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Evasion fiscale : l’affaire des « Panama papers » en 7 chiffres

 

 

Décortiquer la base des « Panama papers » est un travail de longue haleine. Il faut comprendre les termes jargonneux, décortiquer les mécanismes, trouver les rôles des différents acteurs et décisionnaires pour appréhender l’importance du système et sa logique.

 

 

Les « Panama papers » en trois points

 

Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.

Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s’agit de la plus grosse fuite d’informations jamais exploitée par des médias.

Les « Panama papers » révèlent qu’outre des milliers d’anonymes de nombreux chefs d’Etat, des milliardaires, des grands noms du sport, des célébrités ou des personnalités sous le coup de sanctions internationales ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs.

 

 

le nom de lionel messi figure dans la liste.

 

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/04/evasion-fiscale-l-affaire-des-panama-papers-en-7-chiffres_4895015_4890278.html

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Evasion fiscale : l’affaire des « Panama papers » en 7 chiffres

 

 

Décortiquer la base des « Panama papers » est un travail de longue haleine. Il faut comprendre les termes jargonneux, décortiquer les mécanismes, trouver les rôles des différents acteurs et décisionnaires pour appréhender l’importance du système et sa logique.

 

 

Les « Panama papers » en trois points

 

Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.

Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s’agit de la plus grosse fuite d’informations jamais exploitée par des médias.

Les « Panama papers » révèlent qu’outre des milliers d’anonymes de nombreux chefs d’Etat, des milliardaires, des grands noms du sport, des célébrités ou des personnalités sous le coup de sanctions internationales ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs.

 

 

le nom de lionel messi figure dans la liste.

 

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/04/evasion-fiscale-l-affaire-des-panama-papers-en-7-chiffres_4895015_4890278.html

Salam merci pour le sujet mo Ami dentdesagesse

oui la solution est dans la force de volonte a demander la lever de secret bancaire

 

a trois voir plus d'etat ou on entrepose de l'argent sale

la suisse

et l'autruche en font partie

la on a un de chez nous qui les a enlever d'un petit pays de France pour les transferer en suisse a l'aide d'u escroc Français

le ministre

Mouchouareb

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Tien vois ce qui ce dit aussi

Finalement on diffusent ce qu'on veut

Ce lundi, Jean-Luc Mélenchon a jugé « curieux » que « pas un seul Nord-Américain puissant » ne figure dans la liste des personnalités désignées comme ayant eu recours à l'évasion fiscale par l'enquête Panama Papers. « Avec les Panama Papers, ce qui est curieux, c'est de voir qu'il n'y a pas un seul Nord-Américain puissant dans la liste donnée par les journaux », a estimé le cofondateur du Parti de gauche dans un communiqué. « Ouf ! D'ailleurs la liste des États mentionnés est tout à fait politiquement correcte, on voit bien qu'il n'y a pas de voyous dans certains pays », a-t-il ajouté, interrogeant : « Est-ce crédible ? La presse libre est-elle si indépendante ? »

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«*Panama Papers*» : en Algérie, l’argent du pétrole passe par l’offshore

 

 

 

 

image: http://s2.lemde.fr/image2x/2016/04/04/768x0/4895525_6_0cb6_chakib-khelil-ex-ministre-de-l-energie-et-des_b9a5522a328d820736ab2767c1345330.jpg

 

L’accueil en grande pompe, le 17*mars, de Chakib Khelil, le ministre de l’énergie algérien de 1999 à 2010, en fuite depuis trois ans et soupçonné de corruption, a été pris enAlgérie*comme une provocation – la preuve de l’impunité dont jouissent les proches du chef de l’Etat. Et une façon d’enterrer l’affaire Sonatrach, la compagnie pétrolière nationale, qui défraie la chronique depuis 2010. Le mandat d’arrêt*international*contre M. Khelil a été annulé pour vice de forme, le juge qui a instruit l’affaire muté, le procureur général limogé. Mais l’ancien ministre n’a pas été blanchi par la*justice*algérienne.Les «*Panama papers*» en trois pointsLe Monde*et 108*autres rédactions dans 76*pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.Les 11,5*millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s’agit de la plus grosse fuite d’informations jamais exploitée par des médias.Les «*Panama papers*» révèlent qu’outre des milliers d’anonymes de nombreux chefs d’Etat, des milliardaires, des grands noms du sport, des célébrités ou des personnalités sous le coup de sanctions internationales ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs.

