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Enfermé dans une cave à Béjaïa


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Il est des situations où l’homme reste sans voix devant certains comportements humains. L’histoire qui va suivre en est une. Elle est le récit de l’insoutenable calvaire que subit en ce moment même à Béjaïa une personne séquestrée depuis 31 ans par sa propre famille.

 

Pieds et mains ligotés par des chaînes, il se trouve dans une cave sombre spécialement conçue pour le priver de toute liberté, de tous mouvements par des geôliers qui ne sont autres que des membres de sa fratrie. Prenant son courage à deux mains, un cousin de la victime a décidé de rompre le silence en alertant la presse dans l’espoir que le détenu puisse recouvrer une vie humaine.

 

Les faits qu’il relate dépassent l’imagination. L’homme qui nous parle, Z. A., approche la cinquantaine. Sa gestuelle, les termes qu’il utilise et les moments d’absence durant lesquels il tente de se remémorer certains détails reflètent un traumatisme généré par cette situation terrifiante. Lui-même se dit avoir été victime d’un climat psychologique incroyable induit par le comportement d’un grand-père très spécial. Tout est parti de la folie de cet homme. «Mon grand-père était dominant, autoritaire. A la maison, personne ne pouvait le contredire, y compris mon père et celui de mon cousin (la victime). Il fallait impérativement obéir à tous ses ordres sans quoi, sa colère impitoyable s’abattait sur nous. A cette époque, mon cousin venait juste d’avoir 20 ans. C’était en 1985. Il avait alors été appelé au service national, mais il avait été très vite libéré pour un petit problème psychiatrique sans gravité».

 

C’est aussi l’époque à laquelle ce cousin découvre le tabac à chiquer. Il en est accro mais n’a pas les moyens d’en acheter et en quémande quotidiennement aux passants. Un jour, il tente carrément de dérober une boîte à chique d’une épicerie de sa ville, mais le propriétaire s’en aperçoit et réagit en le réprimandant. Le jeune s’emporte et brise la vitrine du magasin à coups de pierres. «Mes parents m’ont raconté que l’épicier s’est alors rendu chez mon grand-père pour se plaindre du fait». Le grand-père entre dans une grande colère. Il monte un plan machiavélique. C’est le début du calvaire de Z. A. Celui-ci se trouve dans une partie du jardin lorsqu’il voit venir vers lui son grand-père. Il est dans une fureur indescriptible. A l’aide d’une corde, il ligote son petit-fils à un arbre et le laisse ainsi, privé de nourriture durant plusieurs jours. Mais le temps qui passe n’apaise pas sa colère. Il prend la décision de l’emprisonner dans l’écurie familiale, située à une dizaine de kilomètres de la maison. La victime est enchaînée, abandonnée à son propre sort. Nul n’a le droit de lui rendre visite. La décision vaut également pour les parents et la grand-mère. «Ces années au service du grand-père diabolique sont difficiles à résumer, à raconter. Pour lui, seul compte son monde mental. Les autres sont des instruments. Il nous a enfermés dans ce climat psychologique pendant de longues années jusqu’à sa mort. Sa démence en a contaminé plus d’un, elle a fait des ravages».

 

 

Le grand-père finit par décéder, mais la victime n’en est pas pour autant libérée. Sa sœur, plus âgée d’une dizaine d’années, prend le relais. «Elle est d’une extrême méchanceté, elle est restée célibataire. Cette femme est dénuée de tous sentiments. Elle est là à surveiller tout le monde et personne n’ose franchir le seuil de sa demeure. A présent, il faut en finir et tout faire pour libérer mon cousin», fond en larmes notre interlocuteur. «Actuellement, il est malade, un membre de la famille a réussi à l’entrevoir après avoir escaladé le mur de la forteresse. C’était il y a cinq mois, il était souffrant, il avait été pris d’une crise épileptique, tout le monde dans son entourage pensait qu’il allait mourir. Même sa sœur, la geôlière était prise de panique. Pour la première fois, elle a accepté de le détacher. L’opération était difficile. Puis, elle lui a rasé la tête complètement et n’importe comment puis elle l’a nettoyé avant d’appeler les secours. En 30 ans, c’est la seule fois où il sortait de sa cave. Son frère cadet ne l’a pas quitté jusqu’à son retour en prison. Les pompiers qui étaient venus ignoraient complètement ce qui se passait», ajoute le cousin témoin. Le drame est que tout le voisinage sait par contre de quoi il en retourne. Ici, tous savent et se taisent. Silence compromettant, complice, incompréhensible…

 

Atterré par cette situation, le cousin de la victime décide un beau jour de dévoiler l’affaire aux autorités. «Il y a huit ans j’ai été au commissariat du 2e arrondissement déposer une plainte et signaler ce drame, l’officier m’a alors orienté vers un autre policier qui a pris note et mon affiliation sur une simple feuille pour ensuite ne rien faire. Tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une pure farce».

