Massinissa 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Tout d'abord je tiens à m'incliner à la mémoire des jeunes algériens qui sont tombés à cette époque car ils ont permis aux algériens d'arracher les quelques libertés dont ils disposent à ce jour. Mais ce qui est frustrant c'est de voir le tournant qu'a pris la vie après ces événements, l'idéal pour lequel ces centaines (voir milliers) de jeunes se sont sacrifiés a été bafoué aussi bien par les islamistes que par ceux qui se réclament démocrates. Reposez en paix ! Citer Link to post Share on other sites
Guest cerise Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 très mauvais souvenir, quant aux libertés arrachées , elles me semblent minimes ou plutôt quasi inexistante par rapport aux pertes, des centaines de jeunes semblaient embrasser enfin la liberté, semblaient exprimer leurs envies mais il n'y a eu que la mort; ma mémoire de gamine me fait revivre la couleur rouge de leur sang ruisselant tout au long des trottoir de bab el oued, des gaz lacrymogènes et ça continue à ce jour, le périple n'a pas trouvé sa fin. paix en leur âme. Citer Link to post Share on other sites
sd&rr 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Tout d'abord je tiens à m'incliner à la mémoire des jeunes algériens qui sont tombés à cette époque car ils ont permis aux algériens d'arracher les quelques libertés dont ils disposent à ce jour. Mais ce qui est frustrant c'est de voir le tournant qu'a pris la vie après ces événements, l'idéal pour lequel ces centaines (voir milliers) de jeunes se sont sacrifiés a été bafoué aussi bien par les islamistes que par ceux qui se réclament démocrates. Reposez en paix ! y a pas que des mort, dans cette histoire, y a aussi des disparu, est leur sort est plus terrible je ponce, parce que leur mères leur pères leur proche ne peuvent faire le deuil des ces disparus. les groupes armés qui se proclament islamistes ont enlevé des centaines voire des milliers d'Algériens et d'Algériennes pendant le conflit qui ravage le pays depuis le début des années 90, conflit qui a coûté la vie à plus de 100 000 personnes. mais y a pas que les terroriste qui sont en cause, Entre 1992 et 1998, les forces de l’ordre algériennes et leurs alliés ont arrêté et fait disparaître plus de 7 000 personnes dont on est toujours sans nouvelles. Ce chiffre dépasse celui des «disparitions » organisées ces dix dernières années dans tout autre pays, à l’exception de la période de guerre en Bosnie. lire le rapport HRW 2003 http://hrw.org/french/reports/2003/algeria/rapport-fr.pdf aujourd'hui le Dossier des disparus c'est calvaire administratif.Deux ans après la promulgation des lois régissant la charte et la réconciliation nationale, le blocage administratif continue. LADDH pour quoi ce silence. ? parce que les texte de "la Charte pour la paix et la réconciliation nationale " officiellement approuvé par la majorité, constituent la réponse finale du régime aux demandes de vérité et de justice des familles de disparus et des organisations de défense des droits de la personne. notamment l’article 46 de l’ordonnance présidentielle d’application de la charte pour la paix et la réconciliation. Ordonnance portant mise en oeuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale qui est pourtant Anticonstitutionnelle, stipule que " Est puni d’un emprisonnement de trois (3) ans à cinq (5) ans et d’une amende de 250.000 DA à 500.000 DA, quiconque qui, par ses déclarations, écrits ou tout autre acte, utilise ou instrumentalise les blessures de la tragédie nationale, pour porter atteinte aux institutions de la République algérienne démocratique et populaire, fragiliser l’Etat, nuire à l’honorabilité de ses agents qui l’ont dignement servie, ou ternir l’image de l’Algérie sur le plan international. .... En cas de récidive, la peine prévue au présent article est portée au double. " en terme claire interdisent aux Algériens de porter plainte contre des membres des services de sécurité parce que elle peu donné lieu a la comparution d'officier Algérien devant le tribunal international ad hoc. a lire > En Algérie, du conflit armé Ã* la violence sociale, par Lahouari Addi (Le Monde diplomatique) mais les ONG demande de rendre des compte, c'est ce que présente le rapporte de Human Rights Watch (HRW) " L'impunité au nom de la réconciliation" > L'impunit!