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Ahlen Ahlen Ahlen bika ya Ramadan, le mois de la Miséricorde Divine (Inutile de venir avec votre rengaine les gens s'empifrent). C'est un mois qui demandent beaucoup de volonté et qui apportent beaucoup.

 

Puissions nous jeûner en paix in shaa Allah.

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  • 2 weeks later...

Aujourd'hui laylet acchek. En Arabie ils jeûnent aujourd'hui ou demain. Ce que je ne comprends pas c'est qu'en Islam on ne suit pas un pays mais les recommandations divines et si le croissant lunaire du mois du Ramadan est vu alors tout le monde jeûne.

 

Une vieille dame hier se plaignaient, ça y est ils emmagasinent le lait, font des courses, alors qu'il y a de tout et qu'il n'y a pas besoin de faire des provisions, ils sortent la vaisselle... Les algériens agissent comme si nous allions être en guerre, ils sont insatiables et insociables.

 

 

Edited by L'aghabie l'aghabie
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1er jour Ramadan demain in shaa Allah. Puisse Allah réformer notre pays dans le bon sens et faire que nous ayons enfin des hommes et des femmes accomplis à notre tête, amin. Puissiez-vous jeûner bi qiyem wa salem.

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1er jour Ramadan demain in shaa Allah. Puisse Allah réformer notre pays dans le bon sens et faire que nous ayons enfin des hommes et des femmes accomplis à notre tête, amin. Puissiez-vous jeûner bi qiyem wa salem.

 

.. Saha ramadanekoum

Moi je suis heureux parce que j'ai lu dans un journal que le prix des fruits et légumes vont baisser et surtout qu'ils ont donné une autorisation , à Boumérdes pour 14 pecheurs pour pecher le thon Algérien ... j'espère que ce Thon serait disponible sur le marché et à un prix raisonnable :)

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Le Qalbllouz est partout avec la zlabiya, c'est les stars de ce mois avec la chorba, chirbette... Bizarrement il y a beaucoup moins de monde dans la rue, le stade est vide, les hanouts ferment pour l'heure de la salat. Pourquoi ce n'est pas comme ça toute l'année.

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saha ramtanewen!

 

ils doivent dormir -c'est bien ce calme en effet toute l'année mais au bout d'un moment il n'y aura plus de kelblouz ,ni de zlabia ni meme de chorba surtout si hassi messaoud se met a dormir aussi lol...c'est ça le programme economique des islamistes ?

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J'ai pas compris... J'ai lu, relu relu wallou. Yakhi le pétrole hbat khlass, d'ailleurs ils disent que le nouveau gouvernement va viser les autres industries. Avec Tebboune on est pas sortie de l'auberge, agriculture 1 va être cultiver dans 15 ans, agriculture 2 arrivera avant la culture du 1, on peut mourir de faim entre temps.

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non le petrole est a 52.18 dollars --c'est lui que vous mangez encore en chorba !... d'ailleurs j'ai remarqué sous 46 dollars ils interdisent l'importation de viande congelée au dessus de 50 dollars ils reprennent les importations lol -c'est comme ça que l'algerie est gouvernée en ce moment ... je ne sais pas ce que tu as pas compris j'etais clair pourtant -tu dis que c'est bien que tout soit anesthesier pendant le ramadan sauf les cheikhs qui sont dopés et les entrées a la mosquées - et il y a du kelblouz partout -je repondais que cela ne peut pas durer , deja qu'on travaille pas bcp en temps normal si la periode du ramadan devait s'eterniser ,la famine arriverait deux fois plus vite.

 

ici aussi ,il parait que la consommation alimentaire a augmenté en seine saint denis de 40% ces derniers jours ! les gens font les courses plus que d'habitude -on se croirait juste avant une periode de rationnement , peut etre la guerre lol.

 

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La nourriture est énormément mise en avant à notre époque, c'est un joyau, alors que normalement se nourrir a son utilité et surtout pas n'importe comment. Les prix baissent, j'ai vu les tomates à 20 dinars elles étaient arrivées à plus de 180, la pastèque commence à 35 dinars, les abricots à 50 dinars mais qu'est-ce qui se passe bon sang... donc leur augmentation du Ramadan est fausse, c'est les gens qui ne sont jamais rassasiés et stockent et ensuite jettent.

 

Beaucoup de pains briochés, de pains géants au chocolat, crème, zlabiya, qalbelouz et bagarres.

 

Les horaires de travail ont changé, tout ouvre plus tard et ferme vers 15h, horaire du Ramadan. Que les femmes rentrent plus tôt pour cuisiner mais les hommes pourquoi ?

