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Algérie : ce que contient le projet de privatisation à l’origine de la discorde entre Bouteflika et Ouyahia


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[h=1]Algérie : ce que contient le projet de privatisation à l’origine de la discorde entre Bouteflika et Ouyahia[/h] 17 janvier 2018 à 17h47Par Djamila Ould Khettab

 

 

Le projet de privatisation du secteur économique public a valu à son initiateur une sévère mise en garde présidentielle. Il ne contient cependant pas de mesures spectaculaires.

 

Le sujet est épineux si ce n’est explosif. Il aura fallu l’intervention d’Abdelaziz Bouteflika, à la parole rare, pour apaiser le débat sur la privatisation des entreprises publiques. Le chef de l’État, par l’intermédiaire du secrétaire général de la présidence de la République, Habba El Okbi, a adressé la semaine dernière un courrier au Premier ministre, Ahmed Ouyahia, dans lequel il se réserve un droit de veto. « La décision finale reste la seule prérogative du président de la République », peut-on lire dans une note reprise par l’APS (Algérie Presse Service, agence officielle) lundi 15 janvier.

 

 

Si certains y ont vu un désaveu ou un recadrage du chef du gouvernement, la sortie d’Abdelaziz Bouteflika s’avère plutôt un soutien décisif à Ahmed Ouyahia, décrié jusqu’au sein de la majorité présidentielle comme un fossoyeur du patrimoine public. Au FLN, certains ont même adopté le ton de l’opposition et dénoncé une « mesure libérale qui remet en cause la souveraineté nationale ». [h=3]Un secteur public déficitaire[/h]

La question est sensible, compte tenu du poids du secteur public dans l’économie du pays. L’Algérie compte encore aujourd’hui environ 1 200 entreprises publiques, essentiellement des PME. Elles emploient près de 400 000 personnes.

 

Mais le secteur économique public est en perte de vitesse depuis plusieurs années. La majorité des sociétés publiques ne sont plus rentables et font appel au Trésor public pour combler leur déficit financier.

 

Le pacte, signé le 23 décembre dernier à l’occasion d’une réunion tripartite entre des représentants du gouvernement, du patronat et de l’UGTA, au siège du syndicat des travailleurs à Alger, se donne pour lourde tâche de « revitaliser le secteur économique public ». Mais les moyens ne sont pas à la hauteur des ambitions. La Charte sur le partenariat sociétaire, qui se veut être un « cadre de référence » pour toutes les entreprises publiques, apporte en outre peu de nouveauté sur le plan juridique. [h=3]La règle du 51/49 inchangée[/h]

Le texte, qui régit les conditions de création de co-entreprises, d’ouverture du capital des sociétés étatiques et de prise de participation d’organisations publiques dans des entreprises privées, prévoit plusieurs types de partenariats.

 

Dans le cas où une société publique souhaite s’associer à un partenaire privé algérien, la Charte stipule que la quote-part de l’entreprise publique ne peut être inférieure à 34% du capital social. Cette disposition était déjà présente dans l’article 62 de Loi de Finances 2016.

 

Dans le cas d’un partenariat avec une entreprise privée étrangère, la Charte maintient la règle du 51/49, introduite par la Loi de Finances 2009. Autrement dit, la quote-part du partenaire étranger ne peut excéder 49% du capital social.

 

La nouvelle tentative de privatisation du secteur économique public, relativement timorée, reste soumise à un encadrement strict. Selon l’accord conclu fin décembre, le processus de partenariat entre un acteur économique public et un homologue privé est « géré, suivi et contrôlé » par le Conseil de participations de l’État (CPE), un organe placé sous l’autorité du Premier ministre, le ministère de tutelle, l’entreprise publique concernée et les partenaires sociaux.

 

Sans compter, désormais, l’approbation du président de la République.

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y en a qui ne veulent pas perdre une source de revenu confortable -des milliards de dinars disparaissent dans ces structures opaques qui ne sont gerées par personne et qui ne produisent rien comme valeur ajoutée ! ça ne les interesse pas la privatisation et le controle du privé ...la majorité sont des hotels ou des complexes touristiques -on en connait l'efficacité et l'etat de delabrement ...il faut tout vendre pour rationaliser la gestion, sur ce coup ouhaya a completement raison ! il n'y a que le privé qui peut gerer correctement car ses interets sont en jeux ! les algeriens se fichent completement de la rentabilité ou du service au sein des entreprises publiques -une entreprise publique est censée verser des dividendes a l'etat or elles epuisent le tresor public d’année en année .

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détrompez vous ce discours aide a faire de l'opacité sur les vrai problèmes de l'algerie...le probleme depuis 1830 l'administration coloniale compoé a l’Époque par des gestionnaire ont tout nationalisé les terres les biens les forets les troupeaux pour ensuite se constitué un tresor de biens qu'ensuite avec de la corruption ils vendaient ces biens aux plus offrant venu de l'europe et d'ailleurs..

c'est ce qui se passe actuellement en algerie depuis 62..ils ont gelé les commune ensuite il ont fermé les becs aux élus pour s'accaparer des biens des communes terre lot de terrains forets etc qu'ils sont entrain de vendre au plus offrant, c'est normal qui va acheter c'est l'EURO..donc on est revenue a la période de 1830

ce que faisait l'ex administrateur français le fera l'administrateur algérien...même moule avec des visages différent le premier etait visage pale et cheveux gras, le second visage basané et cheveux crépi..c'est une bande qui fait les même trucs..c'est pourquoi aux états unis on les surveille et on leurs bloque le budget afin qu'ils ne prennent pas de l'ampleur demain ils feront comme les français ils vendent les colonies aux plus offrants..ou sous préfet en français va fermer le bec au maire et lui ordonne de rien dire et vendre toute la commune aux plus offrant même a Satan après lui le déluge..

 

on croit savoir PEUT ETRE UNE RUMEUR IL FAUT LA CONFIRMER? que le coup porter contre Hamrouche dans les années 80 c'est qu'il voulait que l’État investie dans l'agriculture et reprendre les coopératives déjà fonctionnelle. il était mis de coté et le projet fut gelé. l'agriculture reste en dehors des contrôles des communes, abandonné les gens certain ont un nouveau regard sur ces terres..la terre appartient a la commune donc aux gens qui habitent la commune c'est eux qui doivent travailler sur leurs terre dans des coopérative géré par l'assemblé communale..

 

Comme il n ya plus d'eaux les gens ne veulent pas acheter des terres ils préfèrent s’accaparer des logements sociaux...l'algerie commenc e enfin a preveiligier les bovins contre les ovins

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