zadhand 546 Posted April 23, 2017 Partager Posted April 23, 2017 Elle est considérée comme l’une des plus jeunes auteures de France À 14 ans, Lisa Haddou publie son premier roman “Le suicide” Culture | liberte-algerie le 22-04-2017 12:00 La jeune romancière Lisa Haddou, (originaire de Mekla dans la wilaya de Tizi Ouzou), vient de créer le buzz avec son premier roman Le suicide (Tome I) paru chez les éditions (Panthéon, France). Agée seulement de 14 ans, cette écrivaine en herbe, a suscité l’intérêt de pas moins de cent mille lecteurs sur le net. D’ailleurs, grâce au succès du livre, le roman vient d’être réédité en Suisse, en Belgique et au Canada. La jeune romancière raconte dans cet opus Le suicide, l’histoire d’une fille née sous X dénommée Sky. Il s’agit d’une adolescente solitaire et malheureuse, sans famille ni amis. “Sky est victime d’un harcèlement scolaire particulièrement violent et destructeur, rien ne lui est épargné : entre insultes et brimades, les coups pleuvent sur sa frêle silhouette. Le chemin de croix qu’est devenu le lycée détruit son infime espoir d’être heureuse un jour. Désespérée, elle prépare son plan B, sa roue de secours : le suicide. Mais elle, qui est si timide et réservée, aura-t-elle l’audace de se donner la mort ?”, écrit Liza Haddou. L’éditeur de Lisa Haddou indique à propos de ce roman, que l’auteure aborde les violences scolaires sans fard ni voile : “Sous le faisceau cru de sa plume, elle revient sur les mauvais traitements quotidiens infligés aux ‘têtes de Turcs’ et autres ‘souffre-douleur’”. Lisa affirme par ailleurs que la suite du Suicide, est déjà écrite mais pas encore imprimée. Selon la jeune romancière : “Des lecteurs m’ont encouragé à poursuivre mon histoire et m’ont même suggéré des suites possibles !”. Pour sa part, Haddou Abderahmane (père de Lisa), en visite depuis quelques jours à At Zellal à Mekla, son village natal, soulignera que “ma fille a le béguin pour la littérature depuis son très jeune âge. Elle a commencé l’écriture à l’âge de 13 ans, et elle a commencé à transcrire ses écrits sur son portable avant de passer à une autre phase notamment de penser à éditer ses œuvres”. Et de renchérir : “Ma fille aime beaucoup lire et écrire. On allait chaque semaine à la bibliothèque pour ramener 5 à 10 livres qu’elle lisait jusqu’à une heure tardive de la nuit. Quant au livre qu’elle vient de publier, il s’agit d’une fiction qui parle du harcèlement dans le milieu scolaire. Cela ne raconte pas sa vie, mais celle vécue par des personnes qu’elle connaît”. K. Tighilt Citer Link to post Share on other sites
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