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Le chômage recule en Algérie


Guest GlamourDZ

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Guest GlamourDZ

L’Algérie comptait près de 1,5 millions de chômeurs en 2005, soit un taux de chômage de 15,3%, en baisse de près de 50% par rapport à l’année 2000, selon le ministre du travail et de la sécurité sociale, Tayeb Louh, qui s’exprimait devant les députés à l’Assemblée nationale.

mardi 17 octobre 2006.

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Guest GlamourDZ

Ce que je ne comprend pas, c comment font ils pour être aussi précis dans les chiffres sachons qu'a ma connaissance, il n'y a aucune organisation en algérie où peuvent les chômeurs s'inscrire pour leurs prise en charge ?!!!

 

 

 

De plus beaucoups de gents trvaillent en algérie sans être déclarés par leurs patrons.

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N'essaies surtout pas de comprendre, l'explication est simple : Ces chiffres sont truqués !

 

A entendre le gouvernement algérien, tout va bien en Algérie. Naturellement vu l'absence d'organismes indépendants pour juger l'action de nos ministres le gouvernement joue seul sur le terrain et se permet de dire tout et n'importe quoi !

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Guest Jouljoul

Peut-être le ministère s'est basé sur les nouveaux enregistrés à la Sécurité sociale ... enfin, c'est une hypothèse mais je suis assez d'accord avec vous ... l'Algérie n'est pas la reine des recensements, des sondages et des enquêtes sociales ...:o

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Guest Jouljoul

Pauvreté en Algérie en chiffres

 

En 2005, le ministre de la Solidarité et de l’Emploi avait osé déclaré à la radio, qu’il n'existe, en Algérie, que 85.969 citoyens vivant en-dessous du seuil de pauvreté. La Banque mondiale avançait, elle, plutôt au moins 7 millions.

 

Bien sûr, le ministre avait tenu - au fait, est-ce toujours le même (Ould Abbas) ?- qu’il n’y a pas de pauvres en Algérie. « Il n’y a que des nécessiteux ! », en disant que la Banque mondiale se basait sur un vieil indicatif, selon lequel ceux qui ont moins d’un dollar par jour sont pauvres.

 

Il est vrai qu'un dollar en Algérie, cela fait ... quoi 70 dinars ? Si l'on s'en tient, dans ce cas, à ce que disait le ministre, le calcul de la Banque mondiale serait 70 x 30 jours = 2100 dinars ! Même en triplant ce montant, cela ne ferait que 6300 dinars ... M. Ould Abbas avait un curieux sens de la richesse ...

 

Il est vrai que la notion de pauvreté, en Algérie, est toute relative, elle se baserait - sur la déclaration alors du même ministre - sur 4 critères : absence de revenus et de logement, non accès aux services de la santé et à l’éducation. Et non pas sur le PIB.

 

Le hic, c'est qu'il ne dit pas que le PIB ne concerne qu'une minorité - allons, soyons indulgents, une peu plus d'une minorité - qui profite de tout ce PIB ... forcément, si l'on ne tient compte que des chiffres de la rente pétrolière et de ce que l'Algérie possède en milliards de dollars, nous sommes censés être riches ...

(source jeune afrique 06/10/2005)

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