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Yasmina Khadra : J’ai découvert que la trahison est un sport national.


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L’écrivain algérien et ancien candidat à la présidentielle Yasmina Khadra dresse un portrait cinglant de l’Algérie. Interview.

 

Votre roman « Qu’attendent les singes » est une plongée dans l’Algérie, dans le cœur d’un système étatique où se mêlent des hommes de l’ombre qui font et défont des vies et des carrières, des luttes d’influence, des pots-de-vin assumés. Quelle est la part de vérité ?

 

 

– Tout est vérité. C’est une radioscopie de l’Algérie d’aujourd’hui. Je n’ai rien laissé au hasard. Le problème n’est pas politique, il est moral. Le déni de soi, l’absence de discernement, la démission, la trahison ont fait que le régime actuel continue de sévir en toute impunité. Pour moi, il y a deux Algérie : celle du peuple qui est complètement ignorée, vilipendée et celle des prévaricateurs et des prédateurs qui n’arrêtent pas de se découvrir une force inouïe alimentée par le fatalisme qui nous fait croire que tout est perdu et verrouillé.

 

Il y a ce personnage cynique, directeur de publication d’un puissant journal, qui sert de marionnette consciente à un pouvoir sans scrupules. Ed Dayem existe-t-il vraiment ?

 

– Le directeur de la chaîne de télévision Ennahar est le portrait craché de Ed Dayem. Il est la force de frappe médiatique du système. J’en fais personnellement les frais car aujourd’hui, je fais l’objet d’une cabale en Algérie. Cette chaîne m’insulte, affirme que j’insulte les Algériens à travers mon livre et que la France est derrière moi. Il y a une connexion permanente entre le régime et ses sbires et ces derniers savent exactement ce qu’ils doivent faire et comment. Ce qui les encourage davantage c’est le silence complice des « bonnes consciences », parmi eux les écrivains et les artistes que j’ai aidés grâce à mon poste de directeur du centre culturel algérien. J’ai toujours été seul et je reste seul. Nous assistons à la subtilisation d’une nation, à la régression, à la lutte permanente contre le talent et le génie, et la chasse des consciences se poursuit en toute impunité. Pourquoi ? Car nous n’avons pas cette solidarité qui nous permettrait un jour d’affronter le système algérien.

 

Comment voyez-vous les Algériens ?

 

– C’est un peuple magnifique mais qui se complait dans sa convalescence. Il a peur car on lui a dit que si le système partait, ce serait le retour de la violence, le chaos, alors qu’il sort à peine d’une tragédie terroriste. Il faut se rappeler que dans l’arrière-pays, les populations ont été seules face à leurs malheurs, face aux assassinats, elles sont profondément traumatisées et voient ce qui s’est passé en Libye et en Syrie. Elles préfèrent la stabilité à l’émancipation et à la modernité. C’est une désertion. Je ne peux pas leur en vouloir, mais je suis agacé par leurs silences. Il est temps pour elles de réagir et de comprendre que leurs destin est entre leurs mains et non confié à des gens qui ne pensent qu’à eux-mêmes.

 

Pourquoi pensez-vous que vous dérangez en Algérie ?

 

– Les poètes ont toujours dérangé les souverainetés crapuleuses. Je ne suis pas le premier. Je dérange parce que je refuse ce qui est dégradant pour le peuple algérien. Je me suis battu avec les armes pour ce pays pendant huit ans contre le terrorisme, j’ai porté sa littérature dans le monde entier. Et il y a des prédateurs qui pensent que je fais ça pour gagner ma vie. Mais j’ai des millions de lecteurs !

 

Vous avez décidé de vous présenter à la présidentielle alors que vous dénigrez le système. Comment assumer cette contradiction ? Comment pensiez-vous déverrouiller un système tenu d’une main de fer par l’armée, les services de renseignements et le clan de l’actuel président ?

 

– Il y a trois façons de régner : servir, se servir ou asservir. Moi je veux servir ce pays que j’aime. J’ai vu ce pays souffrir, je l’ai vu à deux doigts de disparaître. J’ai fait huit ans de guerre, un voyage au bout de l’enfer. J’ai perdu des hommes, des amis, et à la fin je suis sorti indemne. Pour moi, la seule façon de légitimer ma survie est de continuer de servir ce pays. Je donne ce que je pense avoir de meilleur en moi. Mais il se trouve qu’en politique, il n’y a que des prédateurs, des commis voyageurs, des carriéristes.

 

J’ai appris à mes dépens pendant la campagne que c’était un système verrouillé mais pas invulnérable. Si les Algériens pouvaient se rassembler autour d’un idéal et réfléchir à ce qu’ils veulent pour les générations de demain, le système partirait en un claquement de doigts. Car c’est un géant aux pieds d’argile. Le pouvoir algérien est une île flottante.

 

Quels sont les obstacles qui vous ont barré la route de la candidature ?

