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Les saouds et les alaouites qui colonisent le maroc : axe du mal.


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On voit clairement maintenant qu'il y a un axe du mal ou plutôt de soutien au terrorisme "daeschien" qui sème la mort partout.Cet axe est formé de plusieurs pays dont l'arabie maudite pardon saoudite et les colons alaouites pardon les "chorfas" du maroc.....:eek:

L'arabie maudite entrainant avec elle ses satellites ( corrompus et corrupteurs) les émirats, le quatar et le koweit.

Les alaouites du maroc, eux, fournissent la chair à canon (de préférence amazygh bien sûr).....:o

 

Cet axe subit actuellement une contre-attaque des peuples victimes du terrorisme qui imposent à leurs dirigeants politiques de dénoncer et même de les débarrasser de cet axe du mal.Les politiciens qui n'entendent pas cet "appel" sont balayés en attendant, peut être, d'être jugés.Les exemples sont nombreux : hollandouille, clinton, cameron, renzi etc.

Evidement chez les khorotos il n'y a pas d'élections, donc les vampires restent en place.

 

En France, les victimes devraient déposer plainte contre hollande and co pour "complicité" avec le terrorisme vu qu'ils sont alliés des régimes qui soutiennent ouvertement daesch ( arabie maudite, quatar, jordanie, maroc, koweit et turquie) en lui fournissant armes, argent, soutien médiatico-politique, soutien idéologique et soldats.....;)

Un sinistre français (connu) avait même ouvertement dit qu'el nosra (branche d'el quaida) faisait du bon travail en Syrie !!!!!!!!!!!! :eek:

On se demande quel travail mais bon on le devine......:no:

On peut légitimement nous poser la question essentielle : d'où viennent les armes de daesch et par où transitent-elles ????????????

Les victimes de ces barbares ont le droit de connaitre la vérité....:mad:

 

 

Al Nosra, l’étrange allié de la diplomatie française

 

par Jacques Marie Bourget -

18 novembre 2015

 

Laurent Fabius est en ce moment très malheureux. Voilà que, pris d’un excès de lucidité, Hollande est en marche pour briser sa si jolie politique étrangère. Ne vient-il pas, comme on tire la poignée de secours, de demander au Conseil de Sécurité de fédérer la « Communauté internationale » contre Daech ?

 

La France, faisant semblant de ne pas perdre la face, pourrait alors faire un énorme pas de côté et rejoindre le camp du bon sens : les gens de Daech ne sont pas vraiment des types fréquentables. En revanche, pour Fabius, leurs collègues d’Al Nosra (petit nom d’Al Qaïda en Syrie) étaient jusqu’au aujourd’hui des gens admirables, des guerriers de la démocratie faisant du « bon boulot ». Patatras, voilà que ces admirables barbares, dans un communiqué, viennent d’approuver l’action exemplaire de leurs collègues de Daech engagés dans les attentats du vendredi 13. Laurent, il est temps de rendre ton tablier pour retourner faire du cheval. Pour le remplacer il semble que Guigou soit en selle… Ca ne peut pas être pire.

 

Pour les lecteurs curieux, voilà ce que Mondafrique a déjà publié sur Al-Nosra/Al-Qaïda et le ministre des Affaires étrangères de la France.

 

 

 

Fabius, un bombardier à géométrie variable.

 

Est-ce l’effet de son statut d’intermittent du sommeil -et par conséquence intermittent de l’éveil- que notre ami Fabius ne se souvient plus très bien de ce qu’il dit ? Qu’il a la mémoire qui flanche ? Un article du Monde, publié de 2 octobre nous en apprend une bien belle : Fabius Laurent approuve ce que Laurent Fabius réprouve, le bombardement des djihadistes d’Al-Nosra. Voilà comment Le Monde nous présente la chose. Aux Nations Unies, à New York, à l’occasion du sommet mondial des chefs d’Etats réunis pour l’Assemblée plénière, John Kerry discute avec son équivalent russe Sergeï Lavrov. Il s’agit de faire la police de l’air afin que les avions de chasse de la « coalition » ne se heurtent pas à ceux de Moscou, voire de Tel Aviv…

 

Mis au courant de la volonté de Poutine d’en finir avec les fous de Dieu, informé aussi de la conversation entre Kerry et Lavrov, Fabius ouvre un œil et lance « Si c’est Daech et Jabbat Al-Nosra qui sont visés, alors les frappes russes sont les bienvenues » ! Le réveil a-t-il sonné trop brutalement, faisant dérailler la langue diplomatique de « Fafa » ? Toujours est-il que nous voilà subitement loin de la ligne tenue pendant une longue période où il s’agissait à tout prix de faire passer Al-Nosra, autrement dit Al-Qaïda, pour des enfants du bon Dieu.

 

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Chouf ya meskine......

 

Wikileaks : pour Hillary Clinton, « l'Arabie Saoudite et le Qatar financent Daech »

11 Octobre 2016 à 22h22

Un des e mails dévoilés met en évidence les faux-semblants des États du Golfe envers Daech.

 

Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, avait promis de fortes révélations, voici en une. Dans une correspondance d’août 2014, la candidate à la Maison Blanche a identifié des liens « clandestins et financiers » entre les pays du Golfe et l’État islamique.

 

Les 2 000 messages sortis lundi 10 octobre font partie du second lot de courriels révélés depuis quatre jours par Wikileaks. Julian Assange a signalé que l’organisation en détenait près de 50 000, et qu’ils pouvaient avoir un impact significatif sur la campagne présidentielle américaine.

 

Pour preuve, ce courriel dans lequel Hillary Clinton liste un plan en huit points à John Podesta, à l’époque conseiller de Barack Obama, sur la stratégie en Syrie. Selon elle, il fallait soutenir les Kurdes en Syrie et en Irak à l’aide de conseillers militaires pour détruire Daech. Jusque-là, rien de bien subversif. Mais les échanges montrent également que la candidate savait que le Qatar et l’Arabie Saoudite apportaient « clandestinement une aide financière et logistique » à Daech, malgré la coopération de façade engagée avec les États-Unis dans le conflit syrien.

 

« Nous devons mettre la pression sur les gouvernements qataris et saoudiens, qui soutiennent secrètement, financièrement et appuient logistiquement Daech et les autres groupes sunnites radicaux », a écrit Hillary Clinton selon WikiLeaks. Et de poursuivre : « Les Qataris et les Saoudiens seront ainsi pris en étau entre leur politique d’expansion pour dominer le monde sunnite et les conséquences de notre pression diplomatique et militaire ».

 

Source : L'opinion.

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IL VISE À DÉTOURNER L'ALGÉRIE DE LA CAUSE SAHRAOUIE

 

Le Maroc derrière la création du Mujao

Par Ahmed MESBAH - Lundi 03 Septembre 2012 00:00

 

 

Les provocations de Rabat à l'encontre d'Alger ont franchi un cap dangereux avec son appui au Mujao.

 

Le Maroc a-t-il trouvé un stratagème pour empêcher l'Algérie de poursuivre le soutien d'une solution juste au conflit du Sahara occidental? C'est ce que semble indiquer l'implication de ce pays dans la création du groupe terroriste du Mujao lequel se spécialise dans la prise d'otages. Selon une source informée, les accointances du royaume avec ce groupe ne souffrent plus d'aucun doute.

Il est ajouté que c'est le seul outil sorti tout droit des services secrets du royaume pour conduire l'Algérie à s'embourber dans le conflit sahélien, délaissant de ce fait un autre conflit qui se déroule à ses frontières Ouest.

D'ailleurs, l'annonce de l'exécution d'un otage algérien intervient suite au revers subi par le Maroc à propos de la question du Sahara occidental. Il est donc certain que le chef du Mujao se présentant comme étant un certain Hamada Ould Mohamed Kheirou, alias Abu Qumqum, n'est qu'un agent inféodé aux services de renseignements marocains et qu'il fagote sous leurs ordres.

Le groupe n'a-t-il pas kidnappé des humanitaires occidentaux dans le camp de Tindouf dans le but de tenter, en vain, d'impliquer le Polisario dans sa stratégie? s'interroge notre source.

Tous ces agissements sont pour le royaume un bon moyen de détourner aussi l'attention sur les problèmes intérieurs qui ne cessent de remonter à la surface.

Le groupe terroriste fait justement parler de lui au moment où la crise économique et la lutte entre le parti islamiste au pouvoir et le Palais ont atteint leur paroxysme. Le Maroc ne serait pas loin, non plus, de penser que la création du Mujao est une façon de se venger de sa non-intégration au sein du Comité des chefs d'Etats-majors des pays du Sahel. Pourtant, une raison simple préside à ce choix: le Maroc ne fait pas partie du Sahel.

En tout, il ne s'agit là que d'une énième provocation du palais à l'encontre de l'Algérie. N'a-t-il pas agi de même en 1994 lorsqu'il a accusé le pays d'être derrière les attentats de Marrakech?

Depuis, l'Algérie ne consent plus à ouvrir ses frontières avec le Maroc. Ce qui s'ajoute à la longue liste de griefs que le Palais ressasse régulièrement.

Personne n'avait pensé que ce procès d'intention allait contribuer à provoquer la mort de diplomates.

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L'Arabie saoudite, principal bailleur de fonds de Daech ?

 

Fin avril 2015, un rapport du Congrès américain affirmait que Daech recevait des transferts d’argent conséquents venus de donateurs privés du Qatar, du Koweït et d'Arabie saoudite.

 

Vincent MonnierPublié le 21 janvier 2016 à 10h52

 

 

 

A chaque nouvel attentat, les soupçons resurgissent dans l’opinion publique. Les preuves de financements directs demeurent toutefois difficiles à établir. A ce stade des enquêtes, il apparaît que les cellules terroristes de "Charlie Hebdo", de l'Hyper Cacher et des attentats du 13 novembre n'ont pas bénéficié de soutiens financiers extérieurs. Il n’en est pas de même pour l’organisation terroriste elle-même.

 

Fin avril 2015, un rapport du Congrès américain affirmait que Daech recevait des transferts d’argent conséquents venus de donateurs privés du Qatar, du Koweït et d'Arabie saoudite. Et le Center for Strategic and International Studies de Washington chiffrait ces donations à près de 40 millions de dollars sur la période 2013-2014.

 

"Il y a une grande proximité idéologique entre Daech et une partie de la population saoudienne, explique pour sa part Pierre Conesa, ancien haut fonctionnaire du ministère de la Défense, auteur du "Guide du petit djihadiste" chez Fayard.

Près de 2.500 combattants saoudiens sont dans les rangs de l'EI. Parmi eux des rejetons de riches familles qui financent le combat de leur progéniture."

 

Lire"Toutes les routes du djihad mènent à Riyad"

 

En 2013, un cheikh saoudien parti combattre en Syrie lançait une campagne de collecte baptisée "Faites le djihad avec votre argent". Une offrande de 175 dollars (soit l’équivalent de 50 balles achetées) permettait au donateur d’obtenir le statut "Argent".

 

Eviter les détournements

 

Pourtant, les choses seraient en train de changer selon la sénatrice UDI, Nathalie Goulet, vice-présidente de la commission des Affaires étrangères du Palais du Luxembourg qui doit bientôt se rendre en Arabie saoudite pour visiter les institutions financières. La sénatrice affirme :

Les Saoudiens savent qu’ils ne peuvent pas prétendre au leadership du monde sunnite contre Daech et laisser prospérer des flux financiers suspects."

 

Preuve de cette volonté d’exercer un contrôle plus étroit ? En janvier 2015, le gouvernement saoudien a suspendu une campagne de dons en faveur du peuple syrien. Près de 61 comptes d’associations ont été bloqués pour éviter de possibles détournements vers Daech.

 

Reste l’arme idéologique. "Via la Ligue islamique mondiale qu’il finance à coups de milliards et dans une totale opacité, le royaume exporte le salafisme, l’idéologie religieuse qui fait le lit de Daech", considère Pierre Conesa.

 

 

 

Vincent Monnier

 

Source : l'obs

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Ce régime maudit a non seulement propagé du terrorisme sanguinaire partout dans le monde mais pire il a carrément cherché par tous les moyens à atomiser le monde musulman avec sa guerre chiite-sunnite (juste pour bloquer l'Iran et sa révolution et surtout pour ne pas souffrir de la comparaison avec les réussites incroyables de l'Iran malgré l'embargo des ennemis de l'islam)....:o

Ce régime esclavagiste, corrompu et raciste dilapide les milliards du peuple de la péninsule arabique en achetant des armes qui tuent les musulmans, en fréquentant les endroits sales de la planète (prostitution, drogue, jeux etc...) et aussi en dépensant beaucoup en cadeaux pour ses protecteurs occidentaux et pour ses "soldats" en Syrie, Irak, Yemen, Libye, Nigéria, Maghreb, Europe etc.....:eek:

Au lieu de developper le pays et le monde musulman, au lieu de créer des richesses, au lieu d'utiliser l'argent du hadj et de l'Omra pour aider les musulmans dans le monde, au lieu d'être au-dessus des luttes intestines et fratricides pour calmer et jouer le médiateur, au lieu d'être tout simplement digne d'un "gardien des lieues saints" et d'être un phare et une bonne image de l'islam etc...Eh bien non, ce régime pourri est tout le contraire....Qu'il soit maudit.....Laânahoum ellah.....:mad: :surprise:

Remarquez que souvent ses "investissements" dans les pays "frères" sont surtout des hôtels pour aller passer du "bon temps" avec les filles ou pire encore.