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Hier une dame s'est disputée avec deux messieurs, thamaw fiha. En tous cas elle les a bien rabaissé, chahhh. Tout cela est parti à cause du manque de place assise et du fait que personne ne se lève pour qu'une femme s’asseye, là le gars lui répond "le jour où une femme se lèvera pour que je m'asseye, ce jour là je me lèverai" et on entend un "boouuuhhh 'liya bouh" elle lui dit qu'il aurait du se cacher sous les sièges pour sortir ça hahaha "koun tkhabit mel taht ou qoultha", il lui a dit que "nssa i tab'ou kil bagrat" elle leur a dit que c'était des bons à rien, qu'ils attendaient que le gouvernement leur donne un appart au lieu de le construire, moi j'étais totalement d'accord avec elle.

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Les vendeurs de chawarma, de chwa, de mhadjeb, certaines pâtisseries, ont échangé leurs produits pour des gâteaux orientales et pains briochés.

 

J'ai remarqué qu'il n'y a pratiquement pas de décoration pour nos fêtes et qu'il y en avait pour les fêtes de fin d'année appartenant à une autre communauté. C'est bizarre.

L'Islam est la beauté de l'Algérie, sans lui on serait très bas.

Edited by L'aghabie l'aghabie
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Sur le net... on peut remarquer que Ramadan rime avec table garnie, bouqala, sortie ramadanesque... ? Où est l'adoration d'Allah Ta'ala ? La générosité ? Le fait de se priver ? Le partage ?

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La spontanéité des algériens me manque!

 

ça y est je sais où tu es, si la spontanaéîté des tiens te manque, pourquoi les avoir quitté ? Je crois que je suis la seule à avoir fait, ou plutôt il n'y a que nous naifs enfants d'imigrés qui venons dans un piège appelé Algérie, enfin au moins moi je ne viens pas vous pervertir (certains immigrés viennent vous faire danser en ouvrant des djiscothèques). Tous les Algériens rêvent de quitter leur bled, il l'ont rendu insupportable, le quitte ensuite en font de fausses éloges, je ne parlerai plus jamais de l'Algérie comme avant.

 

 

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Les vendeurs de chawarma, de chwa, de mhadjeb, certaines pâtisseries, ont échangé leurs produits pour des gâteaux orientales et pains briochés.

 

J'ai remarqué qu'il n'y a pratiquement pas de décoration pour nos fêtes et qu'il y en avait pour les fêtes de fin d'année appartenant à une autre communauté. C'est bizarre.

L'Islam est la beauté de l'Algérie, sans lui on serait très bas.

 

 

quelle decoration tu veux mettre -les guirlandes c'est les europeens -les ballons ,les couleurs ,les lumieres scintillantes c'est eux !!!...nous c'est les peaux de mouton partout a alger pendant l'aid et lle reflet de la lumiere sur les ailes des mouches qui survolent les peaux encore fraiches...dans la culture arabe les decorations sont haram ,les photos sont haram , la musique est haram -tout est haram ...heureusement qu'il reste un petit ilot de liberté attaché a la vie ,aux parfums ,aux couleurs aux sons ,c'est pour cela que la kabylie est et doit rester une forteresse impermeabble a cette culture venu d'ailleurs !.

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Aujourd'hui j'ai vu à la grande poste, la gare, une Kheyma avec tapis, plat en cuivre, etc. ça doit être pour le Ramadan. La lumière n'est pas leur exclusivité au contraire, pourquoi tu nous débites de toute les belles choses. C'est le peuple algérien qui ne respecte plus rien et non l'arabité ou l'Islam.

 

Nous sommes dévalorisés et défavorisés en tout.

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  • 2 weeks later...

Le 24 ou le 25 donc El'id le 25 ou le 26...

 

3 jours que je mange juste une petite salade avec la chorba, j'ai l'impression de ne plus avoir de muscle. Aujourd'hui gratin de pâte et poulet. C'est vraiment le meilleur mois de l'année. Allahouma balighna Ramadan.

 

Chahiya tayiba wa saha ftorkoum !

 

 

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[h=1]Le ramadan en Kabylie et à la Casbah, avant la société de consommation et les caméras cachées[/h] Par: Thilelli Chouikrat 11 Juin 2017 à 10:56canon-9999x9999-c.jpghttp://www.delcampe.net Le Ramadan à l’époque du Canon à la Casbah d’Alger


Le mois de ramadan n’échappe pas à la règle « modernisation-uniformisation des pratiques ». Les spécificités locales qui ponctuaient autrefois le mois sacré sont, pour la plupart, tombées dans l’oubli. Nous avons rencontré Ahcene, originaire de Kabylie, et Aami Zoubir, habitant de la Casbah, pour les questionner sur le ramadan de leur enfance.

