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Alger, la Mecque des révolutionnaires (1962-1974)


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Alger, la Mecque des révolutionnaires (1962-1974)

 

algerie360

jeudi 18 mai 2017 à 8:43

 

Alger, la Mecque des révolutionnaires (1962-1974) de 1962, année de son indépendance, et jusqu’en 1974, « Alger la rouge » offrait asile et assistance aux opposants et exilés du monde entier. Un pan méconnu de la politique internationale algérienne, revisité en archives.

[video=youtube_share;40W46qbqT3o]

https://youtu.be/40W46qbqT3o

962 -1974: l’Algérie aide activement les opposants à la colonisation et au racisme, du Che aux Black Panthers.De 1962, année de son indépendance, et jusqu’en 1974, l’Algérie aide activement les mouvements anticoloniaux et les révolutionnaires du monde entier. Avec son sens de la formule, Amilcar Cabral, le fondateur du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) qualifiera le pays de « Mecque des révolutionnaires ». Dirigée par le tandem Ahmed Ben Bella (à la présidence) et Houari Boumediene (au stratégique ministère de la Défense), l’Algérie jouit alors du prestige d’une indépendance acquise par les armes. Suivant l’inspiration de Fidel Castro et du Che, qui réserveront à Cuba un accueil triomphal à Ahmed Ben Bella, le pays s’impose comme le leader des aspirations des peuples du tiers-monde. Le régime apporte un soutien total aux opposants qui viennent à lui, aussi bien moral que diplomatique et financier.Grâce à un habile montage d’archives, ce film revisite la décennie prodigieuse, et méconnue, au cours de laquelle la plupart des opposants à la colonisation et au racisme, du Che aux Black Panthers – en passant par les indépendantistes bretons ! –, feront escale dans une capitale algérienne effervescente, rebaptisée « Alger la rouge ». Même après le coup d’État de Boumediene en 1965, le pays poursuivra sur cette lancée. Si cette politique finira par évoluer au mitan des années 1970, elle restera un sujet de fierté pour le peuple algérien. Après sa libération, en 1990, près de trente ans après s’être entraîné avec les fellagas, Nelson Mandela leur rendra un vibrant hommage et déclarera : « L’Algérie est mon pays. »

 

 

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Les Algériens sont tombés de mes yeux comme on dit ici. A partir de quand la régression a commencé, c'est un pays relativement jeune. De mon analyse, cela a commencé après la décennie, lorsqu'on entend les habitants ils disent "aaah hablou dzyrines depuis elirheb" mais pour moi ce n'est pas elirheb le problème, ce dernier au contraire coupaient les têtes, terrorisait les populations, se conduisait comme une mafia et spoliait l'argent des habitants, etc. et c'était une partie du peuple.

 

Pour moi ce qui a pourrit ce peuple c'est l'enrichissement pendant les mandats de Bouteflika. D'ailleurs les proverbes et les chanteurs le disent "khoudha min 'inda elchabren ida dja' ou ma tadihech min 'inda el dji'en, parce que idda chba' ma ya'tikech dalla" voilà le problème algérien, c'est des affamés à qui Boutefliqa a rempli la bouche.

 

Ils ont de l'argent, beaucoup d'argent et restent insatiables ils se considèrent toujours comme des zawalis et se comportent comme des Ténardier.

 

L'enrichissement a pourri ce peuple. In shaa Allah une famine.

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