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Les filles perdues du Djihad


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"Mourir pour le califat"Les filles perdues du Djihad

Paris Match | Publié le 25/09/2014 à 11h23

Par Pauline Delassus

L’été 2013 à Creil, en banlieue parisienne, Sarah portait plus facilement le jilbab qu’à Narbonne, où elle étudiait. A d. : le 11 mars, à 6 h 45, les caméras deesurveil*lance, sur un quai de Lézignan, dans l’Aude, l’en*registrent pour la dernière fois.

L’été 2013 à Creil, en banlieue parisienne, Sarah portait plus facilement le jilbab qu’à Narbonne, où elle étudiait. A d. : le 11 mars, à 6 h 45, les caméras deesurveil*lance, sur un quai de Lézignan, dans l’Aude, l’en*registrent pour la dernière fois. DR

 

Elles sont déjà des dizaines en Europe à être parties en Syrie, prêtes à mourir pour le Califat !

 

Le téléphone de Séverine vibre, l’écran affiche l’indicatif +1111. C’est sa fille Sarah : « Je me suis mariée avec Farid, un combattant tunisien de 25 ans. Je n’ai pas besoin de l’autorisation de papa, ce n’est plus mon tuteur, c’est un mauvais musulman, un mécréant. »

Depuis ce jour de mars 2014, Séverine et son mari, Kamel, n’ont plus entendu la voix de leur aînée. L’adolescente a décidé de quitter la France, son pays de naissance, sa petite ville du Minervois, sa famille, ses amis… Elle vit désormais sur un territoire en guerre, sous les bombardements, au côté d’un homme qui, chaque jour, prend les armes. « Je ne savais même pas ce qu’était la Syrie, alors comment ma fille de 17 ans a-t-elle pu partir là-bas ? » interroge Séverine. La tête lourde, elle plisse ses yeux bleu clair et réajuste ses lunettes. Lasse, mais trouvant du réconfort dans le récit d’une vie autrefois heureuse, elle laisse les souvenirs refaire surface. Elle raconte la torture d’une mère qui, impuissante, a assisté à l’endoctrinement de sa fille. Les cinq enfants Mehenni mènent une existence tranquille dans un pavillon, auprès d’un père musulman originaire de Sétif, en Algérie, et d’une mère athée, née en France. A la maison, personne ne prie et Kamel respecte simplement le jeûne du ramadan. Sarah trouve en sa sœur cadette, Kenza, sa meilleure confidente ; elles partagent leur chambre et un goût immodéré pour les comédies musicales américaines. L’école présente plus de difficultés ; Sarah peine à s’épanouir et change plusieurs fois d’établissement. Mais elle a une ambition, devenir puéricultrice. « Les équipes pédagogiques l’en ont dissuadée, son niveau était trop juste », regrette Séverine.

 

Comme beaucoup d’adolescentes, Sarah cherche sa place et questionne le passé pour mieux envisager son avenir : qui sont ses ancêtres ? A quoi ressemble l’Algérie ? En quoi consiste la culture musulmane ? Une rencontre la fait basculer. Dans un lycée de Carcassonne, une élève prend Sarah sous son aile. *Fatiah est plus âgée, elle lui enseigne les rites musulmans quotidiens et la persuade de se convertir. Chaque vendredi, Kamel parcourt 60 kilomètres pour que sa fille puisse rejoindre Fatiah à la mosquée de Carcassonne. Du simple foulard noué sur ses cheveux, sa fille demande l’autorisation de porter un jilbab noir, une robe qui la couvre de la tête aux pieds, ne laissant apparaître que son visage. A chaque repas familial, les discussions sur son changement de comportement tournent en disputes. Séverine craint pour sa fille. En ville, Sarah a été menacée par des automobilistes qui, avec leurs doigts, mimaient un revolver braqué sur elle. Pour la protéger, Kamel et Séverine lui interdisent de sortir de la maison. Déscolarisée à la rentrée de 2013, la jeune fille s’enferme dans le radicalisme, guidée par les textes et vidéos sur Internet. Elle reçoit par la poste des colis, des livres de prières que lui envoient celles qu’elle nomme ses « sœurs ». Dans le salon de la maison, elle déchire une image de la main de Fatma, puis refuse de manger la viande achetée au supermarché. Un mois avant son départ, elle accepte de se réinscrire à l’école. Un espoir vite déçu.

