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18 Moments réconfortants dans des scène d'émeute...


Guest Dark Shadow

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On dit que l'on ne peut vraiment tester une personne que dans les moments les plus difficiles. En périodes de guerres ou de troubles, tout ce que nous pouvons imaginer ce sont les armes, le feu, la police, des personnes souffrantes, la famine et la mort. Toutes ces images nous font grincer les dents, juste par le fait d'y penser, l'histoire nous a appris à quel point c'est terrible, une histoire pleine de chaos. Cependant, lors d'incidents désagréables comme ceux que nous vous faisons voir, on vous présente des gens qui sont vraiment prêts à aider, des gens qui sont prêts à se sacrifier pour le bien des autres, des gens qui sont prêts à donner ce qu'ils ont sans demander quelque chose en retour. Les images suivantes sont les moments les plus inimaginables au cours de scènes d'émeutes qui vont certainement attendrir vos cœur.

 

Une femme qui tente de défendre la police anti-émeute contre des émeutiers en colère. Colombie 2013.

 

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Une femme embrassant un policier lors de la révolution contre le Gouvernement de Moubarek, Egypte.

 

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Des chrétiens protégeant des musulmans qui prient, lors de la révolution égyptienne. Egypte 2011.

 

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Un pretre qui se dresse comme bouclier entre des émeutiers et la police. Ukraine 2013.

 

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Un jeune étudiant qui enlace un policier lors de protestations pour des réformes du système éducatif. Colombie 2011.

 

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Un protestataire qui partage des crackers avec la police anti-émeute, Colombie 2013.

 

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Un protestataire anti-gouvernement offrant des roses à un soldat, Tailande 2013

 

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Des citoyens offrant du thé à la police anti-émeute, Angleterre, 2011

 

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Des citoyens décident de nettoyer (j'ai envie de dire le bordel :D) qu'ont foutu les émeutiers à Londres, 2011.

 

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Un protestataire brésilien portant un policier blessé vers une zone de sécurité, 2012

 

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Des protestataires ramènent un gateau pour célébrer l'anniversaire d,un policier anti-émeute, Brésil 2013

 

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Un policier iranien protégé par des civiles après que des émeutiers l'ait passé à tabac.

 

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Un enfant offrant un ballon en forme de cœur à un policier anti-émeute, Roumanie, 2012

 

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Police et protestataires pleurant ensemble, Bulgarie 2013

 

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Des policiers anti-émeute aidant une femme victime de jets de bombe lacrymogène. Turquie 2013

 

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Une petite fille offrant des bouteilles d'eau à des policiers. Bosnie 2013

 

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Des policiers anti-émeute enlèvent leurs casques pour rejoindre des protestataires. Allemagne 2011

 

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Des protestataires aidant un chien touché par des gaz lacrymogène. Turquie 2013

 

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Euh ... Houda-Imane Faraoun Ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication avec Nouria Benghabrit-Remaoun Ministre algérienne de l'Éducation nationale récompensés avec du délla3 (athman chay'e 3and él djazaïri fi had ramadan )par des NoLifes ... après avoir descendu en mer mordre les câbles de la fibre optique ... mouhawala fachila mais c'est le geste qui compte comme dirait l'autre :D

 

 

 

 

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photo bézzaf émouvante :lol:

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A Mantes-la-Jolie, des milliers de « musulmans ordinaires » défilent « contre la barbarie »

 

LE MONDE | 19.06.2016 à 19h28 • Mis à jour le 20.06.2016 à 06h45 | Par Florence Aubenas

 

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Marche à Mantes-la-Jolie, dimanche 19 juin, à l'appel du collectif des mosquées du Mantois, à la mémoire des deux policiers assassinés à Magnanville.

Ce sont ceux qu’on ne voit pas, ceux qu’on n’entend jamais. Ceux sur lesquels les caméras et les micros glissent généralement sans s’arrêter. Ceux qui ne font pas de bruit. Voila Aziz, agent à la RATP, sa femme Zohra, assistante maternelle et leurs deux fils, qui viennent d’acheter un pavillon. Ou encore Mohamed, ingénieur, avec Hasna, agent de sécurité, fans de marche à pied. Leur fille n’est pas là : elle joue à un concert de flûte traversière.