 

[h=2]En Kabylie, série de rituels sensés renforcer la cohésion sociale[/h]

« Avant l’indépendance, nous explique Ahcene, le ramadan au village se préparait un, voire deux mois à l’avance. Les femmes préparaient les maisons. Il fallait qu’elles soient propres. Elles se servaient d’une terre spéciale, qui ressemble à de la chaux blanche, et nettoyaient les murs intérieurs avec. Au sein de la tajmaât (l’assemblée du village), on organisait les préparatifs pour aborder le carême. On procédait notamment au recensement des familles nécessiteuses du village pour subvenir à leurs besoins ».

 

Cette pratique est d’ailleurs toujours d’actualité. Cette année par exemple, les tajmaât de plusieurs villages ont mis en place des distributions de viande pour les familles dans le besoin, à l’arrivée du ramadan. De nombreux clichés montrant ces opérations de distribution ont d’ailleurs circulé sur les réseaux sociaux.

 

L’annonce du premier jour du carême suivait un protocole particulier : lorsque la lune était peu visible, les villages qui avaient eu l’opportunité de l’observer allumaient un feu pour annoncer aux autres bourgades qu’il débuterait le lendemain. Le feu, visible à des kilomètres à la ronde, était relayé de colline en colline.

 

« À cette époque, il n’y avait pas de téléphone, c’était donc une des techniques utilisées. Ensuite, “l’Aberah” se chargeait de faire circuler l’information au sein de la communauté ». Aberah, c’est un peu le crieur du village : il parcourt ses ruelles avec un bendir et informe les habitants. « C’est lui qui, par exemple, signale aux habitants l’organisation de la journée annuelle de nettoyage du village. C’est également lui qui annonce les décès, les fêtes religieuses ou traditionnelles. Pour le ramadan, l’Aberah se charge d’informer les habitants que l’heure du s’hour approche. Aujourd’hui, il a été remplacé par le haut-parleur de la mosquée ».

 

Le crieur public qui éveille les jeûneurs au son du tambour est d’ailleurs une pratique largement répandue dans le monde musulman. Bien que concurrencée par les haut-parleurs et les réveils automatiques, voire en sérieux déclin, cette pratique existe toujours en Turquie (on les appelle les « ramazan davulcusu »), en Irak (les « moussahirati »), en Palestine, au Pakistan (les « dhol wala » qui parcourent même les rues de centres urbains qui dépassent les 500.000 habitants), et en Indonésie notamment. En Tunisie, les « boutbila » ont, par contre, quasiment disparu.

 

Le ramadan était aussi marqué par une série de rituels sensés renforcer la cohésion sociale, à l’image des fêtes nocturnes organisées pendant le mois. C’était également l’occasion de marquer des rites de passage, notamment pour les enfants qui observaient le jeûne pour la première fois : « À la fin de leur premier jour de carême, ils montaient sur le toit de la maison et y mangeaient un œuf. Cette tradition persiste, d’ailleurs », nous explique Ahcene.

 

Quinze jours avant la fin du ramadan, le village se réunit à nouveau pour organiser « louziâa », soit le partage et la distribution de parts de viande le jour de l’aïd. Cette coutume est d’ailleurs toujours d’usage. On procède à une collecte de dons pour l’achat de bœufs qui seront égorgés à la fin du mois. Toutes les familles participent à l’achat, même à titre symbolique : « Si vous donnez un dinar, cela vous donne droit à votre part de viande ! », explique Ahcene. Les émigrés participent aussi à la quête : « Leurs parts sont comptabilisées lors de la distribution, et sont données à leurs familles respectives. »

 

« Au deuxième jour de l’aïd, conclut Ahcene, lorsqu’une famille visite l’une de ses filles mariée, on lui amène une épaule de mouton, qui dépasse d’un couffin. Symboliquement, cela permet de montrer que la fille est toujours soutenue par sa famille ». [h=2]À la Casbah, un ramadan rythmé par les fameux coups de canon[/h]

Les récits de Aami Zoubir, habitant de la Casbah, diffèrent sensiblement. Un point commun toutefois, les préparatifs du mois de carême : « Ils commençaient un ou deux mois avant. À la mi-radjeb, on entamait les travaux des maisons. Pendant le mois de chaâbane, toutes les femmes s’y mettaient. Elles procédaient à de grands lavages et appliquaient une couche de chaux à l’intérieur des maisons. Puis venait l’annonce du ramadan. Une commission se rendait à Bouzareah, on appelait cela le mounedjem. Deux cadis, représentants des rites hanafite et malikite, montaient donc sur les hauteurs de la ville afin de s’assurer de la date du premier jour du ramadan, en observant le croissant de lune. L’annonce du premier jour se faisait ensuite via des troupes qui jouaient du tambour et des tambourins, on appelait cela zarnadjia. Elles étaient précédées par un crieur qui parcourait les ruelles de la Casbah ».