Les gamines passent de la cour d’école aux salles de prières

 

L’une des dernières photos de Sarah en France est celle du passeport qu’elle se fait faire, prétextant un voyage dans sa famille algérienne. Elle est, en fait, en train de planifier sa fugue vers la Syrie. Le 11 mars 2014, à 20 heures, après plusieurs messages laissés en vain sur son répondeur, Kamel et *Séverine signalent sa disparition à la gendarmerie. Ils apprennent le lendemain que Sarah a pris un vol pour Istanbul depuis Marignane. Pour Dounia Bouzar, anthropologue et spécialiste de la radicalisation en France*, « nous sommes face à un viol psychique et un endoctrinement de type dérive sectaire ». Cette musulmane de 50 ans s’occupe de 125 familles, dont 110 sont là pour leurs filles disparues ou sur le point de partir : « 70 % sont athées, 15 %, musulmanes, le reste se répartirait entre familles juives et catholiques pratiquantes. » Elles viennent de toutes les couches sociales : des intellectuels aux ouvriers, en passant par des médecins et des professeurs. « Les parents sont nombreux à se manifester, mais ce n’est que le haut de l’iceberg », assure Dounia Bouzar.

La France n’est pas le seul pays concerné. Ailleurs en Europe, des gamines à peine sorties de l’enfance passent de la cour d’école aux salles de prières, délaissent leur tenue de ballerine ou de patineuse pour se couvrir de noir. Sur les *réseaux sociaux, elles ne postent plus seulement des vidéos de leurs chanteurs préférés mais également des images de corps d’enfants mutilés sur les champs de bataille de territoires qu’elles peinent à situer sur une carte. Certaines se persuadent d’avoir été choisies par Dieu pour rejoindre « une terre sacrée » – le Cham, nom islamique de la Syrie –, convaincues que la fin des temps approche. D’autres espèrent se consacrer à des œuvres humanitaires lors de la grande bataille qui opposera les Syriens aux « croisés ». Toutes rêvent de changer le monde, persuadées d’avoir raison contre ceux qui voudraient les empêcher de partir rejoindre ce djihad multinational.

Djihad 2

Dans leur maison, Séverine et Kamel, les parents de Sarah, avec ce qui leur reste de leur fille : des peluches et quelques livres de prières, laissés sur place. © Patrick Bruchet

 

C’est le cas de deux sœurs jumelles d’une banlieue de *Manchester. Salma et Zahra sont en Syrie depuis le mois de juin 2014. L’une d’elles aurait épousé un Britannique d’origine afghane. Depuis, leur famille vit retranchée dans une maison du quartier résidentiel de Chorlton, face à un cimetière. Sur la petite pelouse du jardin, le trampoline est abandonné. Le père a pris la route de la Turquie, espérant passer en Syrie pour ramener ses filles. Sans succès. Cet homme, père de onze *enfants, refuse de parler à la presse. Il a aussi perdu un fils, enfui en Somalie, leur pays d’origine, où le garçon aurait rejoint le groupe islamiste Al-Shabaab. « Ces jeunes sont en quête de sens, analyse Maude Julien, thérapeute spécialisée. Ils cherchent un monde à construire, ou à détruire pour le renouveler. Ils réclament des repères parfois à l’opposé de ceux qu’ils ont reçus, afin d’être différents et d’exister. » Salma et Zahra, inscrites dans une école de bon niveau, rêvaient de devenir *médecins. Pour l’instant, ce sont elles qui seront soignées sous les balles d’Alep.