Alertée à son tour, la Ligue des droits de l’Homme, bureau de Béjaïa, a réagi à travers son vice-président. Saïd Salhi estime que cette affaire est «un cas d’une extrême gravité» et interpelle les instances judiciaires, toutes les âmes sensibles à agir rapidement pour libérer l’homme en question, «il s’agit d’une affaire de dignité humaine. Si ce monsieur est malade, sa place n’est pas dans un cachot mais plutôt dans un hôpital, je suis vraiment ému par ce drame humanitaire».

 

A l’heure actuelle, la victime est toujours enchaînée dans cette cave sombre. Mais, aujourd’hui tout le monde sait. Le soulagement est peut-être proche pour Z. A…

Kamel Gaci

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Il est des situations où l’homme reste sans voix devant certains comportements humains. L’histoire qui va suivre en est une. Elle est le récit de l’insoutenable calvaire que subit en ce moment même à Béjaïa une personne séquestrée depuis 31 ans par sa propre famille.

 

Pieds et mains ligotés par des chaînes, il se trouve dans une cave sombre spécialement conçue pour le priver de toute liberté, de tous mouvements par des geôliers qui ne sont autres que des membres de sa fratrie. Prenant son courage à deux mains, un cousin de la victime a décidé de rompre le silence en alertant la presse dans l’espoir que le détenu puisse recouvrer une vie humaine.

 

Les faits qu’il relate dépassent l’imagination. L’homme qui nous parle, Z. A., approche la cinquantaine. Sa gestuelle, les termes qu’il utilise et les moments d’absence durant lesquels il tente de se remémorer certains détails reflètent un traumatisme généré par cette situation terrifiante. Lui-même se dit avoir été victime d’un climat psychologique incroyable induit par le comportement d’un grand-père très spécial. Tout est parti de la folie de cet homme. «Mon grand-père était dominant, autoritaire. A la maison, personne ne pouvait le contredire, y compris mon père et celui de mon cousin (la victime). Il fallait impérativement obéir à tous ses ordres sans quoi, sa colère impitoyable s’abattait sur nous. A cette époque, mon cousin venait juste d’avoir 20 ans. C’était en 1985. Il avait alors été appelé au service national, mais il avait été très vite libéré pour un petit problème psychiatrique sans gravité».

 

C’est aussi l’époque à laquelle ce cousin découvre le tabac à chiquer. Il en est accro mais n’a pas les moyens d’en acheter et en quémande quotidiennement aux passants. Un jour, il tente carrément de dérober une boîte à chique d’une épicerie de sa ville, mais le propriétaire s’en aperçoit et réagit en le réprimandant. Le jeune s’emporte et brise la vitrine du magasin à coups de pierres. «Mes parents m’ont raconté que l’épicier s’est alors rendu chez mon grand-père pour se plaindre du fait». Le grand-père entre dans une grande colère. Il monte un plan machiavélique. C’est le début du calvaire de Z. A. Celui-ci se trouve dans une partie du jardin lorsqu’il voit venir vers lui son grand-père. Il est dans une fureur indescriptible. A l’aide d’une corde, il ligote son petit-fils à un arbre et le laisse ainsi, privé de nourriture durant plusieurs jours. Mais le temps qui passe n’apaise pas sa colère. Il prend la décision de l’emprisonner dans l’écurie familiale, située à une dizaine de kilomètres de la maison. La victime est enchaînée, abandonnée à son propre sort. Nul n’a le droit de lui rendre visite. La décision vaut également pour les parents et la grand-mère. «Ces années au service du grand-père diabolique sont difficiles à résumer, à raconter. Pour lui, seul compte son monde mental. Les autres sont des instruments. Il nous a enfermés dans ce climat psychologique pendant de longues années jusqu’à sa mort. Sa démence en a contaminé plus d’un, elle a fait des ravages».