 

C’est donc depuis son pays que l’ami d’enfance du président Abdelaziz Bouteflika pourra*suivre*l’audience qui devait s’ouvrir lundi 4*avril, à Milan. La justice italienneenquête*depuis 2013 sur un versement de 198*millions d’euros effectué par Saipem, une filiale du groupe pétrolier italien ENI, à des intermédiaires proches de M. Khelil, en contrepartie de plus de 8*milliards d’euros de contrats signés avec Sonatrach.

 

L’épisode italien fait suite à une première procédure, qui a débuté en*2010 par la spectaculaire décapitation judiciaire de l’ensemble du*management*du groupe pétrolier public et s’est soldée, le 2*février, par des peines plutôt légères pour l’ancien PDG de la Sonatrach et deux de ses enfants. Les douze autres accusés ont bénéficié de non-lieu ou de peines avec sursis.

 

Déjà condamnée pour corruption, en 2013, auNigeria, Saipem s’était attaché en Algérie les services de deux hommes de confiance de l’ancien ministre de l’énergie algérien, Farid Bedjaoui et Omar Habour, aujourd’hui tous deux en cavale et soupçonnés d’avoir orchestré le versement de commissions à des officiels algériens et aux dirigeants de Saipem.

 

Myriade de comptes offshore

 

La firme panaméenne Mossack Fonseca a d’ailleurs enregistré, au début des années 2000, une myriade de*sociétés offshore pour le compte de Farid Bedjaoui, 46 ans,*golden boy*de nationalité algérienne, française et canadienne, dont le dernier lieu de résidence connu est Dubaï. Neveu de l’ancien ministre des*affaires étrangères, il est aujourd’hui au cœur du dossier. C’est sur les comptes bancaires émiratis de l’une de ses sociétés, Pearl Partners Ltd, domiciliée à*Hongkong, qu’ont été versés les 198*millions d’euros, conformément au contrat signé le 17*octobre 2007 avec Saipem – de simples honoraires, selon ses avocats.

 

Une partie de cette somme a ensuite été transférée vers la société Sorung Associates Inc., une entité créée par Mossack Fonseca à la demande de la société*suisse*de gestion de fortune Multi Group Finance, le 28*février 2007. M.*Bedjaoui a un mandat de gestion sur Sorung Associates et gère des comptes à la Banque privée Edmond de Rothschild SA à Genève. C’est dans cet établissement que l’ancien chef de cabinet du PDG de Sonatrach, Réda Hemche, neveu de M. Khelil, a disposé d’un compte approvisionné de 1,75*million de dollars entre l’été 2009 et janvier*2010.

 

Lire aussi*:*En Algérie, d’anciens cadres du groupe pétrolier Sonatrach condamnés

 

Dix-sept sociétés enregistrées

 

«*Ces sociétés offshore n’ont rien d’extraordinaire pour un homme d’affaires international, elles ont été passées à la moulinette par les autorités compétentes, et rien n’a été trouvé*»,*assure Me*Emmanuel Marsigny, avocat de M. Bedjaoui. Les autorités italiennes ont découvert que le nom du fuyard apparaît dans au moins dix-sept sociétés domiciliées au Panama, aux îles Vierges britanniques et aux Emirats arabes unis. Onze de ses sociétés ont été enregistrées entre 2004 et 2010 par Mossack Fonseca, à la demande de la société suisse Multi Group.

