en avant deux choses importantes ici.

 

La première est que leur « traduction » est, une fois de plus, modifiée pour aller dans le sens de leur doctrine. Au lieu de se laisser instruire par la Parole de Dieu, ils changent le texte afin de maintenir les croyances qui les arrangent.

 

En effet, le mot grec qui signifie « adorer » s’applique à Jésus 14 fois dans le Nouveau Testament d’une façon directe. Quand ce même mot est utilisé au sujet de Dieu dans le Nouveau Testament (25 fois) ou, quand il est utilisé au sujet de Satan ou d’une puissance démoniaque (14 fois), la « Traduction du monde nouveau » le rend systématiquement par « adorer ». Mais chaque fois qu’il est utilisé pour Jésus, il est traduit : « rendre hommage ».

 

Même quand il s’agit de se prosterner devant un ange, dans l’Apocalypse, la « Traduction du monde nouveau » utilise le mot « adorer ». Cela se produit deux fois, dans Apocalypse 19:10 et 22:8. Chaque fois, l’ange a repris Jean en lui disant qu’il n’était pas du tout approprié. Mais quand ce même terme est utilisé pour décrire ce que les hommes ont fait tant de fois devant Jésus, il ne les a jamais repris. Ce n’était pas approprié de se prosterner devant l’apôtre Pierre (Actes 10:25), ni devant un ange, mais c’était approprié devant Jésus.

 

Évidemment, il est facile de changer le texte chaque fois qu’il est dit que Jésus est adoré, pour dire ensuite que Jésus n’est jamais adoré dans le texte. Mais si on lisait le Nouveau Testament en grec, sans s’occuper des traductions, la question ne se poserait même pas. Jésus est adoré à plusieurs reprises.

 

Une deuxième remarque s’impose aussi. C’est que Jésus est adoré, même dans la traduction des Témoins de Jéhovah. Je possède la Bible des Témoins de Jéhovah en anglais et en français. La version anglaise a été produite en premier, et les versions dans d’autres langues ont été faites à partir de l’anglais. Or, dans Hébreux 1:6, la version anglaise de la Bible des Témoins de Jéhovah dit effectivement que tous les anges de Dieu doivent adorer le Fils. Il semblerait que le sujet de l’adoration ait échappé aux « traducteurs » de ce passage, dans un premier temps. Ils n’ont pu « corriger » le texte que par la suite, quand ils se sont rendu compte qu’ils avaient laissé un texte disant qu’il fallait adorer Jésus.

 

Même dans la Bible des Témoins de Jéhovah en français, il y a un passage où Jésus est adoré. Il se trouve dans Apocalypse 5. L’ensemble du passage est très intéressant, car on constate que la louange adressée à Christ dans le chapitre 5 (versets 9, 10, 12 et 13) est extrêmement similaire à la louange adressée à Dieu sur son trône dans le chapitre 4 (versets 8 et 11). Toutefois, le fait que Christ soit loué comme Dieu ne convaincrait pas quelqu’un qui ne veut pas croire ; ce n’est donc pas ce qui retiendra le plus notre attention ici.

 

Dans le verset 13, le texte est très explicite : la louange est adressée « à celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau. » Il s’agit donc autant de Dieu le Père que de Jésus-Christ. L’attention de toutes les créatures du monde est fixée ici autant sur l’un que sur l’autre.

 

Dans le verset 14, les quatre êtres vivants expriment leur approbation et leur accord avec cette louange, et le verset se termine avec les mots : « Et les anciens se prosternèrent et adorèrent. »

 

Dans le chapitre 4, les anciens ont adoré Dieu quand la louange lui était adressée. Ici, ils n’hésitent pas à adorer tout autant quand la louange concerne Dieu et Jésus-Christ. Autrement dit, Christ est non seulement loué dans les même termes que Dieu le Père, mais il est adoré dans le ciel de la même façon.

 

Cela n’a rien d’étonnant, évidemment, pour la quasi-totalité des chrétiens. Puisque nous voyons à tant de reprises dans les évangiles et dans l’épître aux Hébreux que Jésus est adoré, nous ne sommes pas du tout surpris de ce qu’il le soit aussi dans le livre qui montre sa gloire plus que dans tout autre : l’Apocalypse.

 

Ce qui est étonnant, c’est que les « traducteurs » des Témoins de Jéhovah ont oublié de changer le texte. Ou peut-être ne le pouvaient-ils pas bien, parce que c’est Dieu qui est adoré en même temps. Toujours en est-il que la « Traduction du monde nouveau » porte : « Et les anciens se sont prosternés et ont adoré » dans un passage qui parle explicitement de Dieu sur son trône et de Jésus-Christ.

