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La guerre secrète contre les peuples - Séverac Claire


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BONJOUR

eh ce n'est pas PMAT qui l'ecrit ou qui le dit

mais bien des chercheurs sur la question

 

 

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La guerre secrète contre les peuples - Séverac Claire

Eds, ÉLIE ET MADO / KONTRE KULTURE | 2015 | PDF | 408 Pages | 13 MB

 

Le livre de Claire Séverac, La Guerre Secrète contre les Peuples, appartient à la catégorie des ouvrages qui vous marquent. L'auteur présente et explique, à partir de documents officiels et multiples, qu'une élite financière, scientifique, industrielle et politique s'est engagée dans une voie d'optimisation maximale des richesses à leur profit dans le cadre d'un nouvel ordre mondial en cours d'élaboration. Manipulations génétiques, épandages (chemtrails), portables, OGM, armes électromagnétiques, projet HAARP, etc sont autant d'éléments permettant la soumission, l'abrutissement mais aussi la destruction de l'humanité à plus ou moins long terme.

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IL ME DIT Y.O.

TRES INTERESSANT POINT DE VUE

ENTRE LES PEUPLES DES PAYS EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT ET LES PAYS DÉVELOPPÉS

 

Y. O. Si ce bouquin est publié par cette maison d'édition c'est pas une surprise. Les thèmes traité par le prisme du complotisme (chemtrails, nouvel ordre mondial, mondialisme ect ...) sont très loin de la lutte des classes.

C'est pas étonnant que dans la description il n'y ai aucune mention du capitalisme.

Il n'y a aucune guerre secrète, seulement une lutte de classe.

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POLITIQUE

Le conspirationnisme contre la lutte des classes

PAR KÉVIN « L'IMPERTINENT » VICTOIRE LE 3 MARS 2015 • ( 13 COMMENTAIRES )

Symptôme de notre époque individualiste et hyperconnectée, le conspirationnisme est autant cause et conséquence de la dépolitisation de notre société.

NietzscheLes attentats de Charlie Hebdo, le virus Ebola, Mohammed Merah, le mariage homosexuel, le 11-Septembre, le Sida, la mort d’Elvis, les chambres à gaz, la Révolution française, etc. : plus rien ne semble aujourd’hui pouvoir échapper au complotisme. Si le sens critique n’est jamais condamnable en soi – bien au contraire –, la systématique remise en cause de tout est bien plus problématique. D’après Friedrich Nietzsche dans Ecce homo (1908), « ce n’est pas le doute qui rend fou, c’est la certitude ». Or, le problème du conspirationniste, c’est qu’il ne doute plus. Il est sûr que tout est faux et manipulé, que le hasard n’existe pas et que l’histoire est décidée à l’avance. Pourtant, comme l’écrivaient Diderot et d’Alembert en 1765 dans L’Encyclopédie, la raison consiste à prendre « pour vrai ce qui est vrai, pour faux ce qui est faux, pour douteux ce qui est douteux, pour vraisemblable ce qui est vraisemblable » et non à trouver une nouvelle explication à tout. Le conspirationnisme est aujourd’hui en pleine expansion et touche aussi bien la mouvance identitaire que des jeunes de banlieue ou des stars de cinéma (comme Marion Cotillard et Mathieu Kassovitz), au point qu’un sondage récent mené par l’institut Ipsos estime que 20 % des Français croient que les Illuminati dirigent secrètement le monde. Une mode qui pourrait presque être drôle si le conspirationnisme n’était pas contre-productif politiquement et ne faisait pas le jeu du capitalisme.

 

« Ce n’est pas le doute qui rend fou, c’est la certitude. » Friedrich Nietzsche

 

À propos de la « théorie du complot »