 

Evidement, n'oublions pas son petit protégé du maghreb, le maroc alaouite (alaouites d'origine saoudienne...Tiens....Tiens...;) ) pourvoyeur de terroristes et de dealers qui empoisonnent et tuent en Afrique et en Europe notamment en France et en Belgique....:o

 

Ces 2 régimes ignobles et répugnants bénéficient d'une complicité honteuse et criminelle en France, Belgique et ailleurs.c'est vrai que passer ses vacances gratuits et offerts dans un château de mimi6 est plus important pour ces politiciens que défendre leurs concitoyens.....:eek:

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Source : Consortiumnews.com, le 14/11/2015

 

Exclusif : Alors que le bilan des morts des attentats de Paris continue de s’aggraver, le président Hollande dénonce “un acte de guerre” de l’État islamique, mais, nous explique Daniel Lazare, la réalité sous-jacente est que les riches amis de la France dans le Golfe persique sont les complices de cette horreur.

 

Par Daniel Lazare

 

Au lendemain du dernier attentat terroriste de Paris, la question n’est pas de savoir quel groupe en particulier est responsable de l’attaque, mais en tout premier lieu de savoir qui est responsable de l’émergence de l’État islamique et d’Al-Qaïda. La réponse qui a émergé de plus en plus clairement au cours de ces dernières années est que ce sont les dirigeants occidentaux qui ont utilisé des portions croissantes du monde musulman comme terrain pour leurs jeux guerriers, et qui viennent maintenant verser des larmes de crocodile sur les conséquences de leurs actes.

 

Ce phénomène a commencé dans les années 80 en Afghanistan, où la CIA et la famille royale saoudienne ont quasiment inventé le djihadisme en essayant d’imposer aux Soviétiques une guerre à la vietnamienne juste dans leur arrière-cour. C’est ce qui s’est passé aussi en Irak, que les États-Unis et la Grande-Bretagne ont envahi en 2003, déclenchant ainsi une guerre civile féroce entre les chiites et les sunnites.

 

C’est ce qui se passe aujourd’hui au Yémen où les États-Unis et la France aident l’Arabie saoudite dans une guerre aérienne de grande ampleur contre les chiites Houthis. Et c’est ce qui se passe en Syrie, théâtre du jeu guerrier le plus destructeur, là où l’Arabie saoudite et d’autres pays du Golfe fournissent armes et argent à Al-Qaïda, à l’État Islamique, connu aussi sous les noms d’ISIS et de Daech, et à des organisations du même type, ce que les États-Unis savent parfaitement.

 

Les dirigeants occidentaux encouragent cette violence tout en s’en indignant quasi simultanément. En avril 2008, un responsable du ministère des finances a témoigné, lors d’une audition devant le Congrès : “L’endroit d’où part l’argent que reçoivent les groupes terroristes sunnites et les Talibans reste prioritairement l’Arabie saoudite.” [cf Rachel Ehrenfeld « Their Oil is Thicker Than Our Blood » dans Saudi Arabia and the Global Islamic Terrorist Network : America and the West’s Fatal Embrace (New York: Palgrave Macmillan,2011), p. 127.]

 

En décembre 2009, Hillary Clinton a indiqué dans une note diplomatique confidentielle que les donateurs d’Arabie saoudite constituaient, et ce au niveau mondial, la source la plus importante de financement des groupes terroristes. En octobre 2014, Joe Biden a déclaré aux étudiants de la Kennedy School de Harvard : “les Saoudiens, les émirats, etc. […] sont si déterminés à provoquer la chute d’Assad et surtout à mener par procuration une guerre chiites contre sunnites […] [qu’]ils ont versé des centaines de millions de dollars et fourni des dizaines de milliers de tonnes d’armement militaire à tous ceux qui voulaient se battre contre Assad, sauf que ceux qui ont reçu cette manne, c’étaient Al-Nosra et Al-Qaïda.”

 

Le mois dernier, le New York Times s’était plaint dans un éditorial de ce que les Saoudiens, les Qataris et les Koweitiens maintenaient leurs donations non seulement à Al-Qaïda mais aussi à l’État Islamique.

 

Cependant, même si on a souvent promis d’arrêter de financer ces groupes, les robinets sont demeurés grand ouverts. Les États-Unis ont non seulement approuvé de telles pratiques, mais ils en ont même été partie prenante. En juin 2012, le Times a écrit que la CIA travaillait avec les Frères Musulmans à faire passer aux rebelles anti-Assad des armes fournies par les Turcs, les Saoudiens et les Qataris.

 

Deux mois plus tard, la Defense Intelligence Agency, le Bureau du renseignement militaire, a indiqué qu’Al-Qaïda, les salafistes et les Frères Musulmans dominaient le mouvement rebelle syrien, que leur but était d’établir une “principauté salafiste dans l’est de la Syrie” là où se trouve maintenant le califat et que c’est “précisément ce que veulent les puissances qui soutiennent l’opposition”, c’est-à-dire l’Occident, les États du Golfe et la Turquie, “afin d’isoler le régime syrien.”

 

Plus récemment, l’administration Obama n’a soulevé aucune objection lorsque les Saoudiens ont fourni à Al-Nosra, la branche officielle syrienne d’Al-Qaïda, des missiles de pointe TOW pour l’aider lors de son offensive dans la province d’Idleb au nord de la Syrie. Elle n’a pas protesté quand les Saoudiens ont souhaité très vivement accroître leur aide à ces groupes, en réponse à l’intervention russe qui soutient le régime affaibli d’Assad.

 

Il y a deux semaines, Ben Hubbard du Times a indiqué que les troupes des opérations spéciales américaines introduites dans le nord de la Syrie avaient reçu l’ordre de travailler avec des rebelles arabes qui avaient précédemment collaboré avec Al-Nosra et qui – bien qu’Hubbard ne le précise pas – ne manqueront sûrement pas de le faire de nouveau quand les Américains seront partis.

 

Collaboration, vous avez dit collaboration ?

 

Bien qu’ils vouent une haine éternelle à Al-Qaïda, les États-Unis et leurs alliés du Golfe travaillent main dans la main avec ces mêmes forces, lorsqu’il s’agit d’atteindre certains objectifs. Pourtant, à présent, de Washington à Riyad, les dirigeants se désolent fort de ce que ces mêmes groupes mordent la main qui les nourrit.

 

C’est là un scénario qui s’est trop souvent répété ces dernières années. “Terrorisme” est un terme quasiment dépourvu de sens, qui brouille et obscurcit les événements plus qu’il ne les éclaire. Les attaques du 11 septembre ont mené à “une guerre mondiale contre la terreur” et, en même temps, à une vertigineuse dissimulation à propos de ceux qui étaient effectivement responsables de cette terreur.

 

Une chape de plomb s’est abattue sur le rôle joué par les Saoudiens en Afghanistan, où est né le réseau de ben Laden, et l’administration Bush a discrètement exfiltré des États-Unis 140 Saoudiens, y compris une vingtaine de membres de la famille ben Laden, après que le FBI les eut entendus, d’une façon plus que superficielle.

 

Quand le régent saoudien Abdallah ben Abdelaziz , qui devait encore attendre trois ans avant de régner officiellement, a rendu visite à Bush dans son ranch du Texas en avril 2002, le président a à peine fait allusion au World Trade Center et il a coupé la parole à un journaliste qui insistait pour en parler.

 

“Oui, moi, le prince héritier condamne vigoureusement les individus qui ont tué des citoyens américains. Nous travaillons constamment avec lui et son gouvernement, pour l’échange de renseignements et pour tarir la source des financements … ce gouvernement se donne du mal et c’est quelque chose que j’apprécie énormément.”

 

Bush mentait. Un mois seulement avant cette visite, Robert Kallstrom, l’ancien sous-directeur du FBI, s’était plaint que les Saoudiens ne montraient pas beaucoup d’empressement à enquêter. “Ils ne donnent pas l’impression de faire grand chose, et franchement, ça n’a rien de nouveau.”

 

En avril 2003, Philip Zelikow, le néoconservateur en charge de la commission du 11 septembre, s’est séparé d’une investigatrice, Dana Leseman, quand celle-ci s’est montrée trop déterminée à enquêter sur les liens avec l’Arabie saoudite. [cf Philip Shenon, The Commission : The Uncensored History of the 9/11 Investigation (New York: Twelve, 2008), pp 110-13.]

 

L’épisode le plus étonnant de l’étouffement d’une partie de l’enquête, c’est ce qui s’est passé pour un chapitre de 28 pages d’un rapport du Congrès, qui traitait de la question de la complicité de l’Arabie saoudite. Ce rapport a été, dans son ensemble, lourdement remanié, et ce chapitre s’est, quant à lui, trouvé entièrement supprimé. Bien qu’Obama, peu après être entré en fonction, ait promis à une veuve du 11 septembre, Kristen Breitweiser, de veiller à ce que ce chapitre soit rendu public, il n’en a rien été.

 

Au lieu d’identifier les responsables, Washington a préféré laisser les Américains dans l’ignorance. Au lieu d’identifier les vrais coupables, l’administration Bush, soutenue par les Démocrates et la presse, a préféré blâmer de vagues et “infâmes individus” d’un autre monde. Le même phénomène s’est produit en janvier dernier avec le massacre à Charlie Hebdo. On a beaucoup évoqué les insignes “Je Suis Charlie” et les grandes manifestations, où se trouvaient notamment Netanyahou, Sarkozy et l’ambassadeur d’Arabie saoudite, mais on n’a pas fait allusion aux rapports qui s’empilaient à propos des contributions financières des Saoudiens. C’est, en effet, à cette source que s’abreuve Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique, le groupe qui a entraîné Chérif Kouachi et a manifestement fomenté l’attaque.

 

Les rapports selon lesquels Riyad a depuis collaboré avec l’AQAP (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) dans sa guerre contre les chiites Houthis ont connu le même sort. Les avions saoudiens sèment la mort et la dévastation dans tout le Yémen, Al-Qaïda a pris le contrôle d’une ville de l’est, Mukalla, un centre pétrolier et un port maritime de 300 000 habitants et s’est aussi emparé de certaines parties d’Aden. Le groupe a ainsi accumulé un arsenal de dizaines de tanks T-55, de chars 22, mais également des missiles antiaériens et d’autres armes.

 

Personne n’a tiré la sonnette d’alarme

 

Une telle situation devrait avoir de quoi alarmer Washington, pourtant tous se sont contentés de hausser les épaules. L’administration Obama continue à encourager l’Arabie saoudite dans son attaque contre la plus pauvre des nations du Moyen-Orient, elle lui fournit un appui technique et une aide navale, tandis que la France, si désireuse de supplanter les États-Unis dans son rôle de premier fournisseur d’armes du royaume, appuie ce pays, elle aussi.

 

Le président français, François Hollande, soutient ainsi le royaume, qui soutient les forces, qui ont soutenu les auteurs du massacre de Charlie Hebdo. Il soutient aussi un royaume qui permet à l’argent d’affluer vers ISIS, groupe qu’il identifie désormais comme responsable des dernières atrocités en date.

 

Hollande préfère battre sa coulpe et lancer des appels vibrants à “la compassion et à la solidarité” plutôt que de revoir d’abord ses liens avec ceux qui sont à l’origine de telles attaques.

 

Au niveau le plus fondamental, il s’agit d’une crise à propos du pétrole, de l’argent et d’un empire américain qui reste paralysé devant le désastre qu’il a créé au Moyen-Orient. Quand Obama a lancé son célèbre appel pour un changement de régime à Damas – “Pour le bien du peuple syrien, le temps est venu pour le président Assad de démissionner” – cela semblait un jeu d’enfant.

 

La révolte montait, le régime ne tenait plus qu’à un fil, et on pensait que ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’Assad ne subisse le même sort que Kadhafi. “Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort,” Hillary Clinton criait victoire, quelques mois près la mort de Kadhafi ; on pensait alors qu’Assad n’allait pas tarder lui non plus à mourir sous les coups d’une foule insurgée.

 

Assad s’est cependant avéré plus résistant que prévu, principalement parce qu’il pouvait compté sur un parti de poids qui, bien que corrompu et coupé des réalités, jouissait tout de même encore d’un soutien populaire important. A mesure qu’il se montrait capable de rester au pouvoir, les États-Unis se trouvaient pris dans une guerre de plus en plus sectaire, menée par des extrémistes sunnites financés par des pays du Golfe.

