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rachid Nekaz vient d etre expulser de bajaia !!!


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Nekkaz est au service de la france.

les services secrets algeriens le savent.

il peut rien faire en algerie et n'a surement rien a faire.

si j'etais a sa place je me serais bien amusé en france.

c'est le genre de mec qui croit qu'avec du fric on peut tout avoir.

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Bonjour,

 

Il faut vraiment être dérangé (et avoir des nerfs d'acier) pour vouloir gouverner les Algériens! :crazy:

 

Il ne faut pas hésiter à les mettre en taule et l'algérien n'aime pas qu'on touche à son portefeuille, à ne pas hésiter à lui mettre des amendes bien méritées !

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il vient d etre condamne à 2 mois de prison ferme au tribunal de Paris pour avoir manifester devant l appartement de la fille de Sellal sans autorisation de la prefecture de manifeter

 

il a la rage !! allez sur sa page facebook vous verrez tout ca

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il vient d etre condamne à 2 mois de prison ferme au tribunal de Paris pour avoir manifester devant l appartement de la fille de Sellal sans autorisation de la prefecture de manifeter

 

il a la rage !! allez sur sa page facebook vous verrez tout ca

 

Ah, pour ça, c'est bien.

Saïdani, il aurait des biens estimés à plusieurs millions d'euros à Paris.

Il faut lui saisir come pour ce président de la Guinée.

Il faut saisir Transparency International.

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Amar Saïdani passe aux aveux : «C'est vrai, j'ai acheté des biens immobiliers en France !»

08 Jul, 2015

 

Le secrétaire général du FLN vient de reconnaître avoir acheté un appartement haut standing au cœur de Paris. Après avoir longtemps nié posséder des biens immobiliers en France en défiant la presse d’apporter la preuve du contraire, le controversé SG de l’ex-parti unique passe aux aveux. Dans un entretien accordé au quotidien arabophone El-Khabar,Amar Saïdani s’explique sur cet achat immobilier qui a fait couler beaucoup d’encre. Il a ainsi affirmé avoir effectivement acheté un appartement à Neuilly-sur-Seine. Pour faire passer son aveu sans trop de fracas, il justifie cette acquisition par la nécessité d’assurer un toit décent à sa fille malade qui se soigne en France. «Oui, j’ai effectivement acheté un appartement à Paris pour garantir une résidence sûre et confortable pour ma fille malade qui est suivie dans un hôpital parisien. Elle se soigne là-bas depuis trois ans. Ce sont les médecins qui m’ont conseillé de m’installer à Paris pour les besoins de la prise en charge médicale de ma fille», a-t-il attesté, avant de s’interroger : «Est-ce qu’il fallait que je la laisse dans un hôtel, sans surveillance, ni soutien surtout que son état de santé ne lui permettait pas de se déplacer sur de longues distances ?» Il n’explique pas, cependant, pourquoi sa fille malade est demeurée en France plusieurs années après l’achat de cet appartement. Amar Saïdani a précisé, dans cet entretien, qu’il avait remis au chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général de corps d’armée Toufik, un dossier détaillé sur cette acquisition, dans lequel il avait fourni toutes les pièces et documents relatifs à ce bien immobilier ainsi que tout le dossier médical prouvant que sa fille est bien malade et qu’elle est suivie dans un hôpital parisien. Pourquoi le pourfendeur du DRS, dont il dit qu’il ne devait pas se mêler des affaires «qui ne le regardent pas», a-t-il remis le dossier de son appartement parisien au général Toufik ? Veut-il lever tout soupçon sur cette transaction en affirmant qu’elle a été soumise au contrôle du DRS ? Que s’est-il passé pour qu’Amar Saïdani se décide enfin à passer aux aveux ? Pourquoi reconnaît-il aujourd’hui ce qu’il a totalement nié il y a quelques mois en allant jusqu’à accuser la presse d’être manipulée, en diffusant des «fausses informations» sur lui ? Il avait d’ailleurs défié les journalistes d’apporter la preuve de cette acquisition. D’une superficie de 101,61 m2, cet appartement a été acheté auprès d’un couple mexicain en novembre 2009. Il est situé au 09/15 boulevard Victor-Hugo, Neuilly-sur-Seine (Hauts de Seine). L’acquisition a été faite au nom de la société civile immobilière L’Olivier, créée quelques mois auparavant, à savoir en juillet 2009, et gérée par l’une des filles d’Amar Saïdani, Kenza. Le siège social de la SCI L’Olivier, spécialisée dans l’acquisition et l’exploitation de tous biens et droits immobiliers, est sis au 48, rue de la Bienfaisance, 75008, Paris. Outre Amar Saïdani, sont actionnaires dans cette société tous ses enfants et sa femme. L’appartement de Neuilly-sur-Seine a été acheté au prix de 665 000 euros.