 

Le ramadan était ensuite rythmé par les fameux coups de canon, qui, tirés depuis ce que l’on appelait alors le « fort empereur » par un homme de la marine, annonçait la rupture du jeûne. Cette coutume, qui a perduré jusqu’à l’indépendance, était également pratiquée dans le M’zab, à Tlemcen, Constantine. « À Alger, précise Aami Zoubir, un brin amusé, les enfants qui faisaient le carême ce jour- là entonnaient alors en cœurAden aden ya cheikh bech yedreb el medfaâ, houa ma idrabchi oua ana ma nakoulchi. Houa yaamel boum boum oua ana naamel houm houm !” ».

 

Aami Zoubir tient à nous décrire les pratiques culinaires d’alors. Les habitudes alimentaires étaient, semble-t-il, très différentes, à commencer par les prix pratiqués par les commerçants. « Au marché, ils n’étaient pas en hausse, au contraire : dans l’après-midi, les marchands commençaient à les baisser. Par exemple, s’ils vendaient un légume à un dinar le kilo, ils annonçaient moitié prix, pour liquider leurs marchandises ». [h=2]Les Bourek, trois fois dans le mois…[/h]

« Les femmes, à cette époque-là, étaient très économes, ajoute Aami Zoubir. Elles ne jetaient rien, malgré l’absence de frigo. Une pastèque à moitié consommée, par exemple, était conservée dans un récipient au fond du puits de la maison, ou dans une réserve d’eau pluviale.

 

Les repas du mois de ramadan n’avaient rien à voir avec ceux que l’on prépare actuellement. Les femmes, avec un rien, préparaient une dizaine de plats. Aujourd’hui, les gens mangent tous les jours la chorba et le mtouwem. Et les Bourek ? C’est devenu un plat national ! À l’époque, si on en mangeait trois fois dans le mois, c’était beaucoup ».

 

Frugalité donc, y compris au rayon pâtisseries : « À Alger, il n’y avait qu’un seul bonhomme qui vendait des kalbelouz, c’était Hadj Lounis. Pareil pour celui qui vendait de la zlabia, c’était Hadj Hmidou. Actuellement, on en livre par quintaux ! »

 

Quant aux enfants qui entamaient le jeûne pour la première fois, « on leur préparait un verre avec de l’eau, du sucre, de l’eau de fleur d’oranger, une pièce d’argent, et quelques gâteaux au miel. Ça n’était pas ces gâteaux qu’on appelle maintenant “traditionnels”. C’est faux, ils n’ont rien de traditionnels ! On préparait les makrout, les tcharek, ces derniers étant d’ailleurs sucrés ou non, les ghribia… Le soir venu, on rassemblait des enfants autour du jeûneur, on jouait de la derbouka, on chantait, on dansait. »

 

Le mois de ramadan, rappelle Aami Zoubir, était également celui où l’on pratiquait des circoncisions, les veilles du 15e et du 27e jour. « Une tradition héritée de la dynastie fatimide », explique Mme Bakouri, directrice du Musées des arts et traditions populaires de la Casbah. « Sous leur règne, il est même arrivé que des circoncisions collectives soient organisées pour plus de 16.000 enfants le même jour, en Sicile ».

 

« Je crois, sans vouloir offenser qui que ce soit, que l’on savait mieux vivre que maintenant », conclut Aami Zoubir. Au sortir de notre rencontre avec lui, on s’entendrait presque reprendre en cœur le « avant, c’était mieux ».

 

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Aujourd'hui aussi une chaleur à faire saigner du nez un chameau... Je n'ai pas fait de chorba mais une soupe, heureusement qu'il y a beaucoup de fruits. Les derniers jours du Ramadan sont toujours plus difficiles que les premiers, l'accumulation de la fatigue, la chaleur, on n'a même plus envie de manger.

 

Le Ramadan n'est pas un mois de nourriture mais de l'adoration d'Allah Tabaraka wa Ta'ala en ayant un bon comportement, en faisant appel à sa volonté pour se contrôler, en étant généreux.

 

Nous disons celui qui trouve Allah a tout trouvé et celui qui l'a perdu a tout égaré "Allahouma men wadjadaka, wadjada koulou chay wa men faqadaka faqada koullou chay". Cela veut dire que croire n'est ni facile ni simple.

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