 

Confronté à un dilemme entre d’un côté, Assad, et de l’autre, ISIS et Al-Qaïda, Obama a hésité et traîné des pieds, refusant de s’engager pleinement dans la cause des rebelles, mais échouant à s’opposer quand ses amis les plus proches financent les organisations que les USA considèrent officiellement comme des suppôts de Satan.

 

Au lieu de venir à bout d’ISIS, cette politique du ni-ni a laissé s’envenimer la situation. L’organisation est plus riche que jamais, ses troupes avancent dans de flamboyants pick-up Toyota et disposent de moyens techniques sans précédent. Il y a deux semaines, elle a, sans doute, abattu un avion de ligne russe dans le Sinaï. Jeudi, elle a dépêché deux tueurs-kamikazes dans une banlieue chiite de Beyrouth, lesquels ont fait 43 morts et plus de deux cents blessés.

 

Et à présent, selon les autorités françaises, ISIS a envoyé une équipe d’au moins huit militants pour mitrailler différents endroits à Paris. Se référant manifestement aux bombardements occidentaux contre des cibles ISIS en Syrie, un tireur aurait crié pendant l’assaut du Bataclan : “Ce que vous faites en Syrie, vous allez le payer maintenant.”

 

Ce spectacle d’horreur est produit par Washington, Riyad et l’Élysée.

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Entre 2011 et 2014, Daech a attiré 7 fois plus de Marocains que sous l'ère

d'Al-Qaïda en Irak durant la période 2006 et 2007. Ce chiffre ressort d'un rapport du

Centre de lutte contre le terrorisme de l'Académie militaire américaine West Point,

qui a comparé le profil des djihadistes à ces deux époques. Zoom sur ces

combattants originaires du Royaume.

Les chercheurs ont utilisé deux liasses de documents:

- Les documents dits de Sinjar, trouvés par l'armée américaine en Irak dans la ville de

Sinjar. Cette liasse est appelée 'Sinjar records', elle fait partie des prises de l'armée

américaine lors d'un raid en septembre 2007.

Elle comprend des données relatives à 584 recrues d'Al Qaida (2006-2007). Il s'agit de

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formulaires que les recrues remplissaient à leur arrivée.

- La deuxième liasse comprend 4.119 dossiers de personnel de l'État islamique des

étrangers qui ont rejoint ce groupe sur une période de 47 mois entre 2011-2014, qu'un

déserteur a fourni à NBC.

L'étude suscite deux réserves:

-la première liasse, avec 584 formulaires dans une seule ville est trop restreinte.

-la seconde liasse provient des documents de la NBC qui

sont sujets à caution,

comme nous l'avions expliqué par le passé

.

Cela étant dit, malgré ces réserves, voyons ce que dit l'étude de la prestigieuse

académie West Point.

La première période, celle des documents de Sinjar, est relative à Al Qaida. Elle révèle

des recrues qui sont souvent jeunes et dont la provenance est concentrée sur certains

pays et régions, tels que l'Arabie saoudite et la Libye.

La seconde période, celle de Daech, montre des recrues de tous les âges, venues de

toutes les régions du monde, même d'Europe, d'Amérique ou d'Asie, voyageant parfois

en famille.

Les Marocains, partis rejoindre les rangs de Daech, peuvent être plus jeunes ou plus

vieux qu'à l'époque d'Al-Qaïda en Irak, d'après le rapport "

Then and Now: Comparing the

Flow of Foreign Fighters to AQI and the Islamic State

".

D'après l'un des graphiques de cette étude,

la recrue marocaine la plus jeune de

Daech a autour de 17 ans et la plus âgée, près de 55 ans

alors que sous Al-Qaïda,

elle avait 18 ans et la plus vieille, 35 ans. Une fourchette plus grande qui "suggère qu'une

plus large et plus diversifiée partie de la société est attirée par l'EI".

Une poussée de terroristes en moins de 10 ans au Maroc

Les chiffres parlent d'eux-mêmes. En effet, d'après les données récoltées, Al-Qaïda en

Irak comptait dans ses rangs 36 combattants marocains issus de quatre villes du

Royaume et Da'ech, 254 venus de 63 communes éparpillées sur le territoire. En clair, 7

fois plus. L'anti-terrorisme marocain estime le nombre de Marocains ayant rejoint Da'ech,

dans la fourchette 1.200 à 1.500 personnes.

Sur la carte du Maroc, des

petits foyers

apparaissent ou grossissent, et pour certains

de façon spectaculaires. Ainsi,

Béni-Mellal, Rabat, les villes autour de Sebta et Mélilia

, celles se situant plus dans le centre ou encore dans le sud, ont vu s'envoler des

habitants pour se battre sur les théâtres syrien ou irakien.

A l'époque où

AQ

était le groupe terroriste n°1,

Casablanca lui a fourni, à elle-seule,

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65 % de ses nouvelles recrues marocaines,

selon l'échantillon de Sinjar.

Mais, cet

impressionnant chiffre a chuté à 4,5 % pour Daech

. "Il y a une chance que le taux

concernant Casablanca pour AQ, ait été gonflé, nuancent les auteurs, car la ville était

leur dernier point de départ plutôt que leur lieu d'origine". Autres explications: le

développement des infrastructures de transport telles que les aéroports régionaux, peut

avoir contribuer à cette baisse significative, tout comme la lutte contre le terrorisme.

Casablanca a été secouée par une série d'attentats-suicides en mai 2003.

A Tanger et Tétouan, le nombre de djihadistes partis, a été multiplié par 6,

passant de 8 combattants pour l'AQ à 55 pour la Syrie

. "Cette région a une histoire

connue de radicalisme, peut-on lire dans le rapport, peut-être influencée par le manque

d'opportunités économiques, la facilité d'accès à l'Europe et la familiarité avec la

criminalité, ainsi que les organisations clandestines (en raison en partie du trafic de

stupéfiants actif)."

Fès n'a pas été épargnée par cette vague. Entre 31 et 36 de ses résidents ont décidé

d'apporter leur soutien sur le terrain à Da'ech. L'enquête pointe du doigt la situation

économique de la ville, avec le manque d'opportunités pour la population, dont celle

diplômée. Après avoir épluché les différentes fiches des anciens de Fès, les auteurs ont

pu constater que 59% d'entre eux sont passés sur les bancs de l'école primaire et

secondaire, seulement 5% étaient arrivés au lycée, mais surtout, 16% avaient fait des

études à l'université.

Les jihadistes marocains, des bombes humaines

Le Maroc a produit le plus de kamikazes, d'après "fichier Sinjar

"

: 22 se sont fait

exploser sur 24, soit 91,7 %. Un pourcentage effrayant qui est descendu à 16,2 % à la

lecture des documents signés Da'ech.

Mais si on regarde de plus près les chiffres, ce ne sont pas moins de 40 personnes sur

les 247 enregistrées dans les colonnes de l'EI. "Le Maroc, l'Arabie Saoudite et la Libye -

apparaissent sur les deux listes (celle de Sinjar et celle de Da'ech concernant les

attentats-suicides), soulèvent les auteurs, ce qui indique qu'il y a eu un certain degré de

cohérence avec les recrues des pays qui veulent servir de kamikazes au fil du temps"

 

Source : Medias24

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Le Maroc finance t-il le terrorisme islamiste au Maghreb ?

 

23 Décembre 2013

 

C’est du moins ce que laisserait entendre Abdelmalek Sellal, le Premier ministre algérien. Cela est tout à fait probable d’autant plus que deux autres monarchies, l’Arabie Saoudite et le Qatar, sont clairement impliquées dans le financement des réseaux islamistes au Maghreb, en Egypte et surtout en Syrie. Certains pays occidentaux le savent mais ils laissent faire…jusqu’au jour où cela leur explosera à la figure ! L’Algérie ne se laisse en tout cas pas faire et elle le fait savoir par la voix de son Premier ministre, dont voici les propos traduits par nos soins.

 

Le Maroc finance t-il le terrorisme islamiste au Maghreb (vidéo)?

« Nous sommes capables d’employer la force en frappant fort et d’un seul coup. Nous n’avons aucun problème sur ce plan là et nous en avons la force et les moyens. Mais nous disons qu’il vaut mieux traiter de manière plus calme ».

 

« Même chose pour la drogue. Et je l’ai dit aux Tunisiens : qui finance les terroristes de Djebel Chaambi, si ce n’est les narcotrafiquants. C’est bien connu et nous avons des preuves incontestables. Et c’est la même chose en Libye et ailleurs. Ce n’est pas une solution, non ce n’est pas du tout une solution. En tout cas, l’essentiel pour nous c’est de veiller à la sécurité de notre société et je rappelle que nous œuvrons pour le bien et non pas pour le mal ».

 

Depuis l’époque de Hassan II, c’est un secret de polichinelle que la culture et le trafic de drogue constitue un secteur important de l’économie parallèle marocaine. Tout le monde savait que le moyen Atlas était un immense champ pour la culture du pavot. Mais que les narcotrafiquants et les islamo-terroristes soient dans une alliance stratégique, cela est nouveau dans la région. Nouveau mais pas inédit. Outre le soutien financier du Qatar et de l’Arabie Saoudite, c’est par la production du cannabis et de l’héroïne que les talibans et Al-Qaïda ont pu mener la guerre contre l’URSS, puis contre le peuple Afghans.

 

Les arabo-islamistes n’ont aucun scrupule à mener le djihad avec l’argent sale de la drogue d’autant plus que ce trafic permet aussi de détruire l’Occident de l’intérieur. Ils sont gagnants à triple titre : ils s’enrichissent, ils mènent le djihad au nom d’Allah, et ils empoisonnent la jeunesse occidentale.

 

Pour le Qatar, c’est le Frère musulman Hamad Ben Jassim al-Thani, le harki d’Israël et de l’Amérique, aujourd’hui caché quelque part en Europe, qui finançait le terrorisme islamiste, y compris Al Qaïda, au Maghreb, en Orient et en Afrique. Avec le pachyderme qatari tombé en disgrâce comme lui, il est le principal accusé de crimes contre l’Humanité en Syrie.

 

Pour l’Arabie Saoudite, c’est bandar Ben Sultan Ben Abdelaziz al-Saoud qui soutient et finance les réseaux terroristes islamistes dans le monde. L’ancien directeur du renseignement intérieur français, Bernard Squarcini, l’a confirmé dans le livre qu’il vient de publier, « Renseignements français : les nouveaux enjeux ». Bernard Squarcini dévoile les coulisses de la politique française en Syrie et son alliance avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui soutiennent des groupes armés. Il avoue son inquiétude sur le retour de milliers de djihadistes européens partis combattre en Syrie et assure que Bandar ben Sultan est derrière le financement des groupes « djihadistes » en Afghanistan, en Syrie, au Liban, en Egypte et en Afrique du nord.

 

Lilia Ben Rejeb

 

Source : Tunisie-secret.

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Origines de la connivence wahhabisme-sionisme

 

 

Vers la fin du dix huitième siècle, au summum des conquêtes coloniales, les impérialistes anglais ont créé deux forces destructrices apparemment antagonistes, le Sionisme d’un côté, le Wahhabisme ou Salafisme de l’autre. Ils appliquent en cela la devise : "diviser pour régner". Si les sionistes sont le glaive de l’impérialisme, les islamistes en sont les supplétifs, les harkis. Le sionisme est une calamité extérieure imposée au monde arabe. Le wahhabisme, est une maladie dégénérative endogène inoculée aux Arabes afin qu'ils s'attaquent d'abord à d'autres musulmans sunnites : les Turcs, et ensuite aux autres Arabes. Rached Ghannouchi ayant déclaré que les Salafistes étaient "ses fils", il est donc le père du Salafisme en Tunisie. Inutile alors de distinguer entre Salafisme, Wahhabisme ou Islamisme : c'est la même engeance.

L'islamisme est à l'islam ce que le sionisme est au judaïsme : une idéologie de conquête du pouvoir et de l'argent au nom de la religion et au détriment des peuples.

 

De la même manière qu’il ne faut pas confondre islam et islamisme, il ne faut pas non plus confondre judaïsme et sionisme. Mais quand on se prétend être le protecteur des lieux saints de l'islam, comme la dynastie saoudienne, quand on finance et dirige des groupes islamistes, souvent terroristes, et qu'on cache ses origines juives, c'est qu'on est, en réalité, un "sous-marin" sioniste. D'après les documents historiques publiés récemment, ce serait le cas du wahhabisme et de la dynastie saoudienne.

 

Rappel historique

En 1914 commence la Première Guerre mondiale. Elle aura un impact décisif sur le succès du sionisme et du wahhabisme. Les Ottomans entrent en guerre aux côtés de l'Allemagne et de l'Autriche, face à la France, au Royaume-Uni, à l'Italie et à la Russie tsariste.Chacune de ces quatre puissances a des visées territoriales sur l'empire ottoman pour le démanteler et s'en partager les dépouilles.

