zadhand 546 Posted March 11, 2017 Partager Posted March 11, 2017 Listes FLN: Un mort et six blessés à Tiaret ! ObservAlgerie/Faycal Benmoussa 11 mars 2017 à 14:56 La colère et la contestation qui ont suivi le rejet de certains noms imposés par des Mouhafedh du Front de libération nationale (FLN) ont buté sur la mort d’homme. En effet, ce matin, au moment où certains militants débattaient de la liste des candidats à la députation au niveau de la Mouhafadha de Tiaret, une bagarre généralisée s’en est suivie. Les belligérants, qui ont eu recours à l’usage d’armes blanches, se sont violemment accrochés. Selon Echourouk online, qui cite sa correspondance (TV), le bilan est lourd : un homme de 52 ans a trouvé la mort, et six autres personnes ont été grièvement blessées.Les victimes ont été évacuées vers l’hôpital local. Citer Link to post Share on other sites
zadhand 546 Posted March 16, 2017 Author Partager Posted March 16, 2017 L’interpellation du fils du SG du FLN Un scandale politico-judiciaire El Watan le 16.03.17 | 12h00 L’affaire a fait le tour des réseaux sociaux avant d’alimenter les discussions dans les rédactions algéroises, et de finir par être confirmée à demi-mot par Djamel Ould Abbès, secrétaire général du FLN. Il s’agit de l’énigmatique interpellation du fils aîné de Ould Abbès, Wafi, par les gendarmes non loin de la résidence d’Etat du Sahel, à Club des Pins, de la perquisition de son domicile et de son audition durant des heures, avant d’être relâché à la suite d’un probable compromis. Jamais une affaire n’a été entourée d’une telle discrétion comme celle de l’interpellation de Wafi Ould Abbès. Normal, diront les plus avertis. Il s’agit du fils du secrétaire général du plus «important» parti, le FLN, dont le président n’est autre que le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika. Donc, toute décision à son encontre doit être nécessairement validée en haut lieu pour qu’elle soit mise à exécution afin d’éviter le scandale.Mais l’affaire a vite rattrapé le secrétaire général du FLN, qui s’est retrouvé dans l’obligation de répondre aux accusations portées contre son fils lors de la dernière conférence de presse animée samedi 11 mars. Il ne dit pas que Wafi a été interpellé par les gendarmes, mais se contente d’exprimer son «entière confiance aux services de sécurité et à la justice» pour faire la lumière sur cette affaire, qui a fait l’effet d’une bombe une semaine auparavant.C’était le 1er mars. Wafi était seul dans sa voiture en cette matinée ensoleillée, lorsque les gendarmes l’ont arrêté et sommé de descendre de son véhicule. Ils le suivaient depuis sa sortie de la résidence d’Etat où il habite. Après une fouille minutieuse du véhicule, ils auraient récupéré des listes de candidats aux élections législatives et une somme d’argent en dinars. Après une longue audition à la brigade, une perquisition a été effectuée chez lui à Club des Pins, où d’autres documents en relation avec les législatives ont été retrouvés. La totalité des sommes récupérées aurait dépassé les 60 millions de dinars et les 200 000 euros. La famille au milieu d’un scandale Très touché, le père est convaincu qu’à travers son fils c’est lui qui est visé. D’ailleurs, à ses proches au parti il déclare : «Wafi a été piégé par mes ennemis pour faire pression sur moi.» Mais, est-ce le cas ? La vérité est difficile à savoir. Néanmoins, bon nombre de nos interlocuteurs, des cadres du parti, affirment que «l’interpellation a été décidée à la suite d’une dénonciation. Les gendarmes savaient déjà à l’avance ce qu’ils allaient trouver. Mais, sans corrupteurs pouvaient-ils aller plus loin ? L’enquête va prendre du temps et pourrait lever le voile sur ces personnes qui auraient acheté leur place sur les listes électorales auprès du fils du secrétaire général. Qui oserait dire aux gendarmes qu’il a payé pour se faire élire ? Pour l’instant, ce n’est qu’une enquête préliminaire que suivent de très près les plus hautes autorités, dont le ministre de la Justice, lui-même haut cadre du FLN». D’autres interlocuteurs croient dur comme fer à «l’existence» d’un compromis autour de la mise en liberté du fils du secrétaire général du FLN. Ils disent : «Il y a un lien entre cette affaire d’interpellation de Wafi Ould Abbès et l’apparition surprise de Bahaeddine Tliba, en deuxième position, après le ministre des Transports, Boudjema Talai, sur la liste FLN à Annaba, alors que trois jours auparavant, son nom n’y figurait pas. Au FLN, nous pensons que c’est l’axe El Oued-Annaba qui a utilisé le fils pour piéger le père et faire pression sur lui. Mais l’affaire ne pouvait rester cachée. Des fuites organisées l’ont mise sur la place publique dans le but d’affaiblir davantage