 

 

Le grand-père finit par décéder, mais la victime n’en est pas pour autant libérée. Sa sœur, plus âgée d’une dizaine d’années, prend le relais. «Elle est d’une extrême méchanceté, elle est restée célibataire. Cette femme est dénuée de tous sentiments. Elle est là à surveiller tout le monde et personne n’ose franchir le seuil de sa demeure. A présent, il faut en finir et tout faire pour libérer mon cousin», fond en larmes notre interlocuteur. «Actuellement, il est malade, un membre de la famille a réussi à l’entrevoir après avoir escaladé le mur de la forteresse. C’était il y a cinq mois, il était souffrant, il avait été pris d’une crise épileptique, tout le monde dans son entourage pensait qu’il allait mourir. Même sa sœur, la geôlière était prise de panique. Pour la première fois, elle a accepté de le détacher. L’opération était difficile. Puis, elle lui a rasé la tête complètement et n’importe comment puis elle l’a nettoyé avant d’appeler les secours. En 30 ans, c’est la seule fois où il sortait de sa cave. Son frère cadet ne l’a pas quitté jusqu’à son retour en prison. Les pompiers qui étaient venus ignoraient complètement ce qui se passait», ajoute le cousin témoin. Le drame est que tout le voisinage sait par contre de quoi il en retourne. Ici, tous savent et se taisent. Silence compromettant, complice, incompréhensible…

 

Atterré par cette situation, le cousin de la victime décide un beau jour de dévoiler l’affaire aux autorités. «Il y a huit ans j’ai été au commissariat du 2e arrondissement déposer une plainte et signaler ce drame, l’officier m’a alors orienté vers un autre policier qui a pris note et mon affiliation sur une simple feuille pour ensuite ne rien faire. Tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une pure farce».

Alertée à son tour, la Ligue des droits de l’Homme, bureau de Béjaïa, a réagi à travers son vice-président. Saïd Salhi estime que cette affaire est «un cas d’une extrême gravité» et interpelle les instances judiciaires, toutes les âmes sensibles à agir rapidement pour libérer l’homme en question, «il s’agit d’une affaire de dignité humaine. Si ce monsieur est malade, sa place n’est pas dans un cachot mais plutôt dans un hôpital, je suis vraiment ému par ce drame humanitaire».

 

A l’heure actuelle, la victime est toujours enchaînée dans cette cave sombre. Mais, aujourd’hui tout le monde sait. Le soulagement est peut-être proche pour Z. A…

Kamel Gaci

 

quand la nature souffle une brise de ce qu'elle couvre comme atrocité,la vérité jailli pour arracher les masques scotché aux visages remplit d'horreurs et de cruauté,provoquant ainsi une chute précoce des barbares sous pseudos berbères,comme des feuilles de fleurs avant l’enclore.la sauvagerie et de nature berbère.grâce a ce berbère repenti qui a décidé de rompre avec le cannibalisme et joindre son âme a l’espèce humaine,et divulgué la face dissimulé de sa meute sournois. l'espoir renait pour que tout les berbère prennent exemple et empruntent le même parcours.

 

amicalement dentdesagesse

localisation algerie pays de merveille

dimanche 8 Mai 2016

15:45

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Guest Dark Shadow
quand la nature souffle une brise de ce qu'elle couvre comme atrocité,la vérité jailli pour arracher les masques scotché aux visages remplit d'horreurs et de cruauté,provoquant ainsi une chute précoce des barbares sous pseudos berbères,comme des feuilles de fleurs avant l’enclore.la sauvagerie et de nature berbère.grâce a ce berbère repenti qui a décidé de rompre avec le cannibalisme et joindre son âme a l’espèce humaine,et divulgué la face dissimulé de sa meute sournois. l'espoir renait pour que tout les berbère prennent exemple et empruntent le même parcours.