 

Jésus-Christ est adoré a maintes reprises dans le Nouveau Testament. Les Témoins de Jéhovah ont essayé d’éliminer cela en changeant tous les passages où il est question d’adorer Jésus, mais ils en ont laissé deux. Un a été changé plus tard, dans la version française au moins (je n’ai pas une Bible récente des Témoins de Jéhovah en langue anglaise pour voir si la modification a été apportée ultérieurement en anglais), mais l’autre reste. Comme quoi, quand on essaye de transformer la Parole de Dieu, la vérité y apparaît toujours, pour celui qui veut la voir.

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Voici la deuxième partie de l’étude sur la divinité de Jésus-Christ. Retrouvez ici le sommaire de la série…

 

Certains — et notamment les Témoins de Jéhovah — prétendent que la doctrine de la divinité de Jésus-Christ a été décidée par l’Église Catholique, suite à l’influence du paganisme dans l’Église après la conversion de l’empereur romain Constantin. Ils disent que cette doctrine a été formulée au conseil de Nicée, en l’an 325.

 

Il est vrai que l’Église a affirmé au conseil de Nicée que Jésus-Christ est de nature divine, de même nature que le Père, et qu’il a existé de toute éternité. Toutefois, prétendre que cela a été décidé lors de ce conseil est du révisionnisme historique pur et simple. Nous vivons une époque où beaucoup de gens, pour des raisons très variées, essaient de réviser l’histoire pour donner un appui à leurs idées. Ceux qui disent que la divinité de Christ n’a pas été affirmée avant le conseil de Nicée sont en train de faire exactement la même chose.

 

La réalité est tout autre, comme l’atteste très clairement les écrits de l’époque. Avant les controverses soulevées par Arius, la quasi-totalité de l’Église affirmait que Jésus-Christ est Dieu manifesté en chair, de la même nature que le Père. Il est le Créateur, et non une création. Quand cette doctrine a été mise en doute par Arius et autres, c’était justement l’influence récente du paganisme dans l’église qui a permis que ces idées se répandent assez largement. La notion d’un « dieu » inférieur, créé par le Dieu souverain, convenait bien à ceux qui avaient un arrière-plan dans le polythéisme.

 

Devant un conflit qui prenait une ampleur énorme, un conseil a été convoqué pour résoudre la question. Pourtant, la seule « décision » des évêques a été le choix d’affirmer et de préciser officiellement ce qu’avait toujours été la doctrine des croyants.

 

La même chose se fait encore aujourd’hui d’ailleurs. Face aux enseignements contraires, il y en a qui sont appelés à se pencher sur la question, pour voir si après tout ce que l’Église a toujours enseigné est effectivement vrai. Et la quasi-totalité de ceux qui se penchent sur la question trouvent la même réponse dans les Écritures que celle que les croyants ont toujours trouvé : la Bible affirme clairement la divinité de Christ. Ils « décident » donc que la doctrine est juste.

 

De là à dire que la doctrine vient de paraître serait absurde, évidemment. Il est tout aussi absurde de prétendre que la doctrine a été inventée au conseil de Nicée. S’il y en qui le font en ce qui concerne l’antiquité tout en sachant qu’ils ne peuvent pas le faire en ce qui concerne les affirmations modernes, c’est uniquement parce qu’ils profitent du peu de connaissance de l’histoire de l’Église qu’ont certains chrétiens. Ils appuient cette idée par des ouvrages « historiques » qui présentent leur version révisée des faits, mais cela ne change en rien la situation. Le fait même que l’enseignement d’Arius ait provoqué un tel scandale montre clairement que sa doctrine n’était pas du tout la position « orthodoxe » de l’époque.

 

Si quelqu’un doute de l’antiquité de la doctrine de la divinité de Jésus-Christ, il peut se référer aux écrits d’Ignace, responsable de l’église d’Antioche, et mort pour la foi vers l’an 107. Dans ses épîtres, collectionnées par l’Église sans être considérées comme faisant partie des oeuvres inspirées, il utilise souvent des termes comme « Jésus-Christ notre Dieu ». Le fait qu’aucune église ou responsable de la foi ne l’ait repris pour cette façon de s’exprimer montre clairement qu’à la fin du premier siècle déjà, la divinité de Christ était universellement admise par les chrétiens.

 

Il est clair que le simple fait que la divinité de Christ ait toujours été l’enseignement de l’Église ne prouve en rien que cette doctrine est juste. Toutefois, nous pouvons nous rassurer sur l’antiquité de cette doctrine. Il ne s’agit nullement d’une invention survenue plusieurs siècles après le temps de Christ sur terre. Depuis les apôtres jusqu’à nos jours, et même pendant la grande controverse lancée par Arius et d’autres, l’Église a toujours affirmé la même doctrine en ce qui concerne la personne de Christ : il est Dieu manifesté en chair.