 

– Le temps, d’abord. Le code électoral nous interdisait de provoquer des meeting. Mais comment sensibiliser les gens si on ne peut pas leur parler ? Le temps était trop court pour un candidat libre qui n’a ni les réseaux, ni les moyens pour installer des comités de soutiens, louer des bureaux. J’ai tout payé de ma poche.

 

J’ai fait 10.000 kilomètres par route, je suis allé dans les villages, les villes et les hameaux. J’ai été très bien reçu. J’étais persuadé d’obtenir non pas 60.000 signatures mais 600.000 ! Il y avait un tel enthousiasme, on croyait en ma sincérité. Et cela a été comme une flammèche. Ca a flambé et ça s’est éteint. Les populations se sont dit que j’étais trop fragile pour résister. Ils me voyaient perdant. C’est ce qui m’a touché le plus : de croire qu’une bataille est perdue avant même qu’elle soit engagée.

 

Et puis il y a eu l’infiltration. Des gens sont venus me proposer leur aide. Je les ai cru, je les ai installé dans des bureaux, je leur ai donné les formulaires pour les signatures. Or c’étaient des gens qui travaillaient pour le système. Ils ont disparus, ne répondaient plus à leur téléphone. J’ai perdu comme ça beaucoup de signatures, notamment dans l’Oranie, dans ma région. J’ai eu 50 signatures à Aïn Témouchent. Un département d’au moins 350.000 habitants. Et pourtant, quand je vais là-bas, les gens sortent de partout pour venir me remercier d’avoir fait découvrir cette région à travers « Ce que le jour doit à la nuit ». A Bel Abbès, j’avais le plus grand groupe de soutien, je n’ai eu que 42 signatures. A Mostaganem, rien. J’ai découvert que la trahison est un sport national.

 

Qui soutenez-vous aujourd’hui ?

 

– Je soutiens tous ceux qui sont contre ce système que je veux voir disparaître. Mais il n’y a pas une vraie solidarité. Chacun fait sa guerre dans son coin, ce sont des énergies morcelées, fragmentées, éclatées, qui se retournent contre elles même car elles n’ont pas véritablement un socle ou un réceptacle capable de les porter et de les concrétiser sur le terrain. On n’a pas la culture de la solidarité, du combat commun. C’est ça qui permet à un système algérien, à un système fantoche, un stalinisme rudimentaire et quelconque de prendre cette stature de géant. Car en face il n’y a que des îlots, des foyers de résistance minimes qui s’éteignent d’eux-mêmes.

 

Vous êtes toujours en poste à la tête du centre culturel algérien malgré vos critiques et votre candidature…

 

– Je suis ici depuis six ans. Je ne sais pas à quoi ils jouent en me gardant ici. J’ai vu des ministres limogés en une heure juste parce qu’ils ont dit un mot déplacé. Je suis curieux, j’attends de voir. Je ne comprendrais pas qu’après l’élection, ils me maintiennent ici. Je pense qu’ils n’ont pas besoin de moi, mais ils ont besoin de défigurer mon image. Ils veulent faire entendre que je suis acheté par le pouvoir. J’ai été piégé dès lors que le président m’a proposé le poste. Je pensais sincèrement qu’il voulait se rapprocher des intellectuels.

 

Abdelaziz Bouteflika vous a-t-il déçu ?

 

– J’ai été le premier à le soutenir ! Pour moi Abdelaziz Bouteflika était un conjurateur qui pouvait nous aider à chasser les vieux démons. J’y croyais comme pas possible. On attendait un homme providentiel. Pour moi, il avait fait une traversée du désert et s’il était revenu c’était pour sauver son pays. Je l’ai défendu, je me suis battu physiquement ! J’ai attendu. Mais ce n’est pas lui qui a permis la paix civile. En 1999, le terrorisme prenait fin. Il est juste arrivé au bon moment. Il m’a déçu parce que l’histoire lui ouvrait les portes, il n’avait pas besoin de tomber aussi bas.

 

Dans ce contexte assez sombre que vous dressez de l’Algérie, voyez-vous tout de même certaines choses positives ?

 

– Certainement. Les Algériens ne veulent plus entendre parler d’islamisme. Mais il y a eu très peu de choses positives. On ne peut pas attendre d’un dépotoir de sentir bon un jour.

 

Propos recueillis le mardi 8 avril par Sarah Diffalah – Le Nouvel Observateur

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L’écrivain algérien et ancien candidat à la présidentielle Yasmina Khadra dresse un portrait cinglant de l’Algérie. Interview.

 

Votre roman « Qu’attendent les singes » est une plongée dans l’Algérie, dans le cœur d’un système étatique où se mêlent des hommes de l’ombre qui font et défont des vies et des carrières, des luttes d’influence, des pots-de-vin assumés. Quelle est la part de vérité ?

 

 

– Tout est vérité. C’est une radioscopie de l’Algérie d’aujourd’hui. Je n’ai rien laissé au hasard. Le problème n’est pas politique, il est moral. Le déni de soi, l’absence de discernement, la démission, la trahison ont fait que le régime actuel continue de sévir en toute impunité. Pour moi, il y a deux Algérie : celle du peuple qui est complètement ignorée, vilipendée et celle des prévaricateurs et des prédateurs qui n’arrêtent pas de se découvrir une force inouïe alimentée par le fatalisme qui nous fait croire que tout est perdu et verrouillé.