页 nom de la rï顮ciliation Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 très mauvais souvenir, quant aux libertés arrachées , elles me semblent minimes ou plutôt quasi inexistante par rapport aux pertes, des centaines de jeunes semblaient embrasser enfin la liberté, semblaient exprimer leurs envies mais il n'y a eu que la mort; ma mémoire de gamine me fait revivre la couleur rouge de leur sang ruisselant tout au long des trottoir de bab el oued, des gaz lacrymogènes et ça continue à ce jour, le périple n'a pas trouvé sa fin. paix en leur âme. Pourtant quand boutef bafoue chaque jour ces liberté arrachées et nous fait reculer de 10 ans en arrière, tu trouve qu'il fait bien son travail, quand boutef dit à Genève que les algériens d'octobre n'ont jamais demandé la liberté et la démocratie tu trouve qu'il est compétent. Ce n'est pas comme ça que tu rendras hommage à ces jeunes qui ont donné leur vie pour que toi et moi puissions vivre LIBRES, la meilleure façon de leur rendre hommage est de continuer leur combat, de dénnoncer ceux qui bafouent les libertés chaque jour que le bon dieu fait dans ce pays. Citer Link to post Share on other sites
sd&rr 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Pourtant quand boutef bafoue chaque jour ces liberté arrachées et nous fait reculer de 10 ans en arrière, tu trouve qu'il fait bien son travail, quand boutef dit à Genève que les algériens d'octobre n'ont jamais demandé la liberté et la démocratie tu trouve qu'il est compétent. Ce n'est pas comme ça que tu rendras hommage à ces jeunes qui ont donné leur vie pour que toi et moi puissions vivre LIBRES, la meilleure façon de leur rendre hommage est de continuer leur combat, de dénnoncer ceux qui bafouent les libertés chaque jour que le bon dieu fait dans ce pays. boutef na fait que retardé l'inévitable, les gens vont en avoir mare et vont se révolté.. boutef n'apporte pas des solution durable, il diminue un peu la pression le temps de ses mandat. alors ce qu'il a fait pour la paix n'ai pas digne d'éloge, surtout sachant que cette charte pour la concorde civil est anticonstitutionnelle Citer Link to post Share on other sites
HB 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Ce qu'ils en pensent: trois lectures Ahmed Ouyahia, SG du RND “C’est une vaste manipulation” Ahmed Ouyahia est formel : les événements d’Octobre 1988, dont nous célébrons le 20e anniversaire, sont “les fruits des contradictions du système. Je les ai vécus dans une situation tragique. C’est une vaste manipulation, ce n’est pas un sursaut démocratique, c’est la conjonction de deux facteurs : l’effondrement du prix du pétrole qui a vu le rêve de notre jeunesse s’évaporer et le débat contradictoire dans le système. Il y avait des manœuvres d’appareils”, car Chadli pour lequel Ouyahia rend hommage “a voulu opérer des changements”. “Les contradictions systémiques internes se sont soldées dans la rue. Notre armée de conscrits a dû descendre dans la rue pour ramener le calme et l’État s’est trouvé secoué gravement.” Pour le chef du gouvernement, “c’est vrai, il y avait une soif de changement dans la société, mais ce n’est pas la rue qui a ramené le pluralisme. L’histoire s’écrira un jour”, indique-t-il, en concluant qu’“il y a une évolution démocratique pas assez vite qu’on le souhaite mais en avance”. PS : Cette déclaration a été faite lors de sa dernière conférence de presse en réponse à une question de Liberté. Saïd Bouhedja, chargé de la communication au FLN “Il n’y a pas une véritable démocratie