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L'Algérie veut renforcer le planning familial


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L'Algérie veut renforcer le planning familial

HuffPost Algérie/APS

Publication: 11/07/2017 14h39

Mis à jour: il y a 3 heures

 

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Le baby boom des années 2000 en Algérie n'est pas sans inquiéter les pouvoirs publiques. Dans une démarche qui s'apparente à celle entreprises dans les années 70-80, les autorités algériennes veulent freiner la courbe des naissances par le renforcement du planning familial.Cette volonté transparaît clairement dans le discours du ministre de la santé à l'occasion de la journée mondiale de la population.Relevant que la population aura dépassé le seuil des 51 millions en 2030, le professeur Mokhtar Hasbellaoui, a plaidé aujourd'hui à Alger pour le renforcement du planning familial en Algérie, conformément aux Objectifs de développement durable (ODD), relevant qu'à l'issue de cette échéance (2016-2030).Soulignant que la population algérienne passerait de 41,7 millions d’habitants à plus de 51 millions à cet horizon, d'où la nécessité de se préparer "dès à présent pour satisfaire des besoins encore importants".

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La population algérienne à 41,3 millions d'habitants au 1er janvier 2017

Le choix de traiter cette question "sensible comme une priorité de l’heure", souligne-t-il, est "significatif non seulement au regard de son importance comme l’un des déterminants majeurs de la nouvelle dynamique démographique que vit notre pays, mais également comme un préalable à la réduction de la mortalité maternelle et périnatale et aussi comme un levier qu’il conviendrait d’actionner en premier pour pouvoir capturer le dividende démographique et d’en tirer profit".

 

 

Le ministre a également explique que "la planification familiale contribue à créer l’équilibre entre la croissance démographique et la croissance économique et conduit dans un contexte de faible fécondité à encourager l’épargne et créer des opportunités pour le développement économique et social durable en investissant dans les domaines de la santé, la nutrition, l’éducation et la formation pour tirer pleinement profit du dividende démographique".M. Hasbellaoui a estimé, à ce propos, que relever ces défis, suppose une "approche dynamique multisectorielle" incluant tous les acteurs et intervenants, y compris ceux de la société civile ainsi que "la mise en place de stratégies basée sur l’efficience pour mieux utiliser les ressources disponibles et le développement de programmes ciblés notamment au niveau local".Conviant, par ailleurs, le Comité national de Population (CNP) à "revisiter" la politique nationale de population et à "réajuster ses objectifs en visant un équilibre entre la croissance démographique et le développement économique et social du pays", il a ajouté qu'un "intérêt particulier doit également porter sur l’amélioration permanente des systèmes d’information et statistiques pour la mise en place de bases de données et d’indicateurs pertinents et fiables".Soulignant une "avancée importante" dans la société algérienne en matière de planification familiale, il a noté que la proportion des femmes mariées âgées entre 15-49 ans et ne connaissant aucune méthode de contraception moderne est "quasiment nulle" actuellement, contre 74% en 1968 alors que l’utilisation de la contraception concerne 57% des couples mariés, contre 8% seulement en 1970 et que plus de 80% des femmes concernées ont eu recours, au moins une fois dans leur vie génésique, à la contraception.En revanche, a-t-il poursuivi, l’opposition déclarée à la planification familiale concernait, quant à elle, 3,2% des non-utilisatrices en 2012-2013, sachant que les motifs les plus fréquents de non-utilisation de la contraception demeurent le désir d’enfant et la crainte des effets secondaires sur la santé.Au plan organisationnel, le représentant du Gouvernement a ajouté que l'activité de planification familiale se trouve "actuellement intégrée" au niveau de l'ensemble des structures de santé de proximité (polycliniques et salles de soins) composant le réseau national et au niveau des 2/3 des maternités, tandis que les actes de santé reproductive et les produits contraceptifs sont dispensés "gratuitement" dans le secteur public.