 

Le témoignage des Écritures – les textes clés :

 

On pourrait multiplier les textes bibliques qui montrent clairement la divinité de Christ. Contrairement à ce que disent les Témoins de Jéhovah, il ne s’agit pas d’un seul texte qui l’affirme. Nous passerons en revue ici les textes principaux qui indiquent que Jésus est Dieu, en se rappelant au passage qu’un seul texte qui l’enseigne clairement serait suffisant pour soutenir la doctrine. Ceux qui veulent prétendre que la Bible n’enseigne jamais la divinité de Christ doivent répondre à tous ces textes ; donner des explications contraires pour un ou deux ne suffirait pas.

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Voici la troisième partie de l’étude sur la divinité de Jésus-Christ. Retrouvez ici le sommaire de la série…

 

Commençons avec le plus connu : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » C’est avec ces mots que Jean commence son évangile, pour répondre à ceux qui niaient justement l’incarnation. Il affirme l’existence de Jésus de toute éternité et sa nature divine, pour dire quelques versets plus loin (voir Jean 1:14) que cette « Parole » est devenue chaire, qu’elle a habité parmi nous et qu’elle a été vue clairement par de nombreux témoins.

 

Notons d’abord qu’il est dit : « Au commencement était… » En grec il y a un verbe qui correspond assez bien au verbe français « être », ainsi qu’un autre verbe qui signifie : « venir à l’existence ». Ce deuxième verbe aussi est traduit souvent par « être », mais distingue clairement entre ce qui existe déjà et ce qui vient de paraître.

 

Or, Jean écrit ici qu’au tout début Christ existait. Il n’a pas utilisé le verbe signifiant « venir à l’existence » ; il n’a même pas écrit : « Au commencement fut la Parole ». Par l’usage de l’imparfait, il indique une chose qui se faisait et non une chose qui venait de commencer. Il affirme clairement, par conséquent, que Christ existait déjà au moment où le temps tel que nous le connaissons a commencé.

 

La grande controverse sur ce verset, pourtant, se situe dans la dernière partie. Les Témoins de Jéhovah, dans leur « traduction », l’ont rendu : « …et la Parole était dieu ». Dans la version anglaise, ils ont même traduit : « la Parole était un dieu ». Ils justifient cette traduction par le fait que le texte grec manque l’article défini, qui accompagne le plus souvent le mot « Dieu » en grec quand il s’agit du Dieu seul et unique. (La langue grecque n’ayant pas d’article indéfini, un substantif est simplement utilisé sans article pour indiquer qu’il s’agit d’un parmi d’autres.)

 

Notons d’abord que dans à peu près un cinquième des utilisations du mot « Dieu » dans le Nouveau Testament, il n’a par l’article, même quand il s’agit du Dieu seul et unique. La langue grecque s’exprime le plus souvent avec l’article, mais ce n’est pas du tout obligé. Il y a même des textes qui utilisent le mot sans article que les Témoins de Jéhovah ont traduit « Jéhovah », ce qui montre clairement qu’ils ne prétendent nullement que l’absence de l’article doit nous pousser à comprendre « un dieu ». Il n’appliquent cette « règle » que quand cela les arrange.

 

Mais admettons la possibilité. Selon l’usage grec, il est effectivement possible, après tout, que le mot « dieu » sans article puisse faire référence à « un dieu ». Peut-on donc comprendre le premier verset de l’évangile de Jean dans ce sens ?

 

Oui. Mais uniquement en admettant qu’il existe plusieurs dieux. Pour être « dieu » sans être « Yahvé Dieu », Jésus doit être un autre dieu. Parce que nous affirmons la divinité de Christ, les Témoins de Jéhovah nous accusent de polythéisme. Pourtant, c’est leur doctrine qui est polythéiste. Il n’y a pas d’autres dieux que Dieu ; si donc Jésus est « dieu » il est forcément « Dieu ».

 

Ils prétendent que le mot « dieu » dans la Bible ne signifie pas toujours « Yahvé Dieu ». Pour soutenir une telle affirmation, ils s’appuient sur certains textes de l’Ancien Testament. Ignorent-ils que l’Ancien Testament a été écrit dans une autre langue que le Nouveau Testament ? Il est vrai que le mot « élohim » (ainsi que son singulier « éloah ») en hébreu peut signifier autre chose que « Yahvé Dieu ». Mais ce n’est pas le cas de « theos » en grec. L’étymologie n’est pas du tout la même, et le sens n’est donc pas précisément le même non plus. « Elohim » vient d’une racine signifiant « fort », ce qui fait que le mot peut prendre le simple sens : « les forts » ou « les puissants ». (Il est très rare que le mot soit utilisé au singulier dans un autre sens que pour parler de Yahvé Dieu.) « Theos », par contre, est très similaire à notre mot « Dieu ». L’usage grec le réserve pour des êtres de nature divine.

