pmat 276 Posted June 24, 2016 Partager Posted June 24, 2016 (edited) SALAM A la destruction des trois statues afghane en mars 2001 Paysage culturel et vestiges archéologiques de la vallée de Bamiyan * Les Bouddhas de Bâmiyân étaient trois statues monumentales en haut-relief de bouddhas debout, excavées dans la paroi d'une falaise située dans la vallée de Bâmiyân du centre de l'Afghanistan, à 230 kilomètres au nord-ouest de Kaboul et à une altitude de 2 500 mètres. Le site tout entier est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Les statues ont aujourd'hui disparu après avoir été détruites en mars 2001 par les talibans1. La statue du grand Bouddha (Dipankara) avant et après sa destruction en mars 2001 Ces peuples vivaient du tourisme Bon s'en prendre a ces statues mais alors, a des gens qui font le mal dans nos propres cartiers et a ceux qui volent chaques jours et qui font beaucoup de mal dans nos pays les voleur les menteurs les violeurs ceux qui pratiquent la corruption ET CEUX LA IL LES LAISSENT ET EUX SAVENT CE QU'IL FONT! LES MUSULMANS AURAIENT DU S'INDIGNER ET DÉNONCER Que cela n'est pas l'islam ON SAIT QUE L'ISLAM NE S'AGENOUILLENT PAS DEVANT DES STATUES MAIS AUCUN ECRIT CORANIQUE QUI DIT DÉTRUISEZ LES STATUES OU TOUT AUTRE CHOSES DES AUTRES RELIGIONS Par contre Est ce que nous les musulmans on aimerait qu'on viennent détruire nos mosquées? PAR CET ACTE ON AURA DONNER LE DROIT A CE QU’ON DÉTRUISE LES MOSQUÉES ET DEPUIS COMBIEN DE MOSQUÉES SONT DÉTRUITE LE PLUS SIMPLEMENT DU MONDE POURTANT DIEU AVAIT RÉPONDU A CETTE QUESTION Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. 1. Dis : "ô vous les infidèles ! 2. Je n'adore pas ce que vous adorez. 3. Et vous n'êtes pas adorateurs de ce que j'adore. 4. Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez. 5. Et vous n'êtes pas adorateurs de ce que j'adore. 6. A vous votre religion, et à moi ma religion". Edited August 23, 2016 by pmat Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted June 24, 2016 Author Partager Posted June 24, 2016 Caractéristiques[modifier | modifier le code] Les Bouddhas de Bâmiyân étaient situés dans le centre-est de l'Afghanistan, dans le district de Bâmiyân de la province du même nom, au nord-nord-ouest de la capitale Kaboul. Les statues étaient au nombre de trois : le grand Bouddha avec 53 mètres de hauteur et le petit Bouddha avec 38 mètres de hauteur situées juste à côté de la ville de Bâmiyân ainsi que le Bouddha de Kakrak mesurant 10 mètres de hauteur et situé à quatre kilomètres au sud-est2. Ces trois statues avaient été sculptées en haut-relief de sorte qu'elles se détachaient du fond d'une niche aménagée dans la falaise en grès. Les détails fins modelé sur la roche par un mélange de paille et de plâtre en faisaient des représentants du style Gandhara3. Les statues étaient à l'origine colorées, la plus grande en carmin et les autres de multiples couleurs4. Un quatrième Bouddha est mentionné dans d'anciens textes ; il serait couché, mesurerait environ 300 mètres de longueur et serait enseveli sous les alluvions de la vallée5. C'est lors d'une mission de localisation de cette statue qu'une équipe d'archéologues afghans découvre une autre statue de bouddha couché de 19 mètres de longueur, elle aussi ensevelie5. Les informations concernant ce quatrième Bouddha doivent être considérées avec précaution, en attendant les conclusions des études archéologiques en cours le concernant, menées notamment par Zemaryalaï Tarzi, professeur honoraire à l'université de Strasbourg. Une représentation fantaisiste des bouddhas (1878-79) dessin dû à une mission russe Le grand Bouddha et les grottes où vivaient les moines. Un grand flou entoure les dates de construction de ces bouddhas. Les archéologues sont très prudents à ce sujet. Ils estiment que ces statues colossales et l'ensemble des travaux sur le site ont été réalisées entre 300 et 700, certains précisant que le « grand Bouddha » (53 mètres) daterait du Ve siècle, le « petit Bouddha » (38 mètres) de la seconde moitié du troisième siècle, des décors peints ayant été réalisés sur les deux statues et sur les parois des niches durant les siècles suivants6. À quatre kilomètres au sud-est des Bouddhas de Bâmiyân, à Kakrak, se trouve un autre bouddha creusé dans la falaise, d'une hauteur de dix mètres, de facture plus grossière que les précédents. On le date du Ve ou du VIe siècle, peut-être d'une époque ultérieure7. Ces statues étaient taillées directement dans les falaises de grès, mais les détails avaient été modelés dans un mélange de boue et de paille, puis enduits de stuc. Cet enduit, qui avait pratiquement disparu depuis bien longtemps, était peint pour améliorer le rendu des