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Je songe a porter le voile mais j'hesite


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Tout ce qui est venu,et qui vient encore de ce désert est nuisible, toxique,pour n'importe quel humain digne de ce nom !!!

 

TOUT?

 

Même la danse du ventre? je ne pense pas.

J'aime bien aussi Abou Nouwas. Il faut lire ses vers acides à l'égard des imams...

La langue arabe est une belle langue, pleine de nuances.

 

Mais OUI le wahabisme est une Karitha (catastrophe).

 

Wahabites retournez chez vos maîtres à Ryadh!

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Tout ce qui est venu,et qui vient encore de ce désert est nuisible, toxique,pour n'importe quel humain digne de ce nom !!!

 

Faut pas abuser, tout de même, la généralisation à outrance n'est jamais bonne, il y a du bon et du mauvais comme n'importe où...

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Faut pas abuser, tout de même, la généralisation à outrance n'est jamais bonne, il y a du bon et du mauvais comme n'importe où...

 

Ne te gène pas énumère,qu'on voit un peu...combien de tètes coupées rien pour ce premier trimètre 2016 ???

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TOUT?

 

Même la danse du ventre? je ne pense pas.

J'aime bien aussi Abou Nouwas. Il faut lire ses vers acides à l'égard des imams...

La langue arabe est une belle langue, pleine de nuances.

 

Mais OUI le wahabisme est une Karitha (catastrophe).

 

Wahabites retournez chez vos maîtres à Ryadh!

 

RIEN,absolument rien!!!

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RIEN,absolument rien!!!

 

 

22 mai 2016 / Mis à jour à 12:03 - Paris Newsletter / Alertes e-mail / English edition / Flux /

 

 

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Egypte - Irak - Histoire - Homosexualité - Littérature - Religion

Abou Nouwas et son amour des jeunes hommes

jeudi 18 octobre 2012 / par Renaud Towe

 

 

Le poète Abou Nouwas

De nombreux poètes arabes et persans n’ont cessé de jouer avec les limites de la morale. Parmi eux, Abou Nouwas était sans doute le plus provocateur et certainement l’un des plus talentueux. D’abord protégé par certains mécènes puis contraint à l’exil en Egypte, le grand poète finira sa vie en prison où il trouvera la foi. Sa vie scandaleuse et son amour du péché auront raison de sa liberté.

 

Issu d’un milieu persan arabisé, le jeune Abou Nouwas est vendu par sa famille à un épicier de Bassorah, puis migre vers Bagdad à la fin du VIIIe siècle. Là-bas, il se lance dans la poésie et brille de par son esprit et son humour. Il est même remarqué par les vizirs barmécides, qui assurent sa protection et son traitement. Le talentueux poète connaît alors une période de liberté et touche à de nombreux sujets tabous dans les sociétés musulmanes de l’époque (et d’aujourd’hui) comme le vin ou l’homosexualité. Il donne d’ailleurs des cours de lettres à de nombreux jeunes hommes issus des plus grandes familles de la ville.

 

Or, progressivement, sa liberté de ton choque certaines composantes de la société, et particulièrement le calife Haroun ar-Rachid, qui en plus d’être pieux ne supporte pas les Barmécides. Il finit d’ailleurs par les faire assassiner. Abou Nouwas perd donc soudainement ses protecteurs et fuit vers l’Egypte afin de ne pas subir le même sort. C’est à la mort du calife, en 809, qu’il peut enfin quitter l’Afrique pour retourner à Bagdad.

 

Le malheureux retour d’Egypte

 

En arrivant dans la cité, Abou Nouwas est certain de pouvoir exercer à nouveau sa poésie en toute quiétude. En effet, le nouveau calife, Muhammad Al-Amin, fils de Haroun ar-Rachid, n’est autre qu’un de ses anciens élèves. Dans un premier temps, il ne cesse d’écrire des poèmes élégiaques sur ce nouveau protecteur, qui l’apprécie. Toutefois, le comportement du poète se dégrade de jour en jour. Il boit de plus en plus, se montre avec de jeunes hommes et sa plume devient si scandaleuse qu’Al-Amin ne peut plus s’encombrer d’un tel ami et le fait emprisonner.

 

Al-Mamoun renverse finalement son frère, Al-Amin, en 813. Plus conservateur, ce dernier n’a aucune pitié pour Abou Nouwas, qui pourtant cherche à se forger une nouvelle réputation en faisant son éloge et en demandant à Dieu de lui pardonner dans ses poèmes. Certains pensent que son repentir est sincère, d’autres qu’il ne vise qu’à gagner le cœur du nouveau calife, à l’instar du vizir Zombor. Le captif s’éteint finalement, peut-être empoisonné, dans sa cellule de Bagdad en 815, avec tout son talent. Il laisse derrière lui une multitude de poèmes qui gardent encore de nos jours leur caractère subversif.