Dès 1915, le leader sioniste britannique, Haïm Weizmann, entreprend de convaincre la direction britannique de l'intérêt pour elle de soutenir la cause sioniste. En 1916, les accords secrets Sykes-Picot entre la France et le Royaume-Uni divisent l'empire ottoman en cas de victoire, et accordent au Royaume-Uni les zones qu'il convoite. En 1917, Lord Balfour, représentant le gouvernement britannique, adresse à Lord Lionel Walter Rothschild une lettre, la « déclaration Balfour », par laquelle il indique que le Royaume-Uni est favorable à l'établissement d'un « Foyer national juif » en Palestine.

Les Saoudiens acceptent la création d’Israël

À l'occasion de la conférence de paix de Paris de 1919, l’accord Fayçal-Weizmann fut signé le 3 janvier 1919 entre l'émir Faysal ibn Hussein (chérif de la Mecque et roi du Hedjaz) et Haïm Weizmann (qui deviendra en 1949 le premier Président d'Israël). Par cet accord, Fayçal ibn Hussein accepte, au nom des Arabes, les termes de la déclaration Balfour . Cette déclaration est considérée de facto une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël.

 

En Mars 1919, l’Émir Fayçal envoie le courrier suivant à Félix Frankfurter, juge américain, sioniste de choc, siégeant à la Cour suprême des États-Unis. "... Le mouvement juif est national et non impérialiste et notre mouvement (le wahhabisme) également est national et non impérialiste. Il y a en Palestine assez de place pour les deux peuples. Je crois que chacun des deux peuples a besoin du soutien de l'autre pour arriver à un véritable succès (...). J'envisage avec confiance un avenir dans lequel nous nous aiderons mutuellement, afin que les pays auxquels nous portons chacun un vif intérêt puissent à nouveau reprendre leur place au sein de la communauté des nations civilisées du monde". Cf Renée Neher-Bernheim, La déclaration Balfour, Julliard 1969.

 

Plus récemment, après les accords de Camp David, l'Arabie saoudite a été l'un des premiers pays arabes à avoir importé des marchandises israéliennes. Selon Al-Alam, l'Arabie saoudite, en important d'Israël des équipements nécessaires à l'extraction du pétrole, ainsi que des pièces détachées de machines agricoles, des fruits et des légumes, est l'un des premier pays arabes à avoir noué des liens économiques et commerciaux avec le régime sioniste. Et comme le savent très bien les ouvriers de la compagnie «Aramco», qui est le principal exploitant de pétrole saoudien, sur la plupart des pièces détachées, qu’utilise la compagnie, il est écrit « Made in Israël ».

Les services secrets irakiens révèlent les origines juives des wahhabites et des saoudiens

Le Département de la Défense des États-Unis a publié, récemment, des traductions de plusieurs documents de renseignement irakiens datant du règne de Saddam. Le rapport s'appuie sur ​​les Mémoires de M. Hempher , qui décrivent en détail comment cet espion britannique au Moyen-Orient, au milieu du XVIIIe siècle, a pris contact avec Abdul Wahhab, pour créer une version subversive de l'Islam, la secte du wahhabisme, qui est devenue le culte fondateur du régime saoudien. Ces « Mémoires de M. Hempher », ont été publiées sous forme d’épisodes dans le journal allemand Spiegel.

 

 

Parmi les vices que les britanniques devaient promouvoir chez les musulmans, à travers la secte wahhabite, figuraient le racisme et le nationalisme, l’alcool, le jeu, la luxure (vices qu’on retrouvera chez les émirs actuels). Mais la stratégie la plus importante reposait sur « la propagation d’hérésies chez les croyants pour ensuite critiquer l’Islam comme étant une religion de terroristes. ». A cet effet, Hempher trouva en Mohammed Ibn Abdul Wahhab un individu particulièrement réceptif.

Le mouvement wahhabite a été temporairement défait par les armées Ottomanes au milieu du XIXe siècle. Mais avec l'aide des Britanniques, les wahhabites saoudiens sont de retour au pouvoir en 1932. Depuis lors, les Saoudiens ont collaboré étroitement avec les Américains, à qui ils doivent leur richesse pétrolière considérable, dans le financement de diverses organisations islamiques fondamentalistes américaines et arabes. Simultanément, les Saoudiens vont utiliser leur immense richesse pour diffuser cette vision déviante et perturbatrice de l'Islam dans diverses parties du monde. Cette opération de propagande est considérée par les spécialistes comme étant la plus grande campagne de propagande dans l'histoire. Ces sectes wahhabites, allant des salafistes tunisiens aux talibans afghans, sèment terreur et horreur dans le monde islamique, et salissent l’Islam par leur comportement et par les fatwas scélérates qu’ils émettent.

Par ailleurs, un écrivain célèbre, amiral de la marine ottomane, qui a servi dans la péninsule arabique, Ayoub Sabri Pacha, a écrit sa version de l’histoire, telle qu’il la vécue, en 1888. Parmi ses livres, « le début et la propagation du wahhabisme » raconte l’association entre Abdul Wahhab et l’espion britannique Hempher en vue de comploter ensemble contre l’État turc ottoman afin de le dépecer au profit des Britanniques et de la secte wahhabite. Le fait que l’espion britannique Hempher ait été responsable du façonnement des préceptes extrêmes du Wahhabisme est mentionné aussi dans « Mir’at al-Haramain » un ouvrage du même Ayoub Sabri Pacha entre 1933-1938.

Abdul Wahhab fut l’instrument par lequel les britanniques parvinrent à insinuer cette vile idée parmi les musulmans de la péninsule arabique : il est licite de tuer d’autres musulmans, sous prétexte d’apostasie, il suffit de sortir une fatwa à cet effet. En fonction de cela, Wahhab défendait l’idée selon laquelle leurs frères musulmans Turcs, en offrant des prières aux saints, avaient trahis leur foi et qu’il était donc permis de les tuer, et de prendre pour esclaves leurs femmes et leurs enfants.

Les Wahhabites détruisirent aussi toutes les tombes sacrées et les cimetières, y compris à la Mecque et à Médine. Ils volèrent les trésors du Prophète, qui comprenaient des livres sacrés, des œuvres d’art et d’innombrables présents envoyés aux villes saintes au cours du millier d’années précédentes. Le cuir reliant les livres islamiques sacrés qu’ils avaient détruit fut utilisé pour faire des sandales à l’usage des criminels wahhabites.

En plus de révéler le contenu des Mémoires de Hempher, le rapport du renseignement irakien rapporte des révélations inédites, comme les origines juives à la fois d’Abdel Wahhab et de la famille Saoud.

 

Origines juives d’Abdel Wahhab ?

Un autre écrivain, D. Mustafa Turan a écrit dans « Les Juifs Donmeh », que Muhammad ibn Abdul Wahhab était un descendant d'une famille de Juifs Donmeh de Turquie. Les Donmeh étaient les descendants des disciples du tristement célèbre faux-messie du judaïsme, Shabbataï Zevi, qui a choqué le monde juif en 1666 en se convertissant à l'islam. Considéré comme un mystère sacré, les adeptes de Zevi ont imité sa conversion à l'islam, bien que secrètement, ils soient restés juifs, avec leurs doctrines kabbalistiques. Turan soutient que le grand-père d’Abdul Wahhab, Sulayman était en fait Shulman, ayant appartenu à la communauté juive de Bursa en Turquie. De là, il s'est installé à Damas, où il a feint d’être musulman, mais il a apparemment été expulsé pour pratique de la sorcellerie kabbalistique. Il s'est alors enfui en Égypte et il a de nouveau à faire face à une autre condamnation. Il a alors émigré au Hedjaz, où il s'est marié et a eu son fils : Abdul Wahhab. Selon le rapport irakien, la même ascendance est confirmée dans un autre document intitulé « Les Juifs Donmeh et l'origine des wahhabites en Arabie », écrit par Rifaat Salim Kabar.

 

Origines juives de la dynastie saoudienne ?

 

Le fait que la famille saoudienne soit d'origine juive a été publié par un saoudien, Mohammad Sakher , qui a été ensuite liquidé par le régime saoudien pour avoir osé publier ses révélations.

Par ailleurs, le rapport irakien fait référence à un compte-rendu similaire aux révélations de Mohammed Sakher, mais il cite des sources différentes. Selon « Le Mouvement wahhabite / La Vérité et Racines », par Ibrahim Abdul Wahhab Al-Shammari, ibn Saoud est réellement descendu de Mordechai Ben Ibrahim bin Mushi, un marchand juif de Bassorah. Celui-ci a fréquenté des membres de la tribu arabe de Aniza, puis il a voyagé avec eux dans le Najd, puis a prétendu être un membre de cette tribu. Il a alors changé son nom en Markhan bin Ibrahim bin Musa. Or, selon al Saïd Nasir, ambassadeur d'Arabie Saoudite au Caire, dans «l'histoire de la famille Saoud», Abdullah bin Ibrahim al Mufaddal a payé Muhammad Al-Tamimi 35000 jouneyh (Livres) en 1943, pour inventer deux arbres généalogiques (1) de la famille saoudienne et (2) d'Abdul Wahhab, et de les fusionner ensuite en un seul arbre remontant au prophète Mahomet. En 1960, la station « Sawt El Arabe » émettant du Caire, en Égypte et la station de radiodiffusion de Sanaa, au Yémen, ont confirmé les origines juives de la famille saoudienne.

Enfin, le 17 septembre 1969, le roi Fayçal Al-SAOUD déclare au Washington Post : "Nous, la famille saoudienne, sommes cousins des Juifs: nous ne sommes absolument pas d'accord avec toute Autorité arabe ou musulmane qui montrerait un antagonisme quelconque envers les Juifs, mais nous devons vivre avec eux en paix. Notre pays (Arabie) est la première Fontaine, d'où sortit le premier Juif pour que ses descendants se répartissent dans le monde entier. "

 

Suite..........

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Autres exemples récents

 

1 ) Le héros du film anti-islam est Mossaab, le fils de Hassan Youssef, un dirigeant éminent du Hamas

Le parti égyptien de la Libération a affirmé que le héros du film blasphématoire contre le Prophète, à lui bénédiction et salut, était Mossaab, le fils d’un dirigeant éminent du Hamas, Hassan Youssef.

Deux ans plus tôt, Mossaab était un agent du Mossad et était à l’origine de l’assassinat et de l’arrestation de cadres dirigeants des factions, dont El-Rantissi, Yassine, Marwane El-Barghouthi, écrit le parti sur son site internet. Quand Mossaab s’est converti vers la chrétienté, le Hamas ne lui a appliqué ni le châtiment de la haute trahison ni celui de l’apostasie. Le mouvement l’a laissé immigrer vers les Etats-Unis et son frère a refusé de le condamner. Mossaab avait révélé les secrets de son père et du mouvement dans un livre intitulé « Le fils du Hamas ».

Mossaab s’était rendu à El-Qods, quelques mois plus tôt, pour participer au film. Selon Wikipédia, Mossaab ibn Hassan ibn Youssef ibn Khalil, nommé Joseph, était un grand collaborateur du Shabak. Il a réussi a empêcher l’assassinat de grandes personnalités israéliennes.

2) Rached Ghannouchi et le lobby sioniste

La visite du leader du parti islamiste à Washington était organisée par le WINEP (Washington Institute for Near East Policy), un think thank dépendant d'AIPAC (The American Israel Public Affairs Committee : principal groupe de pression US œuvrant pour la défense des intérêts d'Israël). Rappelons que les deux grands piliers qui soutiennent les sionistes aux USA sont AIPAC et WINEP. Sur le site du groupe WINEP, le sujet de la visite de Rached Ghannouchi a été publié sous format PDF. Mais, ce qui paraît louche, il a été retiré 24 heures après sa mise en ligne.

Lors de la cérémonie organisée par le magazine Foreign Policy, R. Ghannouchi a reçu la distinction de l’un des plus grands intellectuels de l’année 2011 décernée par ce prestigieux média américain. Il est à noter que parmi ces 100 plus "grands intellectuels" dont fait partie Rached Ghannouchi on retrouve les sinistres Dick Cheney, Condoleezza Rice, Hillary Clinton, Robert Gates, John McCain, Nicolas Sarkozy, Tayeb Erdogan et le sioniste de choc, Bernard Henri Lévy, plus une longue liste de valets "arabo-musulmans". Ainsi Ghannouchi se trouve dans le même sac que les assassins de millions d’Irakiens, de Palestiniens, de Libyens, d’Afghans, et d’autres encore.