en Algérie” n La période qui nous sépare du 5 Octobre 88 est “très courte pour évaluer les choses”. C’est, du moins, ce qu’a indiqué Saïd Bouhedja, le chargé de la communication au Front de libération nationale (FLN), en guise de réaction à vingt ans après les évènements du 5 Octobre 88. “L’Algérie avance avec des pas constants vers la concrétisation de la démocratie réelle”, note le responsable du FLN avant d’expliquer qu’“il n’y a pas une véritable démocratie en Algérie”. “La démocratie est synonyme de culture, et sans culture, nous ne pouvons pas enraciner la démocratie”, explique à ce sujet Bouhedja. Aussi, la construction démocratique, du point de vue du représentant de la formation majoritaire, “a besoin de gens capables ayant la culture institutionnelle et avec des programmes politiques”. Or, selon lui, “il y a beaucoup de médiocrité”. “Nous avons dès lors besoin d’alternatives.” Quoi qu’il en soit, notre interlocuteur pense qu’il y a “une volonté politique pour changer les choses”. Toutefois, aux yeux de notre interlocuteur, il y a au moins un acquis, “le multipartisme”. “Le multipartisme c’est devenu quelque chose de clair, net et précis dans notre pays”, note Bouhedja pour lequel “il y a une tolérance entre les différentes formations politiques”. Définissant le multipartisme comme étant “un dialogue entre les différents partis pour créer une complémentarité dont l’aboutissement est de bâtir le pays”. Tarik MIRA, Secrétaire national aux relations internationales du RCD “Octobre 1988 demeure un repère fondateur” Les évènements du 5 Octobre 1988, au-delà de l’importance de son aspect tragique, ont d’abord révélé a posteriori que le multipartisme s’est installé par effraction dans notre pays. À cette période, les contradictions internes avaient, en effet, atteint leur sommet au sein d’un système déjà obsolète et vieillissant. Ce dernier a implosé. Le souffle de la légitimité historique, elle-même usurpée, s’est épuisé. Une nouvelle génération frappe à la porte de la scène politique avec ses propres aspirations et d’autres espérances. Le 5 Octobre, c’est une jeunesse marginalisée, ignorant toute manipulation, qui quêtait le changement, synonyme d’une meilleure vie dans le respect de la dignité humaine. Contre la hogra, cette revendication portée par les manifestants n’est autre que cet immense désir d’être respecté et considéré. La pureté et la fraîcheur juvéniles d’une population en révolte tournant au drame ont révélé, à la face du monde, la vraie nature du système : une variante sous-développée du totalitarisme qui recourt sans vergogne à la violence sanguinaire. Quelles que soient les manipulations, Octobre 1988 n’est pas le fruit du hasard. La société civile a commencé à s’émanciper de la force tutélaire de l’État et revendiquait la fin du monopole partisan, et ce depuis le début des années 1980. Le combat pour les libertés démocratiques et les droits de l’homme a pénétré en profondeur les esprits jusqu’à ébranler un certain nombre au sein même du système. La chute brutale des prix du pétrole en 1986 a précipité la chute en aiguisant les frictions internes. Octobre 1988 demeure un repère fondateur car il a soulevé une formidable espérance qui reste d’actualité. Les promesses non tenues et les détournements qui ont pu être opérés sur ce moment historique, au nom de la démocratie réduite exclusivement à l’arithmétique du nombre, ne peuvent détourner notre génération de notre mission relancée par l’élan d’Octobre 1988 : réconcilier l’Algérie avec son passé, réconcilier les Algériens avec leur État grâce à cet instrument — but et moyen — qu’est la démocratie dans sa plénitude. Citer Link to post Share on other sites