Dans un excellent texte sur son blog, l’économiste Frédéric Lordon met en garde contre les deux erreurs à éviter au sujet du complot : « en voir partout » et « n’en voir nulle part ». De la « Surprise de Meaux » – orchestrée par Louis Ier de Bourbon pour enlever le roi de France Charles IX en 1567, et qui déclencha la deuxième guerre de religion – à la « conspiration des poignards » – tentative d’assassinat contre Napoléon Bonaparte –, l’histoire est remplie de complots politiques couronnés de plus ou moins de succès. Mais le conspirationnisme ne se réduit pas à la simple croyance en des complots, c’est-à-dire des projets menés secrètement et en commun par un ensemble d’individus. C’est plutôt l’idée que rien n’est vrai et que tous les événements sont les conséquences directes d’une manipulation. Dans cette vision du monde, le hasard n’a plus sa place, ce qui représente une aberration. Les oligarques devraient être semblables à des dieux pour être capables de planifier à chaque fois parfaitement leurs actions ainsi que leurs conséquences. À ce propos, l’historien et politicien bourgeois Adolphe Thiers, premier président de la IIIe République, expliquait à propos des Cent-Jours, qui suivirent le retour de Napoléon Ier en France : « Si on appelle conspiration tout désir de renversement accompagné de propos menaçants, assurément il y en avait une dans ce que nous venons de rapporter. Mais si on appelle conspiration un projet bien conçu, entre gens sérieux, voulant fermement atteindre un but, décidés à y risquer leur tête, et ayant combiné leurs moyens avec prudence et précision, il est impossible de dire qu’il y eût ici quelque chose de semblable. ». Sans oublier que le coupable n’est pas nécessairement celui « à qui profite le crime », comme le croient les adeptes de la théorie du complot[ii].

 

ChestertonLa montée du conspirationnisme a plusieurs causes. À l’origine, il est apparu au sein de l’Église catholique – sous la plume de l’abbé Augustin Barruel dans ses Mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme (1798) – afin d’expliquer la Révolution française. Est en cause à l’époque la franc-maçonnerie, qui aurait tout programmé depuis longtemps pour détruire le catholicisme, selon l’auteur. Aujourd’hui, le conspirationnisme semble être une réponse à ce que le sociologue allemand Max Weber appelait « le désenchantement du monde », c’est-à-dire le recul de l’explication transcendantale du monde – par exemple par la religion – et sa complexification. La première cause est d’ailleurs parfaitement illustrée par une célèbre boutade de l’écrivain catholique anglais Gilbert Keith Chesterton, qui se plaisait à dire : « Depuis que les hommes ne croient plus en Dieu, ce n’est pas qu’ils ne croient plus en rien, c’est qu’ils sont prêts à croire en tout. » Évidemment, le désenchantement du monde est insuffisant pour expliquer le phénomène dans sa globalité. Le capitalisme néolibéral mondialisé a complexifié la société comme jamais et semble avoir dépossédé à la fois les États et les personnes de toute prise sur les choses. Dans le même temps, les grandes théories politiques, notamment le marxisme, ont enregistré un recul énorme, perdant ainsi de leur pouvoir explicatif auprès des individus qui, à une époque que nous pourrions qualifier d’«hypermoderne »[iii], donc hyper-rationaliste, ont un fort besoin d’explication. C’est donc à cela que répond le complot, qui « peut se définir minimalement comme un récit explicatif permettant à ceux qui y croient de donner un sens à tout ce qui arrive, en particulier à ce qui n’a été ni voulu ni prévu », d’après le sociologue néo-conservateur Pierre-André Taguieff[iv].é.

 

TOUT EST LA

 

https://comptoir.org/2015/03/03/le-conspirationnisme-contre-la-lutte-des-classes/

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EN CLAIR

 

le-conspirationnisme-contre-la-lutte-des-classesLe conspirationnisme contre la lutte des classes

Symptôme de notre époque individualiste et hyperconnectée, le conspirationnisme est autant cause et conséquence de la dépolitisation de…

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A l'écoute de cette interview, difficile de prendre l'auteur Claire Séverac au sérieux, tant elle mélange tout et n'importe quoi, dans une sorte de bouillie infâme sans queue ni tête. Je veux bien prendre cette histoire de « chemtrails » au sérieux, encore faut-il maîtriser son sujet, apporter des preuves sérieuses, des faits vérifiables, et ne pas partir des délires dignes d'un scénario de série Z.

 

Mr Bon Sens doit se retourner dans sa tombe (oui, il était déjà mort).

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A l'écoute de cette interview, difficile de prendre l'auteur Claire Séverac au sérieux, tant elle mélange tout et n'importe quoi, dans une sorte de bouillie infâme sans queue ni tête. Je veux bien prendre cette histoire de « chemtrails » au sérieux, encore faut-il maîtriser son sujet, apporter des preuves sérieuses, des faits vérifiables, et ne pas partir des délires dignes d'un scénario de série Z.

 

Mr Bon Sens doit se retourner dans sa tombe (oui, il était déjà mort).

 

ah belle critique

mais Z comme quoi?

il ya zeste de Citron

il y a zorro est arrivé

et il y a ZinZin

puis il y a ZERO

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