Devant un parterre composé de journalistes, de politiciens et décideurs, qui, dans leur majorité, sont plus soucieux des intérêts d’Israël que de ceux des Etats-Unis, et encore moins de ceux des Arabes, Rached Ghannouchi a exposé sa vision du futur et du rôle joué par les Frères Musulmans en Tunisie, en Afrique du Nord, dans le monde arabe et de leur collaboration avec les Etats-Unis. Non content de montrer son allégeance et sa soumission au gouvernement américain, Rached Ghannouchi a tenu à rassurer le lobby sioniste quant à l’article que lui-même avait proposé d’inclure dans la constitution tunisienne concernant le refus du gouvernement tunisien de collaborer avec Israël. Il ne sera jamais inscrit dans la Constitution tunisienne que la Tunisie n’établira jamais de relations de quelque nature que ce soit avec l’entité sioniste. Son passage au WINEP n’a pas été qu'un moment de plaisir. Croyant jouer au plus malin, notre Iznogoud national-islamiste s’est fait épingler avec vidéo à l’appui quand il a nié avoir traité les Etats-Unis de "Grand Satan" en 1989. La honte pour ce gros mensonge d'un supposé grand intellectuel arabe. Avec un minimum de fierté, n'importe qui d'autre aurait renoncé à la dite distinction. Pas lui. On est bien près de mépriser ce qu'on trouve ridicule.

 

3) Youssef Qaradawi: un agent du Mossad.

Asma Ben Kada a affirmé que le Cheikh Qaradawi, actuellement président de l’Union Internationale des Savants Musulmans, a effectué une visite à Tel Aviv début 2010. Elle a ajouté que son ex époux entretient des relations secrètes avec le service des renseignements sioniste et qu’il parle couramment l’hébreu.

C’est pourquoi, Hamad ben Khalifa Al Thani tient beaucoup à son Cheikh, a précisé Asma Ben Kada. Elle a ajouté qu’en effet, l’émir du Qatar tire profit du poste du Cheikh Qaradawi au sein de la Ligue Islamique Mondiale, afin d’exécuter le projet américano-sioniste conçu dans les coulisses du Knesset.

La même source a souligné que Cheikh Qaradawi a reçu un certificat d’appréciation du Congrès américain, au sein duquel les juifs représentent la majorité, et ce pour avoir réussi à mettre en œuvre le projet américano-sioniste, dans le monde Arabe.

 

Hannibal Genséric

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c'est vrai qu'on ne doit pas sortir d'une grande université pour comprendre les liens entre le sionisme radical, terroriste, expansionniste et colonialiste avec le wahabisme qui a les mêmes "valeurs", l'amour du crime et de l'horrible en plus.....:o

 

On sait aussi que "l'idée" funeste de la guerre sunnite-chiite (qui a et fait tant de mal aux musulmans et à l'islam) a été concoctée dans des labos pro-sionistes....La "vendre" ensuite aux imbéciles wahabistes a été un jeu d'enfant....:mad:

 

Moi perso je pense que les sionistes sont fidèles à leur nature par contre les musulmans sont à blâmer car ils ne font rien contre leurs ennemis et ne font pas face à leurs traitres.

Un exemple, on devrait tous commencer par boycotter le hadj et la Omra qui rapporte des milliards aux racistes, esclavagistes et terroristes saoudiens.....:rolleyes:

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Qui est derrière Daech qui s’étend maintenant au Maghreb ?

Par Mohsen Abdelmoumen — 22 mars 2015

 

 

« Si l’on veut gagner la guerre contre Daech, il faut aussi combattre dans le domaine de la communication et nous devons tous nous y mettre ! C’est une question de vie ou de mort« . Mohsen Abdelmoumen – 2 décembre 2014

 

L’Algérie cible de l’Etat islamique (Daech)

 

 

 

 

L’échec programmé de la coalition internationale contre Daech en Irak et en Syrie

 

Depuis le lancement en août des frappes de la coalition en Irak et en Syrie, plus de 2000 raids ont été effectués à l’aide d’une gigantesque armada composée d’hélicoptères Apache, d’avions de combat F-16, F-15, F-18, de Tornados, de Rafales, de drones de reconnaissance Predator, Reaper, d’avions ravitailleurs KC 135, d’avions hybrides de transport 22 Osprey, et du tout dernier F-22, apparu pour la première fois dans des opérations de combat. Ces appareils ont été lancés depuis les bases d’al-Dhafra aux Emirats Arabes Unis, d’al-Udeid au Qatar, d’Ali al-Salem au Koweït, depuis la Jordanie, des bombardiers B-1 à grand rayon d’action se sont envolés depuis la base de Diego Garcia dans l’Océan Indien, les F-18 ont décollé depuis le porte-avions USS George HW Bush auquel s’est joint le USS Carl Vinson et toute une série de bâtiments, réunis dans les eaux du Golfe pour constituer une véritable flotte de guerre dont les destroyers USS Philippine Sea et USS Arleight Bruke qui ont servi au lancement des missiles BGM 129 Tomahawk à un million de dollars pièce. Toute cette force utilise le guidage au laser et la technologie de haute précision pour lancer des missiles de croisière par vagues successives de 50, des bombes à haute précision GBU-12 et GBU-32 dont le coût varie entre un demi-million et deux millions de dollars l’unité.

 

Pourtant, cette immense puissance de feu à la pointe de la technologie n’a réussi qu’à détruire des cibles sans importance stratégique et à tuer des combattants kurdes engagés contre Daech-EI ainsi que des civils, et à abattre plusieurs appareils de transport d’armement envoyés par le gouvernement régional du Kurdistan irakien pour soutenir les combattants kurdes qui luttent contre Daech sur le terrain.

 

« Miraculeusement », une grande partie de cet armement est tombé entre les mains des terroristes de l’Etat islamique. De son côté, Daech possède tout un arsenal de guerre sophistiqué allant des mitrailleuses anti-aériennes 14.5 – 23 et 57 MM aux missiles à infrarouge Igla et Strela, en passant par les missiles sol-air FN 6 chinois de troisième génération à guidage infrarouge qui ont été utilisés pour abattre des hélicoptères et des avions irakiens et syriens, mais n’ont jamais été pointés vers les appareils de la coalition opérant à basse altitude, alors que ces missiles sont justement programmés pour ce type de tir. Ainsi, au lieu de se replier et de compter ses morts, Daech garde son potentiel intact, entre 20 000 et 30 000 hommes, et progresse sur la voie royale que lui ouvre la coalition internationale, et acquiert de nouvelles positions.

 

Des voix s’élèvent d’ailleurs aux Etats-Unis contre l’inefficacité des raids aériens, comme celle de l’inénarrable sénateur de Caroline du sud Lindsey Graham, le compère du sénateur criminel John McCain, qui a déclaré à CNN : « La stratégie de bombardements aériens ne va pas détruire ISIS. Vous ne pouvez pas détruire ISIS sans composante au sol ». Ses propos ont été relayés en Grande Bretagne par l’ancien chef d’état-major, Sir David Richards, qui a renchéri à la BBC : « La puissance aérienne ne suffira pas à gagner une campagne de ce type. Ce n’est pas réellement une opération antiterroriste ». Que reflètent de telles contradictions au sein des membres de la coalition ? Comment se fait-il que ces personnalités expriment publiquement l’échec des frappes contre Daech alors que l’opération est en cours ? Et comment l’administration américaine peut-elle continuer à berner sa propre opinion publique et l’opinion publique internationale en continuant d’affirmer qu’elle combat Daech, alors que des voix en son sein affirment le contraire ? Que cachent ces affirmations ? Et que penser de la démission de Chuck Hagel, ministre de la Défense US, qui s’est produite de manière on ne peut plus discrète le 24 novembre ?S’inscrit-elle dans ce contexte suite aux pressions du lobby sioniste, source d’une dissension au sein de l’administration américaine ? Ce désaccord serait-il arrivé à un tel degré de rupture qu’il a entraîné le départ de Hagel ? Que dissimulent réellement ces discordes au sein de la Maison Blanche ?

 

Le jeu du chat et de la souris entre la coalition menée par les USA et Daech nous révèle que ce dernier est effectivement le bras armé des Etats-Unis, comme nous l’affirment diverses sources du renseignement (note d’eva : Sinon Daech ne serait pas si armé et si puissant). La coalition internationale engagée dans ce conflit sans l’aval de l’ONU, et donc sans aucune légitimité, ne combat pas Daech-EI, et a réussi un seul objectif : la venue des troupes américaines en Irak avec 3000 soldats pour encadrer et entraîner l’armée irakienne. Combien de temps va-t-on encore essayer de nous cacher qu’il s’agit en fait d’un retour pur et dur des Etats-Unis en Irak, et que le but est d’un autre ordre que celui annoncé dans le projet initial d’attaquer Daech ? Tous les pays impliqués dans cette coalition ont un lien direct ou indirect avec l’organisation terroriste, chacun ayant ses propres calculs et son agenda personnel. Les Etats-Unis ont créé Daech-EI comme ils ont créé jadis Al-Qaïda, créant des « chaos constructifs » pour générer des guerres destinées à engraisser le complexe militaro-industriel auquel sont liés les néocons et les vieilles badernes étoilées du Pentagone.

 

Israël entraîne et soigne les terroristes blessés dans des hôpitaux de campagne et, grâce à la montée en puissance de Daech, va concrétiser un contrat gazier historique de 4 milliards de dollars en livrant du gaz à l’entreprise égyptienne Dolphinus Holdings à partir de 2015, gaz pompé dans le champ offshore de Tamar revendiqué par le Liban et contenant 250 milliards de mde gaz naturel, alors que jusqu’ici c’était Israël qui achetait du gaz à l’Egypte.

 

Les Saoudiens, bailleurs de fonds, ont financé et armé Daech à coups de milliards de pétrodollars. La France qui a été le fer de lance de la destruction de la Libye, a aidé de mille manières les islamistes coupeurs de têtes dits « modérés » et rêve d’éliminer celui qu’elle nomme le « dictateur » Assad.

 

Les Britanniques ont envoyé quelque 6000 recrues à Daech et lui ont fourni l’entraînement via ses services secrets et d’anciens militaires qui ont enseigné les techniques de combat, le maniement des armes, la façon d’économiser les munitions et de tirer à bon escient, l’organisation des embuscades et comment mener des opérations de jour et de nuit. L’Union européenne, dont certains pays ont acheté du pétrole à Daech-EI, comme l’a affirmé Jana Hybaskova, l’ambassadrice de l’Union européenne en Irak, sans toutefois divulguer la liste des pays impliqués, permet à Daech de gagner plus de 3 millions de dollars par jour avec la vente du pétrole, les vols, les trafics humains et les rançons. L’organisation terroriste contrôle, selon les rapports des services de renseignement occidentaux, onze champs pétroliers dans le nord de l’Irak et dans la province syrienne de Raqqa, le pétrole étant transféré à travers des réseaux établis en Turquie, en Jordanie et dans la région du Kurdistan irakien.

 

La Turquie d’Erdogan, plaque tournante du terrorisme islamique mondial, va accueillir deux mille terroristes dans le centre d’entraînement militaire de Hirfanli à Kırşehir à partir de ce mois de décembre et tamponne les passeports des candidats au djihad en transit ; des centaines de passeports libyens, tchéchènes, turcs, marocains, tunisiens, belges et français portant le tampon de l’Etat turc ont été retrouvés dans les zones de combat. Atteint d’un délire mégalomaniaque dont son nouveau palais extravagant et démesuré est le symbole, le sultan Erdogan Le Maléfique aspire au nettoyage ethnique de tous les Kurdes, qu’ils soient du PKK ou du PYD, et lorgne sans détour vers le Nord et l’Est de la Syrie en vue de s’emparer des ressources gazières et pétrolières et de faire main-basse sur Alep, étendant son appétit insatiable jusqu’en Afrique. Le Qatar entraîne les djihadistes dans son désert où est implantée la base américaine al-Udeid, et même le Maroc, créateur du groupe terroriste Mujao opérant en Afrique noire qui a prêté allégeance à Daech, vient d’envoyer deux F16.

 

Ce n’est pas tout, des sources diplomatiques ont révélé que plusieurs pays européens ont fourni des armes à Daech-EI avec l’aval de l’OTAN. Cette information a été révélée par le quotidien américain World Tribune, citant une source diplomatique sous le couvert de l’anonymat. Selon cette source, « des armes anti-char, des missiles, des RPG, des équipements de télécommunication et des gilets pare-balles ont été commandés en 2013 par Daech à la Bulgarie, la Croatie, la Roumanie, et l’Ukraine. Les services de renseignements de l’OTAN ont facilité le transfert de ces armes sous prétexte qu’il s’agissait d’une aide humanitaire destinée à la Syrie. La Turquie et des républiques de l’ex-Yougoslavie, telle la Croatie, ont joué un grand rôle dans l’armement de Daech. Les services de sécurité occidentaux ont été en charge de choisir des fournisseurs d’armes des pays d’Europe occidentale, fiables pour les transferts d’argent, le transport et la livraison des fournitures «humanitaires» au Moyen-Orient. La Croatie a fourni des véhicules blindés et des lance-roquettes, la Roumanie les chars de combat, l’Ukraine des véhicules de combat pour l’infanterie, et la Bulgarie des munitions. Les fournitures ont été livrées à partir de 2013 par des entreprises créées spécifiquement pour un ou deux marchés, dont les contrats mentionnaient des pays et sociétés autres que ceux auxquels étaient destinées les fournitures».