 

Ce qui ne veut pas dire, évidemment, qu’il signifie toujours « Yahvé Dieu » dans l’usage grec. Dans un contexte polythéiste, on parlait de toute une gamme de « dieux ». Mais la Bible n’est pas polythéiste ; il y a des « dieux » uniquement dans le sens des faux dieux. Le seul Dieu qui existe réellement est Yahvé.

 

Dire que Jésus est « dieu » mais non « Dieu » est donc un non-sens dans le contexte monothéiste de la Bible. Les Témoins de Jéhovah eux-mêmes vont parfois jusqu’à admettre que Jésus est « divin », tout en refusant d’admettre qu’il est Dieu. Mais le sens du mot « divin » les trahit ; il signifie : « ce qui a trait à Dieu ». Les anges ne sont pas « divins » ; seul Dieu est « divin ». Si Jésus est « divin » dans sa nature, il est donc Dieu.

 

On peut dire que tout le bruit que font les Témoins de Jéhovah sur Jean 1:1 ne contourne pas le problème. Ce texte est très clair, et toute tentative de lui faire dire autre chose que ce qu’il dit se heurte à l’impossibilité pour le monothéisme d’admettre l’existence d’autres dieux que Dieu.

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Toutefois, la doctrine de la divinité de Christ ne se base pas uniquement sur le seul verset de Jean 1:1. Un autre texte tout aussi clair sur la divinité de Christ se trouve dans le prophète Esaïe : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la souveraineté sera sur son épaule. On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Esaïe 9:5).

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Quand l’apôtre Thomas a douté de la nouvelle de la résurrection de Jésus, Jésus lui est apparu pour lui montrer clairement qu’il était bien là en chair et en os. Le voyant, le texte de Jean 20:28 nous dit : « Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu ! »

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Dans Jérémie 17:10 nous lisons : « Moi, l’Eternel [hébreu : Yahvé], j’éprouve le coeur, je sonde les reins, pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses agissements. » Ce texte ne permet aucune ambiguïté ; il s’agit de Dieu lui-même, et le texte nous montre clairement que c’est lui qui examine les coeurs pour rendre à chacun selon ses actes. Aucun doute n’est donc permis en ce qui concerne cette citation, pour quelqu’un qui connaît les écritures juives.

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Il y a d’autres passages du Nouveau Testament qui citent des textes de l’Ancien Testament parlant clairement de Dieu, en les appliquant à Jésus-Christ. Dans Romains 10, Paul développe toute une démonstration de la suffisance de la foi en Christ pour le salut. Il dit dans le verset 9 : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. » Il poursuit son argumentation en développant le fait que ce principe est bon pour tout le monde, le Juif comme le Grec, en écrivant dans le verset 13 : « Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. »

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Paul a écrit un texte dans Philippiens 2 qui est assez connu des chrétiens, car il est très beau. Il avait déjà écrit dans le verset 6 que Jésus « existait en forme de Dieu », ce qui va assez loin comme indication de sa divinité. Mais en fait il va encore plus loin, sans qu’on s’en rende compte directement, dans les versets 10 et 11. C’est là qu’il écrit ces lignes célèbres : « …afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. »

 

Le texte de Philippiens 2 est très connu. Ce qui est moins connu, c’est qu’il s’agit d’un « emprunt » de l’Ancien Testament, d’Esaïe 45:22-23 : « Tournez-vous vers moi et soyez sauvés, vous, tous les confins de la terre ! Car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre. Je le jure par moi-même, de ma bouche sort ce qui est juste, une parole qui ne sera pas révoquée : Tout genou fléchira devant moi, Toute langue prêtera serment par moi. »

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Dans 1 Corinthiens 8, Paul parle du fait que dans le monde il y a beaucoup de « dieux » et de « seigneurs » (dans un texte sur les idoles et la viande qui leur aurait été consacrée) et il ajoute une phrase qui peut sembler, par une lecture superficielle, apporter de l’eau au moulin de ceux qui disent que Jésus-Christ n’est pas Dieu. Il écrit : « néanmoins pour nous, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses, et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et pour qui nous sommes » (8:6).

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Ces trois passages peuvent être considérés ensemble, car le sens est très similaire. Dans 2 Thessaloniciens 1:12 nous trouvons les mots (dans la traduction de Louis Segond) : « …selon la grâce de notre Dieu et du Seigneur Jésus-Christ. » Dans Tite 2:13 Segond traduit : « …la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ. » 2 Pierre 1:1 se termine, dans cette même traduction : « …par la justice de notre Dieu et du Sauveur Jésus-Christ ».

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Salam, jesus n'est pas Adoré en dehors d'ALLAH, mais jesus a été LA QIBLA des croyants

 

et aprés lui sont venus MOHAMMED et ALI et c'est eux la nouvelle et la plus grande Qibla

 

ils sont la personnification de Adam celeste sur terre et les croyants sont la personnification des anges sur terre, salam alikoum

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