 

amicalement dentdesagesse

localisation algerie pays de merveille

dimanche 8 Mai 2016

15:45

 

Dentspourries arrête de cracher ton venin sur les berbères, et ravale tes méchancetés, parce que les zarabes sont des exemple en matière de respect des droits de l'homme? Laisse moi rire un peu, dans ton pays d'origine la femme ne conduit pas, on coupe et on tranche les gorges à volonté, voilà, ne me remercie pas pour le rappel, alors mon conseil, balai devant ta porte :) et laisse les berberes syadek à leur place,

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Guest thalwith
quand la nature souffle une brise de ce qu'elle couvre comme atrocité,la vérité jailli pour arracher les masques scotché aux visages remplit d'horreurs et de cruauté,provoquant ainsi une chute précoce des barbares sous pseudos berbères,comme des feuilles de fleurs avant l’enclore.la sauvagerie et de nature berbère.grâce a ce berbère repenti qui a décidé de rompre avec le cannibalisme et joindre son âme a l’espèce humaine,et divulgué la face dissimulé de sa meute sournois. l'espoir renait pour que tout les berbère prennent exemple et empruntent le même parcours.

 

amicalement dentdesagesse

localisation algerie pays de merveille

dimanche 8 Mai 2016

15:45

c'est tellement bas et pas sage.

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Dentspourries arrête de cracher ton venin sur les berbères, et ravale tes méchancetés, parce que les zarabes sont des exemple en matière de respect des droits de l'homme? Laisse moi rire un peu, dans ton pays d'origine la femme ne conduit pas, on coupe et on tranche les gorges à volonté, voilà, ne me remercie pas pour le rappel, alors mon conseil, balai devant ta porte :) et laisse les berberes syadek à leur place,

 

c'est l'effet d'une utopie maléfique qui vous pousse constamment a vous sentir tjr meilleurs,vous êtes tromper par le modèle de terre a terre qui fait de vous des carcasses j''insulte pas votre race je vous expose le constat de votre réalité question de mettre vos pieds sur terre et vous évité l'usage d'ailes chimérique qui ne vous transportent pas plus loin de vous sourcilles.allez vous exorcisez chez les chamanistes,débarrassez vous de cette orgueil qui possède vos esprits,peut être un jour vous réaliserez le degré de votre inefficacité

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c'est l'effet d'une utopie maléfique qui vous pousse constamment a vous sentir tjr meilleurs,vous êtes tromper par le modèle de terre a terre qui fait de vous des carcasses j''insulte pas votre race je vous expose le constat de votre réalité question de mettre vos pieds sur terre et vous évité l'usage d'ailes chimérique qui ne vous transportent pas plus loin de vous sourcilles.allez vous exorcisez chez les chamanistes,débarrassez vous de cette orgueil qui possède vos esprits,peut être un jour vous réaliserez le degré de votre inefficacité

 

Ce cher dents pourries,tu ne vas pas me croire,mais je te promets que c'est comme ça que je t’apprécie le plus...

Un conseil soigne toi les dents quand même,je le sens d'ici,ce n'est pas très agréable...:mdr::mdr::mdr:

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Guest Dark Shadow
c'est l'effet d'une utopie maléfique qui vous pousse constamment a vous sentir tjr meilleurs,vous êtes tromper par le modèle de terre a terre qui fait de vous des carcasses j''insulte pas votre race je vous expose le constat de votre réalité question de mettre vos pieds sur terre et vous évité l'usage d'ailes chimérique qui ne vous transportent pas plus loin de vous sourcilles.allez vous exorcisez chez les chamanistes,débarrassez vous de cette orgueil qui possède vos esprits,peut être un jour vous réaliserez le degré de votre inefficacité

 

Oui et bien je dirai tout le contraire, c'est vous les zarabes qui ont ce complexe d'infériorité, et essayez par tout les moyens d'accabler les berbères de toute sorte de tares au lieu de vous pencher sur votre propre réalité, regarde toi dans un miroir en répétant : je doit guérir de mon obsession raciste des kabyles, tu guériras peut être un jour.... :)

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Ce cher dents pourries,tu ne vas pas me croire,mais je te promets que c'est comme ça que je t’apprécie le plus...

Un conseil soigne toi les dents quand même,je le sens d'ici,ce n'est pas très agréable...:mdr::mdr::mdr:

 

l'appréciation est réciproque mon cochon

 

tu sais quoi mon cochon,s'il s’avère que le dentiste qui va me soigner les dents et d’origine berbère je te promis que ma dent pourrie vaudra ma gratitude et Valoir son pesant d'un diamant,pour ne pas céder a un membre impure de ta meute sournois infecté mes microbes, je me sentirai vaincu.