 

En ce qui concerne la véritable aide humanitaire fournie par l’USAID et des ONG gouvernementales de pays membres de l’UE, ou des camions du Programme Alimentaire Mondial (PAM) de l’ONU à destination des populations de Syrie, la journaliste libano-américaine, Serena Chélim, envoyée par Press TV et décédée à la suite d’un assassinat déguisé en accident de la route, enquêtait sur le détournement des terroristes de Daech infiltrés avec la complicité de l’ONU. Elle avait réussi à filmer le trafic mais les vidéos prouvant cette complicité ont mystérieusement disparu. L’aide humanitaire sous forme de médicaments, produits de première nécessité et nourriture, supposée destinée aux Syriens déplacés dans leur propre pays et à ceux qui se retrouvent démunis dans les zones de combat, échoue aux mains des mercenaires islamistes de Daech-EI dont les «Emirs» prélèvent un droit de passage. L’argent récolté au passage des camions d’aide humanitaire vient gonfler la caisse du produit de la vente du pétrole syrien et irakien acheminé illégalement via la Turquie en direction de l’UE, du trafic des antiquités volées dans les musées et les sites archéologiques, et qui transitent par la Turquie pour être écoulées en Europe et aux USA. Selon un coordinateur de l’aide humanitaire interviewé par le quotidien américain The Daily Beast, « les convois doivent être approuvés par Daech et nous devons payer des pots-de-vin qui sont dissimulés et enregistrés comme coûts de transport. Ces bakchichs sont payés soit par des ONG étrangères ou locales chargées de distribuer l’aide, soit par des transporteurs turcs ou syriens dont les camions sont affrétés pour le transport». Il est également probable qu’une partie de l’aide humanitaire soit vendue au marché noir ou utilisée pour recruter de nouveaux djihadistes sur place, mais aussi détournée directement par les terroristes de Daech pour leur propre profit. En conséquence, une grande partie de l’aide humanitaire va dans des zones contrôlées par Daech et très peu vers celles peuplées de Kurdes syriens qui subissent les assauts répétés de l’organisation terroriste.......Suite

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Daech-EI a son propre style de communication, et qui n’a rien à voir avec celui l’Al-Qaïda.

 

Le recrutement massif repose sur la diffusion des tueries filmées et les supports de propagande sont totalement différents. Si Al-Qaïda s’appuie sur sa machine médiatique qatarie Al Jazeera, Daech possède son propre réseau qui recrute des milliers de gens partout dans le monde, et ce gigantesque appareil de com. n’est certes pas le fruit du prosélytisme d’un groupe terroriste implanté en Irak. De gros moyens techniques et financiers sont nécessaires pour une telle démarche, ce qui implique plutôt un travail des services de renseignement puissants, comme ceux des Etats-Unis et de ses alliés occidentaux, d’Israël, de la Turquie, de l’Arabie saoudite et du Qatar. En effet, comment comprendre qu’une multitude de comptes Twitter, Facebook ou Youtube diffusant la propagande djihadiste puissent envahir le web et recruter en toute impunité ? Remarquons par ailleurs la similitude dans le traitement médiatique du cas Baghdadi avec celui de Ben Laden dont on a annoncé la mort à maintes reprises avant qu’il ne termine sa course par un grand plongeon (qui d’après le communiqué de la Maison Blanche respectait les préceptes de l’islam !) après une scène de capture trépidante digne d’un scénario hollywoodien et qui a même tenu en haleine le président Obama et son staff devant un écran de télévision. Si Daech a développé ses propres caractéristiques dans sa communication et ses méthodes de recrutement, la gestion du cas al-Baghdadi par l’establishment politico-médiatique recourt aux mêmes énigmes et aux mêmes communiqués, démentis ou pas, que ceux réservés à Ben Laden, comme récemment avec l’annonce subite de sa mort qui n’a été ni confirmée ni démentie jusqu’ici. Gageons qu’al-Baghdadi va réapparaître bientôt pour encore passer de vie à trépas un peu plus tard. Par contre, si l’on savait tout ou presque des origines de Ben Laden et de sa famille, cette fois, ils nous ont fabriqué une autre image de chef dont on ne sait pas grand-chose, sauf qu’il aime les Rolex.

 

Le service après-vente de la fabrique des terroristes de l’empire nous a conçu un djihad industriel, incluant l’apparition de phénomènes nouveaux tels que l’organisation de cette véritable armée avec des bataillons bien structurés, un armement lourd, l’instauration de marchés aux esclaves, le recrutement en masse et à distance via internet, l’enthousiasme féminin pour le djihad niqah où l’on a vu des centaines de filles de Tunisie, d’Allemagne, de Grande Bretagne, etc. répondre à un appel d’offre en se portant volontaires pour « le repos du guerrier ». Cette perversité généralisée ne s’est jamais manifestée avec autant d’ampleur que depuis la venue de Daech. Il est à noter tout de même qu’Al-Qaïda ou autres groupes ont affaire à forte concurrence, car personne n’avait jamais eu l’idée d’offrir tout à la fois le paradis dans les cieux et la jouissance terrestre aux adhérents. Sous couvert religieux, la partouze est accessible à tous et à toutes et a désormais atteint son paroxysme. Cela permet à tous les frustrés de la terre de prendre un ticket pour l’aventure et le sexe avec la bénédiction des imams de la CIA, des rabbins du Mossad et de Baghdadi. Il fallait y penser ! Quant à Al-Qaïda évincée, elle va se restructurer dans une nouvelle organisation souvent évoquée par les Américains sous le label « Khorasan » et qui peut se révéler un autre cheval de Troie des USA.

 

Autre point qui nous intrigue, fallait-il donc que les sionistes attendent la naissance et la montée en puissance de l’Etat islamique Daech pour proposer un texte de loi à la Knesset visant à renommer l’Etat d’Israël en Etat national du peuple juif ? Pourquoi maintenant ?

 

Il est évident que les Etats occidentaux vont devoir faire face à un retour de manivelle lorsque leurs éléments partis combattre pour le « Djihad » reviendront aguerris aux techniques de combat urbain. A titre d’exemple, les services de renseignement algériens ont livré des informations très précises aux autorités du Royaume-Uni concernant des attaques sur son territoire avec le retour de leurs ressortissants ayant combattu dans les rangs de Daech. La Grande-Bretagne est en alerte maximale, et de l’aveu même de la ministre de l’Intérieur et du Premier ministre, jamais un risque d’attentat n’avait été aussi important sur le sol d’Albion. Au regard de tous ces éléments, et malgré les risques majeurs d’attentats dans les Etats occidentaux, Daech-EI a réussi à concrétiser tous les espoirs d’hégémonie de l’empire et à lui permettre d’assouvir ses appétits gargantuesques en l’aidant à faire main-basse sur des richesses qui, sans lui, n’auraient pas été accessibles.

 

Le déplacement de Daech-EI vers le Maghreb

 

Le déplacement de Daech, comme al-Baghdadi l’a annoncé dans une vidéo, constitue une nouvelle évolution dans la progression de l’organisation terroriste. Al-Baghdadi, avant qu’il ne soit déclaré « mort » a fait diffuser une vidéo dans laquelle il évoquait de futures cibles, dont l’Algérie qui deviendrait une wilaya de l’Etat islamique. Or, depuis cette déclaration, CNN, dont on connaît le poids chez les néocons et ses liens avec le complexe militaro-industriel et qui a été de tous les combats allant du printemps sioniste aux différentes interventions américaines – à l’instar de son clone arabe Al Jazeera, chaîne de propagande d’Al-Qaïda qui diffusait toutes les vidéos de Ben Laden – CNN, donc, a consacré toute une série d’articles concernant le terrorisme englobant l’affaire Gourdel et la probabilité d’attaques visant l’Algérie menées à partir de Derna, sanctuaire de Daech en Libye. Etrangement, quelques jours plus tard, un avion provenant de Libye a été intercepté dans l’espace aérien algérien. Nous rappelons que nous avions déjà évoqué cette menace dans un précédent article, suite aux disparitions de plusieurs avions lors de la prise de l’aéroport de Tripoli. La « coïncidence » entre le dernier article de CNN évoquant les menaces contre l’Algérie et l’incursion de l’avion libyen, ajoutée à la demande américaine de l’ouverture de l’espace aérien algérien, soulève beaucoup de questions et nous amène à entrevoir un scénario catastrophique qui est en train de se mettre en place pour cibler l’Algérie.

 

Il ne faut pas oublier que la Libye, en plus d’être un axe important pour Daech, est devenue, d’après nos sources, une plaque tournante de l’espionnage mondial et que l’EI a pris le contrôle total de la ville de Derna, non loin de la frontière égyptienne et à seulement 950 kms de la rive sud de l’Union européenne. On évoque même le fait que Daech y dispose d’armes chimiques. Les terroristes profitent du chaos politique pour étendre rapidement leur présence le long de la côte vers l’ouest où ils ont accru leur présence, formant des ramifications à al Bayda, Benghazi où le groupe islamiste Ansar al Charia règne déjà, Syrte, Al-Khums et même à Tripoli. Nos sources confirment que la branche de Daech à Derna compte 800 combattants et exploite une demi-douzaine de camps à la périphérie de la ville, ainsi que des installations plus importantes dans les Montagnes Vertes voisines où sont formés les terroristes de toute l’Afrique du Nord. L’organisation terroriste a été renforcée par le retour de Syrie et d’Irak de quelques 300 djihadistes libyens qui faisaient partie de la brigade « al Battar » déployée dans un premier temps à Deir Ezzor en Syrie puis à Mossoul en Irak. En outre, Mokhtar Belmokhtar, élément très important de Daech en Libye et l’initiateur de l’attaque du complexe gazier de Tiguentourine, contrôle, d’après nos informations, au moins quatre villes libyennes.

 

Outre ces éléments, les USA et la France ont demandé à l’Algérie d’ouvrir son espace aérien aux avions de surveillance et autres avions militaires de transfert des unités de commando pour une mission de reconnaissance dans certaines parties de la Libye. L’Algérie n’a pas encore répondu officiellement à cette demande. Par ailleurs, tout en se félicitant du fait que les relations entre les Etats-Unis et l’Algérie n’avaient jamais atteint un aussi bon niveau – chanson serinée ad nauseam par les officiels français quand ils visitent Alger – Mme Joan A. Polaschik, ambassadrice US en Algérie, a estimé récemment que « la violence n’est jamais la réponse appropriée au règlement d’un conflit. Nous encourageons toujours les parties d’un conflit à s’asseoir autour d’une même table et à régler les différends sans recourir à la violence ». Si l’ambassadrice nous parle de résolution des problèmes par la négociation, que fait donc la coalition menée par les USA en Irak et en Syrie ? Des frappes pacifiques ? Comment l’ambassadrice peut-elle nous expliquer que son pays peut être à la fois ami avec l’Algérie tout en programmant pour 2015 avec le Maroc les plus grandes manœuvres militaires jamais effectuées dans la Méditerranée ? Que signifie ce double jeu,quand on connaît les désaccords entre l’administration américaine et le royaume du Maroc concernant le cas du Sahara occidental ? Les intérêts des uns et des autres font que la France soutient clairement le Maroc dans ce dossier, tandis que les Etats-Unis jouent sur plusieurs tableaux à la fois. L’Amérique nous demande d’être une sorte de Pakistan en Afrique parce que nous avons une grande armée expérimentée et aguerrie dans la lutte antiterroriste, tout en soufflant le chaud et le froid.

 

Quant aux Français embourbés dans le conflit malien, leurs intentions n’ont jamais été claires. Ils aimeraient impliquer l’ANP dans le chaos qu’ils ont provoqué au Mali et dans une nouvelle guerre avec la Libye, alors qu’ils sont à l’origine de la déstabilisation de toute la région du Sahel par leur première intervention belliqueuse en 2011, et dont nous subissons les conséquences à chaque instant. Nous constatons un conflit d’intérêt entre deux pays alliés, la France estimant l’Afrique comme son jardin privé, et les Etats-Unis voulant y contrer la présence chinoise, ce qui explique l’intervention de la sous-secrétaire d’Etat américaine chargée des Affaires africaines au Burkina Faso, pays considéré pourtant comme chasse gardée des Français. Les Etats-Unis cherchent-ils à stopper l’expansion de la Chine au Maghreb et en Afrique ?