 

Il y a ce personnage cynique, directeur de publication d’un puissant journal, qui sert de marionnette consciente à un pouvoir sans scrupules. Ed Dayem existe-t-il vraiment ?

 

– Le directeur de la chaîne de télévision Ennahar est le portrait craché de Ed Dayem. Il est la force de frappe médiatique du système. J’en fais personnellement les frais car aujourd’hui, je fais l’objet d’une cabale en Algérie. Cette chaîne m’insulte, affirme que j’insulte les Algériens à travers mon livre et que la France est derrière moi. Il y a une connexion permanente entre le régime et ses sbires et ces derniers savent exactement ce qu’ils doivent faire et comment. Ce qui les encourage davantage c’est le silence complice des « bonnes consciences », parmi eux les écrivains et les artistes que j’ai aidés grâce à mon poste de directeur du centre culturel algérien. J’ai toujours été seul et je reste seul. Nous assistons à la subtilisation d’une nation, à la régression, à la lutte permanente contre le talent et le génie, et la chasse des consciences se poursuit en toute impunité. Pourquoi ? Car nous n’avons pas cette solidarité qui nous permettrait un jour d’affronter le système algérien.

 

Comment voyez-vous les Algériens ?

 

– C’est un peuple magnifique mais qui se complait dans sa convalescence. Il a peur car on lui a dit que si le système partait, ce serait le retour de la violence, le chaos, alors qu’il sort à peine d’une tragédie terroriste. Il faut se rappeler que dans l’arrière-pays, les populations ont été seules face à leurs malheurs, face aux assassinats, elles sont profondément traumatisées et voient ce qui s’est passé en Libye et en Syrie. Elles préfèrent la stabilité à l’émancipation et à la modernité. C’est une désertion. Je ne peux pas leur en vouloir, mais je suis agacé par leurs silences. Il est temps pour elles de réagir et de comprendre que leurs destin est entre leurs mains et non confié à des gens qui ne pensent qu’à eux-mêmes.

 

Pourquoi pensez-vous que vous dérangez en Algérie ?

 

– Les poètes ont toujours dérangé les souverainetés crapuleuses. Je ne suis pas le premier. Je dérange parce que je refuse ce qui est dégradant pour le peuple algérien. Je me suis battu avec les armes pour ce pays pendant huit ans contre le terrorisme, j’ai porté sa littérature dans le monde entier. Et il y a des prédateurs qui pensent que je fais ça pour gagner ma vie. Mais j’ai des millions de lecteurs !

 

Vous avez décidé de vous présenter à la présidentielle alors que vous dénigrez le système. Comment assumer cette contradiction ? Comment pensiez-vous déverrouiller un système tenu d’une main de fer par l’armée, les services de renseignements et le clan de l’actuel président ?

 

– Il y a trois façons de régner : servir, se servir ou asservir. Moi je veux servir ce pays que j’aime. J’ai vu ce pays souffrir, je l’ai vu à deux doigts de disparaître. J’ai fait huit ans de guerre, un voyage au bout de l’enfer. J’ai perdu des hommes, des amis, et à la fin je suis sorti indemne. Pour moi, la seule façon de légitimer ma survie est de continuer de servir ce pays. Je donne ce que je pense avoir de meilleur en moi. Mais il se trouve qu’en politique, il n’y a que des prédateurs, des commis voyageurs, des carriéristes.

 

J’ai appris à mes dépens pendant la campagne que c’était un système verrouillé mais pas invulnérable. Si les Algériens pouvaient se rassembler autour d’un idéal et réfléchir à ce qu’ils veulent pour les générations de demain, le système partirait en un claquement de doigts. Car c’est un géant aux pieds d’argile. Le pouvoir algérien est une île flottante.

 

Quels sont les obstacles qui vous ont barré la route de la candidature ?

 

– Le temps, d’abord. Le code électoral nous interdisait de provoquer des meeting. Mais comment sensibiliser les gens si on ne peut pas leur parler ? Le temps était trop court pour un candidat libre qui n’a ni les réseaux, ni les moyens pour installer des comités de soutiens, louer des bureaux. J’ai tout payé de ma poche.

 

J’ai fait 10.000 kilomètres par route, je suis allé dans les villages, les villes et les hameaux. J’ai été très bien reçu. J’étais persuadé d’obtenir non pas 60.000 signatures mais 600.000 ! Il y avait un tel enthousiasme, on croyait en ma sincérité. Et cela a été comme une flammèche. Ca a flambé et ça s’est éteint. Les populations se sont dit que j’étais trop fragile pour résister. Ils me voyaient perdant. C’est ce qui m’a touché le plus : de croire qu’une bataille est perdue avant même qu’elle soit engagée.