 

 

 

 

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ne regardes pas alger et les hauteurs d'alger ! dire que les femmes travaillent en algerie c'est faux ,c'est valable pour alger mais c'est loin d'etre le cas partout -il y a des endroits c'est encore l'afghanistan lol....dans mon village aucune ne travaille enfin si elles elevent des petits amazighs en quantité mais ça c'est bon ! si seulement ils allaient pas se faire arabiser ensuite !

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Hahahaha des petits amazighs. Les hauteurs aussi c'est des petits amazighs ou des mouet mouet, pour moi c'est kifkif c'est tous des arabes hihi. La mentalité est que les algériens se concurrencent et malheureusement le nombre d'enfants est une compétition surtout le nombre de garçons.

 

- T'en a combien toi ?

- 5

- Cinnnnq ? Vite faut que j'ai des jumeaux...

 

A Alger, certains couplent veulent vivre "la belle vie" comme ils disent et une belle vie construit avec moins de charge moins de responsabilité et moins d'enfants. Sur Les hauteurs les gens voyagent, se forment, mettent leurs enfants dans le privé, etc. Dans certaines périphéries retour en arrière.

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chacun avait ses raisons avant de faire beaucoup d'enfants - pour nous les kabyles il s'agissait de contrer ce qui etaient dit dans les livres de l'ecole arabe -longtemps on a nous a fait croire qu'il y avait des arabes en algerie et qu'ils etaient majoritaire donc on s'est demultiplié -certains en faisaient jusqu'a 8/12 enfants pour casser ce mythe -moi meme je comptais me lancer sur 25 ou 30 pour les poster autour du village .... les chaouis ,les mzab ,les tergui je pense ont du avoir le meme raisonnement ....les islamistes ont egalement cette motivation si les electeurs ne votent pas pour eux ,ils ont decidé de les produire eux meme par precaution democratique ....donc il y a avait a une epoque une vrai motivation d'ordre ethnique ou politique. Pour les kabyles cela a ete un succes pour le nombre , le probleme c'est qu'ils ont oublié les ecoles -ils travaillaient pour le camps adverse a cause de l'ecole -puisque les gamins etaient arabisés-le probleme n'etait pas l'ethnie mais la langue et ça beaucoup ne l'ont pas compris.Par la suite on a compris que les livres de l'ecole algerienne racontaient des conneries et que les mzab ,les chaouis et les kabyles a alger ou ailleurs ont cherché les arabes et ne les ont jamais trouvé nul part ! .

 

ensuite il y a les motivations sociales -l'algerie ne dispose pas d'un systeme social permettant de prendre en charge les vieilles generations -les enfants devaient compenser cela et servir de protection pour la retraite et plus on en fait plus la retraite est censée etre importante ...il s'agissait alors de travailler la terre puisque la quasi totalité des algeriens sont en realités des fellahs -ce n'est que depuis les années 90 que tout a ete bouleversé -ils sont devenus islamistes ou facebookistes-l'islamiste ne travaille pas la terre il prie et le facebookiste lui non plus il surfe lol.

 

 

donc on se retrouve avec 41.7 millions de personnes alors qu'on croyait qu'on etait que 40 debut janvier -les 1.7 millions ont ete retrouvé garce au dernier recensement de l'ons .

 

on a donc 1.7 millions d'invités en plus qu'il faut nourrir ,employer ,eduquer ect ! ça va etre compliqué !.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Je connais une famille arabe avec enfants et petits enfants à plus de 53 personnes et une partie de ses enfants ne sont pas encore mariés. Le grand papa ne reconnait même pas certains de ses petits enfants, quel en est l'utilité ?

 

Avec 25 ou 30, tu comptes avoir plusieurs femmes je suppose.

 

Pour les Kabyles, je retrouve toujours vers les 30 % de la pop. totale dans les stats. Malgré le fait que vous ayez beaucoup d'enfants vous émigrez trop, çe qui revient au même hahaha.

 

De nos jours les algériens aiment se faire entretenir, donc c'est les anciens qui font vivre tout le monde avec leur retraite et c'est tjrs eux qui font les courses, le ménage, et personne ne s'occupe d'eux.

 

 

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