 

Et encore Farid, 28 ans, graphiste, qui rêve d’écrire des romans, à côté d’Hamid, professeur de philosophie et Zouhair, agent d’assurance. Ce dimanche 19 juin, tous défilent vers le commissariat de Mantes-la-Jolie (Yvelines) ; un cortège d’invisibles, venus de toute la région. En hommage au couple de policiers assassinés lundi 13 juin à Magnanville, un bourg voisin, le collectif des mosquées mantoises avait appelé les « citoyens français de confession musulmane » à une marche silencieuse. Cinquième rassemblement après le meurtre, celui-ci a créé la surprise : près de 4 000 personnes (2 500 selon la police), un des plus nombreux, avec celui organisé par les policiers.

 

Lire aussi : A Magnanville, la peur et la colère des policiers

 

image: http://s1.lemde.fr/image/2016/06/19/534x0/4953669_6_1f7c_omar-eddaoudi-imam-de-la-grande-mosquee-de_e3a38cc87bb42d5e8ad24aae9c4a66b7.jpg

Omar Eddaoudi, imam de la grande mosquée de Mantes-la-Jolie, en tête de la marche à la mémoire des deux policiers assassinés au nom de l’Etat islamique.

 

Depuis les attentats contre Charlie Hebdo ou le Bataclan, Mehdi Berka, 43 ans, recteur de la grande Mosquée de Mantes-la-Jolie, participe régulièrement à tous les hommages. A chaque fois, il a l’impression pourtant d’entendre le même reproche : « Pourquoi les musulmans restent-ils silencieux ? Pourquoi ne bougent-ils pas ? »

 

Avec les quatre responsables des mosquées de la région, ils ont décidé, cette fois, de marquer le coup :

 

« Afficher la réalité de notre désarroi, prendre nos responsabilités et signifier un message clair à nos concitoyens : nous nous démarquons. »

 

Des tracts ont été diffusés dans les alentours, après la prière du vendredi, ainsi que des SMS ou des messages sur les réseaux sociaux, sans faire appel aux institutions religieuses ou politiques traditionnelles. « Nous ne nous adressons pas à la puissance publique, mais aux gens du quotidien », reprend le recteur, Mehdi Berka. L’affaire n’était pas gagnée. Seul précédent comparable, une manifestation confessionnelle avait été organisée par Hassen Chalgoumi, l’imam de Drancy parfois controversé, au moment de l’affaire Mohamed Merah, en avril 2012. Bilan : deux cents personnes à peine, place de la Bastille.

 

image: http://s2.lemde.fr/image/2016/06/19/534x0/4953668_6_b311_dans-la-marche-a-l-appel-du-collectif-des_2782e6b35db94189bc28d5e0cdd22c52.jpg

Dans la marche à l’appel du collectif des mosquées des environs de Mantes-la-Jolie, dimanche 19 juin.

Dans la marche à l’appel du collectif des mosquées des environs de Mantes-la-Jolie, dimanche 19 juin. Marc Chaumeil pour Le Monde

« Ce n’est pas dans nos habitudes de s’afficher »

 

L’atmosphère, cette fois, est toute autre, du monde, des familles surtout. Pour beaucoup, c’est le premier défilé. « On est des musulmans ordinaires, ce n’est pas dans nos habitudes de s’afficher », dit Said, professeur de maths. En marchant vers le commissariat, Zoubida, 35 ans, croit entendre son père quand il lui répétait : « Ne fais pas d’histoire, ma fille, et surtout pas de politique. On n’est pas chez nous. » Elle n’a pas osé lui dire qu’elle venait. « C’est tout un apprentissage pour nous. On a peut-être eu tort, au fond, de ne jamais nous montrer. »

 

