Aghabie 20 060 Posted June 5, 2017 Partager Posted June 5, 2017 De plus en plus de divorce, normal, l'homme ne sert plus à rien, la femme a tout en charge, travaille à l'extérieur, l'éducation des enfants, les parents, les repas, le ménage. La corruption, el fassed, vient beaucoup de cet homme fainéant et sans beaucoup d'éthique qui aime l'argent facile. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted June 5, 2017 Author Partager Posted June 5, 2017 Ils sont payés à ne rien foutre, un peuple d'incapable aux bras cassés comme ils disent ici, surtout dans les administrations. Pourquoi croyez-vous qu'un simple imprimé prend 2 ans pour être prêt ? C'est ainsi dans tout, même les médecins dans les hôpitaux sont comme ça. Trop paresseux, bazef, Le pire est qu'ils sont payés. Ils sont non aimables, imprésentable, menteur dans leur travail, aaaaahhhh donnez leur la rechwa de quoi s'arrondir leur fin de mois, le piston, etc. C'est des incapables. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted June 7, 2017 Author Partager Posted June 7, 2017 J'ai googlé l'homme algérien est un fainéant, il y a un nombre d'article impressionnant sur le sujet, c'est connu mondialement apparemment. Voici un article sur dziri-dz. S’il y a bien une idée reçue que les Algériens partagent, c’est sans aucun doute leur relation avec le travail. Un sujet qui a l’unanimité : l’Algérien est un fainéant ! Partant de ce constat d’autocritique, nous avons voulu savoir si la réalité reflète cet avis. Un dossier qui nous met face à un miroir. Par Souad Belkacem S’il on n’en finit pas avec les bouchons de la circulation routière et le surpeuplement des rues des grandes villes à toute heure de la journée, c’est par ce que les employés désertent leur bureau très tôt», «Si nos villes sont d’interminables chantiers, c’est par ce qu’il n’y a pas une main d’oeuvre suffisante. La preuve est qu’on fait appel aux Chinois pour achever nos travaux et en entamer d’autres». Et si «on importe les produits pour l’agriculture, c’est parce qu’on n’a plus d’agriculteurs et que tous les jeunes veulent travailler dans des bureaux». Telles sont les phrases récoltées lors d’un radio trottoir ; des phrases qui reviennent souvent dans nos conversations. Mais est-il censé de taxer l’Algérien de paresseux ? Et si cela est vrai, quel impact peut-il avoir sur la société algérienne ? La rente pétrolière favoriserait-elle la passivité des Algériens ? Tant de questions nous traversent l’esprit, surtout lorsqu’on se rend compte que l’économie algérienne dépend du prix du pétrole (et du gaz). En effet, elle repose sur une production estimée entre 30 et 50% du PIB depuis 1990 et une exportation estimée, elle, entre 75% et 95% de pétrole. S’agit-il d’une «assurance» de la part des Algériens, cultivée par la rente pétrolière ? Cette éventualité n’est pas à écarter. Une étude a montré que l’investissement macroéconomique est plus encouragé que tout autre investissement. Cependant, la mauvaise gestion des «terrains industriels et la forte spéculation dont ils font l’objet» , rend leur coût outrancier pour les nouveaux investisseurs. Selon la même étude, la conclusion est simple : l’investissement en Algérie est des plus difficiles. À ce propos, l’ambassadeur des États-Unis en Algérie, Robert S. Ford, avait déjà souligné, lors d’une conférence à l’occasion de l’université d’été de la Confédération des cadres de la comptabilité et des finances (CCFC), qu’en matière de création d’entreprises, l’Algérie n’est pas parmi les pays les plus compétitifs. S’appuyant sur des chiffres d’un rapport de la Banque mondiale, il est arrivé à conclure qu’en Algérie, il faudrait 240 jours pour mettre en place un business, au lieu de 160 jours en Moyen-Orient et chez nos voisins maghrébins, ajoutant que le processus de création d’entreprises en Algérie comprend pas moins de 14 procédures s’étalant sur 24 jours, contre six seulement dans le dispositif américain qui