 

Et puis il y a eu l’infiltration. Des gens sont venus me proposer leur aide. Je les ai cru, je les ai installé dans des bureaux, je leur ai donné les formulaires pour les signatures. Or c’étaient des gens qui travaillaient pour le système. Ils ont disparus, ne répondaient plus à leur téléphone. J’ai perdu comme ça beaucoup de signatures, notamment dans l’Oranie, dans ma région. J’ai eu 50 signatures à Aïn Témouchent. Un département d’au moins 350.000 habitants. Et pourtant, quand je vais là-bas, les gens sortent de partout pour venir me remercier d’avoir fait découvrir cette région à travers « Ce que le jour doit à la nuit ». A Bel Abbès, j’avais le plus grand groupe de soutien, je n’ai eu que 42 signatures. A Mostaganem, rien. J’ai découvert que la trahison est un sport national.

 

Qui soutenez-vous aujourd’hui ?

 

– Je soutiens tous ceux qui sont contre ce système que je veux voir disparaître. Mais il n’y a pas une vraie solidarité. Chacun fait sa guerre dans son coin, ce sont des énergies morcelées, fragmentées, éclatées, qui se retournent contre elles même car elles n’ont pas véritablement un socle ou un réceptacle capable de les porter et de les concrétiser sur le terrain. On n’a pas la culture de la solidarité, du combat commun. C’est ça qui permet à un système algérien, à un système fantoche, un stalinisme rudimentaire et quelconque de prendre cette stature de géant. Car en face il n’y a que des îlots, des foyers de résistance minimes qui s’éteignent d’eux-mêmes.

 

Vous êtes toujours en poste à la tête du centre culturel algérien malgré vos critiques et votre candidature…

 

– Je suis ici depuis six ans. Je ne sais pas à quoi ils jouent en me gardant ici. J’ai vu des ministres limogés en une heure juste parce qu’ils ont dit un mot déplacé. Je suis curieux, j’attends de voir. Je ne comprendrais pas qu’après l’élection, ils me maintiennent ici. Je pense qu’ils n’ont pas besoin de moi, mais ils ont besoin de défigurer mon image. Ils veulent faire entendre que je suis acheté par le pouvoir. J’ai été piégé dès lors que le président m’a proposé le poste. Je pensais sincèrement qu’il voulait se rapprocher des intellectuels.

 

Abdelaziz Bouteflika vous a-t-il déçu ?

 

– J’ai été le premier à le soutenir ! Pour moi Abdelaziz Bouteflika était un conjurateur qui pouvait nous aider à chasser les vieux démons. J’y croyais comme pas possible. On attendait un homme providentiel. Pour moi, il avait fait une traversée du désert et s’il était revenu c’était pour sauver son pays. Je l’ai défendu, je me suis battu physiquement ! J’ai attendu. Mais ce n’est pas lui qui a permis la paix civile. En 1999, le terrorisme prenait fin. Il est juste arrivé au bon moment. Il m’a déçu parce que l’histoire lui ouvrait les portes, il n’avait pas besoin de tomber aussi bas.

 

Dans ce contexte assez sombre que vous dressez de l’Algérie, voyez-vous tout de même certaines choses positives ?

 

– Certainement. Les Algériens ne veulent plus entendre parler d’islamisme. Mais il y a eu très peu de choses positives. On ne peut pas attendre d’un dépotoir de sentir bon un jour.

 

Propos recueillis le mardi 8 avril par Sarah Diffalah – Le Nouvel Observateur

 

on peut pas dire mieux de ce qu'il a rapporté c'est un cris vraisemblable semblable a tout les cris de détresse recensé en algerie.mais ce n'est pas la langue magique qui m'attire on s'est rassasié ,assez,c'est surtout son porte nom "yasmina" en lisant le titre j'allais directement quoter le messager pour demande qui est cette femme qui été candidate a la présidentielle ?!!!!en lisant quelque ligne j'ai su qu'il etait un mec........s'il veut etre notre future président il est temps de songer a changé son nom je ne veux plus que yasmina me représente dans les défilé et instances mondiaux:D

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c'est surtout son porte nom "yasmina" en lisant le titre j'allais directement quoter le messager pour demande qui est cette femme qui été candidate a la présidentielle ?!!!!en lisant quelque ligne j'ai su qu'il etait un mec.......