expressions des visages, des mains et du drapé des robes. Les parties inférieures des bras des statues ont été faites du même mélange d'argile et de paille et soutenues par des armatures en bois. On pense que les parties supérieures des visages étaient constituées de grands masques en bois ou en métal. Les alignements de trous que l'on peut remarquer sur les photographies accueillaient des chevilles en bois servant à stabiliser la couverture de stuc. Vestiges des cellules des moines dans la falaise de Bâmiyân (certaines de ces cellules sont aujourd'hui utilisées comme habitations). Située sur la route de la soie reliant la Chine et l'Inde au monde occidental, Bâmiyân se développa comme un centre religieux comportant plusieurs monastères bouddhistes. Ce centre majeur, l'un des plus importants du IIe siècle jusqu'à l'apparition de l'islam dans la vallée, à la fin du IXe siècle, accueillait moines et ermites qui résidaient dans de petites cavernes creusées dans la paroi des falaises tout au long de la vallée de Bâmiyân. Le pèlerin bouddhiste chinois Hiuen-Tsang (Xuanzang) qui traverse la vallée en 632, l'année de la mort de Mahomet, décrit Bâmiyân comme un centre bouddhiste en plein épanouissement « comptant plus de dix monastères et plus de mille moines » et indique que les deux bouddhas géants « sont décorés d'or et de bijoux fins »8. Environ 100 ans plus tard, le moine bouddhiste coréen Huizhao traverse lui aussi la région9. Au XIe siècle, le grand savant musulman Al-Bîrûnî, curieux des réalisations bouddhistes, avait traduit un poème (aujourd'hui disparu) sur les Bouddhas de Bâmiyân10. William Moorcroft est le premier Occidental a découvrir les Bouddhas. Les fresques évoquent pour lui le style du Tibet qu'il a exploré11. Au XIXe siècle, divers voyageurs européens ont été émerveillés en découvrant le site de Bâmiyân et les bouddhas creusés dans la falaise ; ils en ont laissé des descriptions et des dessins parfois fantaisistes. Entre 1842 et 1870, à la suite de nombreuses tentatives d'invasions Britanniques, venues des Indes Britanniques, des armes à feux et des canons arrivèrent dans la région : les statues sont alors criblées de balles, et d'impacts. Destruction[modifier | modifier le code] La niche vide du grand Bouddha. À la suite de l'envoi de Mutawas saoudiens en Afghanistan pour aider le gouvernement des talibans à former leur police de répression du vice et de promotion de la vertu, le gouvernement taliban fut convaincu de démolir les Bouddhas de Bâmiyân, sachant que toute représentation humaine est interdite par la doctrine islamique12. En 2001, après avoir survécu relativement épargnées durant plus de quinze siècles13, avoir assisté à la destruction de la ville de Bâmiyân par les Mongols de Genghis Khan en 1221, avoir subi l'occupation russe, les statues sont décrétées idolâtres par Mohammed Omar14 et les talibans les détruisent au moyen d'explosifs et de tirs d'artillerie. En mars 2001, les deux statues avaient disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant une vive émotion de par le monde1. Pendant l'opération de destruction, Qadratullah Jamal, le ministre de l'Information taliban, déplora que « ce travail de destruction n'[était] pas aussi facile que les gens pourraient le penser. Vous ne pouvez pas abattre les statues par quelques coups de canons car toutes deux sont découpées dans une falaise et sont fermement attachées à la montagne. » Après la destruction, le mollah Omar déclara qu'il était « fier de tous les talibans qui avaient participé à la destruction de cette horreur impie synonyme d'une religion pour dégénérés. » Selon l'ambassadeur afghan au Pakistan de l'époque, Abdul Salam Zaïf (en), le Japon est le pays qui a le plus fait pression pour tenter d'empêcher la démolition des statues15. Une délégation officielle japonaise accompagnée d'un groupe de bouddhistes sri lankais a proposé de recouvrir les statues, et même de les démonter pour les reconstruire pièce par pièce à l'étranger, ce que les talibans ont refusé15. De son côté, l'UNESCO avait délégué un envoyé spécial, Pierre Lafrance16, ambassadeur de France, membre fondateur de la Society for the preservation of Afghanistan’s Cultural Heritage (SPACH). En 2012, le fonds Japonais Saatchi proposa de reconstruire les deux statues, à ses frais, au gouvernement Afghan, qui refusa fermement. En 2014, le gouvernement Afghan refusa l'installation d'une mission Bouddhiste, et d'un monastère Bouddhiste, ainsi que la reconstruction des statues, à Bâmiyân, offres proposées par des organisations Bouddhistes Japonaises, Taïwanaises, et Thaïlandaises. Début 2015, des fondamentalistes Musulmans proposèrent la construction d'une mosquée sur les