s’étale sur 6 jours à peine, soit quatre fois moins qu’en Algérie. «Aux États-Unis, l’Algérie n’est pas parmi les pays les plus compétitifs. Avec une bonne idée et un esprit d’entreprise, vous pouvez créer une entreprise en sept semaines. Avec la même idée, en Algérie, vous mettez 9 mois», avait relevé Mr Ford. Telles sont les visions étrangères basées sur des études à propos des investissements. Qu’en est-il de celle du travailleur algérien ? En d’autres termes, comment le travailleur algérien est-il vu par les autres ? Le travailleur algérien vu par les autres Une émission télévisée étrangère a qualifié l’Algérie de «l’Eldorado» au 120 milliards de dinars d’investissement public, qui attire tous les groupes étrangers de construction qui doivent, cependant, s’incliner devant le bâtiment chinois. Cette émission n’a pas manqué de refléter la persévérance des Chinois dans leur besogne, qui n’a guère mis en valeur le travail des employés algériens. À travers l’émission en question, les responsables de chantiers chinois n’avaient pas l’air de se réjouir du recrutement d’un quart d’ouvriers algériens sur leur chantier, sachant qu’une cinquantaine d’ouvriers algériens sont recrutés sur un chantier de 700 travailleurs chinois. «Les Algériens sont particulièrement lents ; s’ils sont payés deux fois moins que nous, c’est par ce qu’ils sont deux fois moins efficaces», avait fait remarquer un des responsables chinois, se ventant de pouvoir construire un immeuble de 10 étages en deux mois et un étage en six jours. Le plus terrible est que durant l’émission, on nous a montré deux ouvriers algériens s’amuser, se moquant d’un Chinois poussant hâtivement sa brouette. Enfin, tout était propice pour dévaloriser le travailleur algérien. Même Hamid Temmar, ministre des Investissements, avait loué les Chinois, sans pour autant dénigrer le travail des Algériens, déclarant qu’ils ont «un ressort formidable de flexibilité qui leur permet d’aboutir sur un plan international à des prix imbattables et des qualités remarquables». Pourtant, interrogeant des jeunes, ceux-ci se sont défendus, se plaignant du chômage depuis la concurrence des ouvriers chinois. «60% des jeunes constantinois sont au chômage depuis qu’ils ont envahi les chantiers», s’est exprimé un jeune constantinois. «Si on ne travaille pas, c’est parce que l’État ne nous donne pas la possibilité de le faire. Toutes les portes sont fermées et toutes les opportunités sont offertes aux étrangers», clame un autre jeune, habitant dans la capitale. Ainsi, pendant que nos jeunes triment pour chercher du travail, les Chinois attendent l’obtention d’un contrat de 9 milliards de dollars pour la construction de la plus grande autoroute d’Afrique, reliant la Tunisie et le Maroc, soit 1 200 km que ces Asiatiques promettent de réaliser en 40 mois, après avoir obtenu la construction d’une partie de la raffinerie de Skikda et quelques forages dans le Sud du pays. Devrait-on appréhender ce plan d’investissement comme étant un objectif pour s’accaparer de l’or noir, comme ils le font au Soudan où ils absorbent 70% de cette substance ? Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted June 7, 2017 Author Partager Posted June 7, 2017 Unanimement, les algériens vous diront, ha oui les maçons ne terminent pas leur travail et prennent la fuite, les plombiers et autrs ne se déplacent pas, c'est une honte ce peuple. Allez voir comment ils travaillent dans les hopitaux, le nombre d'erreur dans les analyses, diagnostiques, ... Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted June 9, 2017 Partager Posted June 9, 2017 Zaamtic Debdouba...elle est sortie avec un homme Algerien dans sa vie? ou a vecu avec un Algerien? Et oui la meme chose...que pour tout ce que ca débite sur l'Algerie depuis son quartier d'Alger qu'elle a quitté fi Ramdhan pour aller jeuner chez Ma ma Franssa :p Citer Link to post Share on other sites
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