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Oui et bien je dirai tout le contraire, c'est vous les zarabes qui ont ce complexe d'infériorité, et essayez par tout les moyens d'accabler les berbères de toute sorte de tares au lieu de vous pencher sur votre propre réalité, regarde toi dans un miroir en répétant : je doit guérir de mon obsession raciste des kabyles, tu guériras peut être un jour.... :)

 

l'ennui est que mon miroir est incapable de mentir qu'a chaque fois que je lui prononce ta formule "je dois guérir de mon obsession raciste des kabyle" il me crache dessus question de me rendre la vu et me mettre en garde.

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Alors c'est ça ta stratégie !!! attaquer les kabyle et offrir une rose à celui qui te réponds le moins méchamment !!! :mdr:

 

 

c'est pour découvrir la partie qui n'est pas encore infecté,les encourager et sauvé ce qu'on peut sauvé des rescapé kabyles.c'est un acte de bienveillance,purement humaniste quoi:D

et pis,bien vu,!!ton esprit de finesse prouve que tu es bou3raven tawa3na.:D

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l'appréciation est réciproque mon cochon

 

tu sais quoi mon cochon,s'il s’avère que le dentiste qui va me soigner les dents et d’origine berbère je te promis que ma dent pourrie vaudra ma gratitude et Valoir son pesant d'un diamant,pour ne pas céder a un membre impure de ta meute sournois infecté mes microbes, je me sentirai vaincu.

 

Désolé,je n'ai rien pigé à ton charabia...mais bonne continuation quand même...

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aujourd'hui tout le monde sait qu'il est enfermé, mais personne ne réagit ?

 

Alors on respecte le vieux, la vieille , mais pas la victime ?

 

moi c'est avec une voiture-bélier que je le sors de là..

 

bien que comme toi j’étais stupéfier,de constater qu'il ne s’agissait pas d'un clavaire qui vient de prendre fin mais d'une initiative de motivation pour basculer la conscience des gens et les pousser a agir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et les autorités locale ont t'ils besoin d'une motivation?

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Guest thalwith
aujourd'hui tout le monde sait qu'il est enfermé, mais personne ne réagit ?

 

Alors on respecte le vieux, la vieille , mais pas la victime ?

 

moi c'est avec une voiture-bélier que je le sors de là..

 

comme c'est une histoire de famille les gens n'osent pas trop s'y immiscer, les autorités doivent vite intervenir surtout que le cousin a déposé plainte.

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Guest thalwith
c'est pour découvrir la partie qui n'est pas encore infecté,les encourager et sauvé ce qu'on peut sauvé des rescapé kabyles.c'est un acte de bienveillance,purement humaniste quoi:D

et pis,bien vu,!!ton esprit de finesse prouve que tu es bou3raven tawa3na.:D

 

Tabra inchllah :)

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bien que comme toi j’étais stupéfier,de constater qu'il ne s’agissait pas d'un clavaire qui vient de prendre fin mais d'une initiative de motivation pour basculer la conscience des gens et les pousser a agir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! et les autorités locale ont t'ils besoin d'une motivation?

 

ça fait peur,

 

et il y en a combien comme lui qui sont enfermés alors ?

 

peut-être que ce sont des histoires de familles qui doivent se régler qu'en famille !!!!!

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comme c'est une histoire de famille les gens n'osent pas trop s'y immiscer, les autorités doivent vite intervenir surtout que le cousin a déposé plainte.

 

c'est ce que je pense aussi, mais c'est une personne qui est en extrême urgence .. je sais pas dans quel état ils vont le récupérer. il y a longtemps j'ai vu une histoire similaire, la victime à la fin ressemblait plus à un animal qu'à une personne, elle a été complètement désocialisée.

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Guest thalwith
c'est ce que je pense aussi, mais c'est une personne qui est en extrême urgence .. je sais pas dans quel état ils vont le récupérer. il y a longtemps j'ai vu une histoire similaire, la victime à la fin ressemblait plus à un animal qu'à une personne, elle a été complètement désocialisée.

 

j'ose même pas imaginer son état il a été privé de tout contact humain;;;; 31 ans de cloisonnement c'est pas rien !!!!!

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j'ose même pas imaginer son état il a été privé de tout contact humain;;;; 31 ans de cloisonnement c'est pas rien !!!!!

 

il faut qu'il soit pris en charge par des spécialistes très vite. Ils lui ont bouffé toute sa vie.

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