L’histoire se répète en Autriche, avec un romantisme cruel que seuls les bords du Danube pouvaient offrir. Samra et Sabina ont les yeux bleus et de longs cheveux. Ces deux jolies Viennoises de 15 et 16 ans ont beaucoup d’amis mais n’en aiment qu’un, le jeune Waha, un Tchétchène de 18 ans. Le trio est inséparable. Un garçon et deux filles, des « Jules et Jim » inversés qui passent leur temps en balades dans les rues de la ville. Ils rient beaucoup, vont nager chaque semaine à la piscine, partagent leurs repas, se racontent leurs rêves. Waha parle sans doute de la Tchétchénie où il est né, de la guerre et du terrorisme qu’ont fuis ses *parents. D’origine bosniaque, les filles, elles aussi, ont entendu à la maison des récits d’exodes, d’injustices, de violences. De ces trois copains, il n’en reste que deux. Waha a été tué, il y a peu, lors du bombardement d’un hôpital syrien. Samra et Sabina le savent, car elles aussi vivent en Syrie depuis le mois d’avril 2014. Amoureuses endeuillées, elles pleurent leur « héros », celui qu’elles ont suivi jusque dans les bras des barbares djihadistes.

Ces enfants reprennent des guerres que leurs parents ont fuies

 

Ce triste récit sort de la bouche d’Azra, leur meilleure amie, quatrième pilier de la bande. La brunette est restée à Vienne mais continue à communiquer avec elles chaque jour sur Internet. Azra sait aujourd’hui que ses deux copines ont été mariées à des Tchétchènes de 24 ans, « barbus et vêtus de noir ». Elles habitent des appartements mitoyens, vivent entourées de chats, tandis que leurs maris soldats combattent « les infidèles ». La voix d’Azna tremble quand elle décrit les quelques mois qui ont suffi à lui enlever celles qu’elle considère comme ses sœurs. « Elles m’ont demandé de les rejoindre, mais pourquoi irais-je en Syrie alors que je peux être heureuse ici ? » Favoriten, où les quatre ont grandi, est un paisible quartier populaire. Dans un grand immeuble moderne, leurs familles sont voisines. Les filles passent leur enfance à jouer *ensemble dans la grande cour. Cinq mois après le départ de Samra et Sabina, le petit Tobias, 10 ans, sert de guide dans le *dédale de couloirs du bâtiment. Sur le mur d’un escalier, il montre le dessin d’une main au doigt levé et cette phrase écrite par Samra : « Celui qui lève le doigt sera récompensé », suivi des initiales «  AA » pour « Allah Akbar », « Dieu est grand ». L’endoctrinement de Samra et Sabina, élevées dans des familles musulmanes non pratiquantes, se fait sur Internet et dans une mosquée salafiste du quartier du Prater. Jusqu’aux derniers instants, elles continuent à porter des jeans moulants, à se maquiller, à écouter leur idole, la chanteuse Leona Lewis, et à se disputer les *faveurs de Waha, qui fréquente la même mosquée. Leurs mères interdisent qu’elles portent le jilbab, elles se contentent d’un voile.

 

Des conflits naissent dans la famille. A l’école, Samra écrit « J’aime Al-Qaïda » sur un mur. Elle est renvoyée. La veille de leur départ, Azra se souvient que ses deux amies l’ont serrée fort dans leurs bras, bien plus longtemps que d’habitude. Elles s’enfuient le 10 avril au matin, avec un sac à dos pour tout bagage. Leurs parents auraient fait le chemin jusqu’en Turquie, quand elles ont demandé qu’ils leur apportent des vêtements. Près de la frontière syrienne, le père de Sabina, un homme athlétique à la peau bronzée et au *regard clair, n’aurait rencontré que les époux tchétchènes. Aucune trace des filles. « Mais elles sont *vivantes et pas enceintes ! » insiste Azra qui leur parle chaque jour et cherche à dissiper les rumeurs. Si Samra et Sabina ont embrassé la cause d’organisations fondamentalistes aux principes moyen*âgeux, elles restent à la pointe de la technologie. Elles envoient des messages écrits et vocaux sur WhatsApp, téléphonent grâce à l’application Viber, se connectent sur Facebook via des pseudonymes. Dans ces conversations échangées sur fond de bombardements, elles n’expriment aucun désir de retour, même si, souvent, Azra les sent profondément accablées. « Elles demandent des nouvelles de leurs parents. Elles ont très peur de finir en prison si elles reviennent et, surtout, elles craignent que l’on parle mal d’elles ici, à Vienne. » Sous les bombes, les deux adolescentes se soucient de leur réputation, mais aussi du courroux de leurs maris. « Ils pourraient les frapper, les séquestrer », devine Azra. « Elles sont parties par amour », justifie-t-elle. Un élan amoureux qui s’explique peut-être aussi par un passé familial commun. Ces enfants exilés des communautés tchétchène et bosniaque reprennent les guerres que leurs parents ont fuies. Quand leurs aînés se sont tant battus pour leur indépendance, eux trouvent en Syrie l’espoir de créer leur propre Etat.