 

Un exemple de poème corrosif : « Au bain maure »

 

« Ce que les pantalons ont caché se révèle.

 

Tout est visible. Rince-toi l’œil à loisir.

 

Tu vois une croupe, un dos mince et svelte

 

Et rien ne pourrait gâcher ton plaisir.

 

On se chuchote des formules pieuses…

 

Dieu, que le bain est une chose délicieuse !

 

Même qu’en venant avec leurs serviettes,

 

Les garçons du bain ont troublé la fête. »

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Vous êtes grosses et voulez cacher vos formes?

Faites du sport et mangez moins gras, c'est mieux.

 

Si Zibour comment va ? :mdr: :).

 

Bravo, tu as compris le fond de ma pensée à quelques nuances près. Et j'ajouterai que je ne veux pas qu'on me matte directement ou indirectement, surtout dans le domaine professionnel. Je suis mal à l'aise dans ce genre de situation au point d'en être confuse et perdre confiance en moi.

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Si Zibour comment va ? :mdr: :).

 

Bravo, tu as compris le fond de ma pensée à quelques nuances près. Et j'ajouterai que je ne veux pas qu'on me matte directement ou indirectement, surtout dans le domaine professionnel. Je suis mal à l'aise dans ce genre de situation au point d'en être confuse et perdre confiance en moi.

 

Si ça va?

Ya khti, rahmatt Rabi.

Après 3 verres de bon vin, je passe au café.

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Si Zibour comment va ? :mdr: :).

 

Bravo, tu as compris le fond de ma pensée à quelques nuances près. Et j'ajouterai que je ne veux pas qu'on me matte directement ou indirectement, surtout dans le domaine professionnel. Je suis mal à l'aise dans ce genre de situation au point d'en être confuse et perdre confiance en moi.

 

Excusez moi pour certains posts peut être un peu trop vif.

 

Je vous avoue je suis un peu étonné par votre post.

Mais je peux comprendre qu'une femme vive une situation difficile.

Moi même quand je vivais fel bled je suis allé une fois à la mosquée pour voir comment on fait.

L'idée était de donner le change.

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Je vais peut être vous étonner et en étonner d'autres.

Mais je vous conseille de porter le voile.

Cela, si ça vous permet d'évoluer professionnellement.

Car que des femmes réussissent professionnellement (qu'elles soient voilées ou pas), c'est une belle réussite.

Et Mlles et MMe, c'est vous qui faites évoluer notre société.

Et pour cela, on vous doit "chapeau bas".

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Mme ou Mlle, je vais vous faire une confidence.

Quand est née ma fille, je me suis dit, à 17 ans, je veux que si elle le souhaite, elle puisse se mettre en Jeans"s et qu'elle ne soit pas forcée à mettre un hidjab.

Je n'ai pas trouvé de solutions.

Mes voisins devenaient de plus en plus pratiquant.

J'ai priis ma valise et j'ai pris l'avion pour Orly...

Laissant derrière moi, mon logement, mon terrain, mes amis et ma ... bibliothèque.

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Je vais peut être vous étonner et en étonner d'autres.

Mais je vous conseille de porter le voile.

Cela, si ça vous permet d'évoluer professionnellement.

Car que des femmes réussissent professionnellement (qu'elles soient voilées ou pas), c'est une belle réussite.

Et Mlles et MMe, c'est vous qui faites évoluer notre société.

Et pour cela, on vous doit "chapeau bas".

 

Ce que j’apprécie avec certaines personnes, c'est qu'on a pas besoin de faire un dessin pour leur expliquer un probleme. Et pour cela je t'en felicite Si zoubir :35::35::)

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Guest thalwith

C'est une démarche purement personnelle, demander conseil ne te servira pas à grand choses

, demande toi plutot pouquoi veux tu le porter : est ce pour rentrer dans moule , est ce c'est purement spirituel ? Le jour où tu pourras répondre a ces questions tu sauras si tu es prête a le porter ou pas.

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Mme ou Mlle, je vais vous faire une confidence.

Quand est née ma fille, je me suis dit, à 17 ans, je veux que si elle le souhaite, elle puisse se mettre en Jeans"s et qu'elle ne soit pas forcée à mettre un hidjab.

Je n'ai pas trouvé de solutions.

Mes voisins devenaient de plus en plus pratiquant.:rolleyes:

J'ai priis ma valise et j'ai pris l'avion pour Orly...

Laissant derrière moi, mon logement, mon terrain, mes amis et ma ... bibliothèque.