Hani Abdi

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Algérie - Rachid Nekkaz dévoile les biens Amar Saidani en face de ...

Vidéo pour "appartement saidani paris"

 

▶ 1:56

5 mai 2014 - Ajouté par Tout sur l'Algérie | La puce à l'oreille

Algérie - Rachid Nekkaz dévoile les biens Amar Saidani en face de son appartement à Paris. Tout sur l ...

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Amar Saïdani entendu par la police française pour blanchiment d’argent et enrichissement illicite

10 Septembre 2014

 

ARTICLE | 10. SEPTEMBRE 2014

 

Saïdani va-t-il encore bénéficier de la protection de ses «mentors» ? Sid-Ali/New Press

 

Nouveau rebondissement dans l’affaire des biens d’Amar Saïdani à Paris ! La police française enquête sur l’origine de l’argent qui a permis au secrétaire général du FLN de multiplier les acquisitions immobilières dans des quartiers très cotés et à «garnir» ses comptes en France. Cette information, qui soulèvera assurément de nouvelles vagues au FLN, où il est fortement contesté, a été révélée par une partie de ses détracteurs proches de l’ancien secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, dans un communiqué adressé au journal arabophone El Fadjr. Disparu des écrans radars durant l’été, Amar Saïdani n’était finalement pas en vacances, il subissait des interrogatoires de la police française. Le communiqué en question, signé par la commission de fidélité (wafa à Belkhadem), qui compte parmi ses membres des députés, des sénateurs et des membres du comité central, précise la date, le lieu et la durée de ces interrogatoires.

 

Selon ce communiqué, le secrétaire général du FLN a été entendu par la police judiciaire de Paris le 21 août, laquelle mène une enquête sur des soupçons de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite qui pèsent lourdement sur lui et sa famille. L’interrogatoire a duré plus de 4 heures, précise la même source. Selon une source au FLN, Amar Saïdani était bel et bien en France durant cette période. D’ailleurs, la même source nous a affirmé que «le secrétaire général du FLN est resté longtemps à Paris alors que des événements importants liés au parti se sont produits».

 

Cela en référence à la dépêche de l’APS annonçant le limogeage de Belkhadem de la Présidence et son interdiction d’accès au FLN. La brigade de lutte contre le blanchiment d’argent a agi à la demande du parquet, lequel a enregistré le 29 juin dernier une plainte contre Amar Saïdani déposée par l’ex-candidat à la candidature à la présidentielle algérienne du 17 avril dernier, Rachid Nekkaz. Ce dernier, faut-il le rappeler, a mené sa propre enquête sur les biens d’Amar Saïdani à Paris, confirmant ainsi les révélations faites par le journaliste d’investigation Nicolas Beau, dans le journal Mondafrique, et Algeriepatriotique.

 

Ainsi, Mondafrique avait fait état de la possession d’Amar Saïdani de deux appartements à Paris et de 300 millions d’euros en banque. Algeriepatriotique a, quant à lui, pu situer après enquête ces deux appartements dans deux quartiers cossus de la capitale française. Le premier au 15, boulevard Victor Hugo à Neuilly-sur-Seine, d’une superficie de 100 m2, dont le prix au mètre carré peut atteindre allègrement les 15 000 euros. La seconde habitation d’Amar Saïdani est située non loin du quartier de La Défense, au 36, Résidence Belle Rive. Cet appartement a dû coûter entre huit cent mille et un million d’euros. Le patron du FLN dispose également, comme l’a révélé Nicolas Beau, d’une carte de résidence VIP, qui lui donne le statut d’une personnalité hautement importante pour la République française. Il possède également une société civile immobilière l’Olivier avec ses 7 enfants et sa femme. Cette affaire risque de faire couler encore beaucoup d’encre, car c’est la première fois qu’un secrétaire général du FLN fasse l’objet d’une enquête pour blanchiment d’argent par l’ancienne puissance coloniale. Elle met Amar Saïdani dans une mauvaise posture face aux défenseurs de la ligne dure de l’ex-parti unique qui se considèrent comme les héritiers du FLN historique.