Dans les lettres que Samra et Sabina ont laissées avant de partir, elles ont inscrit les prénoms de ceux qu’elles souhaitent retrouver au paradis. Mais le chemin qu’elles ont choisi ne semble guère les y conduire.

 

Enquête Pauline Lallement et Margaux Rolland

 

* Dounia Bouzar est l’auteur de « Ils cherchent le paradis, ils ont trouvé l’enfer », éd. de l’Atelier.

 

Paris Match

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C'est du n'importe quoi et il n'y a pas du tout d'Islam. Le Monsieur marié à une athée, strictement interdit en Islam mais bon comme le dit l'article et le souligne heureusement qu'elle a les yeux bleus (espérons que c'est pas des "oeils" au beurre noire :D).

Ensuite la radicalisation de la fille qui cherche ses racines algériennes et qui fuit en Syrie :mdr: bon c'est pas drole d'accord mais ana wech ndirlha, qalou lha babaha men stif rahet à dimachq :D

 

Je trouve cette partie extrêmement parlante au sujet de la non connaissance religieuse

Pour Dounia Bouzar, anthropologue et spécialiste de la radicalisation en France*, « nous sommes face à un viol psychique et un endoctrinement de type dérive sectaire ». Cette musulmane de 50 ans s’occupe de 125 familles, dont 110 sont là pour leurs filles disparues ou sur le point de partir : « 70 % sont athées, 15 %, musulmanes, le reste se répartirait entre familles juives et catholiques pratiquantes. » Elles viennent de toutes les couches sociales : des intellectuels aux ouvriers, en passant par des médecins et des professeurs. « Les parents sont nombreux à se manifester, mais ce n’est que le haut de l’iceberg », assure Dounia Bouzar.

 

C'est de la mauvaise éducation, des gamines idiotes et sans repères qui n'en font qu'à leur tête vide. En Algérie on en a aussi des filles de 15 ans qui dévalisent leurs parents et fuient rejoindre leur petit copain rencontré chez Zuckenberg, tiens une juste la semaine dernière, de mon quartier elle est partie à Oran avec l'argent et l'or pris à sa mère.

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C'est de la mauvaise éducation, des gamines idiotes et sans repères qui n'en font qu'à leur tête vide. En Algérie on en a aussi des filles de 15 ans qui dévalisent leurs parents et fuient rejoindre leur petit copain rencontré chez Zuckenberg, tiens une juste la semaine dernière, de mon quartier elle est partie à Oran avec l'argent et l'or pris à sa mère.

 

l'islam a cette faculté de provoquer la rupture avec sa famille ,sa tribu ,ses ancetres ...que font d'autres les arabisés si ce n'est prendre le butin des ancetres et le deposer chez les autres ! cela ne date pas d'aujourd'hui - a mediter ...voler l'or de sa mere ou de sa mere civilisationnelle pour tout donner a des brigands endoctrineurs oui c'est assez honteux-mais n'ont ils pas perdu la raison?. .

