koceyla 14 646 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 [h=1]L’Algérie importe 4 milliards de litres de lait ![/h] LARBI ZOUAIMIAUNIVERSITAIRE - BLOGGER et ANALYSTE Avec ses 39,2 millions d’habitants en 2014 et pour un ratio de consommation variant entre 92 et 97 litres/ha par an, l’Algérie avait importé pour 1,72 milliards de dollars de poudre, l’équivaut de 3,5 milliards de litres de lait. Fait gravissime, énormissime comme insolite, les quantités importées en 2014 relatives au lait (SMP, Skimmed Milk Powder), avait avoisiné les 344.000 tonnes de poudre. La conversion selon le site de calcul Medaillon Milk, nous livre 3,440,000,000 de litres de lait à raison de 1kg de poudre pour 10 litres de lait. On peut toujours imaginer la corrélation tricherie-corruption de la galaxie des intervenants post-importation quoi ! Ceux qui mordent sur ce groupe public acheteur. Le paradoxe est que la consommation des Algériens en 2014, avec marge d’erreur statistique de 5%, nous donnait 3,600 milliards de litres. La conclusion est que le pays ne produit pas de lait dans la mesure où un petit recul en arrière nous permet de découvrir toute la dilapidation des deniers publics lesquels furent virés ailleurs … plutôt qu’orientés vers le créneau du lait. Il faut encore chercher des explications à cette tendance haussière d’importation partie de 313 millions de dollars en 1999 pour doubler en 2004 à 696 millions et tripler en 2007 à 943 millions de dollars pour en fin se loger à l’inimaginable score de 1,31 milliards de dollars en 2011. Le chiffre de 2014 qui explosa après le trop salé de 2011 nous laissa perplexes . Il charriait à lui seul, la facture ébouriffante de 1,72 milliards d’importation de poudre. Feuille d’inflation de la Reserve Bank de la Nouvelle Zélande oblige: Le topo sur-pèse le montant de 1999 autrement en 2014, et pour des impératifs de bonne actuariat, on peut considérer qu’une somme de 313 millions en 1999, revint, en équivalence, à 414 millions de dollars en 2014 . Le résultat est bizarrement illogique, puisque de 414 millions de dollars soustraits de 1 milliards 720 millions, le “Quésaco” se fige : Comment se faisait-il qu’on importait du lait en 2014 pour 1 milliard 306 millions de plus, alors que la population n’avait augmenté que de 8 millions d’habitants. Si nous avons pris 2014 comme matrice intermédiaire c’est pour bien mesurer l’ampleur de la défaillance surtout à lecture des estimations fournies par le ministère de l’agriculture américain. Ainsi, l’Algérie se trouve typiquement cataloguée juste derrière la chine, en matière d’importation de poudre de lait. La population chinoise, faut-il le signaler, a juste besoin d’importer moins du double de ce que stipendie l’Algérie pour, bien entendu dans le but de combler son manque, soit 6 milliards de litres, alors que la démographie dans ce pays de l’Asie n’est la pas le double, mais 35 fois supérieure au nombre d’habitants de chez nous. Or, les sommes de 960 millions de dollars de 2017 (minimum), viennent encore dénuder un laïus identique à celui de 2014. A cette année là, les marchés du la poudre nous renseignaient sur les fourchettes allemandes, américaines et néo-zélandaises, celles-ci variaient entre un prix de 3500 euros à 3650 euros la tonne métrique. Cependant, les formules comme les équations ne furent pas les mêmes en 2017. Les prix avaient chuté vers 2193 euros particulièrement pour le produit Allemand Magermilchpulver Extra et juste un peu plus à 2172 euros pour le SMP de la nouvelle Zélande. Ici, la référence néo-zélandaise est prise pour compter en “tikharbichine” algérien car, c’est de ce pays qu’on importe 47% de nos besoins ,en concentré. Une partie importante de nos importations vient aussi de France à hauteur de 16% et 11% de l’Argentine. Le reste est partagé entre: l’Uruguay, l’Allemagne- la Pologne, la Belgique, la Hollande et l’Irlande. N’oublions pas que de toutes petites quantités de 0,5 a 1% viennent de la Malaisie, les USA, l’Espagne et la Suisse. En conclusion, un bref résumé relatif à la facture de 2017 (portée à son minimum) de 960 millions de dollars soit 800 millions d’Euros, fait ressortir une quantité achetée de presque de 400.000 tonnes de poudre, soit 4 milliards de litres de lait épandues dans le marché. En tout compte fait, à combien se toise la portion resquillée par escobarderie ? Et ... c’est à vous de décrire ce théâtre farci étourdissements, sachant bien que les chiffres du ministère de l’agriculture Algérien nous happent par un tourbillon lorsqu’ils évoquaient un pic global de consommation en 2017, de l’ordre de 4,5 milliards de litres de lait. L’interrogation qui triture les méninges parait légitime donc : Est-ce qu’on produit uniquement 12 % du lait que nous buvons ? Si c’est non, qui dit mieux en étayant dans le “ce n’est pas vrai” ? Citer Link to post Share on other sites