Si tu ne sais pas que Yasmina Khadra est un homme, 2 explications :

- tu n'es pas algérien

- tu es plus que nul en culture générale :

(ou alors les 2)

 

Œuvres

Sous son nom de Moulessehoul Mohammed

Amen, 1984, à compte d'auteur, Paris

Houria, 1984, ENAL, Alger

La Fille du pont, 1985, ENAL

El Kahira - cellule de la mort, 1986, ENAL

De l'autre côté de la ville, 1988, L'Harmattan, Paris

Le Privilège du phénix, 1989, ENAL

 

Sous son nom de plume de Yasmina Khadra

Le Dingue au bistouri, 1990, Laphomic, Alger et 1999, Flammarion (J'ai lu 2001), Paris ; adapté en BD par Mohamed Bouslah, Alger 2009

La Foire des enfoirés, 1993, Laphomic

Morituri, 1997, Baleine, Paris, Trophée 813 du Meilleur polar francophone ; (Folio policier 2002) ; adapté au cinéma par Okacha Touita, 2007

L'Automne des chimères, 1998, Baleine, Prix allemand du roman noir international (Folio policier 2001)

Double blanc, 1998, Baleine (Gallimard, Folio policier 2000)

À quoi rêvent les loups, 1999, Julliard (Pocket 2000)

Les Agneaux du Seigneur, 1998, Julliard (Pocket 1999), Paris

L'Écrivain, 2001, Julliard (Pocket 2003)

L'Imposture des mots, 2002, Julliard (Pocket 2004)

Les Hirondelles de Kaboul, 2002, Julliard (Pocket 2004) (France Loisirs 2003) ; adapté au théâtre en France, en Turquie, au Brésil, en Équateur ; en adaptation en film d'animation par Zabou Breitman

Cousine K, 2003, Julliard (Pocket 2004)

La Part du mort, 2004, Julliard (Gallimard, Folio policier 2005)

La Rose de Blida, 2005, éd. Après la lune, Paris. (Sedia 2007)

L'Attentat, 2005, Julliard (Pocket 2006) (Sedia, 2006) (France Loisirs 2006) ; adapté au cinéma sous le même titre par Zied Douéri, Grand Prix du festival international du film de Marrakech 2012, prix du Public à Toronto, prix spécial du Jury à San Sébastien, sortie en salle mondiale le 1er mai 2013 ; adapté en BD chez Glenat 2012 ; adapté au théâtre en Italie, en Algérie, en Afrique par Osmane Aledji (Benin), présenté au Rwanda, Burundi, Congo Brazzaville, dans les villes Mbuji Mayi, Kisangani, Lubumbabhi, Matadi, Bukavu en République Démocratique du Congo (deux autres adaptations au théâtre en France pour 2013)

Les Sirènes de Bagdad, 2006, Julliard (Sedia, Alger 2006) (Pocket 2007) (France Loisirs 2007)

Le Quatuor algérien : Morituri, Double blanc, L'Automne des chimères, La Part du mort (en un seul volume, Gallimard, Folio policier 2008)

Ce que le jour doit à la nuit, 2008, Julliard (Sedia, Alger, 2008) (Pocket 2009) (France Loisirs 2009) (Grand Livre du Mois, 2008) ; (Éditions de la loupe - GROS CARACTERES - 2009) ; en Audio (CD) 2008 ; adapté au cinéma par Alexandre Arcady, 2012) ; adapté à la danse, chorégraphie réalisée par la Compagnie Hervé Koubi, France (danse hip-hop, capoeira et danse contemporaine)

La Longue Nuit d'un repenti, 2010, Éditions du Moteur (réédition dans Six façons de le dire, ouvrage collectif (avec Nicolas d'Estienne d'Orves, Sophie Adriansen, Mercedes Deambrosis, David Foenkinos, Christophe Ferré), 2011, Éditions du Moteur)

L'Olympe des infortunes, 2010, Julliard (Mediaplus-Constantine 2010) (Pocket 2011) (prochaine adaptation au théâtre en Algérie et au Danemark)

Œuvres, t. 1, 2011, Julliard

L'Équation africaine, 2011, Julliard ; Pocket 2012 ; France Loisirs 2012

Les Chants cannibales, 2012, Éditions Casbah-Alger

Algérie, éditions Michel Lafon (Beau-Livre en collaboration avec le photographe Reza), 2012

Les Anges meurent de nos blessures, Julliard ; septembre 2013

Qu'attendent les singes, Julliard, 4 avril 2014, Paris ; Casbah, 6 avril 2014, Alger

La Dernière Nuit du Raïs, Julliard, 2015

 

Prix littéraires

Ceci est une liste non exhaustive de ses prix, en particulier français, pour lesquels l'œuvre de Yasmina Khadra a été récompensée. Pour l'ensemble de son œuvre, l'Académie française lui a décerné le Grand prix de Littérature Henri Gal, Prix de l'Institut de France 2011.

 

Ce que le jour doit à la nuit : prix Roman France Télévisions 2008 ; élu Meilleur livre de l'année 2008 par Lire ; Prix des Lecteurs Corses (2009). Prix "Les Dérochères" (Canada 2010) (ISBN 978-2260017585), Finaliste Prix de la Littérature Internationale (Berlin 2010)

L'Attentat : prix des libraires, Prix Tropiques, Prix Découverte Figaro Magazine, Grand prix des lectrices Côté Femme, Prix des lecteurs du Télégramme et Prix littéraire des lycéens et apprentis de Bourgogne. Prix Gabrielle d'Estrées. Prix de la Jeune critique (Autriche 2006), Finaliste de l'International IMPAC Dublin Literatury Award 2008, Élu Meilleur Livre de l'année (Happenheim, Allemagne 2008), Prix Segalen des Lycéens d'Asie (Singapour 2009). (ISBN 978-2260016939)