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C'est du n'importe quoi et il n'y a pas du tout d'Islam.

pour l'instant tres peu partent a miami :D ils se derigent tous vers la ruche ou le grand bourdon leur fait croire qu'il produit du miel avant de les piquer et que mort s'en suive...tu confonds islam de nos parents analphabetes avec islam lu et ecrit d'une generation qui est passé par l'ecole et a acces aux discours de youtube-lesquels discours se basent sur des interpretations de oulemas...oulemas ca veut pas dire candidat au nobel hein!:D

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Ensuite la radicalisation de la fille qui cherche ses racines algériennes et qui fuit en Syrie :mdr: bon c'est pas drole d'accord mais ana wech ndirlha, qalou lha babaha men stif rahet à dimachq

 

pourquoi elle a bien reflechi ,en france ses ancetres sont gaulois et en algerie ils sont saoudiens parait il -pourquoi faire une escale a alger -autant y aller direct surtout que air algerie c'est cher :D...tout ceux qui connaissent le deracinement sont un peu radicalisé- pourquoi es tu parti de france ou d’Angleterre -tu cherchais bien quelque chose que tu n'avais pas ici -sauf que toi tu t'es trompé c'est pas la bonne adresse:D tu t'es trompé d'ancetres...quand a moi je continue a vivre ici avec le corps tout en vivant en algerie avec l'esprit -je ne reviendrais physiquement que quand chacun aura recuperé ses ancetres et je me radicalise mais pas pour mohamed pour jugurtha ...certains considerent que la question des ancetres ne compte pas mais ils vous hantent jusqu'a l'obsession jusqu'au jour ou vous reglez le probleme comme sarko :D ou que l'on part a leur recherche.

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Même Obama est prix nobel de la paix. L'Islam de nos parents, c'est une gentille génération, ils ont des qualités que nous sommes loin de posséder ; je ne suis pas une analphabète et je ne suis pas une terroriste et je suis née musulmane et in shaa Allah dounia wa dine, il y a un profil de ceux qui partent en Syrie, beaucoup d'entre eux sont déracinés ou convertis et ne savent rien de la religion, ils achètent un vêtement, se trouvent un/e copain/ine, un billet d'avion et voilà... Comment ce genre de personne peut faire autant de tord à l'Islam ? Parce qu'ils sont mis en avant, présentés comme connaisseur, portent l'habit qui soit disant fait le musulman de nos jours et fil haq wallou, ils n'écoutent personne.

 

Pourquoi la France, le Uk, l'Autriche, la Turquie et enfin la Syrie les laisse entrer ? Pourquoi recherchent-ils la guerre alors qu'en Islam elamn (la sécurité) est une ni'ma ? Pourquoi un Prophète ne peut pas convertir et le net si ? Pourquoi un Prophète a mis plus de 23 ans à donner un message et eux l'apprennent en 3 mois ?

 

Mais non ce n'est pas l'Islam, notre société est malade et ses individus sont tarés et leurs enfants mal éduqués.

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pourquoi elle a bien reflechi ,en france ses ancetres sont gaulois et en algerie ils sont saoudiens parait il -pourquoi faire une escale a alger -autant y aller direct surtout que air algerie c'est cher :D...tout ceux qui connaissent le deracinement sont un peu radicalisé- pourquoi es tu parti de france ou d’Angleterre -tu cherchais bien quelque chose que tu n'avais pas ici -sauf que toi tu t'es trompé c'est pas la bonne adresse:D tu t'es trompé d'ancetres...quand a moi je continue a vivre ici avec le corps tout en vivant en algerie avec l'esprit -je ne reviendrais physiquement que quand chacun aura recuperé ses ancetres et je me radicalise mais pas pour mohamed pour jugurtha ...certains considerent que la question des ancetres ne compte pas mais ils vous hantent jusqu'a l'obsession jusqu'au jour ou vous reglez le probleme comme sarko :D ou que l'on part a leur recherche.

 

Elle n'est pas partie en Arabie mais en Syrie. Tu a l'air bien plus hanté que moi pour des ancêtres que tu n'acceptes pas, Je suis désolée mais je crois que de tes aieux directs Jugutha est loin et Mohammed 'alayhi assalat wa salem a interdit le radicalisme. J'ai l'impression que tu veux me chasser de l'Algérie.

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