 

Connaissant ce qui se passe en Irak et en Syrie où les pays de la coalition font tout excepté combattre Daech-EI, la demande d’ouverture de notre espace aérien ne peut que nous amener à nous interroger avec la plus vive inquiétude au sujet des réelles motivations. Après une première phase en Irak et en Syrie sans aucune résolution de l’ONU, agissant dans la plus complète illégalité, ils nous proposent de remettre ça en Libye, et la vidéo d’al-Baghdadi n’en était que le prélude. Nous savons qu’ils ne visent pas Daech, alors quel est le but de leur intervention en Libye ? Les objectifs sont-ils définis ? Pour les Français, chacun connait leur intérêt à jouer les gendarmes au Sahel afin de protéger l’uranium extrait au Niger qui alimente leurs centrales nucléaires. Mais concernant les Etats-Unis, quel est leur dessein à travers ce projet d’irakisation de la Libye ? Le pétrole libyen ? Soulignons en outre que la base de l’OTAN à Stuttgart est en mouvement, se préparant à des opérations vers la Libye.

 

Il est important de noter que dans des think tanks et medias américains,l’affaire Hervé Gourdel a bénéficié d’une très grande couverture qui va bien au-delà de l’événement lui-même, sachant que le groupe Jund al Khilafah est sorti de nulle part pour capturer Gourdel et a disparu dès la diffusion de la vidéo de sa pseudo « décapitation ». Le cas de ce groupe inconnu en Algérie et de cette affaire plus que douteuse soulève plusieurs interrogations qui impliquent les agissements de certains services de renseignement étrangers. En Algérie, on reste toujours dans le schéma où Aqmi joue un grand rôle dans les actions terroristes, même si les tentatives d’incursions venant de la Libye s’intensifient de jour en jour, et c’est pour cette raison que l’on peut parler d’un véritable branle-bas de combat qui se déroule à notre frontière avec la Libye.

 

Par ailleurs, des groupes terroristes en Libye seraient en possession d’équipements destinés à la guerre électronique et auraient réussi à brouiller les télécommunications civiles et militaires dans des régions frontalières avec l’Algérie, l’Egypte et la Tunisie. La présence de nos troupes n’a jamais atteint un tel niveau de déploiement avec l’implication des forces spéciales, des unités du génie militaire et des démineurs. Dernièrement, l’artillerie lourde a été appelée en renfort, en plus de la gendarmerie nationale avec ses différentes unités. L’Algérie a créé un couloir humanitaire permettant l’entrée sur le territoire aux réfugiés libyens qui fuient les combats, et l’infiltration de groupes terroristes parmi ce flux migratoire est une éventualité à laquelle sont confrontés notre armée et ses services. Le corridor humanitaire doit être filtré et surveillé scrupuleusement. Autre point important : le plus grand contingent de djihadistes partis pour se battre en Syrie dans les rangs de Daech provient de Tunisie et est désormais de retour au bercail. S’il y avait vraiment une guerre en Irak contre Daech, pourquoi ces 3000 terroristes tunisiens et plus ont-ils quitté les zones de combat ? Ce déplacement de l’effectif de Daech est à prendre au sérieux, car si l’on parle beaucoup de la Libye, omettre le sud tunisien qui pullule de terroristes dans cette véritable réserve à l’identique du Sinaï serait une grave erreur. Cela nous confirme qu’il y a effectivement un déplacement de Daech vers le Maghreb, suivant la déclaration de guerre d’al-Baghdadi à l’Algérie....Suite.

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Le sud tunisien peut devenir une autre source de danger, tandis que le gros de nos troupes est concentré sur la frontière libyenne et que celle avec la Tunisie n’étant pas fermée, elle constitue une faille dans laquelle peut se faufiler Daech, utilisant ce point de passage depuis la Libye. Ghannouchi n’avait-il pas déclaré que la Tunisie était une terre de transit ? Transit vers où ? De plus, la prétendue stabilité de la Tunisie n’est qu’une illusion véhiculée par les bobos rêveurs des printemps sionistes qui s’extasient sur des concepts exportés d’Occident tels que laïcité, transition démocratique, etc. et qui applaudissent naïvement, pour certains, le retour de l’ancien régime de Ben Ali relooké. Quant aux terroristes d’Ehnnahda, ce sont eux les véritables arbitres de ces élections. Il faut rappeler que tant qu’il y aura des partis politiques se référant au religieux, le monde arabo-musulman fera face à des mouvements terroristes. La Tunisie, mouchoir de poche sur la carte doté d’une petite démographie, ne pourra jamais être contrôlée par aucun pouvoir, parce que plus la crise économique s’aggrave, plus les radicaux recrutent et font des émules. Et on essaie de nous faire croire que c’est le dinosaure Béji Caïd Essebsi, le Karzai tunisien, qui va régler la problématique sécuritaire en Tunisie ? Un peu de sérieux, s’il vous plaît. C’est grâce à notre armée algérienne et à nos services de renseignement que le mont Chaambi a été nettoyé, mais le réservoir terroriste en Tunisie peut à nouveau prendre de l’ampleur avec la crise économique et sécuritaire.

 

L’information sécuritaire, si elle est stratégique chez les impérialistes américano-sionistes, est quasi inexistante dans la presse algérienne où tout le monde semble vivre sur une autre planète en dédaignant les analyses sérieuses concernant les enjeux géostratégiques et les dangers qui menacent notre intégrité territoriale. Personne ne sollicite l’avis de spécialistes sur les aspects sécuritaires, la culture de l’entretien est pratiquement inexistante, ne parlons même pas des enquêtes sur le terrain qui se résument à néant. Quelques rares plumes essaient de faire autre chose que de parler de la pluie et du beau temps, mais elles se comptent sur les doigts d’une main. Nous sommes bien loin du professionnalisme pointu de nos ennemis et personne ne semble saisir l’importance d’une information qui relaie les actions de nos forces armées pour contrer le terrorisme. Chaque jour, des terroristes sont neutralisés sur notre territoire et des armes ainsi que du matériel militaire en provenance de plusieurs endroits, surtout de Libye, sont interceptés, sans compter les attentats déjoués.

 

D’après le bilan des dix premiers mois 2014 émanant du commandement de la 5 région de la gendarmerie nationale, 38 terroristes faisant partie de cellules implantées dans 20 villes ont été neutralisés depuis janvier. L’opération de la gendarmerie nationale s’inscrit dans le démantèlement des réseaux de soutien et de logistique qui concerne 15 villes de l’Est algérien, dont certaines sont frontalières avec la Tunisie, ce qui confirme nos craintes développées plus haut. Il est à noter que les terroristes arrêtés on rejoint ces cellules durant ces trois dernières années et qu’ils sont âgés de 30 à 50 ans. Ces chiffres sont d’une importance capitale pour la lutte antiterroriste, car ils nous renseignent sur le nombre de cellules implantées dans des villes algériennes de l’Est dont certaines sont également proches de la Libye, outre le fait très grave que le recrutement des terroristes se poursuit de nos jours puisque la plupart d’entre eux ne sont en action que depuis trois ans. La communication des chiffres délivrés par les différents corps sécuritaires souffre d’un manque d’analyse rétrospective qui pourrait pourtant nous éclairer sur les mécanismes de recrutement du terrorisme d’aujourd’hui, sur la logistique des groupes et les différentes pistes, bref de tous les éléments susceptibles de nous mener à lutter contre le terrorisme sur le plan opérationnel.

 

Plusieurs questions restent en suspens tant que l’on ne dissèque pas sérieusement ces chiffres qui restent uniquement des statistiques. Aucun titre ou organe de presse algérien n’a daigné analyser ces données alors qu’elles sont d’une importance capitale. Sans culture d’analyse du phénomène terroriste en Algérie pris dans sa globalité et de Daech en particulier avec ses visées sur l’Algérie, nous restons dans le flou, même avec ces chiffres d’une importance majeure qui sont le fruit d’un travail minutieux de nos services de sécurité. La nécessité d’une coordination entre la gendarmerie, la police nationale et les autres services relevant de l’ANP, surtout sur le plan de l’information qui relève de la stratégie, est primordiale en ces moments cruciaux de grand danger pour notre pays et l’échange d’informations s’avère indispensable pour contrer le terrorisme. Les représentants d’une presse algérienne inutile qui se gavent de méchoui avec les maîtres du moment tels des geishas et cette soi-disant élite de salon atteinte du syndrome de Sisyphe se complaisent dans un déni crasse, enfouissant la tête dans le sable, alors que de nombreux périls se bousculent à notre porte quand ils ne sont pas sur notre propre sol comme l’a révélé le bilan de la gendarmerie nationale ! La presse trop occupée à goinfrer avec des patrons et à faire des affaires ou à jouer à cache-cache (cash-cash !) avec le pouvoir politique en spéculant sur les uns et les autres, a définitivement enterré son devoir d’informer le public. Nous continuons d’affirmer que le danger qui est au sud dans la wilaya de Ghardaïa et qui s’est étendu à Touggourt pour des raisons ethniques et sociales et que le pouvoir politique et les salonnards de tous bords sous-estiment, peut nous coûter très cher, l’instabilité du sud pouvant profiter aux groupes terroristes liés à Daech. Mais les chiffres récents communiqués par la gendarmerie nationale nous montrent que le danger est aussi au nord avec ses cellules terroristes de soutien et de logistique. Dans ces moments très périlleux, nous remercions le ciel d’avoir des services sécuritaires qui font un travail colossal et remarquable au service de la patrie, quand d’autres se précipitent sur la mangeoire pour étoffer leurs comptes en banque, concentrant leurs efforts pour préserver leurs privilèges d’oligarques.

 

La combinaison réunissant les ingrédients tels qu’un président malade, la chute du prix du baril de pétrole, et les menaces Daech qui se concrétisent, forment un cocktail explosif pouvant constituer un danger mortel pour l’Algérie. Il est indispensable de méditer sur cette constatation.

 

Si l’on veut gagner la guerre contre Daech, il faut aussi combattre dans le domaine de la communication et nous devons tous nous y mettre ! C’est une question de vie ou de mort.

 

Mohsen Abdelmoumen | 2 décembre 2014

 

Publié par l’auteur : https://mohsenabdelmoumen.wordpress.com/2014/12/02/lalgerie-ciblee-par-daech-ei-etat-islamique/

 

URL de cet article: http://arretsurinfo.ch/qui-est-derriere-daech-qui-setend-maintenant-au-maghreb/

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Cet article est très intéressant car il montre les liens entre daesch le terroriste criminel et des régimes pourris directement (arabie maudite, israel, usa, turquie) et indirectement (quatar, france, maroc).....:o

 

Au maghreb l'Algérie est certes visée directement par le trio maléfique (maroc alaouite, france sionisée et arabie maudite) mais aussi la Tunisie, la Libye et l'Egypte.Même la Mauritanie, le Mali et le Sénégal sont dans le complot visant à les destabiliser....:eek:

 

Alors attention chers amis.Soyons vigilants et dénonçons ces criminels soutiens des terroristes de daesch....;)

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30 novembre 2016.

 

Actualité

 

 

Le Mossad a-t-il frappé en Tunisie ? Les palestiniens du mouvement Hamas accusent les services de renseignement israéliens d’avoir tué dans la province de Sfax un tunisien chef de son programme de drones. Les pistes de Daech et du grand banditisme ne sont pas écartées par les enquêteurs.

 

Le scientifique tunisien Mohamed Zouari (Alzoari) a été tué, jeudi 15 décembre, dans la province tunisienne de Sfax, d’après la presse tunisienne et israélienne. Une première en Tunisie depuis de longues années. «La main sioniste lâche a tué le commandant Zouari le 15 décembre 2016», d’après les Brigades Ezzedine El Qassam, branche armée du Hamas. Les combattants du Hamas ont communiqué que le concepteur de drones s'était joint au mouvement il y a 10 ans, «à l'instar de nombreux citoyens de pays islamiques et arabes». Les Brigades Ezzedine El Qassam ont publié sur leur site une photo de Mohamed Zouari tenant un drone qui ressemblait aux appareils utilisés par le Hamas dans sa confrontation avec Israël. Les autorités israéliennes n'ont pas commenté les accusations à leur adresse, et les médias israéliens ont annoncé l'élimination de Zouari, se référant à des collègues étrangers.

Un journaliste tunisien accuse le Mossad d’être l’auteur de l’assassinat. La Tunisienne résidant en Autriche, soupçonnée d’être impliquée dans le meurtre de Mohamed Zouari, dans la province de Sfax, a été arrêtée, hier soir, à l’aéroport de Tunis Carthage, écrit un média tunisien.La dame s’est rendue elle-même après sa convocation, hier, par la police judiciaire de Sfax, précise le ministère de l’Intérieur dans un communiqué rendu public, samedi 17 décembre 2016. Elle a été maintenue en détention, d’après le média tunisien Kapitalis.