Les Hirondelles de Kaboul : élu Meilleur Livre de l'année aux États-Unis par le San Francisco Chronicle et le Christian Science Monitor (États-Unis 2005), Finaliste de l'International IMPAC Dublin Literary Award 2006 ; Prix de Salon littéraire de Metz (2003) ; Prix des Libraires algériens (2003). (ISBN 978-2260015963)

La Part du mort : prix littéraire Beur FM Méditerranée : prix du meilleur polar francophone. (ISBN 978-2260016441)

Cousine K : prix de la Société des Gens de Lettres. (ISBN 978-2260015970) (French Voices Award, États-Unis)

L'Écrivain (ISBN 978-2260015796)

L'Automne des chimères : prix du roman noir international (Allemagne). (ISBN 978-2070409686)

Morituri : trophée 813 du meilleur polar francophone

 

Adaptations de ses œuvres

Au cinéma

Morituri, par Okacha Touita, coproduction algéro-française, 2007.

Ce que le jour doit à la nuit, par Alexandre Arcady, production française, 2012. Le roman s'est vendu à plus de 800 000 en France

L'Attentat, par Zied Douéri, production américano-européenne, 2013. Le roman s'est vendu à plus de 750 000 exemplaires en France.

Les Hirondelles de Kaboul, en film d'animation, réalisation en cours par Zabou Breitman. Le roman a touché plus de 600 000 lecteurs en France.

 

Au théâtre

Les Hirondelles de Kaboul (France, Turquie, Brésil, Équateur)

Cousine K (France)

L'Attentat (France, Algérie, Italie, Afrique francophone sub-saharienne)

Les Sirènes de Bagdad (France)

L'Olympe des Infortunes (en préparation au Danemark et en Algérie).

 

En bandes dessinées

Le Dingue au bistouri (Algérie).

L'Attentat, scénariste de Loïc Dauvillier, dessins de Glen Chapron (éditions Glénat, France), 201213. (ISBN 9782723482547)

 

En chorégraphie

Ce que le jour doit à la nuit (par la Compagnie Hervé Koubi)

 

Théâtre de marionnettes

Les Hirondelles de Kaboul (France, Avignon 2013)

 

Distinctions

Médaille de Vermeil de l'Académie française.

Chevalier de la Légion d'honneur (République française),

Officier de l'Ordre des Arts et des Lettres (Ministère la Culture, France),

Campus de Cristal (Haute École de la Province de Liège, Belgique

Newsweek Awards (Newsweek Magazine, Koweït, 2005)

Trophée del Sur (Iles Canaries, Espagne)

Médaille de la ville de Vitrolles14,

Trophée Sans frontières,

Grand Prix de Littérature Henri Gal (Académie Française/Institut de France, 2011).

Time for Peace Litteratury Award (États-Unis, 2012),

Médaille de la ville de Vanves (2012)

Médaille de la Reconnaissance culturelle (Aïda, Association internationale de la Diaspora Algérienne 2013)

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on peut pas dire mieux de ce qu'il a rapporté c'est un cris vraisemblable semblable a tout les cris de détresse recensé en algerie.mais ce n'est pas la langue magique qui m'attire on s'est rassasié ,assez,c'est surtout son porte nom "yasmina" en lisant le titre j'allais directement quoter le messager pour demande qui est cette femme qui été candidate a la présidentielle ?!!!!en lisant quelque ligne j'ai su qu'il etait un mec........s'il veut etre notre future président il est temps de songer a changé son nom je ne veux plus que yasmina me représente dans les défilé et instances mondiaux:D

 

tu es vraiment con, tu dois arreter de carrement commenter pas que de quoter, et tu te dis algerien

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Si tu ne sais pas que Yasmina Khadra est un homme, 2 explications :

- tu n'es pas algérien

- tu es plus que nul en culture générale :

(ou alors les 2)

 

 

wikipedia n'est pas une méthode pour estimé les QI des personnes,tout ce joue avec la souris....sinon je suppose que tu as lu tout ce que tu viens de nous posté la ?et bien sur tu le savais bien avant ...! ahh j'avais oublié toi c'est le net qui t'as réanimé.

tes grands écrivains contemporains ne m'inspirent pas,le connaitre ne m'y d'aucun intérêt.et puisque connaitre l'écrivain qui justifier la nationalité algérienne,eh ben félicitation grâce a weki tu es devenu algérien.

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tu es vraiment con, tu dois arreter de carrement commenter pas que de quoter, et tu te dis algerien

 

oui je connais bayouna je connais boubagura je connais lala 3ini c'est suffisant pour prouvé mon algeriannité....bande d'idiots même wiki n'a pas pu secousse votre conscience pour vous procurer d'un raisonnement de bon sens

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..sinon je suppose que tu as lu tout ce que tu viens de nous posté la ?