djamal 2008 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Pourtant quand boutef bafoue chaque jour ces liberté arrachées et nous fait reculer de 10 ans en arrière, tu trouve qu'il fait bien son travail, quand boutef dit à Genève que les algériens d'octobre n'ont jamais demandé la liberté et la démocratie tu trouve qu'il est compétent. Ce n'est pas comme ça que tu rendras hommage à ces jeunes qui ont donné leur vie pour que toi et moi puissions vivre LIBRES, la meilleure façon de leur rendre hommage est de continuer leur combat, de dénnoncer ceux qui bafouent les libertés chaque jour que le bon dieu fait dans ce pays. Pourquoi, M. Bouteflika n'était pas au pouvoir, c'était M. Chadli le responsable des événements du 5 oct 1988. Et c'était un complot qui a mener à la mort de ces jeunes innocents. Rahmatou Allah 3alayahim It happened on his watch. Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Saïd Bouhedja, chargé de la communication au FLN “Il n’y a pas une véritable démocratie en Algérie” n La période qui nous sépare du 5 Octobre 88 est “très courte pour évaluer les choses”. C’est, du moins, ce qu’a indiqué Saïd Bouhedja, le chargé de la communication au Front de libération nationale (FLN), en guise de réaction à vingt ans après les évènements du 5 Octobre 88. “L’Algérie avance avec des pas constants vers la concrétisation de la démocratie réelle”, note le responsable du FLN avant d’expliquer qu’“il n’y a pas une véritable démocratie en Algérie”. “La démocratie est synonyme de culture, et sans culture, nous ne pouvons pas enraciner la démocratie”, explique à ce sujet Bouhedja. Aussi, la construction démocratique, du point de vue du représentant de la formation majoritaire, “a besoin de gens capables ayant la culture institutionnelle et avec des programmes politiques”. Or, selon lui, “il y a beaucoup de médiocrité”. “Nous avons dès lors besoin d’alternatives.” Quoi qu’il en soit, notre interlocuteur pense qu’il y a “une volonté politique pour changer les choses”. Toutefois, aux yeux de notre interlocuteur, il y a au moins un acquis, “le multipartisme”. “Le multipartisme c’est devenu quelque chose de clair, net et précis dans notre pays”, note Bouhedja pour lequel “il y a une tolérance entre les différentes formations politiques”. Définissant le multipartisme comme étant “un dialogue entre les différents partis pour créer une complémentarité dont l’aboutissement est de bâtir le pays”. Concentré de langue de bois en si peu de propos de la part de ceux la même qui insultent la démocratie matin et soir ! Il fallait le faire ! PS : Si je ne me trompe pas c'est cet énergumène qui disait que l'agitation contre l'augmentation des salaires des députés était due à... la main étrangère ! Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Pourquoi, M. Bouteflika n'était pas au pouvoir, c'était M. Chadli le responsable des événements du 5 oct 1988. Et c'était un complot qui a mener à la mort de ces jeunes innocents. Rahmatou Allah 3alayahim It happened on his watch. Je parle pas de la période 88, je parle d'aujourd'hui, une grande partie des acquis de 88 s'est évaporée dans les nuages depuis que boutef est au pouvoir. J'ajoute ceci, boutef était au pouvoir avant 88, il a donc participé à la dictature qui régnait en Algerie ! Citer Link to post Share on other sites
nouraa 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Pourtant quand boutef bafoue chaque jour ces liberté arrachées et nous fait reculer de 10 ans en arrière, tu trouve qu'il fait bien son travail, quand boutef dit à Genève que les algériens d'octobre n'ont jamais demandé la liberté et la démocratie tu trouve qu'il est compétent. Ce n'est pas comme ça que tu rendras hommage à ces jeunes qui ont donné leur vie pour que toi et moi puissions vivre LIBRES, la meilleure façon de leur rendre hommage est de continuer leur combat, de dénnoncer ceux qui bafouent les libertés chaque jour que le bon dieu fait dans ce pays. continuer le combat...comment ???? Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 continuer le combat...comment ???? On commençant pas acheter une paire de gants de boxe. Citer Link to post Share on other sites