Dans les rangs du cortège, on parle du meurtre, bien sûr, mais aussi de ce sentiment d’un climat quotidien de plus en plus tendu. « En quelques mois, j’ai vu ma voisine devenir raciste. Je la sens en panique », dit Farida. Tout heurte maintenant. Un groupe d’hommes débat âprement football : faut-il ou non soutenir l’équipe de France cette année, depuis la non-sélection de Ben Arfa pour l’Euro ? « Du racisme », soutient Chawki, employé de banque. Depuis, il boycotte les matchs des tricolores. Hamid aussi, qui est infirmier. « Je suis dégoûté, c’est le numéro 1. » Mourad, au désespoir : « Qu’est ce qu’on va faire pendant tout le mois de l’Euro ? »

« La peur d’avoir des problèmes ensuite »

 

Quelques-uns veulent quitter la marche avant d’arriver au commissariat. On parle de « craintes ». Et s’il se passait quelque chose ? « Dans mon intérieur profond, je redoute une attaque terroriste », dit une mère de famille. Son mari ne voulait pas venir du tout. Elle l’a forcé, « tant pis, il faut être courageux ». Son grand fils est resté devant la télé, « la peur d’être photographié, reconnu et d’avoir des problèmes ensuite ».

 

image: http://s1.lemde.fr/image/2016/06/19/534x0/4953670_6_0859_depot-de-gerbe-devant-le-commissariat-de_5d8acac6e481f835fb3f28e553dfa1f6.jpg

Dépôt de gerbe devant le commissariat de Mantes-la-Jolie, par des représentants des mosquées des environs, dimanche 19 juin.

Dépôt de gerbe devant le commissariat de Mantes-la-Jolie, par des représentants des mosquées des environs, dimanche 19 juin. MARC CHAUMEIL POUR LE MONDE

 

Devant l’hôtel de police, des scouts musulmans déposent une gerbe, avec une grande photo du couple assassiné. Applaudissements. On attend qu’un officier ou une délégation sorte. Personne. En revanche, plusieurs voitures de police déboulent du garage, sirènes hurlantes, forçant la foule à décamper. Quelques-uns leur font des signes de solidarité. Pas un regard, les visages des agents sont tendus, à cran.

 

Aucune force de sécurité n’a été déployée dans les voies adjacentes pour sécuriser le défilé et empêcher la circulation. Du coup, c’est Yazid Kerfi, médiateur social, qui a mis sa voiture en travers de la rue principale. « Vous savez que c’est interdit, je peux vous mettre en prison pour ça », lui dit un policier. L’autre demande pourquoi ils ne le font pas eux-mêmes. Laconique : « On n’a pas de consigne. » Un grand rigole : « On n’est pas tombé dans les bras les uns des autres. »

 

Quelques-uns s’accrochent aux barrières métalliques qui entourent le commissariat depuis le meurtre. Mais derrière, tout le monde est déjà parti. Deux femmes s’embrassent. « Tu as vu ? On l’a fait. J’aurais jamais cru que je pouvais me le permettre. »

 

Florence Aubenas

Journaliste au Monde

 

 

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/meurtres-de-policiers-a-magnanville/article/2016/06/19/a-mantes-la-jolie-des-milliers-de-musulmans-ordinaires-defilent-contre-la-barbarie_4953671_4950044.html#sRA3bB94uqTH7G1j.99

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On parle pas de marches Zoubir, on parle de moments de fraternité lors d'émeutes.

 

Car ce n'est pas de la fraternité, des citoyens musulmans français qui marchent en solidarité avec des policiers assassinés par un terroriste islamiste?

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Guest Dark Shadow
Car ce n'est pas de la fraternité, des citoyens musulmans français qui marchent en solidarité avec des policiers assassinés par un terroriste islamiste?

 

Je voulais te taquiner un peu, ^^

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On parle pas de marches Zoubir, on parle de moments de fraternité lors d'émeutes.

 

Car ce n'est pas de la fraternité, des citoyens musulmans français qui marchent en solidarité avec des policiers assassinés par un terroriste islamiste?

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