Tu as tout faux, je n'ai jamais dit que j'ai lu tout ce que j'ai posté, c'était pour te montrer à quel point c'est quelqu'un de très connu et pas seulement par ses concitoyens

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oui je connais bayouna je connais boubagura je connais lala 3ini c'est suffisant pour prouvé mon algeriannité...

C'est tout ce que tu connais comme algériens ? ... Même des marocains ou des tunisiens connaissent ces 3 là ...

comme la majorité des algériens connaissent Mama traki ... tu sais qui c'est ?

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@Faiste

 

dans le descriptif que tu as soigneusement posté tu n'aurai pas omis de signaler des faits qui pourrait intéresser les lecteurs, portez les galons de commandant dans l'armée Algerienne durant la décénnie noire est un fait qui devrait etre porté à la connaissance de tous comme on porte ses distinctions de la legion d'honneurs de la republique française , on mange à tous les râteliers , et comme l'a signalé Zlabya c'est aujourd'hui qu'il se reveil de par le passé quand il etait dans les rangs de l'ANP les choses etaient pires, durant le regne de Belkheir-Nezzar-Lamari- et la liste est indescriptible en ce temps là monsieur etait commandant , ce n'etait pas un caporal ou un sergent sous les ordres , il pouvait diriger une region, à moins qu'hier il dormait et aujourd'hui il commence à voir plus clair, ne soyez pas naif les gars , il a peut-être brillé par sa poésie et sa plume, mais permettez moi de doutez de cette intégrité des aurores, autre chose qu'il ne faut pas oublié s'il ne faisait pas pas parti integrante du systeme il aurait deja été liquidé pour ne pas dire assassiné, c'est un fin stratege qui sait tirer son epingle du jeu, essayez de comparer le cas de feu Abdelkader ALLOULA allah yerhamah qui a essayé de reveillé les espritset bousculé la nomenclatura mafieuse , lui le systeme ne l'a pas épargné il a été assassiné par balle soit disant par un terroriste .... j'arrete car cela me donne mal à la tête

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C'est tout ce que tu connais comme algériens ? ... Même des marocains ou des tunisiens connaissent ces 3 là ...

comme la majorité des algériens connaissent Mama traki ... tu sais qui c'est ?

 

non je connais bien d'autre personnes,yamaha(crb),boualem titich,hdidwan,.....la liste est longue je connais tellement de personnes que je peut meme les partage avec d'autres pour qu'ils deviennent des algériens.

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c'était pour te montrer à quel point c'est quelqu'un de très connu et pas seulement par ses concitoyens

 

 

"À la demande du président Abdelaziz Bouteflika, il est nommé directeur du Centre culturel algérien3, fonction à laquelle il est mis fin le 29 mai 2014, après qu'il a parlé « d'absurdité » et de « fuite en avant suicidaire » à propos du quatrième mandat de Bouteflika4." yakoul m3a el dib ou yebki m3a elra3i ,il mange avec le loup et il pleure avec le berger.lorsqu'il a su que le règne de pouvoir touche a sa fin,il a jouée la carte de démission avec le pouvoir pour qu'il parait propre question de blanchir sa personnalité et retourné au pouvoir par la grande porte "présidentielle"."Yasmina Khadra a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle du 17 avril 2014 à la fin de l'année 2013, avant de se retirer en mars, quelques semaines avant l'élection, n'ayant pas obtenu suffisamment de parrainages en vertu du code électoral algérien".qu'ils lui offrent une chaine en or,qu'ils lui mettent une couronne sur la tête,qu'ils lui décernent la plus haute décoration d'écrivain du monde,jamais il ne sera honoré par une légion d'honneur en algerie....ta pigé les raisons pour laquelle je ne connais pas ces déchets d'écrivains?

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Yasmina khadra est un auteur célèbre mais il faut pas blamer les gens qui ne le conaissent pas ^^

Yasmina khadra militaire, jaloux de kamel daoud,

Qui a suivi sa guerre sur journaux entre lui et kamel daoud?

c'etait marrant mdr

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@Faiste

 

dans le descriptif que tu as soigneusement posté tu n'aurai pas omis de signaler des faits qui pourrait intéresser les lecteurs, portez les galons de commandant dans l'armée Algerienne durant la décénnie noire est un fait qui devrait etre porté à la connaissance de tous comme on porte ses distinctions de la legion d'honneurs de la republique française , on mange à tous les râteliers , et comme l'a signalé Zlabya c'est aujourd'hui qu'il se reveil de par le passé quand il etait dans les rangs de l'ANP les choses etaient pires, durant le regne de Belkheir-Nezzar-Lamari- et la liste est indescriptible en ce temps là monsieur etait commandant , ce n'etait pas un caporal ou un sergent sous les ordres , il pouvait diriger une region, à moins qu'hier il dormait et aujourd'hui il commence à voir plus clair, ne soyez pas naif les gars , il a peut-être brillé par sa poésie et sa plume, mais permettez moi de doutez de cette intégrité des aurores, autre chose qu'il ne faut pas oublié s'il ne faisait pas pas parti integrante du systeme il aurait deja été liquidé pour ne pas dire assassiné, c'est un fin stratege qui sait tirer son epingle du jeu, essayez de comparer le cas de feu Abdelkader ALLOULA allah yerhamah qui a essayé de reveillé les espritset bousculé la nomenclatura mafieuse , lui le systeme ne l'a pas épargné il a été assassiné par balle soit disant par un terroriste .... j'arrete car cela me donne mal à la tête