Le ministère a, par ailleurs, appelé les médias à ne diffuser que les informations vérifiées auprès de ses services afin de ne pas entraver l’enquête en cours. La suspecte avait récemment rencontré Mohamed Zouari dans la province de Sfax. Elle s’était présentée comme journaliste et était accompagnée d’un cameraman et d’un assistant. Elle l’aurait interviewé à propos d’un prototype d’avion sans pilote de sa conception. C’est la 6e arrestation dans cette affaire en deux jours, mais le présumé meurtrier principal, un Belge d’origine marocaine, est toujours en cavale. L’affaire rappelle, même si la piste du Mossad dans le décès de l’ingénieur tunisien n’est pas encore confirmée, l’élimination en 1988 d’un important responsable de l’OLP, Abou Djihad. Le quotidien israélien Yediot Aharonot a publié en 2012 des détails sur l’assassinat. Khalil El Wazir, alias Abou Djihad, né en 1936, avait fui le Liban encerclé par l’armée israélienne en 1982, et s’est établi en Tunisie. Israël accusait Abou Djihad d’être directement impliqué dans l’Intifadha et décidé de le tuer. Le Mossad est passé à l’action et tué le responsable de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine).

En 2012, Ronen Bergman, journaliste d’investigation du quotidien israélien Yediot Aharonot, auteur des révélations sur l’élimination de ce responsable palestinien, a précisé : «C’est faux, Abou Djihad a été tué pour un acte dont il n’est pas responsable». Le substitut du procureur général, Mourad Turki, a précisé que la radio tunisienne Mosaïque FM, privilégiait une «affaire de droit commun», sans toutefois écarter la piste terroriste.

Civils, militaires, touristes, opposants et éléments des forces de sécurité ont été ciblés par des attentats en Tunisie revendiqués par Daech.

 

Ennahda dénonce

 

Mohamed Zouari, un père de famille de 49 ans, avait fui la Tunisie en 1991, après avoir fait l’objet d’un mandat d’amener pour son activisme au sein d’une organisation estudiantine relevant d’un mouvement «islamiste» radical.

Son long exil l’a amené en Libye, en Mauritanie, au Soudan, en Syrie et en Turquie. Marié à une Syrienne, il a bénéficié de l’amnistie générale après la révolution de janvier 2011, et a pu rentrer en Tunisie, écrit un média tunisien.

Le parti Ennahda, une des principales forces politiques de Tunisie, a dénoncé vendredi «l'assassinat» par balle la veille à Sfax d'un homme présenté par des médias comme un ancien sympathisant islamiste, affirmant que ce meurtre menaçait la stabilité du pays. «Le bureau exécutif exprime sa vive condamnation après cet acte qui a ôté la vie à un citoyen (...) et menace la sécurité des Tunisiens et la stabilité de la Tunisie», a réagi Ennahda dans un texte.

 

Mounir Abi

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On nous dit que monsieur Soral, ami de Dieodonné, est un mec d'extrême-droite raciste et anti-sémite.Or quand on l'écoute on voit le contraire.c'est simplement un français qui se bat pour son pays.Bien sûr qu'on n'est pas d'accord avec lui sur tout mais quand même....Merde quand même....L'islamophobie et la parole raciste ont été libérés, entretenus et encouragés par les sionistes en premier et les racialistes se sont engouffrés dans la brèche......:eek:

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-reponse-d-Alain-Soral-et-d-E-R-aux-petits-blogueurs-excites-par-l-idee-d-une-hypothetique-43235.html

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theoriquement il ya 5 qui se partage le monde et tout ce qui se passe soit c'est eux qui le creent soit des autres qui le creent mais apres reflexion il le laissent faire car ça les arrange..

dire que le maroc ou l'arabie saoudites de petits pays isolé qui n'ont presque rien ni fer ni mecanique ni technologie puissent faire quelques chose sans devoir recevoir des réprimendes des 5 cela étoone beaucoups.. maintenant si le maroc mattent bien la population ça peut arranger les 5 mais si leur battue deborde et provoque les émeutes qui déborde sur les pays limitrophe et sur l'afrique ça les 5 sacvent qu'ils n'ot pas les moyens de mater la planette alors ils grondent sur le maroc ou l'arabie saoudite ou meme israel souvenez vous de la guerre des pierres ..ils ont forcés les juifs de serrer la main a Arafat dans les accords d'oslo..si les juifs tirent sur leur leader politique c'est leur affaire les 5 n'aiment pas oles agitations..

en attendant leurs chutte comme ceux d'avant 1914, rien n'indique qu'ils sont en position de faiblesse..y'a encore du RIZ ET DU BL2 TENDRE POUR NOURIRE LES 5 MULLIARDS..

 

Maintenant si il ya boulversement climatique inatendu, sauve qui peu...el hargba tassalék..

les 5 vont devoir se contenir avec 5 cuillére ensuite il ne reste que 4 cuillére un doit tomber un doit disparaitre c'est la roullete russe on nt'ellimne pas on te donne le pistolet..pâfff ensuite 3 cuillere ensuite 2 ensuite rien la fummée noir sur la planete l'aire des volcons est de retours..

en indonesie et pays tropicaux il ne reste quelques couple..ils se refusgie dans une foret..des qu'ils observent de loin la danse du requin et du dauphin l’espoir revient..

Djibrile est descendu pour ramasser cette bande de apprentis sorcier de gamin qui dirigent le monde dans 50 ans..

 

Mon pauvre pére le disdait souvent a son fils lorsqu'e celui ci dit que l'URSS VA ANEANTIRE LA PLANETE PAR LEURS TETES NUCLEAIRES

 

''ECOUTE MON FILS IL N YA NI TETE NI TRALALA ni TRALALI IL Y A DIEU ET DIEU NE LE PERMETTRA JAMAIS a des gamins de dirriger le Royaume, VA REVOIR TA COPIE D'ANALYSE DANS LE CORAN

 

il a eu raison Gorbatchev a saute a abandonné le navire je crois qu'il savait qu'il aller coulé..a l'eauuuuuuuuuu...:mdr:

 

heureusement qu'il RESTE UN peu de beton et le RIZ

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theoriquement il ya 5 qui se partage le monde et tout ce qui se passe soit c'est eux qui le creent soit des autres qui le creent mais apres reflexion il le laissent faire car ça les arrange..

dire que le maroc ou l'arabie saoudites de petits pays isolé qui n'ont presque rien ni fer ni mecanique ni technologie puissent faire quelques chose sans devoir recevoir des réprimendes des 5 cela étoone beaucoups.. maintenant si le maroc mattent bien la population ça peut arranger les 5 mais si leur battue deborde et provoque les émeutes qui déborde sur les pays limitrophe et sur l'afrique ça les 5 sacvent qu'ils n'ot pas les moyens de mater la planette alors ils grondent sur le maroc ou l'arabie saoudite ou meme israel souvenez vous de la guerre des pierres ..ils ont forcés les juifs de serrer la main a Arafat dans les accords d'oslo..si les juifs tirent sur leur leader politique c'est leur affaire les 5 n'aiment pas oles agitations..

en attendant leurs chutte comme ceux d'avant 1914, rien n'indique qu'ils sont en position de faiblesse..y'a encore du RIZ ET DU BL2 TENDRE POUR NOURIRE LES 5 MULLIARDS..

 

Maintenant si il ya boulversement climatique inatendu, sauve qui peu...el hargba tassalék..

les 5 vont devoir se contenir avec 5 cuillére ensuite il ne reste que 4 cuillére un doit tomber un doit disparaitre c'est la roullete russe on nt'ellimne pas on te donne le pistolet..pâfff ensuite 3 cuillere ensuite 2 ensuite rien la fummée noir sur la planete l'aire des volcons est de retours..

en indonesie et pays tropicaux il ne reste quelques couple..ils se refusgie dans une foret..des qu'ils observent de loin la danse du requin et du dauphin l’espoir revient..

Djibrile est descendu pour ramasser cette bande de apprentis sorcier de gamin qui dirigent le monde dans 50 ans..

 

Mon pauvre pére le disdait souvent a son fils lorsqu'e celui ci dit que l'URSS VA ANEANTIRE LA PLANETE PAR LEURS TETES NUCLEAIRES

 

''ECOUTE MON FILS IL N YA NI TETE NI TRALALA ni TRALALI IL Y A DIEU ET DIEU NE LE PERMETTRA JAMAIS a des gamins de dirriger le Royaume, VA REVOIR TA COPIE D'ANALYSE DANS LE CORAN

 

il a eu raison Gorbatchev a saute a abandonné le navire je crois qu'il savait qu'il aller coulé..a l'eauuuuuuuuuu...:mdr:

 

heureusement qu'il RESTE UN peu de beton et le RIZ

 

Rabbi idjib chifaa...................:mdr:

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13 mai 2016

 

Bernard Squarini, ancien patron des renseignements intérieurs français, révèlait il y'a presque 2 ans : que «L’Arabie saoudite financait le terrorisme en Syrie et en Algérie»!

Ce qui était connu concernant le financement du terrorisme en Algérie, en Syrie et ailleurs par certains pays du Moyen-Orient avait fait l’objet de nombreux témoignages irréfutables. L’ancien directeur des services de renseignements internes français Bernard Squarini, ancien patron du renseignement intérieur français, avait témoigné sur le rôle du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement du terrorisme. C’est dans son livre «Le renseignement français, les nouveaux enjeux», paru il y a un peu plus de 2 ans, que Bernard Squarcini avait révèlé les détails de cette relation faite au détriment de centaines de milliers de victimes.

 

Selon cet ancien patron des renseignements intérieurs français, les groupes djihadistes qui avaient prêté allégeance à Al Qaïda «étaient financé principalement par le prince saoudien Bandar Ben Sultan (secrétaire général du Conseil de sécurité nationale et chef des renseignements généraux d’Arabie saoudite) qui adoptait une politique régionale indépendante de ses frères et ses cousins».Bernard Squarini, assurait dans son dernier livre que «Bandar Ben Sultan, chef des renseignements saoudiens, était derrière le financement des groupes djihadistes en Afghanistan, en Syrie, au Liban, en Egypte, au nord de l’Afrique», «le Qatar, grand partenaire commercial et politique de la France, était intéressé par le financement, voire l’armement des groupes islamistes combattant en Afrique contre l’armée française».

 

D’après Bernard Squarini, Doha utilise les ONG (organisations non gouvernementales) pour camoufler et faire passer le soutien logistique et entraîner les groupes djihadistes. L’Arabie saoudite a un rôle dans le financement et l’entraînement des groupes extrémistes, particulièrement au nord de l’Afrique, surtout en Algérie. Il rappellait que le 22 mars 2013, les renseignements hollandais, britanniques, belges et français avaient tenu une réunion à Dublin pour tirer la sonnette d’alarme suite aux rapports faisaient état de centaines d’Européens combattant dans les rangs les plus extrémistes en Syrie. Ces renseignements craignaient leur retour vivants de Syrie, était-il noté par Bernard Squarini, qui se demandait : «Dans ce cas, comment qualifier l’Arabie saoudite et le Qatar de pays amis, au moment où ils agissaient contre les intérêts français ?»

 

Cet ancien patron des renseignements intérieurs français évoquait dans son livre «les profondes divergences entre le ministère français des Affaires étrangères et les services de sécurité français», expliquant que «les changements de position de la diplomatie française sur la Syrie étaient dû à ces changements». Bernard Squarini avait estimé que «la direction diplomatique française de la crise syrienne s’opposait à la logique, surtout qu’elle avait misé sur la chute inéluctable de Bachar Al Assad. Mais celui-ci est sorti plus fort après l’affaire des armes chimiques».

 

Bernard Squarini qui avait expliqué dans son livre que «nous savions depuis 20 ans que les banques saoudiennes, égyptiennes et koweïtiennes finançaient les groupes islamistes en Egypte et en Algérie», a également ajouté que «les renseignements français savaient que parmi ceux qui combattent Bachar Al Assad se trouvent des islamistes du Maroc, de Libye, d’Irak, d’Egypte, d’Afghanistan, du Pakistan et du Daghestan et des centaines de Français».

 

*Bernard Squarcini, né le 12 décembre 1955 à Rabat (Maroc), est un haut fonctionnaire français, ancien commissaire de police et préfet.Il occupe les fonctions de directeur central du renseignement intérieur du 2 juillet 2008 au 30 mai 2012. Bernard Squarcini a été notamment chargé, au cours de sa carrière, du renseignement antiterroriste en Corse et au Pays basque

 

Source : AWDnews

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23 décembre 2016

 

Le chef des services secrets israéliens, le général Herzi Halevy, a déclaré que ces trois derniers mois ont été les plus difficiles pour l'Etat islamique (EI) depuis son commencement. Dans un discours livré à la conférence "Herzliya" hier, Halevy a explicitement déclaré "qu'Israël ne veut pas que la situation en Syrie finisse avec la défaite de l'EI", selon le site israélienNRG.

 

"Le retrait des superpuissances de la région laissant Israël isolé devant le Hezbollah et l'Iran qui possèdent d'importantes capacités de (nuisance) placera Israël dans une position très difficile" Donc, "nous devons faire tout ce que nous pouvons afin de ne pas nous retrouver nous-mêmes dans une telle situation", a ajouté le chef des services secrets israéliens.

 

Source : AWDnews

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