 

(...)

Rafik Meddour

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Amar Saïdani entendu par la police française pour blanchiment d’argent et enrichissement illicite

10 Septembre 2014

 

ARTICLE | 10. SEPTEMBRE 2014

 

Saïdani va-t-il encore bénéficier de la protection de ses «mentors» ? Sid-Ali/New Press

 

Nouveau rebondissement dans l’affaire des biens d’Amar Saïdani à Paris ! La police française enquête sur l’origine de l’argent qui a permis au secrétaire général du FLN de multiplier les acquisitions immobilières dans des quartiers très cotés et à «garnir» ses comptes en France. Cette information, qui soulèvera assurément de nouvelles vagues au FLN, où il est fortement contesté, a été révélée par une partie de ses détracteurs proches de l’ancien secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, dans un communiqué adressé au journal arabophone El Fadjr. Disparu des écrans radars durant l’été, Amar Saïdani n’était finalement pas en vacances, il subissait des interrogatoires de la police française. Le communiqué en question, signé par la commission de fidélité (wafa à Belkhadem), qui compte parmi ses membres des députés, des sénateurs et des membres du comité central, précise la date, le lieu et la durée de ces interrogatoires.

 

Selon ce communiqué, le secrétaire général du FLN a été entendu par la police judiciaire de Paris le 21 août, laquelle mène une enquête sur des soupçons de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite qui pèsent lourdement sur lui et sa famille. L’interrogatoire a duré plus de 4 heures, précise la même source. Selon une source au FLN, Amar Saïdani était bel et bien en France durant cette période. D’ailleurs, la même source nous a affirmé que «le secrétaire général du FLN est resté longtemps à Paris alors que des événements importants liés au parti se sont produits».

 

Cela en référence à la dépêche de l’APS annonçant le limogeage de Belkhadem de la Présidence et son interdiction d’accès au FLN. La brigade de lutte contre le blanchiment d’argent a agi à la demande du parquet, lequel a enregistré le 29 juin dernier une plainte contre Amar Saïdani déposée par l’ex-candidat à la candidature à la présidentielle algérienne du 17 avril dernier, Rachid Nekkaz. Ce dernier, faut-il le rappeler, a mené sa propre enquête sur les biens d’Amar Saïdani à Paris, confirmant ainsi les révélations faites par le journaliste d’investigation Nicolas Beau, dans le journal Mondafrique, et Algeriepatriotique.

 

Ainsi, Mondafrique avait fait état de la possession d’Amar Saïdani de deux appartements à Paris et de 300 millions d’euros en banque. Algeriepatriotique a, quant à lui, pu situer après enquête ces deux appartements dans deux quartiers cossus de la capitale française. Le premier au 15, boulevard Victor Hugo à Neuilly-sur-Seine, d’une superficie de 100 m2, dont le prix au mètre carré peut atteindre allègrement les 15 000 euros. La seconde habitation d’Amar Saïdani est située non loin du quartier de La Défense, au 36, Résidence Belle Rive. Cet appartement a dû coûter entre huit cent mille et un million d’euros. Le patron du FLN dispose également, comme l’a révélé Nicolas Beau, d’une carte de résidence VIP, qui lui donne le statut d’une personnalité hautement importante pour la République française. Il possède également une société civile immobilière l’Olivier avec ses 7 enfants et sa femme. Cette affaire risque de faire couler encore beaucoup d’encre, car c’est la première fois qu’un secrétaire général du FLN fasse l’objet d’une enquête pour blanchiment d’argent par l’ancienne puissance coloniale. Elle met Amar Saïdani dans une mauvaise posture face aux défenseurs de la ligne dure de l’ex-parti unique qui se considèrent comme les héritiers du FLN historique.

 

(...)

Rafik Meddour

 

de toute facon ils vont tout rendre tot ou tard

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