Je suis plutôt d'accord avec ce que tu dis

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Yasmina khadra est un auteur célèbre mais il faut pas blamer les gens qui ne le conaissent pas ^^

Yasmina khadra militaire, jaloux de kamel daoud,

Qui a suivi sa guerre sur journaux entre lui et kamel daoud?

c'etait marrant mdr

Qu'il soit jaloux de KD ça ne m'étonne pas

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@FAîste

Je suis plutôt d'accord avec ce que tu dis

 

si parfois je m'emporte dans mes post ce n'est pas parce qu'une énergumène qui m'a trahie ,trahie les miens et trahie mon pays me fasse réagir, non !!! je n'attends rien de la racaille des laches qui n'ont ni principe , ni dignité , ni loyauté , je suis à fleur de peau lorsque je lis des com de ceux on qui j'ai confiance ceux a qui je me sens très proche, ceux on qui j'ai l'Esperance et le souhait qu'ensemble on pourra relever ce pays que nous aimons, remettre cette Algérie qui nous est chère au cœur sur ses jambes , cela meme on qui j'ai mis ma confiance vont donner credit et se faire avoir par ses magouilleurs

 

il faut se réveiller les gars y a n'a plus qu'assez meme si notre tour est déjà passé, est c'est trop tard pour nous, pensons à nos petits frères à nos petits neveux ,à vos petits enfants un demi siècle de berceuse et de haute trahison et ils arrivent encore à vous chantez les memes berceuses pour vous endormir

d'accord le gars à le verbe facile et maitrise l'art de l'écriture mais s'il se savait douer de ce don , pourquoi durant toute ses années n'a-t-il rien fait pour le peuple Algérien ? en sa qualité de commandant durant le grand totalitarisme de Chadli et les 40 voleurs de généraux, n'a-t-il rien vu ? n'a -t-il rien su ce brillantissime commandant , analyser les amis ce fait quand la vérité veut se faire lumière en pleine obscurité voila ce que dit Yasmina Khadra lui meme ses propos émane de sa bouche

" Mon épouse m'a soutenu et m'a permis de surmonter toutes les épreuves qui ont jalonné ma vie. En portant ses prénoms comme des lauriers, c'est ma façon de lui rester redevable. Sans elle, j'aurais abandonné. C'est elle qui m'a donné le courage de transgresser les interdits. Lorsque je lui ai parlé de la censure militaire, elle s'est portée volontaire pour signer à ma place mes contrats d'édition et m'a dit cette phrase qui restera biblique pour moi : “Tu m'as donné ton nom pour la vie. Je te donne le mien pour la postérité”

 

il savait bien qu'il était militaire et qu'il avait un droit de reserve, il a été assez intelligent pour braver les interdits afin de toucher son pécule du ministère de la defense, et gagner de l'argent d'une façon frauduleuse, ou est la morale et le sens de l'éthique chez quelqu'un qui se définit comme intègre et se permets de faire le procès d'une nation à laquelle il a contribué à gangréné par ses méthodes de corruption et de dictature dans le système qui lui a accroché les galants de commandant svp, maintenant j'arrive au summum de l'hypocrisie de cet homme, il savait et voyait les injustices qui se passait et ce que le peuple enduré s'il avait l'intelligence de s'approprié un pseudo pour écrire et gagner de l'argent et une notoriété chez ce qu'il définissait comme colonisateur afin qu'on lui accroche des glands , si vraiment c'était un patriote il n'aurait jamais porter les glands de la legion d'honneur de la patrie qui a assassiné Larbi ben M'hidi , Amirouche, didocuhe Mourad j'arrête la liste est longue, donc je disais s'il avait la presence d'esprit d'emprunter un pseudo pour écrire pourquoi n'a -t-il pas pris un pseudo pour dénoncer ce que ses compatriotes vivaient au quotidien et mis ses talons d'orateur au profit du peuple Algérien, pourquoi n'a-t-il pas informé anonymement l'organisation des nations Unis et le tribunal international des exactions des traitres de Belkheir , lamari- nezzar et les autres chiens enfin ..............

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Yasmina khadra est un auteur célèbre mais il faut pas blamer les gens qui ne le conaissent pas ^^

Yasmina khadra militaire, jaloux de kamel daoud,

Qui a suivi sa guerre sur journaux entre lui et kamel daoud?

c'etait marrant mdr

 

Moi ! :)

 

un petit aperçu, ça vaut le détour

 

http://www.a l g e r i e-focus.com/2011/06/cest-indigne-monsieur-khadra/

 

algerie sans espace

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