koceyla 14 646 Posted May 2, 2018 Author Partager Posted May 2, 2018 4 MILLIARDS DE LITRES ça fait 100 litres pour chaque algerien par an -sur la base de 40millions-sans compter la production locale donc on est deja a 100 litres ...la consommation moyenne en france est autour de 50 litres de lait liquide ... et eux le produisent ! [h=1]France[/h] Un CA de 29,8 milliard € La filière du lait affiche un chiffre d’affaires de 29,8 milliards € en 2013, ce qui la classe au deuxième rang des industries agro-alimentaires, juste après la viande. 762 établissements de transformation emploient 56 200 personnes. Les 24,6 milliards de litres de laits collectés en 2015 sont utilisés pour fabriquer : – à 70% des produits laitiers grand public : laits liquides, yaourts, desserts lactés, fromages, beurre, crème. – à 30 % des produits intermédiaires, utilisés dans l’alimentaire, les secteurs pharmaceutiques et chimiques. Parmi eux, le lactosérum (petit-lait), la poudre de lait, la caséine (protéine du lait), le babeurre. C’est le marché grand public qui génère le plus de valeur : environ 80% du CA de la filière. Le secteur des fromages et des produits frais est en tête. Le lait de vache est dominant, il concerne 97% de la collecte. Viennent ensuite, par ordre d’importance, le lait de chèvre et de brebis. La part de laits bio collectée est de l’ordre de 2% en 2014. ----------------------------- la france parvient a vendre quasiment autant que l'ensemble des revenus petroliers de l'algerie avec un petrole a 45/50 dollars juste avec des vaches . Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 4 MILLIARDS DE LITRES ça fait 100 litres pour chaque algerien par an -sur la base de 40millions-sans compter la production locale donc on est deja a 100 litres ...la consommation moyenne en france est autour de 50 litres de lait liquide ... et eux le produisent ! [h=1]France[/h] Un CA de 29,8 milliard € La filière du lait affiche un chiffre d’affaires de 29,8 milliards € en 2013, ce qui la classe au deuxième rang des industries agro-alimentaires, juste après la viande. 762 établissements de transformation emploient 56 200 personnes. Les 24,6 milliards de litres de laits collectés en 2015 sont utilisés pour fabriquer : – à 70% des produits laitiers grand public : laits liquides, yaourts, desserts lactés, fromages, beurre, crème. – à 30 % des produits intermédiaires, utilisés dans l’alimentaire, les secteurs pharmaceutiques et chimiques. Parmi eux, le lactosérum (petit-lait), la poudre de lait, la caséine (protéine du lait), le babeurre. C’est le marché grand public qui génère le plus de valeur : environ 80% du CA de la filière. Le secteur des fromages et des produits frais est en tête. Le lait de vache est dominant, il concerne 97% de la collecte. Viennent ensuite, par ordre d’importance, le lait de chèvre et de brebis. La part de laits bio collectée est de l’ordre de 2% en 2014. ----------------------------- la france parvient a vendre quasiment autant que l'ensemble des revenus petroliers de l'algerie avec un petrole a 45/50 dollars juste avec des vaches . Avec des chiffres pareil, je me dis que le lait est consommé par les algériens de 7 à 77 ans !! même si on considère qu'un tiers de lait est transformé, les chiffres sont quand même encore élevés. On peut faire des économies d'une part en informant qu'une personne adulte n'a plus besoin de consommer du lait qui est normalement destiné aux bébés et d'autres part plutôt que d'importer du lait, pourquoi ne pas importer directement les vaches, à long terme ça peut être plus économique. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 Comme on a pas de vache, peut être qu'ils en font du fromage, rayeb, beurre, etc. Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 il parait que c'est du lait écrémé ou demi-écrémé qui est importé, donc impossible d'en faire du fromage et du beurre, le gras a été enlevé. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 Tu as raison que cela soit des bricks candia ou les sacs en plastique c'est du demi écrémé. Le prix aussi est différent candia entre 90 et 100 dinars et les sacs plastiques 25 dinars, donc les algériens font leur stock pour qahwa hlib. Citer Link to post Share on other sites
Miss angel 3 848 Posted May 2, 2018 Partager Posted May 2, 2018 je me demande quel goût à le lait en poudre, j'imagine que cela n'a rien à voir avec du lait frais, quel dommage, autant se priver de lait surtout que ce n'est pas essentiel pour les adultes. Citer Link to post Share on other sites
koceyla 14 646 Posted May 10, 2018 Author Partager Posted May 10, 2018 ils disent qu'on a 1 million de vaches:)- mais elles ont ete arabisés ,elles ne produisent rien parce qu'avec 1 million de vaches jamais on atteindrait ce niveau d'importation -la france en compte 3 millions et ils nourrissent le monde entier -alors soit nos vaches jouent aussi au domino soit elles n'existent pas ...et je penche pour la seconde option ...si on avait 1 million de vaches on les croiserait or ce n'est pas le cas ,on en voit quasiment pas.. je pense qu'ils se basent sur le nombre de vaches laitieres importées et la descendance a partir des importations tres importantes de vaches par le programme de l'ansej et les differents programmes de subventions de l'agriculture precedents -mais ils ont l'air de pas savoir que ces vaches pour la plupart ont terminé a l'abattoir et on les a flamber en chwa dans les restos ...l etat versait une prime a la naissance de 30.000 dinars pour chaque naissance preservée pour devenir vache laitiere et la reglementation interdisait de les mener a la boucherie mais rien a faire ,l'appat du gain facile propre aux populations arabisées a pris le dessus . Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.