 

A vous lire, on croirait que toutes les femmes sont contraintes de porter le hidjeb en Algérie

qu'elles sont toutes assujetties, :rolleyes:

les choses ont changé depuis Babour l' Australie :)

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Ce que j’apprécie avec certaines personnes, c'est qu'on a pas besoin de faire un dessin pour leur expliquer un probleme. Et pour cela je t'en felicite Si zoubir :35::35::)

 

Ya khti, merci pour le "Si".

Mais "Zoubir" suffira, même si votre geste me va droit au coeur.

Cela ne doit pas être facile pour vous.

Notre société algérienne a besoin de reconnaître le rôle des femmes.

Il me semble, je peux me tromper, mais que des femmes occupent l'espace professionnel est une très grande révolution dans l'Algérie de 2016.

Sachons analyser la situation comme ellle est.

Il y a actuellement un discours basé sur le religieux et qui a tendance à rejeter les femmes.

Pourtant du peu de ce que je sais de notre religion, le Prophète avait une épouse commerçante qui évoluait donc dans la cité.

 

Le plus important est donc que les Algériennes puissent être présentes dans la société.

Elles font ainsi évoluer les garçons.

Allah ghaleb A3lihoum.

Moi au collège, à l'approche du Ramadhan, un surveillant passait dans les classes

et nous lisait une circulaire:

les garçons ne devaient pas s'asseoir près des filles.

On m'a inculqué cela dans la tête.

J'imagine nos jeunes à qui certains ont dû leur inculquer ce genre d'idées.

 

Avec voile ou pas...

Peu être que dans 50 ans on n'en parlera plus.

Regardez les défilés du 5 juillet des années 650, les Agériennes étaient en jupe...

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A vous lire, on croirait que toutes les femmes sont contraintes de porter le hidjeb en Algérie

qu'elles sont toutes assujetties, :rolleyes:

les choses ont changé depuis Babour l' Australie :)

 

Récemment, une étudiante de Bab Ezouar a été attaquée par un groupe d'étudiants.

Motif: elle ne portait pas de voile...

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La réplique classique.

 

Je peux vous citer les attaques à l'acide de certains déséquilibrés.

 

 

Témoignage. Au Maroc, le fléau du harcèlement de rue

 

Avant de partir pour le Maroc, il y a quelques petites choses à savoir lorsque l’on est une femme, indique Noël Lindquist sur le site Morocco World News. Si cette photographe américaine basée à Tanger dit “ne pas regretter une minute de s’être installée au Maroc”, elle met en garde contre le harcèlement de rue, un problème “culturellement très accepté, comme quelque chose qui a toujours existé et qui existera toujours”. Les sifflements, les regards insistants et les insultes sont quasi quotidiens dans les rues marocaines et s’adressent à toutes les femmes. Noël Lindquist prévient :

 

Aucune femme n’est à l’abri. Quels que soient votre âge, votre taille, votre appartenance ethnique ou votre religion. Les musulmanes, les non-musulmanes, les étrangères, les expatriées, celles qui portent des minijupes, les voilées, les mariées, les célibataires, les mères, les sans-enfants, les Noires, les Blanches, les femmes à la peau mate, les jeunes, les vieilles, chaque femme sera confrontée à une forme de harcèlement.”

 

La non-application des lois contre le harcèlement, qui existent pourtant, le conservatisme de la société, la frustration sexuelle et le manque d’éducation sur les droits des femmes sont autant de raisons qui expliquent ce phénomène, selon la photographe. Elle précise que, malgré ce qu’elle a pu entendre de nombreuses fois, “ce problème est culturel et non religieux”.

 

Pour y faire face, quelques conseils : ignorer les commentaires, s’habiller de façon discrète, menacer d’aller voir la police ou apprendre quelques mots de dialecte. “On m’avait prévenu, mais je n’ai pas laissé ces avertissements m’arrêter, et vous ne devriez pas non plus”, conseille l’expatriée, qui continue de se dire “amoureuse” du Maroc.

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Moi même à la grande poste marchant à côté d'une jeune fille de ma famille (une belle blondinette très jolie)

un jeune, ne voyant pas que je l'accompagnais, a lancé à son passage:

"la3chiya n'wassekh a3lik".

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Une copine émigrée m'a racontée que au Khroubs, même marchant dans la rue avec son père lui font des remarques osées.

 

En France des femmes ont été agressées parc qu'elles portaient le hidjeb,

dans d'autres pays, elles sont insultées,

est-ce que cela veut dire que dans ces pays toutes les femmes sont agressées,

que toutes les femmes ne peuvent s'habiller comme ça leur chante ou mener la vie qui leur convient ? :rolleyes:

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Moi même à la grande poste marchant à côté d'une jeune fille de ma famille (une belle blondinette très jolie)

un jeune, ne voyant pas que je l'accompagnais, a lancé à son passage:

"la3chiya n'wassekh a3lik".

 

Tu es en train de mélanger les choses.

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