 

Soupçons de pots-de-vin

 

Lorsque le nom de M. Bedjaoui apparaît dans la presse en*2013, Mossack Fonseca panique. L’agence d’investigation financière du gouvernement des îles Vierges britanniques lui adresse un courrier, en février*2014, exigeant des détails sur ses sociétés. Notamment Minkle Consultants SA, qu’il détient avec son coaccusé, Omar Habour, domicilié à Neuilly-Sur-Seine et à Genève. Ce dernier, qui possède avec M. Khelil une propriété dans le Maryland, au nord-est des Etats-Unis, aurait reçu un virement de 34,3*millions de dollars (30*millions d’euros) sur un de ses comptes au*Liban. Contacté par*Le Monde, son avocat, Yam Atallah, n’a pas souhaité*réagir.

 

Omar Habour apparaît comme le bénéficiaire effectif de quatre sociétés enregistrées par la firme panaméenne. Interrogée par les autorités des îles Vierges sur la société Girnwood International Engineering Ltd, Mossack Fonseca se contente de*répondrele 8*mars 2014*:*«*Le bénéficiaire effectif est M.*Farid Bedjaoui.*»*Il ne pouvait cependantignorer*que M. Habour était également partie prenante de la société, aux côtés de Ziad Dalloul, beau-frère de M.*Bedjaoui.

 

«*Il y a encore des zones d’ombre, et il est probable que des pots-de-vin aient été versés et que d’autres officiels algériens en aient profité,*déclare Djilali Hadjadj, le porte-parole de l’Association algérienne de lutte contre la corruption.*Mais la justice algérienne ne coopère pas avec le parquet italien et retient certains renseignements.*»*Les preuves pourraient bien se*trouver*dans des paradis fiscaux et les archives de Mossack Fonseca.

 

 

Une escapade de luxe en amoureux sans se ruinerVERYCHIC MAGAZINE

Edited by pmat
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Tien vois ce qui ce dit aussi

Finalement on diffusent ce qu'on veut

Ce lundi, Jean-Luc Mélenchon a jugé « curieux » que « pas un seul Nord-Américain puissant » ne figure dans la liste des personnalités désignées comme ayant eu recours à l'évasion fiscale par l'enquête Panama Papers. « Avec les Panama Papers, ce qui est curieux, c'est de voir qu'il n'y a pas un seul Nord-Américain puissant dans la liste donnée par les journaux », a estimé le cofondateur du Parti de gauche dans un communiqué. « Ouf ! D'ailleurs la liste des États mentionnés est tout à fait politiquement correcte, on voit bien qu'il n'y a pas de voyous dans certains pays », a-t-il ajouté, interrogeant : « Est-ce crédible ? La presse libre est-elle si indépendante ? »

 

 

c'est ce que je me disais aussi la presse les médias corrompu ont tjr su pompé les tentions du coter des pays anti impérialiste et donné l'aspect d'anges gardiens au ravisseurs.il ne reste plus rien a qui croire dans ce monde,la liberté de la presse n'est qu'une notion mensongère c'est une arme qui est branché sur les francs des opposants dans ce monde pour les menacé avec.quand la vérité n'est pas libre la liberté n'est pas vrai et c'est tjr la neutralité (les activistes neutres) qui divulguent l'absurdité de ses vampires suceur du sang cacher sous pseudo de liberté démocratie .

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c'est un sujet qui est en trains faire rage

le president fait un courier a François Hollande

ils est en colere que le mediat fase savoir que depuis le president et autre ont des lacements a l'etranger

 

Rachid Nekkaz propose la somme d’un milliard de centimes en échange d’information sur Chakib Khelil

 

Sur sa page facebook, l’ancien candidat aux présidentielles algériennes et françaises, Rachid Nekkaz propose la somme d’un milliard de centimes en échange d’informations concernant Chakib Khelil et les dossiers de corruption le concernant entre 2000 et 2016:

 

 

 

 

 

 

« Rachid Nekkaz propose la somme d’un milliard de centimes à toute personne ayant des preuves tangibles et incontestables qui concerneraient des faits de corruption en relation avec Chakib Khelil et les compagnies étrangères entre 2000 et 2016. » peut-on lire dans la publication mise en ligne hier mardi.

 

Il n’a pour le moment pas précisé l’utilité de ces documents.

 

Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source

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