HB 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Ce qui m'étonne est la lecture de Ouyahia , il renie au mouvement du 05 oct l'étincelle par laquelle les changements qui se sont opérés, il renie le droit de victimes á ceux qui ont bravé la mort , 500 morts, des milliers de bléssés, la torture dans les commissariats, les jugements nocturnes á huit clos qui envoyaient certains agitateurs en prison histoire de s'en debarasser pendant 6 mois. Ouyahia fait l'éloge de chadli des changements qu'il allait opérer et et il renie le ras le bol de toute une société contre la gestion catastrophique de chadli et du FLN de Messadia et de l'article 120. Un pouvoir qui tire sur ses enfants n'a aucune justification , Chadli a donné l'ordre de tirer et il passe á la télé pleurer en direct. On s'attendait á ce qu'il démissionne car il a failli, non, le monsieur brigue un 3eme mandat et nous livre au FIS. La suite tout le monde la connait. Citer Link to post Share on other sites
djamal 2008 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Je parle pas de la période 88, je parle d'aujourd'hui, une grande partie des acquis de 88 s'est évaporée dans les nuages depuis que boutef est au pouvoir. J'ajoute ceci, boutef était au pouvoir avant 88, il a donc participé à la dictature qui régnait en Algerie ! Ca faisait 10 ans qu'il avait quitté le pouvoir en 88. Il s'est passé beaucoup de temps depuis qu'il avait quitté et une forte hausse des prix du pétrole que Chadli aurait exploité pour lancer son programme d'une vie meilleure, mais il s'est attaquée d'une manière ridicule à la période de son prédécesseur et les algériens applaudissaient pour lui durant cette période, et pour sortir de l'embarras après la chute des prix du pétrole il nous a offert la solution du FIS, faut-il lui dire merci encore? On parle toujours du 5 octobre j'espère... Citer Link to post Share on other sites
yanate 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Tout d'abord je tiens à m'incliner à la mémoire des jeunes algériens qui sont tombés à cette époque car ils ont permis aux algériens d'arracher les quelques libertés dont ils disposent à ce jour. Mais ce qui est frustrant c'est de voir le tournant qu'a pris la vie après ces événements, l'idéal pour lequel ces centaines (voir milliers) de jeunes se sont sacrifiés a été bafoué aussi bien par les islamistes que par ceux qui se réclament démocrates. Reposez en paix ! massi bon retour a toi de quoi tu parle, avancer ce genre de phrase, si tu parle du zit smid zebda... ça c l'economie de marché qui demande ça:rolleyes: serieux j'aimerai bien connaitre ton idée:) Citer Link to post Share on other sites
admin 2 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 Ca faisait 10 ans qu'il avait quitté le pouvoir en 88. Il s'est passé beaucoup de temps depuis qu'il avait quitté et une forte hausse des prix du pétrole que Chadli aurait exploité pour lancer son programme d'une vie meilleure, mais il s'est attaquée d'une manière ridicule à la période de son prédécesseur et les algériens applaudissaient pour lui durant cette période, et pour sortir de l'embarras après la chute des prix du pétrole il nous a offert la solution du FIS, faut-il lui dire merci encore? On parle toujours du 5 octobre j'espère... Les algériens se sont révolté pour la liberté contre l'oppression et la hogra. Qui a installé la dictature et la non liberté en Algérie ? L'équipe de Oujda avec à sa tête Boumedienne et Boutefilka. De deux, je répète et j'insiste "une grande partie des acquis de 88 s'est évaporée dans les nuages depuis que boutef est au pouvoir" Citer Link to post Share on other sites
nouraa 10 Posted October 5, 2008 Partager Posted October 5, 2008 On commençant pas acheter une paire de gants de boxe. une paire de gants de boxe:rolleyes: pourquoi faire ??? c'est une période d'éléctions...c'est le moment ou jamais ..allez fonce adminou avec tes gants de boxe..:04: Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.