Ould Abbès et susciter son débarquement de la tête du parti. Déjà, des pétitions appelant à son départ sont en train de circuler», révèlent nos sources. Celles-ci n’écartent aucune autre thèse, même celle qui privilégie la piste du ministre de la Justice, Tayeb Louh, dont les relations conflictuelles avec Ould Abbès à cause des listes électorales ne sont un secret pour personne. «Au sein du parti, certains pensent que le ministre a pesé de son poids, non pas pour piéger Ould Abbès, mais plutôt pour le sortir d’affaire, mais avec un profil très bas et bien vulnérable», apprend-on. En tout état de cause, l’affaire de Wafi Ould Abbès, qui jusqu’à l’heure actuelle n’est que suspect, révèle à quel point la politique a été pervertie par les comportements immoraux de ceux qui veulent arriver au Parlement par n’importe quel moyen dans l’unique but de bénéficier de l’immunité parlementaire et se protéger de toute poursuite judiciaire. Salima Tlemçani Citer Link to post Share on other sites
zadhand 546 Posted March 18, 2017 Author Partager Posted March 18, 2017 [h=1]Djamel Ould Abbès « J’ai déjoué un complot contre l’État algérien ! »[/h] TSA Algérie 15:13 Hadjer Guenanfa samedi 18 mars 2017 Djamel Ould Abbès, nouveau secrétaire général du FLN Djamel Ould Abbès a fait allusion, ce samedi 18 mars, aux pratiques de corruption dans l’achat de positions de tête de liste électorale au sein de son parti. « Des gens ont fait des calculs pour 2019 et ils ont tenté de faire pression sur moi. Je suis resté comme un rocher. Ils ont tenté d’imposer des noms, j’ai refusé », assure le Secrétaire général du FLN lors d’une rencontre partisane organisée à Sétif. | LIRE AUSSI : Djamal Ould Abbès la désignation des candidats pour les législatives « d’en haut est finie » « Vous avez vu ce qu’ont écrit les journaux, quand ils ne m’ont pas touché, ils ont tenté de faire pression sur moi autrement. Mais ils ont échoué. J’ai déjoué un complot contre l’État algérien, je n’ai pas marché avec eux et je ne marcherai pas avec eux. Ceux qui voulaient faire un chantage pour faire passer des noms, ils ont échoué à 100% », a poursuivi Djamel Ould Abbès qui défie qui que ce soit de parler du « moudjahid » qu’il est. Le Secrétaire général du FLN rappelle encore une fois son passé de combattant. « 65 ans de lutte depuis 1952 (…) Pour la presse et les journalistes qui ne savent pas, je vous montre un papier simple, très simple. Les Moudjahidin ne trahissent pas et n’abdiquent pas », lance-t-il avant de brandir une feuille. « C’est ma condamnation à mort ! » Djamel Ould Abbès assure avoir fait barrage devant ceux qui se préparent pour les élections présidentielles de 2019. « Je ne vais pas à la fin de ma vie venir trahir mon pays et mon président, et me soumettre à ceux qui ont des calculs pour 2019. J’ai fermé la porte devant eux ! C’est pour cela qu’ils sont actuellement enragés mais les chiens aboient et la caravane passe », conclut-il. Le 11 mars, interrogé sur les rumeurs autour de ses fils qui auraient été interpellés par les services de sécurité dans le cadre d’une affaire liée aux listes électorales, Djamel Ould Abbès n’a apporté aucun démenti. « Il y a une justice et des services de sécurité en qui j’ai entièrement confiance », avait-il dit avant de perdre son sang-froid quand un journaliste le relance. « Vous n’avez pas honte de parler comme ça ? », a-t-il répondu. [video=youtube_share;uR-NEgiHDms] Citer Link to post Share on other sites
zadhand 546 Posted March 22, 2017 Author Partager Posted March 22, 2017 [h=1]Ould Abbas limoge Salima Othmani du BP du FLN[/h] algerie1 21 Mars 2017 | 19:00 Salima Othmani, membre du bureau politique du FLN en charge de la condition féminine est limogée mardi par Djamal Ould Abbas, à l’issue de la réunion du BP.Salima Othmani, députée de la wilaya de Boumerdès, est accusée de corruption, en recevant des sommes d’argent importantes contre promesse de réélection faite à un député sortant de Constantine.La députée s’est défendue contre ces accusations, en les imputant à ses adversaires. Le Ould Abbas avait promis, samedi, lors de sa visite à Setif d’entendre la députée. Cette dernière a été interpellée par les services de sécurité dans son domicile à Bab Ezzouar en possession d’une importante somme d’argent.Pour rappel, Salima Othmani a commencé son parcours politique au FIS dissous avant de devenir membre de l’APW de Boumerdès de 2002 à 2007 sous les couleurs du Parti islamiste Hamas. En 2007, Amar Tou, alors ministre de l'enseignement supérieur lui ouvre la porte du FLN, date à laquelle elle accède au poste de députée avant de se faire réélire en 2012. Citer Link to post Share on other sites
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