lieux, financée par des fonds Saoudiens. La construction d'une Medersa est aussi à l'étude. La construction en Chine du Bouddha du Temple de la Source peut être lue comme une réaction à ces destructions. Archéologie et restauration[modifier | modifier le code] Restes des fresques de la coupole du grand Bouddha (2008) Les premières études archéologiques sérieuses ont été conduites par la Délégation archéologique française en Afghanistan (DAFA), avec André Godard et Joseph Hackin au début des années 1920, et poursuivies par ce dernier dans les années 1930. Des fouilles archéologiques complémentaires sont effectuées par la DAFA, sous la direction de Zemaryalaï Tarzi, professeur à l'université de Strasbourg, auteur d'une thèse de doctorat sur les fresques de Bamiyân17. Bien que les statues soient presque totalement détruites, leurs contours et quelques parties sont encore reconnaissables dans les cavités. Il est aussi toujours possible d'explorer les cavernes des moines et les passages qui les relient. Cependant, la restauration du site n'a pas été jugée prioritaire par l'UNESCO et les bouddhas géants ne seront probablement jamais reconstruits. Les efforts se portent aujourd'hui dans deux directions, la consolidation de la falaise et plus particulièrement des niches qui ont beaucoup souffert des bombardements des talibans, et la recherche du troisième bouddha, un bouddha couché en parinirvâna, dont Xuanzang fait la description et qui se trouverait dans la vallée, peut-être enseveli. Le musée de Kaboul conservait des fresques provenant de Bâmiyân ; certaines ont été endommagées durant les guerres civiles, quelques-unes ont pu être restaurées ou sont en cours de restauration. D'autres fresques sont exposées au Musée Guimet à Paris. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted June 25, 2016 Author Partager Posted June 25, 2016 c'est d'ailleur un sujet que nos Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted June 25, 2016 Author Partager Posted June 25, 2016 (edited) C'EST D'AILLEUR A MON HUMBLE AVIS UN SUJET QUE LES MOSQUES DEVRAIT DEBATTRE ET PLUTOT METTRE EN AVANT CAR DEVANT CES COMPORTEMENTS (PEUT ETRE SINCERE) EN ATTENDANT LE MAL EST FAIT ET L'ISLAM EST MONTRER DU DOIGT MAIS SI L'ENSEIGNEMENT AVAIT ETE FAIT ON AURAIT PAS EUT CES DERIVES CAR DES ANCIENS CHEFS MUSULMANS DES HADITH RACONTENT LORSQUE PENDANT LEUR TRAVERSSES DES CONTREES ILS LEURS EST ARRIVER DE SE RENDRE COMPTE DE LA VESTUTES DES EGLISES, ET POSANT LA QUESTION, POURQUOI ELLES ETAIENT DANS CET ETAT LES CUREES EXPLIQUENT QU’IL MANQUAIT DE BRAS ET DONC CES CHEFS MUSULMANS ONT MIS A LA DISPOSITION DE CES CUREES DES HOMMES POUR REPARRER CES EGLISES DONC L’ISLAM EST BIEN DIFFERENT DE CELUI QUI NOUS ES MONTRE Edited June 25, 2016 by pmat Citer Link to post Share on other sites
Mario22 10 Posted June 25, 2016 Partager Posted June 25, 2016 C'EST D'AILLEUR A MON HUMBLE AVIS UN SUJET QUE LES MOSQUES DEVRAIT DEBATTRE ET PLUTOT METTRE EN AVANT Ils ne peuvent pas, c'est conforme la destruction des idoles et des representations humaine CAR DES ANCIENS CHEFS MUSULMANS DES HADITH RACONTENT LORSQUE PENDANT LEUR TRAVERSSES DES CONTREES ILS LEURS EST ARRIVER DE SE RENDRE COMPTE DE LA VESTUTES DES EGLISES, ET POSANT LA QUESTION, POURQUOI ELLES ETAIENT DANS CET ETAT LES CUREES EXPLIQUENT QU’IL MANQUAIT DE BRAS ET DONC CES CHEFS MUSULMANS ONT MIS A LA DISPOSITION DE CES CUREES DES HOMMES POUR REPARRER CES EGLISES DONC L’ISLAM EST BIEN DIFFERENT DE CELUI QUI NOUS ES MONTRE Ettonant, maintenant oui surement mais dans l'antiquitè la main d'euvre ne manquai pas a l'eglise. J'ai ecrit ettonant pas que c'est faux Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted June 25, 2016 Author Partager Posted June 25, 2016 (edited) Ils ne peuvent pas, c'est conforme la destruction des idoles et des representations humaine Ettonant, maintenant oui surement mais dans l'antiquitè la main d'euvre ne manquai pas a l'eglise. J'ai ecrit ettonant pas que c'est faux a la premiere oui dans le cas ou comme du temps d'Abraham ou tous avait leurs iodole a la mekke ou c'est dans notre pays et que certain invente une nouvelle religion qui n'est pas la notre ou qu'on la connaît pas mais depuis ABRAHAM a nos jours les choses ont changer CHACUN DANS SA RELIGION de plus la ayate EL KAFIROUN regle tout Edited June 25, 2016 by pmat Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted August 23, 2016 Author Partager Posted August 23, 2016 il faut s'indigne pas pour donner tort ni raison mais chacun sa croyance chacun sa religion chacun son point de vue chacun sa vision chacun son avis sauf l'amalgame Citer Link to post Share on other sites
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